Translate

samedi 26 mai 2018

Washington menace Damas d'une action «ferme»



Les États-Unis ont mis le gouvernement syrien en garde contre une éventuelle offensive dans le sud-ouest du pays, qui d’après Washington peut mettre en péril le cessez-le-feu en vigueur dans cette zone.
Les États-Unis ont averti vendredi la Syrie qu'ils prendraient des «mesures fermes et appropriées» en réponse à une éventuelle offensive de l'armée dans le sud-ouest du pays, où se trouve la zone de désescalade de Deraa.
«Nous mettons également en garde le régime syrien contre toute action qui pourrait rompre le cessez-le-feu», a précisé la porte-parole du Département d'État Heather Nauert. Ce cessez-le-feu a été réaffirmé par Donald Trump et Vladimir Poutine lors d'une rencontre en novembre.
«En tant que garants de cette zone de désescalade avec la Russie et la Jordanie, les États-Unis prendront des mesures fermes et appropriées en réponse aux violations de Bachar al-Assad», a t-elle ajouté.
La province syrienne de Deraa est majoritairement contrôlée par des formations armées illégales. Une source militaire et diplomatique a plus tôt affirmé que le Front al-Nosra aux côtés de l'Armée syrienne libre étendait les territoires sous leur contrôle dans le sud de la Syrie en vue de créer dans la zone une autonomie sous tutelle américaine.
Toujours selon cette source, les djihadistes préparaient une attaque coordonnée contre l'armée dans les trois provinces du sud syrien. Leur offensive serait déclenchée par la violation du cessez-le-feu par les troupes gouvernementales ou des «provocations aux armes chimiques».
Source:sputniknews.com

jeudi 24 mai 2018

La coalition US accusée d'avoir bombardé des positions de l'armée syrienne



L’agence syrienne Sana et le Hezbollah ont affirmé que des frappes américaines avaient touché cette nuit plusieurs positions militaires de l’armée syrienne dans l'est du pays. Des allégations immédiatement démenties par le Pentagone.
Des avions de la coalition internationale sous commandement américain ont visé deux positions de l'armée syrienne dans l'est de la Syrie, ont rapporté une source militaire citée par l'agence Sana et le service de presse du mouvement libanais chiite Hezbollah.
«Certaines de nos positions militaires entre Albu Kamal et Hmeimeh ont été touchées ce matin au cours d'une attaque aérienne menée par la coalition américaine», a indiqué une source militaire syrienne citée par Sana.
Le Hezbollah a de son côté affirmé que ces frappes s'étaient produites dans le désert de l'Est syrien, à proximité de la station de pompage T2 située près de la frontière irakienne, à une centaine de kilomètres à l'ouest de l'Euphrate.
Contacté par Sputnik, le Pentagone n'a pas confirmé les allégations tenues par la presse syrienne et le Hezbollah. «Nous ne disposons pas d'informations confirmant ces annonces», a indiqué un porte-parole du département de la Défense des États-Unis.
Une source militaire russe interrogée par Sputnik a pour sa part affirmé que les informations concernant les frappes portées par l'aviation de la coalition sous commandement américain «ne correspondaient pas à la réalité».

Source: sputniknews.com

mercredi 23 mai 2018

Contre qui serait dirigée l’arme nucléaire que les USA envisagent de déployer en Grèce?


Le 17 mai, le directeur de la politique nucléaire à l'Otan Fred S. Frederickson a visité la base aérienne d’Araxos, dans le Péloponnèse, en Grèce, où des armes nucléaires pourraient être stockées, rapporte le site militaire.gr. Un lieutenant-général de l'armée de l'air turque à la retraite a commenté cette information pour Sputnik.
Dans le contexte des événements qui se déroulent en Méditerranée orientale et des tensions dans les relations turco-grecques, Athènes apporte tout son appui à l'Otan pour s'assurer de l'assistance des États-Unis et la visite du haut représentant de l'Alliance à Araxos en témoigne, a déclaré à Sputnik Erdoğan Karakuş, président de l'Union turque des officiers à la retraite.
«On sait qu'en Méditerranée orientale, les intérêts des États-Unis et de la Russie sont en confrontation. Les Américains ne peuvent pas compter sur la Turquie dans cette confrontation, alors que la Grèce s'applique au maximum à s'assurer le soutien de l'Amérique face à la Turquie, tout comme sur la question de Chypre et des îles Égéennes», a poursuit l'interlocuteur de l'agence.
Et d'ajouter que les États-Unis essayaient pour leur part de tirer le maximum de profit de cette situation.«Somme toute, on a tout lieu de supposer que par la visite d'Araxos, les États-Unis lancent une sorte de mise en garde à Ankara», a résumé le lieutenant général à la retraite de l'armée de l'air de la Turquie.
Alors que la présence militaire des États-Unis en Grèce augmente et, tout particulièrement ces deux dernières années, on craint que les Américains n'utilisent aussi des sites dans ce pays pour stocker des armes nucléaires. «Il y a de tels sites à Araxos et c'est la raison pour laquelle la visite du représentant officiel de l'Otan dans la 116 e aile aérienne suscite des préoccupations», peut-on lire dans un article publié sur militaire.gr.
Source: sputniknews.com

dimanche 20 mai 2018

ALERTE HAWAI: Un séisme de 4.9 ressenti au volcan Kilauea....DANGER





Plus tôt ce 20 Mai , un tremblement de terre de 4.9 a secoué la région du volcan Kilauea. La falaise Hilina se serait brisée aux
environs du 2/3 de sa superficie, qui mesure 40 km par 20 km et une épaisseur de 2000 mètres. 


Le danger est que sa rupture et chute dans le Pacifique entrainerait la création d' un immense tsunami qui pourrait s' élever à près de 30 mètres de hauteur en atteignant la côte Ouest des États-Unis et toucherait aussi toutes les côtes ouest des pays longeant le Pacifique. 

Donc, les grandes villes comme Los Angeles, San Francisco, San Diego et même Vancouver seraient envahies par ce tsunami destructeur et cela jusqu' à 16 km à l' intérieur des terres.

Voici un diagramme de cette faille hawaienne.



Le gouvernement ne dit rien à la population pour ne pas créer un mouvement de panique et il est impossible que cette falaise ne s' effondre pas dans l' océan. C'est une question de temps et il n'y aura que 4 ou 5 heures pour tenter d'évacuer des millions de personnes.

Il y a actuellement plusieurs secousses dont certaines à plus de 3.0 sur l' échelle de Richter.

À surveiller de très près...

Benoit Godin