Après les décisions prises au Royaume-Uni et à Bruxelles, la Russie a sans doute voulu répondre en force en attaquant des sites informatifs et commerciaux. L'Angleterre a décidé cette semaine de bloquer les comptes du média russe Sputnik tandis que de son côté, Bruxelles a décidé d'ouvrir la voie à la censure des deux principaux médias russes qui sont Sputnik mais aussi RT.
Ce n'est donc pas étrange de retrouver la Russie derrière cette cyberattaque d'une ampleur rarement vue. Elle permet en effet de montrer à l'Occident sa force de frappe.
Le désir de bloquer les sites russes et la réponse du Kremlin (à l'évidence) est une nouvelle étape avant le grand soir: La guerre totale, et peut-être nucléaire. Ce que nous vivons en ce moment sur le web fait sans aucune ambiguïté parti des préparatifs et ne peut que nous inquiéter.
Joseph Kirchner pour WikiStrike
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