Translate

vendredi 13 janvier 2017

Explosions à l’aéroport militaire de Damas : la Syrie accuse Israël et menace de riposter


Plusieurs fortes explosions ont touché l'aéroport militaire de Mazzeh, aux abords de Damas. L'armée syrienne a accusé Israël et averti Tel-Aviv que cette agression «flagrante» serait suivie de représailles.

Dans la nuit du 12 au 13 janvier, de fortes explosions ont secoué la base aérienne militaire de Mazzeh, à l'ouest de la capitale syrienne. Selon la télévision gouvernementale Sama TV, Israël serait derrière cette attaque.

 
 
Le porte-parole de l’armée a prévenu que cette agression «flagrante» aurait des conséquences et qu'elle démontrait qu’Israël cherchait à «soutenir des groupes terroristes sur le territoire syrien».
Selon le gouvernement syrien, des roquettes ont été tirés depuis un secteur situé près du lac de Tibériade, dans le nord d'Israël, juste après minuit.

L'aéroport de Mazzeh est une base aérienne stratégique majeure, utilisée principalement par la garde républicaine syrienne, corps d'élite chargé de protéger la capitale. Il ne se trouve qu’à cinq kilomètres de la résidence officielle de Bachar el-Assad.
Aucune victime ne serait à déplorer alors que, d’après les témoignages cités par la télévisions syriennes, des forces spéciales syriennes s’y trouvaient au moment même des explosions.
Le gouvernement israélien n'a quant à lui pas encore réagi.
La zone de Mazzeh avait déjà été pris pour cible en novembre 2016. L'armée syrienne avait en effet déclaré que, le 30 novembre 2016, des avions de combat israéliens avaient bombardé des postes militaires à l'ouest de Damas.
Israël avait justifié ces frappes en invoquant des représailles pour des bombardements de zones sous son contrôle dans les hauteurs du Golan, ou en arguant que ces frappes visaient le Hezbollah en Syrie.


Source: rt
 

Dernière semaine de " paix " aux USA


Il ne reste qu' une semaine de " paix " aux USA, vendredi prochain sera le grand jour pour Trump. 

Cette journée s' annonce déjà tumultueuse, de nombreux groupes des perdants anti-Trump  désirant occasionner du désordre total à travers le pays et plus. De plus en plus, ils sont nombreux sur le Net, cela n' augure pas bien et on avise la population à demeurer chez eux le 20 Janvier, journée de l' investiture.

" Nous ne sommes pas en faveur d'une Transition du Pouvoir Pacifique " ont déclaré un groupe de protestataires.

On parle de démocratie et pourtant, nous assisterons possiblement à des actes très barbares. Les USA  risquent de s' s'enflammer. Pourquoi les perdants doivent-ils toujours perturber et tout casser sur le chemin? Où est passé le Savoir-Vivre?

Faites vos choix, nous assisterons peut-être au début d' une guerre civile! 

À venir...

Benoît Godin

Moscou déploie ses S-400 autour de la ville


L' armée russe a déployé ces derniers jours plusieurs unités de systèmes anti-aériens S-400 en défense de Moscou. Le S-400 est considéré comme le meilleur système de protection au monde contre les attaques aériennes et peut opérer à une distance maximale de 400 km.
Ce déploiement intervient alors que les Etats-Unis et l’OTAN massent des troupes aux frontières Ouest de la Russie et que les Etats-Unis adoptent une rhétorique de plus en plus agressive envers la Russie.

Source: parstoday.com

jeudi 12 janvier 2017

L’Iran et la Corée du Nord représentent une menace sérieuse pour le monde



Choisi par Donald Trump pour occuper le poste de secrétaire d’État, Tillerson considère l’Iran et la Corée du Nord comme des menaces majeures pour le monde.
Auditionné mercredi 11 janvier par la commission des Affaires étrangères du Sénat, Rex Tillerson a présenté l’Iran et la Corée du Nord ayant prétendument refusé de suivre les normes internationales, comme étant de réelles menaces pour le monde. 
En ce qui concerne l’Iran Tillerson a déclaré que les États-Unis ne pouvaient pas ignorer les « cas de violation par l’Iran des accords internationaux ».
Cette déclaration intervient alors que l’année dernière il s’était montré intéressé par les échanges économiques avec l’Iran.
D’après les experts cela pourrait avoir des effets positifs sur l’obtention du vote de confiance du Sénat.
Au début de cette audition, Tillerson a tenu un discours et livré ses points de vue sur les questions internationales.
Il a assuré que certains actes des États-Unis étaient à l’origine de l’instabilité et qu’il fallait empêcher la survenance des guerres dans le monde.
Tillerson a considéré l’échec de Daech, la plus grande menace pour le monde, comme l’une des missions importantes des États-Unis.
Il a jouté que la Russie avait ignoré dans ces récentes actions les intérêts des États-Unis.
« Moscou et Washington pourraient être l’un ennemi de l’autre ou bien des partenaires, mais ils ne pourront jamais être de bons amis », a-t-il conclu.
Le sénateur républicain, Marc Rubio, a interrogé Tillerson sur ses opinions sur la Russie et sur le président de ce pays, Vladimir Poutine. « Est-ce que vous considérez Poutine comme un criminel de guerre pour les opérations qu’il a menées à Alep », a-t-il interrogé et Tillerson a répondu : « je n’utilise pas ce terme (pour qualifier) Poutine ».
Le sénateur républicain Bob Menendez a de son côté accusé Tillerson d’avoir tenté de réduire certaines sanctions américaines contre l’Iran. Tillerson a rejeté toutes ces accusations. 
Les questions posées par les sénateurs portaient essentiellement sur les relations entre la Russie et les États-Unis et les politiques futures de l’administration de Trump envers Moscou.

Source: parstoday.com

La prophétie du Nostradamus italien est en marche: la fin du monde approche


La fin du monde est proche. Enfin, si l'on en croit une vieille prophétie du Nostradamus italien. Tout ça parce qu'il a neigé pendant deux jours dans la ville de Salento.
Philosophe, astrologue et physicien, Matteo Tafuri (1492-1582) était l'une des personnes les plus influentes de la région des Pouilles en Italie au seizième siècle. Surnommé le "Nostradamus italien", il était considéré comme un magicien, puisqu'il arrivait à maîtriser la chimie et la médecine.

Un jour, il a fait une prophétie particulièrement étonnante au sujet de la ville de Salento. "Deux jours de neige, deux éclairs dans le ciel et je sais que la fin du monde approchera, même si je ne le désire pas."

Il s'avère que cela fait désormais... deux jours qu'il neige à Salento. Les températures ont chuté en-dessous de zéro et le sol est recouvert d'un tapis blanc. Un signe?


Source: 7sur7.be

Moscou et Ankara veulent "coordonner" leurs frappes en Syrie


La Russie et la Turquie ont signé un accord spécifiant les mécanismes pour "coordonner" leurs frappes aériennes en Syrie lorsque les deux pays visent des "cibles terroristes", a annoncé jeudi le ministère russe de la Défense.
Des délégations des deux pays, qui ont négocié le mois dernier un cessez-le-feu en Syrie, se sont rencontrées à Moscou jeudi pour des consultations sur la coopération dans la lutte contre le groupe État islamique (EI), a déclaré le ministère.

"Le document définit les mécanismes de coordination et de coopération entre les aviations russe et turque lors des frappes contre des cibles terroristes de même que les actions entreprises par les parties pour empêcher des incidents lorsque des avions et des drones se trouvent dans l'espace aérien syrien", a-t-il indiqué.

Moscou et Ankara ont soutenu ensemble le mois dernier un cessez-le-feu entre le gouvernement syrien et les groupes rebelles, qui est entré en vigueur le 30 décembre et a été observé dans de grandes zones du pays, bien que des incidents aient continué à toucher des zones près de Damas.



Source: 7sur7.be

Pression de l’Otan sur les frontières russes, un danger selon Moscou


«On le considère comme un danger»: voici comment le Kremlin a réagau déploiement d’un millier de soldats américains en Pologne, tout près des frontières russes.

Ankara à Washington: «Incirlik n'est pas une base de l'Otan» Le renforcement de la présence militaire de l'Alliance atlantique en Europe est un signal négatif pour Moscou, a annoncé ce jeudi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, qui a dénoncé le danger de ces manœuvres. « Tout pays percevra négativement l'augmentation de la présence militaire étrangère près de ses frontières. C'est ainsi que nous traitons cela », a expliqué M. Peskov aux journalistes désireux de connaître l'attitude de Moscou face au déploiement de chars et de véhicules blindés américains en Pologne. Il s'agit notamment d'un millier de militaires et de nombreuses unités d'armement qui ont été envoyés dans ce pays frontalier de la Russie dans le cadre de la manœuvre de l'Otan et de ses alliés baptisée Atlantic Resolve. Les soldats resteront dans le pays pendant 9 mois avant qu'une autre brigade ne prenne le relais. « Ce sont des manœuvres qui mettent en péril nos intérêts, notre sécurité, d'autant plus qu'il s'agit d'un pays tiers qui augmente sa présence militaire près de nos frontières en Europe. Et ce n'est même pas un pays européen », a ajouté le porte-parole. Ce déploiement s'inscrit dans le cadre du plus grand renforcement de l'Alliance sur flanc oriental européen depuis la fin de la guerre froide. Au total, la manœuvre mobilisera près de 3 500 militaires, 87 chars, 18 chars obusiers Paladin, plus de 400 véhicules Humwee ainsi que 144 blindés Bradley. 


Bremerhaven, une ville où les Allemands se soulèvent contre l’Otan Moscou ne cesse de son côté de répéter qu'il s'agit d'une provocation et qu'il est dangereux de déstabiliser l'équilibre des forces sur le continent. En outre, l'Otan semble avoir oublié de demander les Européens s'ils veulent qu'on les protège de la sorte. Et ceux-ci voient la perspective d'un œil plutôt sceptique: « Tout cela ne fait qu'aggraver la situation. Il faut résoudre les problèmes de manière pacifique et non pas à l'aide des armes. Il est nécessaire de montrer que nous ne voulons pas que le matériel militaire roule sur notre ville! », s'indignent des Allemands cités par la radio fédérale Radio Bremen TV.

Source: sputniknews.com

mercredi 11 janvier 2017

Les combats contre al-Nosra et Daech prennent de l'ampleur


Les chasseurs-bombardiers syriens ont violemment bombardé, mercredi 11 janvier, les positions des terroristes takfiristes dans l’ouest de la province d’Alep.
Selon Al Mayadeen, les opérations armées contre les terroristes se poursuivent avec acuité sur l’axe occidental de la province, violemment pris pour cible des unités d’artillerie et de l’aviation syriennes. 
Les terroristes du groupe Noureddin al-Zenki, tout comme leurs complices d’al-Nosra sont constamment bombardés par les avions syriens qui bénéficient aussi de l’appui de l’aviation russe. 
Toujours selon cette information, quatre Soukhoï Su-25 et quatre IL-78 ainsi que des camions-citernes, sont arrivés à l’aéroport militaire de Hmaymim, situé dans le sud de Lattaquié. Le Soukhoï Su-25 est un avion d’attaque au sol, de soutien aérien rapproché et d’attaque antichar. Il est efficace même en cas de neige, ce qui est le cas actuellement en Syrie.
Les 4 avions de combat, des Su-25, appartenant à la Russie seront déployés sur le front d’Alep, où l’Armée arabe syrienne se prépare à lancer une offensive de grande envergure contre Daech. 
Mardi, les combats se sont poursuivis à Palmyre dans la banlieue de Homs. L’Armée syrienne a annoncé avoir bombardé Daech, en visant ses positions situées à l’est de l’aéroport stratégique T-4, au lieu-dit Station de pompage T-4, et dans la zone d’Al-Fawa’ra.
L’offensive a été dirigée par le 800e régiment de la Garde républicaine, l’Armée arabe syrienne ayant attaqué avec plusieurs missiles et obus d’artillerie un rassemblement des terroristes au périmètre oriental de la Station de pompage T-4. Le bilan des pertes est lourd dans les rangs des terroristes.
Ce puissant assaut de mardi 10 janvier était une réponse à l’assaut lancé par Daech contre une usine de la compagnie de gaz de Hayyan. Cette usine a fourni des millions de Syriens en gaz de chauffage, pour faire face à l’hiver syrien glacial.

Source: parstoday.com

Les Etats-Unis ont largué l’équivalent de trois bombes par heure dans le monde en 2016

.

Un rapport du Council on Foreign Relations (CFR) montre que Washington a bombardé la Syrie, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen ainsi que la Somalie en 2016. Pas moins de 26 171 bombes ont été larguées. 72 par jour. Trois par heure.

Les frappes militaires américaines ont été nombreuses en 2016. Très nombreuses. Alors que Barack Obama s’apprête à laisser sa place à Donald Trump dans le fauteuil du Bureau Ovale, le Council on Foreign Relations (CFR) a publié une étude sur les bombardements des forces étasuniennes l’année dernière.

Le toujours président des Etats-Unis avait fait du désengagement militaire de son pays une promesse de campagne, pourtant, le think-tank basé à New-York nous apprend que Washington a bombardé au moins six nations en 2016 : la Syrie, le Pakistan, l’Afghanistan, la Libye, le Yémen et la Somalie.

La Syrie et l’Irak particulièrement ciblés


Les chiffres publiés par le CFR sont impressionnants : 26 171 bombes larguées. Cela représente 72 bombes par jour et trois… toutes les heures. Pourtant, l’organisme de la Grande Pomme assure que ces estimations sont «indiscutablement sous-estimées, considérant que les données fiables pour les frappes aériennes ne sont disponibles que pour le Pakistan, le Yémen, la Somalie et la Libye». De plus, selon le CFR, «une seule "frappe" peut en réalité faire référence à plusieurs bombes et munitions d'après la définition du Pentagone».


Sans surprise la très grande majorité des bombardements américains ont concerné la Syrie et l’Irak. 24 287 bombes y ont été larguées selon les comptes du CFR. Les chiffres du think-tank précisent aussi qu'en 2015, les Etats-Unis ont largué 22 110 bombes sur ces deux nations arabes.

En juillet 2016, Barack Obama enterrait sa promesse de désengager ses troupes d’Afghanistan en annonçant que 8 400 soldats resteraient déployés dans le pays jusqu’au début 2017. De son côté, l’aviation américaine a augmenté la cadence. D’après le CFR, 1 337 bombes ont frappé l’Afghanistan en 2016 contre 947 en 2015.

Quand Barack Obama a échoué


Pour le reste du «palmarès», l’étude, alimentée par de multiples sources militaires et journalistiques, informe qu’en 2016, trois bombes ont été larguées au Pakistan, 14 en Somalie et 34 au Yémen où une coalition menée par l’Arabie saoudite bombarde le pays depuis mars 2015 afin d’écraser la rébellion des houthis.


Une étude similaire réalisée pour l’année 2015 donnait 11 bombes larguées au Pakistan, 58 au Yémen et 18 en Somalie.

Les résultats de l’enquête du CFR contrastent sérieusement avec les promesses faites par Barack Obama qui fait, ce 10 janvier, ses adieux à la vie politique à Chicago, sa ville de cœur.

En 2008, alors qu’il menait campagne pour la présidence, il avait assuré que lorsqu’il deviendrait commandant en chef des forces armées, il «fixerait un nouvel objectif dès le premier jour» : la fin de la guerre en Irak.


«Je mettrai un terme à cette guerre en Irak de manière responsable et terminerai la lutte contre al-Qaïda et les Talibans en Afghanistan», avait affirmé le futur président une fois l'investiture démocrate en poche.

Plus de huit ans plus tard, Daesh contrôle de larges territoires en Irak et en Syrie. En Afghanistan, les Talibans reviennent en force et reprennent du terrain.

Source: russiatoday

Découvert le 7 Janvier, un astéroïde équivalent à 30 bombes nucléaires a "frôlé" la Terre le 9 Janvier


Selon Maxi Sciences, les scientifiques ont annoncé qu'un astéroïde découvert le 7 janvier dernier venait de passer en toute sécurité à proximité de notre planète: 2017 AG13. Il mesurerait entre 11 et 34 mètres de diamètre. Il aurait pu provoquer une explosion quasi similaire à 440 kilotonnes de TNT, soit 30 fois l'énergie de la bombe lâchée sur Hiroshima.

Le 7 janvier dernier, les astronomes du Minor Planet Center de Cambridge ont découvert un nouvel astéroïde. Son nom: 2017 AG13. 48 heures seulement après sa découverte, il "frôlait" déjà la Terre.

"Il se déplace très près de nous"
D'après les calculs, 2017 AG13 s'est approché à quelque 208.000 kilomètres de la Terre à une vitesse vertigineuse de 16 kilomètres par seconde. À titre de comparaison, la distance qui sépare notre planète de la Lune s'élève à 385.000 kilomètres.

"Il se déplace très vite et très près de nous", a commenté durant un direct sur internet, Eric Feldman astronome de Slooh.

440 tonnes de TNT
Si le passage de cet astéroïde n'a présenté aucun risque pour notre planète, il leur a en revanche permis de récolter de nouvelles données sur l'objet. 2017 AG13 aurait pu provoquer une explosion quasi similaire à 440 kilotonnes de TNT, soit 30 fois l'énergie de la bombe lâchée sur Hiroshima.

2017 AG13 affiche une orbite très elliptique qui croise celle de deux planètes, Vénus et la Terre. 2017 AG13 met environ 347 jours terrestres à faire le tour du Soleil. Selon les premières estimations, son diamètre se trouve entre 11 et 34 mètres, ce qui est relativement petit pour un astéroïde.

Source: 7sur7.be

lundi 9 janvier 2017

Sondage: Les Américains craignent une nouvelle guerre mondiale


Un sondage réalisé par YouGov révèle les grandes craintes des populations européenne et américaine. Près de 64% des Américains estiment que le monde est proche d’une grande guerre.

Le journal The Independent commente un sondage réalisé par YouGov qui présente une image frappante des grandes craintes des Européens et Américains. Ces derniers sont préoccupés par une possible grande guerre mondiale et les attaques terroristes. 

Américains: les erreurs d’Obama, c’est à Trump de les corriger! Les Américains sont les plus inquiets d'une grande guerre mondiale : près de 64 % des personnes interrogées estiment que le monde est proche d'une grande guerre, alors que seuls 15 % considèrent la paix comme un scénario plus probable. Les Britanniques, les Français et les Allemands se montrent également pessimistes à ce sujet. Les Britanniques sont un peu plus optimistes que les autres : 19 % des sondés croient que la paix est possible. Dans le même temps, 61 % des Britanniques estiment qu'une guerre peut éclater. 


Après l’investiture, Trump pourra envoyer aux Américains des alertes SMS. Au contraire, les pays d'Europe du Nord, en particulier, la Finlande, la Norvège et la Suède, sont parmi ceux qui considèrent la menace d'une guerre comme peu probable. Les Danois se montrent les plus optimistes de tous : 39 % des sondés dans ce pays parlent de paix et 45 % craignent une guerre. Quant à la peur des attaques terroristes, tous les sondés, excepté les Finlandais, estiment qu'une attaque terroriste est probable dans leur pays pendant l'année. Les Français sont les plus préoccupés par la menace terroriste : 81 % des sondés considèrent une attaque terroriste comme possible, alors que seuls 11 % pensent le contraire. Le sondage a été réalisé par YouGov. 9 000 personnes y ont pris part.


Source: sputniknews.com

Rapport sur les astéroïdes: Ce qui se passerait si un astéroïde menaçait la Terre


Bizarre que la Maison Blanche commande un rapport sur les astéroïdes après que la NASA ait découvert 2016 WF9. En plus, l'annonce officielle est sortie le 2 Janvier dernier par la NASA. Attendaient-ils ce rapport? Et depuis, des corrections ont été apporté sur l'arrivée et la grosseur de l' astéroïde. Bref voici un résumé.- ndlr

Un rapport sur les astéroïdes, commandé par la Maison Blanche et dévoilé en décembre, indique la marche à suivre en cas de menace d'astéroïde. Elle a défini plusieurs "objectifs stratégiques", prenant même en compte le pire des scénarios.

On estime à 0,01% de chances de voir un astéroïde frapper la Terre au cours des 100 prochaines années. Néanmoins, tous les objets qui passent près de notre planète ne sont pas repérés. A titre d'exemple, les objets de moins de 30 mètres de long ne sont repérés que dans 1% des cas. Pourtant, leur taille est suffisante pour causer de gros dégâts en cas de collision avec la Terre.

Tel le film Armageddon avec Bruce Willis, l'une des idées avancées est de détourner l'astéroïde de sa trajectoire. Pour cela, la Nasa envisage l'envoi d'une sonde qui pourrait étudier l'astéroïde en détails et adapter la riposte en fonction de sa composition, sa taille, sa densité, ...

L'étude envisage également le pire. Comme un impact inévitable avec un objet d'un kilomètre de long. A titre d'exemple, s'ils mesurent plus de 140 mètres, les astéroïdes auraient une force équivalente à 60 millions de tonnes de TNT, soit plus que n'importe quelle bombe atomique.

Communication essentielle
En cas de collision, il sera essentiel de bien communiquer, indique le rapport. Non seulement entre les agences américaines mais aussi avec les autres pays et le public. Il faudra absolument communiquer des "informations vérifiées et validées par les données".

L'un des autres point à prendre en compte, c'est aussi les conséquences qu'aura cette collision. Il est évident que le plan sera différent si l'astéroïde termine sa course dans l'océan ou dans une ville surpeuplée. "Des tremblements de terre et des tsunamis sont une des conséquences possibles d'un impact important", affirme le rapport.

Ce qui est certain, c'est que le jour où un astéroïde frappera la Terre, cela risque de grandement bouleverser notre existence.

Source: 7sur7.be

Détruit d' Ormuz: un destroyer us tire des coups de semonce contre des vedettes iraniennes



Illustration ©Aaron Chase/marine US /Reuters

Le navire de guerre USS Mahan a tiré trois coups de semonce contre des embarcations des gardiens de la révolution iraniens dans la zone sensible du détroit d'Ormuz. Ces derniers n'auraient pas répondu aux demandes répétées des marins américains.

C'est un nouvel incident dans le détroit d'Ormuz, zone de tensions entre l'Iran, l'Arabie saoudite et les Etats-Unis. Ce 8 janvier 2016, le destroyer USS Mahan a tiré trois coups de semonce en direction de vedettes rapides des Gardiens de la révolution, unité d'élite de l'armée iranienne. Selon l'agence Reuters, les vedettes iraniennes se seraient approchées à moins de 800 mètres du bâtiment de guerre américain.


Et leurs équipages n'auraient pas répondu aux tentatives répétées des militaires américains d'établir une communication. Les Iraniens n'auraient pas répondu à une injonction de la part du USS Mahan de réduire leur vitesse et de rester à distance.
Les incidents sont fréquents dans la zone du détroit d'Ormuz, passage stratégique et route des exportations d'hydrocarbures de la région. En octobre 2016, l'Iran avait mis en garde l'Arabie saoudite, alliée des Etats-Unis, contre un exercice militaire d'envergure dans le détroit large de seulement 40 kilomètres.

Source: russia today

dimanche 8 janvier 2017

Une unité spéciale mise sur pied par la Corée du Sud et les Etats-Unis pour tuer Kim Jong-un ?


Si Séoul lance une opération visant à tuer le chef de la Corée du Nord en cas de guerre, les forces spéciales américaines comptent aussi y participer, selon l’agence de presse Yonhap citant une source dans l’armée sud-coréenne.

L’unité spéciale sud-coréenne ayant pour but d’éliminer le chef de la Corée du Nord en cas de guerre compterait entre 1 000 et 2 000 militaires.

«Les militaires de Corée du Sud formeront une brigade spéciale sur le modèle de celle des Etats-Unis plus tard au cours de cette année», a confié un responsable militaire sud-coréen à l’agence de presse Yonhap sous couvert d’anonymat, en ajoutant que les agents spéciaux américains qui y participeraient devaient être sous commandement coréen lors de cette opération.

«Bien que la brigade ait pris pour exemple la brigade américaine, elle sera adaptée aux conditions spéciales de la péninsule», poursuit la source anonyme.
Séoul avait annoncé vouloir créer une unité dédiée à en finir avec Kim Jong-un plus tôt dans la semaine en se référant à la menace croissante de Pyongyang. L’idée circule parmi des responsables de la Corée du Sud depuis un certain temps, certains d’entre eux suggèrent même de ne pas attendre à ce qu'une guerre ouverte n'éclate pour mener à bien le dessein de cette unité spéciale.
Un complot imaginaire de la CIA visant à tuer le chef de la Corée du Nord a été tourné en 2014 dans la comédie The Interview. Le film s’est trouvé au centre d'un scandale entre Washington et Pyongyang après que les Etats-Unis ont accusé la Corée du Nord d’une cyber-attaque contre Sony Pictures comme mesure de représailles pour la diffusion du film The Interview. Après cet incident, Washington a imposé de nouvelles sanctions économiques contre la Corée du Nord.

Source: rt