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mardi 11 juillet 2017

Encouragé par ses récentes victoires contre Daech, l’Irak conclut un énorme accord militaire avec la Russie



Le gouvernement irakien a signé un énorme accord militaire avec la Russie.
Samedi, le jour où les forces irakiennes ont enfin libéré Mosul, la deuxième plus grande ville d’Irak, des mains de Daech, le ministère irakien de la Défense a fait une annonce officielle disant qu’ils avaient conclu un accord avec la Russie pour la livraison de 73 chars T-90 à l’armée irakienne, après des mois de négociations avec des responsables militaires russes.
Les chars de combat T-90S MBT et T-90SK devraient renforcer considérablement l’arsenal de l’armée irakienne, qui a jusqu’à présent utilisé principalement des véhicules blindés T-72, T-55 et BMP-1, ainsi que des M1A1 Abrams américains, qui ont également été utilisés lors d’une campagne récente contre Daech.
Malgré le fait que l’accord aura évidemment un impact positif sur les relations entre les deux pays, il n’y a pas encore eu d’accord sur l’achat des systèmes de défense aérienne S-300, certaines sources invoquant des problèmes liés au paiement.
Bien que l’Irak ait commencé à utiliser un nombre accru d’armes et d’équipements militaires fabriqués aux États-Unis ces dernières années, il n’a jamais vraiment réussi à se séparer de la production militaire russe.
Il est à noter que les chars de combat T-90 sont capables de dérouter la plupart des missiles guidés, en plus d’être des chars très puissants lorsqu’ils sont utilisés dans les batailles, ce qui sera certainement utile lors du nettoyage des restes des terroristes de Daech à Anbar et Tal Afar.
 Source : http://wwtw.fort-russ.com/2017/07/encouraged-with-its-recent-victories.html
Traduction :  Avic – Réseau International

lundi 10 juillet 2017

En pleine tension avec Pyongyang, les USA comptent tester le THAAD



Sur fond de tensions qui ne cessent de monter sur la péninsule coréenne, Washington est déterminé à tester son dispositif antimissile en Alaska. Un exercice à attendre dans les jours à venir, assure Reuters.
Les États-Unis projettent de tester dans les jours à venir leur dispositif antimissile THAAD, ont déclaré deux sources américaines à Reuters.
Prévus de longue date, ces tests interviendront alors que les tensions entre le Nord et le Sud, soutenu par les États-Unis, se sont ravivées après le tir par Pyongyang d’un missile balistique intercontinental.
Dirigé depuis l’Alaska, ce test simulera pour la première fois une attaque commise avec un missile balistique de portée intermédiaire, a déclaré une source sous le sceau de l’anonymat.
Interrogée par Reuters, l’agence américaine des missiles a confirmé qu’un essai serait mené «début juillet».
Un porte-parole de l’agence a précisé que le dispositif THAAD, implanté à Kodiak, en Alaska, devra «détecter, suivre et intercepter une cible».
Le THAAD est un système antimissile au sol chargé d’intercepter les missiles balistiques à portées courtes, moyennes et intermédiaires.
Selon le Pentagone, le dispositif a déjà été testé à 13 reprises avec un résultat concluant dans 100% des cas.
Source: almanar.com.lb

L’«astéroïde de la mort» devrait passer à côté de la Terre le 11 Juillet


Des scientifiques russes mettent en garde contre un astéroïde géant, déjà baptisé «astéroïde de la mort», qui devrait s’approcher de notre planète le 11 juillet.

L'astéroïde MC4, affublé du nom d'«astéroïde de la mort» et dont le diamètre fait environ 250 mètres, devrait passer le 11 juillet à une distance de 2,92 millions de kilomètres de la Terre. Du moins, c'est ce qu'estime l'astrophysicien de l'Université fédérale de l'Oural (Russie) Vladilène Sanakoev.
«L'astéroïde est assez grand et potentiellement dangereux. En cas de collision avec la Terre, il serait capable d'anéantir la vie sur toute sa surface. Il a été découvert tout récemment», a-t-il indiqué au journal Rossiyskaya Gazeta.
À l'en croire, l'astéroïde, invisible à l'œil nu, ne présenterait pour l'instant aucun danger pour la Terre.
À ce jour, plus de 1.700 astéroïdes sont considérés comme potentiellement dangereux car leur trajectoire coupe celle de la Terre à une distance inférieure à 10 millions de kilomètres.
«Si un astéroïde de 150 mètres tombait sur la Terre, cela représenterait l'équivalent de 10.000 bombes d'Hiroshima en termes d'énergie libérée», selon Patrick Michel, astrophysicien à l'Observatoire de la Côte d'Azur.
Source: sputniknews.com

dimanche 9 juillet 2017

Israël se désespère de Moscou et de Washington


Maariv évoque, dans un récent article, les modalités par lesquelles Israël compte entraver la jonction des forces de la Résistance en Syrie et en Irak. « Le pont terrestre qui relie le nord de l’Irak à la Syrie, puis au Liban et enfin à la Méditerranée menace les intérêts d’Israël et c’est sur l’Arabie saoudite qu’il faut compter pour contrer l’Iran, affirme le journal.
L’article prétend que ce pont terrestre élargit l’influence iranienne en Syrie et au Liban et fournit à l’Iran l’accès à la Méditerranée via le port de Lattaquié. L’article revient ensuite sur les raisons qui motiveraient les inquiétudes israéliennes à ce sujet : « en effet, qu’un pont soit établi entre le nord irakien et la Méditerranée avec en toile de fond l’élargissement de l’influence iranienne, empêcherait Israël de s’informer “dûment” des convois de transport d’armes et de munitions à destination du Hezbollah. Cette voie ôterait aussi à Israël la possibilité de perturber le transit d’armes pour le Hezbollah »
Par la suite, le journal va plus loin dans ses spéculations et se fonde sur de simples hypothèses pour justifier une éventuelle action militaire contre le Hezbollah : « Israël s’inquiète en effet des possibilités que ce pont terrestre irait offrir au Hezbollah en termes de fabrication d’armes et de missiles. Le Hezbollah pourrait même se doter d’une usine de fabrication de missiles à la faveur de ce pont terrestre ».
Mais que compte faire Israël ?
« Israël croit que seuls les États-Unis sont capables d’empêcher l’Iran de concrétiser ce pont, mais il ignore si les Américains en ont réellement la volonté de le faire.
Comme cité précédemment, Tel-Aviv ne veut pas d’une présence militaire russe dans le sud de la Syrie et près de ses frontières au Golan et préfère donc mettre la mission sur le dos des américains, car les relations de Moscou avec Téhéran et le Hezbollah sont très proches et menacent les intérêts israéliens ». Après avoir évoqué à demi-mot « la méfiance israélienne » à l’égard des Américains et des Russes, le journal suggère qu’Israël devrait pousser l’Arabie saoudite à mettre en échec les projets iraniens : 
« Le ministre des Affaires militaires, Liberman croit qu’outre Israël, les pays arabes de la région honnissent l’Iran et que cette hostilité pourrait servir les intérêts d’Israël suivant le principe : “l’ennemi de mon ennemi est mon ami”. Ce qui explique d’ailleurs le renforcement des liens entre Tel-Aviv et Riyad. De multiples rencontres ont eu lieu ces dernières années entre les autorités saoudiennes et israéliennes surtout entre les responsables du Mossad et du Renseignement saoudien ».
Le journal évoque la rencontre en 2007 de l’ancien Premier-ministre israélien Ehud Olmert et l’ex chef du Renseignement saoudien, Bandar Sultan . Rencontre au cours de laquelle « l’idée des frappes aériennes israéliennes via le ciel saoudien contre les sites nucléaires iraniens » avaient été abordée. Maariv se félicite aussi d’un autre « projet phare qui fait son cours » et qui prévoit « la liaison ferroviaire entre Israël et la Jordanie » auquel pourrait participer l’Arabie saoudite.
Source: parstoday.com

Pyongyang aux USA: «Il ne faut pas jouer avec le feu assis sur un baril de poudre»


Le journal nord-coréen Rodong Sinmun a publié un article selon lequel les provocations militaires des États-Unis ont conduit la situation dans la péninsule coréenne jusqu’à un point critique.

Le quotidien Rodong Sinmun, organe officiel du Parti du travail de Corée du Nord, a rendu public un article intitulé «Il ne faut pas jouer avec le feu assis sur un baril de poudre» consacré à la place qu'occupe Washington sur l'échiquier de la menace nucléaire.
«Les provocations militaires des États-Unis ont élevé le risque de guerre nucléaire dans la péninsule coréenne jusqu'à un niveau critique», évoque l'auteur de l'article.
Toujours selon la même source, les manœuvres conjointes des États-Unis et de la Corée du Sud est un «gambit de fauteurs de guerre». Qui plus est, la moindre erreur pourrait entraîner le déclenchement d'une guerre nucléaire dans la région, qui provoquerait par la suite une nouvelle guerre mondiale.
Les tensions entre Pyongyang et les Occidentaux se sont accrues ces derniers jours après le lancement d'un missile intercontinental par la Corée du Nord le 4 juillet.
Deux bombardiers supersoniques américains ont mené samedi des entraînements à munitions réelles en Corée du Sud en vue d'effectuer une démonstration de force exemplaire suite au lancement d'essai d'un missile balistique intercontinental (ICBM) par la Corée du Nord.
Source: sputniknews.com