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samedi 25 juin 2016

L' OTAN sera plus antirusse dans l' après Brexit

Selon un expert militaire russe, le choix des Britanniques qui ont voté pour la sortie de l'UE n'influencera pas la coopération entre l'Europe et le Royaume-Uni mais créera un nouveau vecteur anglo-saxon. La sortie du Royaume-Unis de l'Union Européenne conduira à un renforcement de l'alliance des Etats-Unis et du Royaume-Uni et entraînera la création d'un nouveau vecteur anglo-saxon de la politique de l'Otan contre la Russie, estime l'ex-chef du Département de coopération militaire internationale au sein du ministère russe de la Défense Léonid Ivachov. Au cours du référendum de jeudi, les Britanniques ont choisi de quitter l'Union européenne, avec 51,9% des voix selon les projections, un saut dans l'inconnu qui porte un coup terrible au projet européen et à leur premier ministre David Cameron. Selon l'expert russe, suite au Brexit, l'Europe s'affaiblira sur le plan politique et économique, ce qui fera que la pression militaire du Royaume et des Etats-Unis au sein de l'Otan augmentera. Cette pression aura un caractère antirusse tant que telle sera la politique des Etats-Unis, a-t-il souligné. D'après lui, le Brexit ne baissera pas les volumes de la coopération entre l'Europe et le Royaume-Uni, mais renforcera son caractère antirusse. Source: Sputnik

vendredi 24 juin 2016

Le volcan islandais Hekla prêt à entrer en éruption ; dangereux on non-dangereux?

Pall Einarsson, géophysicien islandais, met en garde concernant le volcan Hekla. Il serait en éruption imminente... 6 ans après l'irruption du volcan Eyjafjöll, c'est au tour du volcan Hekla de faire parler de lui. Pall Einarsson décrit le volcan comme étant dangereux: "Nous pourrions envisager une catastrophe majeure lors de la prochaine éruption si nous ne faisons pas attention" explique le géophysicien dans le Daily Mail. François-Dominique de Larouzière, directeur scientifique de Vulcania, expliquait les risques qu'encourent l'Islande si le volcan entre réellement en éruption dans le 5 à 7. Selon lui, le géophysicien exagère, le volcan Hekla n'est pas dangereux! ... Bon un volcan non dangereux en éruption n'est pas un endroit à s'y trouver.Une interdiction de voyager dans le sud de l' Islande est en vigueur présentement.... par précaution. Sources: rtbf.be /// theextinctionprotocol.com

Le Brexit l' emporte et les marchés boursiers s' effondrent

Les Britanniques ont décidé de quitter l'Union européenne, un désaveu pour leur Premier ministre David Cameron et la construction européenne qui a assommé les marchés mondiaux en ouvrant une ère d'incertitude sans précédent depuis des décennies. Selon les résultats définitifs publiés vendredi matin, 51,9% des électeurs ont voté pour le Brexit lors du référendum organisé jeudi qui a été marqué par une participation importante (72,2%). Les résultats montrent un pays divisé, avec Londres, l'Ecosse et l'Irlande du Nord qui voulaient rester, tandis que le nord de l'Angleterre ou le Pays de Galles ont largement voté contre. Entré dans le bloc européen en 1973, le Royaume-Uni est le premier pays à le quitter le bloc après 60 ans de construction européenne. Le départ de la cinquième puissance économique mondiale a fait plonger la livre britannique, tombée à un plus bas depuis 1985, mais aussi l'ensemble des Bourses européennes qui se sont effondrées de près de 10%. "C'est l'un des plus gros chocs sur les marchés de tous les temps", a estimé Joe Rundle, analyste chez ETX Capital. Ignorant les menaces de désastre économique en cas de sortie agitées par le camp du maintien et les institutions internationales, les Britanniques ont préféré croire aux promesses de reconquête de leur indépendance vis-à-vis de Bruxelles du camp du "out", mais aussi à celle d'arrêter l'immigration en provenance de l'UE. Ils ont ainsi rompu avec un projet dans lequel ils étaient entrés en 1973, à reculons déjà, voyant dans l'UE avant tout un grand marché unique, sans s'engager dans le projet politique. Appel à la formation d'un gouvernement Brexit "C'est le côté émotionnel qui l'a emporté" sur le pragmatisme économique, a constaté pour l'AFP Iain Begg, professeur à la London School of Economics (LSE). La première victime de ce choix devrait être David Cameron, qui est à l'origine du référendum. En l'organisant, il espérait mettre fin aux disputes sur l'UE qui empoisonnent le Parti conservateur depuis les années 1980 et stopper l'ascension du parti europhobe UKip, vainqueur des élections européennes en 2014. Le leader de l'Ukip, Nigel Farage, a immédiatement appelé à la formation d'un gouvernement qui reflète le camp du Brexit. Cameron annonce son intention de démissionner David Cameron a annoncé vendredi son intention de dé David Cameron a annoncé vendredi son intention de démissionner de ses fonctions de Premier ministre pour laisser à un autre le soin d'engager les négociations de sortie de l'Union européenne, après le vote des Britanniques pour un Brexit. "Les Britanniques ont pris une décision claire (...) et je pense que le pays a besoin d'un nouveau leader pour prendre cette direction", a déclaré M. Cameron, qui avait milité pour le maintien dans l'UE. Il a précisé qu'il resterait en place jusqu'à l'automne et la désignation d'un nouveau leader par son Parti conservateur lors de son congrès en octobre. L’intégrité du Royaume-Uni en question Le Brexit risque en outre de mettre en péril l'intégrité du Royaume-Uni. La Première ministre écossaise Nicola Sturgeon a déclaré vendredi que sa région "voit son avenir au sein de l'UE", entrouvrant ainsi la porte à un nouveau référendum sur l'indépendance. En Irlande du Nord, le Sinn Fein, favorable au maintien dans l'UE, a lui appelé à un référendum sur une Irlande unifiée. Crainte d’une réaction en chaîne La décision constitue aussi un terrible désaveu d'une Union déjà affaiblie par la crise des réfugiés et la persistance de la crise économique. Alors que les mouvements populistes prospèrent à travers l'Europe, avec comme dénominateur commun la critique de Bruxelles, elle pourrait entraîner une réaction en chaîne. Au vu des résultats britanniques, la chef de l'extrême droite française Marine Le Pen a immédiatement appelé à un référendum en France. Et le député d'extrême droite néerlandais Geert Wilders a réclamé la même chose pour les Pays-Bas. Que va faire l'UE? "C'est un jour triste pour l'Europe et la Grande-Bretagne", a réagi le chef de la diplomatie allemande, Frank-Walter Steinmeier. Les dirigeants européens ont prévu de se réunir dans la matinée vendredi à Bruxelles pour tirer les leçons de ce vote. Le président français François Hollande avait promis que des initiatives seraient prises "quoi qu'il se passe" pour faire "évoluer la construction européenne". Le président du Parlement européen Martin Schulz a déclaré vendredi vouloir parler avec la chancelière allemande Angela Merkel afin d'éviter une "réaction en chaîne". L'UE est "déterminée à garder son unité à 27", a déclaré le président du Conseil européen Donald Tusk. Londres va à présent entrer dans un long tunnel de négociations avec l'UE sur les conditions de sortie, un processus qui pourrait durer jusqu'à deux ans et dont l'issue n'est pas écrite. En attendant la conclusion, le Royaume-uni restera lié par les accords existants. Selon David Cameron, négocier ces nouveaux accords et des traités commerciaux avec l'UE et les pays hors UE pourrait prendre une décennie, pendant laquelle la croissance va souffrir et la City de Londres, coeur financier du pays, perdre des milliers d'emplois. Selon le Fonds monétaire international, le pays pourrait même connaître une période de récession. Les partisans du Brexit ont eux naturellement un scénario beaucoup moins noir en tête, comptant sur le fait qu'ils garderont un accès au marché unique européen et qu'ils noueront de nouveaux partenariats qui renforceront à terme la prospérité du pays. Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker avait toutefois prévenu qu'il ne leur rendrait pas la chose facile, pour ne pas encourager d'autres à suivre sa voie. "Le Royaume-Uni devra accepter d'être considéré comme un Etat tiers, que l'on ne caressera pas dans le sens du poil", a-t-il mis en garde. Le Royaume-Uni va aussi devoir s'atteler à panser les blessures occasionnées par une campagne référendaire au ton particulièrement violent, marquée par le meurtre d'une députée pro-UE, Jo Cox, et la désignation des immigrés comme boucs émissaires de nombre de problèmes. Source: AFP

jeudi 23 juin 2016

Corée du Nord: Kim assure qu’un nouveau missile menace des bases américaines

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a salué l’essai d’un nouveau missile de moyenne portée qui menace, selon lui, des bases militaires américaines dans le Pacifique, a rapporté jeudi l’agence de presse officielle KCNA. M. Kim, qui a personnellement supervisé le tir de deux missiles Musudan mercredi, a déclaré qu’il s’agissait d’un « grand événement » qui renforce considérablement la capacité de frappe nucléaire préventive de la Corée du Nord. Source: 45enord.ca

Moins de taches solaires, le Soleil se dirige vers un minimum

 

Cette photo prise par la  " NASA Solar Dynamics Observatory " le 23 juin montre un soleil sans taches. 

 

Que comporte ce changement? Le cycle solaire est réglé comme un pendule, allant du minimum au maximum de taches solaires tous les 11 ans. Ce soleil d`aujourd`hui nous démontre clairement que le cycle se dirige vers son minimum. Les spécialistes prévoient que ce minimum sera atteint vers 2019-2020. Entretemps, il y aura beaucoup de journées sans taches solaires. Ces journées s`étireront en semaines puis en mois. Lorsque le cycle sera à son nadir, donc durant le pire des moments, il pourrait s`écouler une année sans taches.

 

Toutefois, n`allez pas croire qu`il n`y aura plus de météo spatiale. Un minimum solaire apporte un lot de changements intéressants. Par exemple, il y aura des poussées extrêmes de rayons ultraviolets alors que le Soleil diminuera son intensité de taches, la haute atmosphère terrestre se refroidira et sera plus vulnérable.  Ceci permettra aux déchets spatiaux de s`accumuler autour du globe. Aussi, l`héliosphère diminuera, rapprochant l`espace interstellaire plus près de nous. Les rayons Galactiques cosmiques  pénètreront l`intérieur du système solaire - et la Terre - avec beaucoup de facilité.  

 

Un accroissement de rayons cosmiques est présentement en cours. Ces rayons peuvent générer des éclairs, créer des nuages et pénétrer dans les avions aisément. Les mésures indiquent que les gens survolant les États-Unis en avion, même si c`est durant un seul vol, recoivent des radiations ionisantes équivalant de 2 à 5 doses de rayons-X chez le dentiste.  Cette exposition s`accroîtrera avec la diminution des taches solaires vers son minimum d`activité.

 

Source: spaceweather.com

Traduction: Benoit Godin

La Corée du Nord tire coup sur coup deux missiles de moyenne portée



La Corée du Nord a tiré coup sur coup ce mercredi deux puissants missiles de moyenne portée, d'après le ministère sud-coréen de la Défense qui précise que l'un des lancements a échoué mais que l'autre engin a parcouru 400 kilomètres de distance.

Les engins tirés seraient des missiles Musudan de portée intermédiaire susceptibles de menacer les bases américaines de l'île de Guam, dans le Pacifique.

Le département d'Etat américain a condamné ces tirs avec force, déclarant qu'il s'agissait d'une violation claire des résolutions de l'ONU interdisant à Pyongyang l'usage de toute technologie balistique.

Le premier test a eu lieu avant peu avant 06H00 (21H00 GMT mardi) et a vraisemblablement échoué. Mais selon le ministère de la Défense, le second Musudan -- tiré deux heures plus tard de la même localité sur la côte orientale - a volé sur 400 kilomètres au dessus de la mer Orientale, également appelée mer du Japon.

"La Corée du Sud et les Etats-Unis mènent des analyses supplémentaires", a déclaré le ministère dans un communiqué.

Après quatre essais ratés de tirs de Musudan, un lancement réussi représenterait un pas en avant important pour la Corée du Nord, qui cherche à se doter d'une force de frappe nucléaire capable d'atteindre le continent américain.

Le porte-parole du département d'Etat John Kirby a déclaré que ces derniers tirs ne feraient qu'accélérer les efforts de la communauté internationale pour mettre en échec le programme d'armements illicite de Pyongyang.

"Nous avons l'intention de faire part de nos préoccupations à l'ONU afin de renforcer la détermination internationale à ce que la Corée du Nord rende des comptes pour ces actions provocatrices", a-t-il dit.

Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a jugé que ce genre d'essais était "intolérable", selon la télévision NHK.

Le Musudan, qui aurait une portée allant de 2.500 à 4.000 kilomètres, pourrait atteindre la Corée du Sud et le Japon mais également, dans l'hypothèse haute, l'île de Guam.

Tensions redoublées

Mais le missile, dévoilé lors d'un défilé militaire à Pyongyang en 2010, n'a jamais été complètement testé avec succès en vol.

Les trois échecs d'avril avaient été perçus comme un revers avant un congrès historique du parti unique nord-coréen, censé célébrer les réussites du régime. Un autre tir de Musudan en mai est également considéré comme un ratage.

Le climat s'est considérablement dégradé sur la péninsule depuis le quatrième essai nucléaire nord-coréen du 6 janvier, suivi le 7 février par le lancement d'une fusée, largement considéré comme un essai déguisé de missile longue portée.

Pendant la grand-messe du parti au pouvoir début mai, le dirigeant Kim Jong-Un avait personnellement proposé au Sud de renouer le dialogue pour apaiser la situation.

Mais cette offre, réitérée plusieurs fois par l'armée nord-coréenne, a été rejetée par Séoul qui y a vu des propositions non sincères, compte tenu de l'engagement de Kim Jong-Un, lors de ce même congrès, à poursuivre les programmes d'armements nucléaires de son pays.


Ces derniers mois, le Nord a revendiqué toute une série d'avancées techniques vers ce qui semble être l'objectif ultime de son programme nucléaire: la mise au point d'un missile balistique intercontinental (ICBM) capable de véhiculer une tête nucléaire jusqu'au continent américain.

Parmi elles, Pyongyang a cité la miniaturisation réussie d'une charge nucléaire, la mise au point d'une tête nucléaire pouvant supporter la rentrée dans l'atmosphère après un vol balistique et la construction d'un moteur à propergol solide.

Le Nord a également annoncé avoir testé avec succès un moteur d'ICBM qui lui assurerait la capacité de mener une frappe nucléaire sur le continent américain.

Les spécialistes étrangers ont accueilli ces annonces avec le plus grand scepticisme, tout en s'accordant à dire que ces programmes avaient fait d'importants progrès.

Le Conseil de sécurité de l'ONU, qui a interdit à la Corée du Nord tout programme nucléaire comme balistique, avait réagi au dernier essai nucléaire en adoptant les sanctions les plus lourdes jamais infligées à Pyongyang.

 

Source: Almanar.com.lb

"Bombardons Assad!": le scénario yougolsave suggéré



 

La semaine dernière, environ 50 fonctionnaires du département d'Etat américain ont signé une lettre destinée à un usage interne. Le document appelle à entamer des frappes contre les forces officielles de Damas, en affirmant que c’est l'unique moyen de lutter contre Daech et de parvenir à établir la paix en Syrie.

Le texte propose entre autres d’utiliser des "armements à distance", notamment des missiles de croisière, lancées à une grande distance, ce qui ne permettrait pas aux troupes du gouvernement syrien de réagir.

Il s’agit cependant d’une pratique courante, la coalition de l'Otan dirigée par les Etats-Unis ayant déjà utilisé ces "armes à distance" lors de l'opération en Yougoslavie en 1999, qui a abouti à la déclaration d'indépendance du Kosovo, précise le quotidien américain New York Times qui a révélé le document.

Le mémorandum comprend ainsi dix paragraphes qui expliquent la nécessité de frapper le gouvernement syrien afin de mettre un terme au conflit civil dans le pays, de résoudre les questions humanitaires, de permettre le retour des réfugiés et de lutter contre Daech.

"Cependant, le document n'explique même pas comment résoudre les profondes divergences d'opinions, même parmi les alliés, au sujet de l'accord de paix. Il ne fournit pas de base juridique pour la guerre contre la Syrie, que la Russie bloquera sûrement au sein de l'Onu. Il ne précise pas comment éliminer Assad (Bachar el-Assad, président syrien, ndlr) sans éviter l'effondrement du gouvernement syrien. La lettre constate plutôt la déception ou même l'indignation suscitée par la politique actuelle au lieu de proposer des alternatives concrètes", lit-on dans l'article.

Cette lettre a soulevé de vives critiques à Moscou. Le porte-parole du Kremlin Dimitri Peskov a ainsi déclaré que le renversement forcé du gouvernement syrien pourrait mener au chaos dans la région.

Le ministère russe des Affaires étrangères a, à son tour, exprimé l'espoir que Washington ne répéterait pas les erreurs commises auparavant en Irak et dans d'autres pays où l'Occident a tenté de résoudre des problèmes internes à l'aide de la force.

En outre, le ministère russe de la Défense a communiqué ses inquiétudes sur le fait que des questions aussi importantes soient résolues par le "vote d'un collectif professionnel".

 

Source: Sputnik

Général US: L’Otan serait incapable de contrer une invasion russe des pays balte

 

L'Otan est à l'heure actuelle incapable de défendre les pays Baltes en cas d'invasion des forces russes, a estimé dans les colonnes de l'hebdomadaire allemand Die Zeit le général Ben Hodges, un des chefs militaires américains en Europe.

 

"C'est vrai que la Russie pourrait conquérir plus vite les Etats baltes que nous ne pourrions arriver pour les défendre", a dit dans l'édition à paraître jeudi du périodique ce général, commandant des forces terrestres de l'Otan, en marge de l'exercice militaire Anaconda-16 en cours en Pologne.

 

Ces manoeuvres auxquelles participent 31.000 soldats de 24 pays combattent un agresseur imaginaire appelé "l'Union des Rouges", qui a pour cible les pays baltes et le nord de la Pologne.

Elles se déroulent avant un sommet de l'Otan à Varsovie les 8 et 9 juillet devant consacrer le renforcement de sa présence en Europe de l'Est.

 

Critiqués par la Russie, ces exercices sont officiellement des manoeuvres polonaises et non de l'Alliance atlantique afin de ménager Moscou, selon le général américain.

"Certains pays comme l'Allemagne ou la France trouvaient que c'était trop provocateur vis-à-vis de la Russie d'appeler ça +exercices de l'Otan+", a-t-il dit, selon une traduction allemande de ses propos.

Le renforcement du flanc oriental de l'Otan, le changement le plus important depuis la fin de la guerre froide, doit être entériné lors du sommet de Varsovie.

 

Il se traduira notamment par le déploiement, par rotations tous les neuf mois, d'unités formant au total une brigade blindée dans les pays baltes, en Pologne, en Roumanie et en Bulgarie.

 

Source: AFP

Le Liban a demandé le soutien de l’armée russe

 

 

L’armée libanaise tient à recevoir de l’aide militaire de la part de l’armée russe, ce qui lui permettra de mener à bien la lutte contre le terrorisme, a fait savoir le ministre libanais des Finances, selon l’agence russe Itar Press.

 

Ali Hassan Khalil, a tenu ces propos lors de sa visite en Russie au cours de laquelle il a rencontré Konstantin Kossatchev, chef de la commission internationale du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe).

 

Il a dit : « Le Liban s’attend à ce que la Russie lui fournisse davantage d’aide et de soutien dans son combat contre le terrorisme. »

Il a ajouté :« Dans un passé lointain, vous avez apporté votre soutien à nos forces sécuritaires et nos armées, et en ce moment nous voudrions que ces efforts augmentent et que votre soutien envers nos forces armées s’intensifie ».

 

Le Liban mène une guerre contre le terrorisme à l’intérieur sur son territoire et tout au long de la frontière avec la Syrie, aussi bien contre la milice wahhabite takfiriste Daesh (Etat islamique) et le Front al-Nosra, dont les éléments sont déployés dans le nord et l’est du pays.

 

« L’armée libanaise a besoin d’être aidée par la Russie dans cette lutte», a renchérit Khalil.

Khalil se trouvait en Russie pour participer à la 20ème conférence du Forum économique de Saint Pétersburg.

 

Source: Médias

 

mardi 21 juin 2016

Big One: Des géologues y croient d' ici 10 jours!

Des géologues américains sont persuadés que dans les dix prochains jours les Etats-Unis subiront un séisme de 9,3 sur l'échelle de Richter... N'ont-ils pas vu trop de films hollywoodiens? Ou pas... Si les Etats-Unis vivent dix séismes en dix jours, ce qui les attend ensuite, c'est un séisme de magnitude 9,3. Un tel séisme est capable de provoquer un tsunami destructeur sur la côte ouest du continent, expliquent des experts. La Californie a connu, le long de la faille de San Andreas, dix séismes de magnitude moyenne au cours des dix derniers jours, soit un séisme par jour. Il s'agit de séismes de magnitude 3,6. De telles secousses se faisaient sentir de Santa Barbara jusqu'à la frontière mexicaine. Toutes les secousses ont eu lieu dans la même région, d'où la crainte des scientifiques d'une suite catastrophique, précise Express. Concrètement, ils craignent un séisme de 9,3 sur l'échelle de Richter. A la suite des séismes de ces derniers temps, les scientifiques du service géologique américain ont rendu publics les résultats d'une étude qui se base sur des simulations informatiques. Selon l'étude, la faille de San Andreas pourrait provoquer des secousses de magnitude 8,3. Et cela inquiète désormais fortement les Américains, ce qui est compréhensible vu que le séisme de 1906 avait presque détruit la ville de San Francisco… Et à l'époque, il s'agissait seulement d'une magnitude 7,9.Les services d'urgence se préparent déjà à faire face à ce séisme qui serait le plus fort dans la zone de la subduction de Cascadia (la subduction est le processus par lequel une plaque tectonique océanique s'incurve et plonge sous une autre plaque avant de s'enfoncer dans le manteau terrestre). Après avoir frappé cette zone, les secousses se dirigeront provisoirement au nord, le long de la côte ouest des Etats-Unis. Ainsi, Portland, Seattle et Vancouver se trouvent dans la zone où agira le tsunami géant prédit par les géologues, un tsunami capable de détruire les grands objets d'infrastructure et de provoquer la mort de millions de personnes.Le modèle des scientifiques a permis de déterminer les zones de Cascadia suscitant les plus graves inquiétudes. La zone qui court le principal risque s'étend sur une centaine de kilomètres le long de la côte Pacifique, de la Californie du Nord à l'île de Vancouver. Et voilà que le service géologique des Etats-Unis semble avoir toutes les raisons de s'attendre à un séisme de magnitude 9,3 qui provoquera une vague encore plus destructrice…Pour illustrer l'ampleur de la catastrophe prévue, les scientifiques rappellent le séisme qui a secoué le Japon en 2011. A l'époque, des milliers de personnes ont trouvé la mort dans les secousses, la plupart des immeubles et des villes ont été détruits et inondés, et 11 centrales électriques ont subi des pannes, le plus grand accident survenant dans la centrale nucléaire de Fukushima. Source: wikistrike.com

lundi 20 juin 2016

ALERTE: Les USA déclenchent le niveau DEFCON 3


Les USA sont présentement au niveau DEFCON 3, soit celui dans lequel tout le personnel militaire doit être prêt à intervenir en moins de 15 minutes pour défendre le pays. Le niveau DEFCON 2 est celui nous rapproche d' une guerre nucléaire. C'est celui qu'il faut éviter....mais le tout semble s'y diriger. C'est à surveiller...

 

Source: beforeitsnews.com

 

***** Selon le site -  defconlevel.com -, le niveau DefCon serait demeuré au niveau 5!!!! Donc il y aurait de la contradiction dans l`air...*****