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samedi 27 janvier 2018

Pyongyang pourrait réaliser un nouvel essai nucléaire ou balistique



La communauté internationale doit toujours s'attendre à ce que la Corée du Nord procède à un nouvel essai nucléaire ou balistique, selon un sénateur russe.
Il est fort probable que la Corée du Nord procède prochainement à un nouvel essai balistique ou nucléaire, estime le chef de la commission des Affaires étrangères du Conseil de la Fédération(sénat russe) Konstantin Kossatchev.

«Je crois que cette tendance se maintiendra tant que persistera la menace d'ingérence dans les affaires intérieures de la Corée du Nord», a indiqué le sénateur dans un entretien accordé à Sputnik.
Selon lui, le développement du bouclier antimissile et l'achat de systèmes Aegis Ashore par le Japon, ainsi que les déclarations «irresponsables» de Donald Trump concernant l'accord sur le nucléaire iranien suscitent davantage de préoccupations à Pyongyang et n'aident pas à régler la crise qui entoure la péninsule coréenne.
Dans ce contexte, il ne serait possible de mettre fin à l'escalade des tensions dans la région que par grâce à des «garanties réciproques», souligne l'interlocuteur de l'agence.
«D'une part, il faut renoncer à la poursuite du programme nucléaire, et de l'autre, il faut abandonner les tentatives de s'immiscer dans les affaires intérieurs de la Corée du Nord et garantir ainsi la souveraineté de ce pays», a expliqué M.Kossatchev qui se trouve au Japon pour des discussions avec des représentants du ministère nippon des Affaires étrangères, notamment sur le problème coréen.

Source : sputniknews.com  

jeudi 25 janvier 2018

Le soutien des USA aux «terroristes» kurdes pourrait mener à une confrontation, prévient la Turquie


Le vice-Premier ministre turc Bekir Bozdag a mis en garde les Etats-Unis contre le risque d'une confrontation directe entre les deux pays. Ankara exhorte en particulier Washington de cesser de soutenir les forces kurdes de Syrie.

Six jours après le début de l'opération turque «Rameau d'Olivier» visant les milices kurdes de l'enclave d'Afrin en Syrie, le bras de fer entre les Etats-Unis et la Turquie continue. Ankara a même brandi le risque d'un affrontement direct ce 25 janvier.
Dans une interview accordée à la chaîne turque A Haber, le vice-Premier ministre turc et porte-parole du gouvernement, Bekir Bozdag, a mis en demeure Washington de cesser de soutenir les combattants des Forces démocratiques syriennes (FDS), dans le nord de la Syrie. «Les Etats-Unis doivent ré-examiner [la présence de] leurs soldats et autres éléments, lesquels soutiennent les terroristes, de façon à éviter une confrontation directe avec la Turquie», a-t-il déclaré. «Ceux qui soutiennent les organisations terroristes seront pris pour cible dans cette bataille», a-t-il encore prévenu.

Sur le dossier syrien, Ankara joue serré. La Turquie est l'alliée des Etats-Unis dans le cadre de l'OTAN, dont elle est l'un des piliers historiques, mais s'est rapprochée de la Russie et de l'Iran avec les pourparlers d'Astana sur la Syrie. La situation est particulièrement problématique sur la question des Kurdes de Syrie,  alors que la Turquie est confrontée, sur son territoire, à l'indépendantisme kurde et aux attentats attribués au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).

Aussi, la perspective de la création d'un Kurdistan syrien constitue pour Ankara une ligne rouge. Le 14 janvier dernier, Washington a mis le feu aux poudres en annonçant la création d'une force frontalière dans le nord de la Syrie, s'appuyant sur les FDS, une coalition de groupes rebelles soutenus par Washington, incluant des combattants des milices kurdes des YPG (Unités de protection du peuple). Ankara accuse les YPG d'être la branche syrienne du PKK, qui mène une rébellion dans le sud-est de la Turquie.

Le lendemain, 15 janvier, le chef d'Etat Recep Tayyip Erdogan turc avait prévenu qu'il comptait «tuer dans l’œuf cette armée terroriste». Cinq jours plus tard seulement, la Turquie lançait l'offensive «Rameau d'Olivier», ouvrant un nouveau front en Syrie.

Le 24 janvier, le chef d'Etat américain Donald Trump a pressé son homologue turc de limiter l'offensive turque sur Afrin. Après l'élimination de Daesh du territoire syrien, les belligérants restants courent de plus en plus le risque de se retrouver face à face.

Source: russiatoday

Minuit moins 2 minutes : l'«horloge de l'apocalypse» est-elle sur le point de sonner les 12 coups ?



L'«horloge de l'apocalypse», qui symbolise l'imminence d'un cataclysme planétaire, a été avancée de 30 secondes, à deux minutes avant minuit, en raison surtout d'un risque accru de conflit nucléaire mondial.
L'aiguille de l'horloge du Bulletin of Atomic Scientists n'avait pas été aussi proche de minuit depuis 1953, en pleine guerre froide, quand les Etats-Unis et l'Union soviétique testaient la bombe à hydrogène. «Pour sûr, l'année 2017 a été périlleuse et chaotique... avec des déclarations irresponsables dans le domaine nucléaire qui ont enflammé des situations déjà dangereuses», a déclaré à la presse Rachel Bronson, présidente et éditrice du Bulletin of the Atomic Scientists, qui ajuste chaque année l'heure de cette horloge symbolique.
Une rhétorique enflammée et des actions provocatrices à la fois de la part des Etats-Unis et de la Corée du Nord ont accru la possibilité d'un conflit nucléaire « La question nucléaire est ainsi revenue au centre des préoccupations», a-t-elle ajouté, citant les essais nucléaires de la Corée du Nord, un engagement accru de la Chine, du Pakistan et de l'Inde envers leurs arsenaux nucléaires et «l'imprévisibilité» qui ressortirait des tweets et des déclarations de Donald Trump. «En 2017, les dirigeants mondiaux ne sont pas parvenus à répondre efficacement aux menaces grandissantes de guerre nucléaire et de changement climatique qui rendent le monde plus dangereux qu'il ne l'a été depuis la Seconde guerre mondiale», a écrit ce groupe d'intellectuels représentant les sciences, les affaires internationales, l'environnement et la sécurité. «Une rhétorique enflammée et des actions provocatrices à la fois de la part des Etats-Unis et de la part de la Corée du Nord ont accru la possibilité d'un conflit nucléaire», déplorent-ils encore.

La valse des aiguilles au son des canons


Robert Rosner, professeur d'astronomie et d'astrophysique à l'université de Chicago, a surtout épinglé durant la conférence de presse l'administration Trump dont les «incohérences», d'après lui, accroissent les risques de confrontation nucléaire et constituent un défi majeur pour la dissuasion et la stabilité mondiale.
Les tensions dans les relations américano-russes représentent également une menace pour la sécurité planétaire, a renchéri Sharon Squassoni, professeure à l'Institute for International Science and Technology Policy de l'université George Washington. «Pour la première fois depuis très longtemps, il n'y a aucune négociation entre Washington et Moscou sur le contrôle des armes nucléaires», a-t-elle relevé, ajoutant qu'elle craignait un retour d'une course aux armements nucléaires.
Depuis sa création en 1947, l'«horloge de l'apocalypse» a été ajustée 20 fois, de minuit moins deux minutes en 1953 à minuit moins 17 minutes en 1991, à la fin de la guerre froide. En 2017, l'aiguille avait déjà été avancée de trente secondes à minuit moins deux minutes et trente secondes, les scientifiques invoquant notamment les propos et les actions de Donald Trump. En 2015, l'horloge avait été reculée de deux minutes, à 23h57, et laissée inchangée en 2016. Les scientifiques avaient alors cité comme facteurs encourageants l'accord sur le nucléaire iranien ainsi que sur le climat à Paris fin 2015.
Source: rt.com

mercredi 24 janvier 2018

La Corée du Nord se prépare-t-elle à une Troisième Guerre mondiale


Cette année, la sécheresse a détruit une partie des récoltes et la saisie de nourriture pour les militaires entraîne des affrontements entre les civils et l'armée, selon Vestifinance.
Les soldats nord-coréens ont déjà reçu des congés de longue durée pour trouver de la nourriture ou gagner de l'argent afin d'en acheter.
Mais cela ne suffit pas.
Le site d'info Daily NK rapporte que les collaborateurs de l'État fouillent les maisons et les fermes pour y trouver de la nourriture cachée ou de l'argent afin de les redistribuer à l'armée.
Les citoyens nord-coréens sont déjà habitués aux visites des fonctionnaires qui cherchent de la nourriture ou demandent des pots-de-vin pour ne pas saisir leur nourriture. Ce recours à une tactique de plus en plus ferme pour nourrir l'armée affamée pourrait être potentiellement dangereux pour la Corée du Nord.
Les premiers affrontements ont déjà eu lieu. Les fermiers du pays n'ont pas réussi à remplir les quotas imposés précédemment et pourtant, les dirigeants leur fixent déjà de nouveaux objectifs.
«Nous souffrons parce que les fermes de notre région n'ont pas réalisé de bonnes récoltes l'an dernier, c'est pourquoi nous n'avons pas réussi à remplir le quota obligatoire en temps de guerre. Tous ceux qui n'ont pas réussi à satisfaire les exigences ont reçu des tâches supplémentaires depuis début janvier», a déclaré à Daily NK une source de la province du Hamgyong du Sud.
Selon les informations, les citoyens du pays doivent abandonner leur travail à la ferme pour remplir cette «mission urgente» de récolter des produits alimentaires pour les militaires.
Auparavant, les habitants étaient autorisés à quitter leur ferme pour recevoir de l'argent afin de payer les engrais ou le matériel agricole. Mais cette année tous ces fonds sont utilisés pour acheter de la nourriture et d'autres produits pour un usage militaire.
De nombreuses régions nord-coréennes ont échoué à remplir le quota pour l'approvisionnement de l'armée, ce qui a immédiatement provoqué une campagne pour trouver la nourriture manquante. Certaines coopératives agricoles envoient aux autorités des pommes de terre congelées déjà préparées.
De toute évidence, plusieurs processus qui toucheront les dirigeants des fermes et des coopératives agricoles restent à venir.
On estime que la famine a déjà tué des millions de personnes en Corée du Nord. Kim Jong-un et ses collaborateurs accordent une attention prioritaire à l'envoi de nourriture et de ressources aux hauts responsables publics et militaires à travers le pays.
On ne peut pas dire que la situation en matière de nourriture se soit significativement aggravée, mais l'activité des militaires et des responsables a déjà attiré l'attention de nombreux experts. En effet, elle pourrait être le signe de la préparation à une guerre.
Les USA se préparent également à la guerre
Le président américain Donald Trump attaque souvent le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, comparant la taille de leur «bouton nucléaire», et pendant son discours à l'Onu en septembre il a promis d'«anéantir la Corée du Nord» si elle pouvait être considérée comme une menace pour les USA.
Il semblerait que les généraux de Trump soient les seuls à recevoir sa confiance — hormis les membres de sa famille. Le chef des Marines a annoncé à ses troupes que «la guerre était proche». Herbert McMaster, conseiller de Trump à la sécurité nationale, s'attend visiblement aussi à une escalade du conflit.
D'après les récents articles de presse, McMaster pense que les mesures traditionnelles de dissuasion ne fonctionneront pas avec Kim et qu'il est «impossible de surestimer la menace émanant de la Corée du Nord dotée de l'arme nucléaire».
Apparemment, les militaires américains admettent peu à peu l'idée d'une guerre contre la Corée du Nord. Ainsi, un récent article du New York Times prête à penser que les militaires se préparent tranquillement au «dernier pas: la guerre contre la Corée du Nord». Les USA procèdent actuellement à des exercices aéroportés, envoient des unités spéciales en Corée du Sud et déploient des bombardiers supplémentaires, y compris des B-2, à Guam.
Les militaires américains soulignent que le pays veut simplement être prêt à faire face à toutes les circonstances imprévues. Cependant, la guerre entre les USA et la Corée du Nord paraît de plus en plus plausible chaque jour.
Le début de la guerre
On sait qu'il y a une grande différence entre attendre une guerre et la mener réellement. Cependant, la conceptualisation est souvent le premier pas avant l'action, et cela crée deux grands problèmes.
L'administration Trump pourrait prophétiser une guerre en procédant à la mobilisation. Plus on parle de la guerre et plus elle semble inévitable. Ce sentiment d'inéluctabilité faisait partie des plus importants facteurs au début de la Première Guerre mondiale. Cela a également permis de déclencher la guerre dans le Golfe en 1991 et la guerre en Irak en 2003.
Toutefois, l'administration Trump n'a manifestement aucune idée de la manière dont elle devrait et pourrait mener la guerre contre la Corée du Nord. En effet, les USA n'ont jamais participé à un conflit ouvert et direct contre une puissance nucléaire.
Une invasion terrestre peu plausible
Premièrement, il ne pourrait certainement pas être question d'une invasion terrestre: la Corée du Sud ne permettra jamais aux USA d'utiliser son territoire comme un avant-poste de départ pour attaquer la Corée du Nord, et bien évidemment Séoul ne se joindra pas aux USA dans cet acte déraisonnable.
Même si les forces américaines traversaient la zone démilitarisée rigoureusement protégée, elles seraient confrontées à une très forte résistance.
La plupart des militaires nord-coréens possèdent des armements obsolètes, mais ils ont un immense avantage en matière d'effectifs. Qui plus est, les Nord-Coréens combattraient sur le territoire de leur pays pour leur pays. Et s'ils subissaient des pertes, qu'est-ce qui les empêcherait d'utiliser l'arme nucléaire?
En outre, ces activités militaires joueraient en faveur de Pyongyang: les Nord-Coréens sont obsédés par l'idée que les USA veulent les détruire et une attaque unilatérale prouverait une fois de plus que leurs craintes sont justifiées. Cela pourrait être suffisant pour provoquer une riposte par une frappe nucléaire.
De plus, les actions militaires unilatérales des USA provoqueraient très certainement une opposition globale. L'alliance occidentale pourrait être irrémédiablement détruite aussi bien en Europe qu'en Asie du Nord-Est.
Le mythe d'une campagne aérienne limitée
Et à quoi parviendraient les USA s'ils se limitaient à un bombardement de la Corée du Nord en utilisant des avions et des missiles de croisière?
La tentative de punir la Corée du Nord par une attaque aérienne ne ferait qu'accroître la paranoïa et la peur nord-coréennes, déjà très grandes, basées sur l'idée selon laquelle les USA tenteraient d'anéantir le pays et d'éliminer le régime de Kim. Cela pourrait également provoquer une riposte nucléaire.
Une campagne aérienne américaine peut-elle se fixer pour seul objectif l'arme de destruction massive de la Corée du Nord, c'est-à-dire ses sites dotés de l'arme nucléaire, les usines de construction de ces armes et des systèmes balistiques?
Cela pourrait fonctionner si les USA savaient exactement où se trouvaient ces armes et s'il était possible de toutes les détruire à la fois. Cependant, il est fort probable qu'en Corée du Nord les armes de destruction massive soient réparties sur un vaste territoire et bien protégées. La plupart de ces armes sont certainement enterrées et protégées contre les bombardements.
Par conséquent, il est peu probable que les frappes aériennes américaines portent leurs fruits en ce sens. Dans le même temps, cela pourrait facilement provoquer les Nord-Coréens à engager des mesures de rétorsion contre les USA en utilisant toutes les capacités nucléaires dont ils disposent.
Un scénario de guerre inspiré d'un film?
Au final, tout le scénario de guerre de Trump contre la Corée du Nord commence à faire penser à une imitation triste et réaliste du film War Games de 1983.
Dans ce film, un superordinateur utilisé pour simuler une guerre nucléaire est sur le point de déclencher une véritable guerre nucléaire avant d'apprendre que dans un tel scénario «le seul moyen de gagner est simplement de ne pas jouer».
Espérons que certains aient vu ce film au sein de l'administration Trump.
Source: sputniknews.com  

mardi 23 janvier 2018

Mardi le 23 Janvier 2018, la Terre tremble, des volcans se réveillent, un tsunami évité de peu!



De nombreux événements préoccupants se déroulent ce mardi aux quatre coins du monde. Un volcan du Japon est entré en éruption, des coulées de lave se répandent sur les flancs du volcan philippin Mayon, un violent tremblement de terre de magnitude de 8,2 a été enregistré au large de l’Alaska. Ses autorités se sont même préparées à un tsunami.
Des volcans en éruption, un grand séisme, une menace de tsunami… Ce mardi, les habitants de nombreux pays se sont retrouvés en grand danger à cause de catastrophes naturelles.

Le volcan japonais Kusatsu-Shirane est entré en éruption ce mardi, en déclenchant une avalanche sur une station de ski qui a fait au moins un mort et 16 blessés.
D'après le ministère japonais de la Défense, la victime est un membre des Forces d'autodéfense qui participaient à un entraînement.
Selon un responsable de l'Agence de météorologie nationale, Makoto Saito, il existe toujours un risque d'avalanches, de projections de cendres et de roches.
Après deux semaines d'activité, le volcan Mayon situé sur l'île de Luçon, aux Philippines, pourrait entrer en éruption dans les prochains jours.
​Les autorités ont pris la décision d'évacuer quelque 40.000 personnes à cause d'un gigantesque nuage de fumée en forme de champignon qui est apparu le 22 janvier.
Un fort séisme de magnitude 8.2 s'est produit ce mardi 23 janvier dans le golfe de l'Alaska, provoquant une montée des eaux sur les côtes, a annoncé l'institut américain de géophysique USGS.
L'épicentre du tremblement de terre a été localisé à 256 km au sud-est de Chiniak, petite ville sur l'île de Kodiak, au sud de la péninsule, et à une profondeur de 10 km à 09h31 GMT, précise l'USGS.
Des alertes au tsunami ont été déclenchées pour l'Alaska ainsi que pour la côte ouest du Canada, puis levées. Le niveau  à ete
Source: Internet

lundi 22 janvier 2018

La NASA victime du shutdown: et si un astéroïde approchait?


Certaines structures publiques américaines ont dû suspendre leurs activités en raison du shutdown. La NASA ne fait pas exception. Tant que durera cette crise budgétaire qui nous préviendra que des astéroïdes approchent dangereusement de notre planète?
Le shutdown, a touché la NASA et ses départements qui scrutent l'espace pour repérer les astéroïdes dans l'environnement de la Terre, indique le portail BuzzFeed.

«Il y aura du personnel disponible si un tel incident [apparition d'astéroïdes, ndlr] a lieu», a déclaré le porte-parole de cette organisation, Bob Jacobs.

Mais tout ne dépend pas que de la NASA.
«Nous serons au travail, mais nous ne savons pas si l'échelle d'urgence auprès du Président aura tous ses échelons», s'interroge Kenneth Chambers, directeur des observatoires de Pan-STARRS à Hawaï.
Le Centre des planètes mineures, qui rassemble les informations collectées dans le monde entier sur les astéroïdes qui approchent de la Terre, n'a pas cessé de fonctionner, a fait savoir son directeur Matthew Holman.
Auparavant, la NASA avait annoncé qu'un astéroïde d'un kilomètre de diamètre potentiellement dangereux passerait devant la Terre.
Le shutdown a été provoqué par l'absence de compromis budgétaire entre les républicains et les démocrates au Sénat américain. Les sénateurs démocrates lient leur vote du projet de budget à la résolution de la question migratoire exacerbée par la décision de Donald Trump d'abroger le programme protégeant les mineurs étrangers entrés clandestinement sur le sol américain.
Source: sputniknews.com  

dimanche 21 janvier 2018

Les Kurdes appellent la Russie à intervenir pour arrêter l’opération turque à Afrine


Le représentant du Kurdistan syrien à Moscou, Rodi Osman, a confié à Sputnik avoir demandé à la Russie d’intervenir pour arrêter l’opération militaire turque contre les Kurdes syriens.

«Les forces aériennes turques ont bombardé Bulbul. L'approbation de cette opération contre Afrine est une grave erreur. La Russie doit intervenir pour arrêter l'opération et annuler le feu vert donné à la Turquie. La Russie ne doit pas être du côté de ce régime. Il est notoire que le régime turc fasciste est un foyer et un complice des terroristes», a dit Rodi Osman à Sputnik.
Il a ajouté que le soutien de l'opération militaire turque et l'occupation d'Afrine par les troupes turques mettaient en péril la vie d'environ un million de personne. Selon lui, une menace de massacre pèse sur la population.
Dimanche Ankara a annoncé que les chars turcs étaient entrés dans la région d'Afrine et avaient apporté une assistance à l'Armée syrienne libre dans l'opération contre les unités kurdes. Selon la même information, les blindés turcs n'ont pas rencontré une résistance sérieuse des Unités de protection du peuple qui reculaient à l'intérieur de la Syrie.
Pour sa part, Rodi Osman contacté par Sputnik a démenti l'entrée de la Turquie dans la province d'Afrine affirmant que les soldats turcs et leurs alliés s'étaient heurtés à une farouche résistance et avaient dû reculer.

Samedi, l'état-major interarmées turc avait annoncé le lancement de l'opération Rameau d'olivier contre les groupes paramilitaires kurdes stationnés dans la zone d'Afrine, dans le nord de la Syrie.

Source: sputniknews.com  

Le danger inattendu des micro-ondes pour l’environnement révélé




Les micro-ondes ont un effet nuisible sur l’environnement car dans l’Union européenne, en une seule année, ils produisent pratiquement autant de dioxyde de carbone que 6,8 millions d’automobiles, affirment des scientifiques de l’Université de Manchester.

Des scientifiques de l'Université de Manchester ont établi que les micro-ondes impactent négativement l'environnement.
D'après le communiqué, publié sur le site de l'Université, dans l'Union européenne, les micro-ondes produisent pratiquement autant de dioxyde de carbone que 6,8 millions d'automobiles, soit 7,7 millions de tonnes. Cette quantité constitue un facteur qui contribue au réchauffement climatique global.
Les scientifiques soulignent que c'est leur faible efficacité énergétique qui nuit le plus à l'environnement. Selon eux, les micro-ondes consomment par an autant d'énergie que trois centrales thermiques.
Source: sputniknews.com  

La Suède va préparer ses habitants à la guerre



La Suède devrait envoyer en mai une brochure préventive provisoirement intitulée "Si la crise ou la guerre survenait" à quelque 4,7 millions de ménages, ont rapporté mercredi CNN et le Financial Times. Une première depuis 1961, qui intervient alors que le débat sécuritaire s'intensifie, sur fond de menace russe ressentie sur la Baltique.

Le livret évoquera entre autres la part active que peuvent prendre les citoyens en temps de guerre, les biens de première nécessité, mais aussi des menaces telles que terrorisme, attaques informatiques et changement climatique.

En 2015, la Suède, qui ne fait pas partie de l'Otan mais souscrit au Partenariat pour la paix, a décidé de consacrer plus de budget à ses dépenses militaires. L'an dernier, le pays a rétabli le service militaire obligatoire.

Source: 7sur7.be

L’armée turque entre en Syrie


MAJ:  Dans le cadre de l’opération «Rameau d’olivier» visant les groupes paramilitaires kurdes, les chars turcs sont entrés dans la ville syrienne d’Afrine pour soutenir les troupes de l'Armée syrienne libre (opposition syrienne), a déclaré dimanche matin la chaîne de télévision NTV en se référant à une source militaire. 
L’armée turque est entrée officiellement en Syrie, le 20 janvier 2018 à 14h TU, dans le cadre de l’opération « Rameau d’Olivier ».
Les combats avaient commencé en réalité laveille, mais uniquement par des tirs d’obus depuis la Turquie contre des forces kurdes sous commandement US. Le ministre turc de la défense, Nurettin Canikli, avait parlé du début de facto de l’opération.
L’opération a été confirmée par le président Erdogan lors d’un discours télévisé. Il a précisé qu’après avoir nettoyé Afrine, l’armée poursuivrait sa mission jusqu’à Manbij.
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a affirmé avoir informé à l’avance par écrit la Syrie, mais celle-ci a démenti avoir reçu cette correspondance.
Le chef des services secrets turcs, Hakan Fidan et le chef d’état-major turc étaient présents le 18 janvier à Moscou.
La Russie a retiré ses troupes, par mesure de protection, devant l’avancée turque.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergeï Lavrov, s’est entretenu au téléphone avec son homologue états-unien, Rex Tillerson.
M. Tillerson avait démenti les propos incorrects d’un haut-fonctionnaire de la Défense selon lequel les Etats-Unis préparaient une force permanente de sécurité à la frontière syro-turque de 30 000 hommes composée pour moitié de Kurdes. Nous avions révélé que la seconde moitié était formée par d’anciens jihadistes de Daesh. La Turquie avait immédiatement menacé d’intervenir contre la constitution d’une force terroriste à sa frontière.
Les milices turkmènes syriennes se sont jointes à l’armée turque.

source: voltairenet.org