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vendredi 16 décembre 2016

Les Maîtres du Monde se réunissent à huis clos à New York après l'arrestation d'officiers de l'OTAN à Alep


Le Conseil de sécurité des Nations unies siège à huis clos, ce vendredi 16 décembre 2016 à 17h temps universel (12h à New York, 18h à Paris), alors que des officiers de l'Otan ont été arrêtés ce matin par les Forces spéciales syriennes dans un bunker à Alep-Est. 

Dossier à suivre....

Source: Voltaire.net

jeudi 15 décembre 2016

Netanyahou prévient l'Iran : «Nous ne sommes pas un lapin, nous sommes un tigre»


Benjamin Netanyahou a mis en garde la République d'Iran qu'elle se mettrait en danger si elle venait à menacer Israël. Sa réaction intervient après les menaces du guide suprême Ali Khamenei sur la possible destruction du «régime sioniste».

Lors de la visite de Benjamin Netanyahou au Kazakhstan, le 14 décembre, le président kazakh Nursultan Nazarbaïev a demandé au Premier ministre israélien si il souhaitait faire passer un message au président iranien qui est attendu dans le pays la semaine suivante. 

La réponse cinglante du dirigeant de l'Etat hébreu ne s'est pas fait attendre : «Ne nous menacez pas, nous ne sommes pas un lapin, nous sommes un tigre. Si vous nous menacez, vous vous mettez en danger.»
Il a ajouté sur un ton plus apaisé que si l'Iran changeait sa politique envers Israël, alors Israël changerait la sienne. Lorsque le président kazakh lui a demandé si il pensait vraiment que l'Iran voulait détruire Israël, Benjamin Netanyahou a répondu laconique: «Oui, je le crois.» 
La nouvelle passe d'armes entre Tel Aviv et Téhéran avait débuté quelques heures auparavant, avec un message posté sur Twitter par le guide suprême de la Révolution islamique Ali Khamenei dans lequel on pouvait lire : «Si les musulmans et les Palestiniens s'unissent et combattent, le régime sioniste n'existera plus d'ici 25 ans.» 

La possibilité que les Etats-Unis se retirent de l'accord sur le nucléaire iranien, comme Donald Trump a menacé de le faire, représente une nouvelle pierre d'achoppement entre l'Iran et Israël. Benjamin Netanyahou a fait savoir qu'il était impatient de discuter avec le milliardaire à propos du «mauvais» accord, ajoutant qu'il avait «cinq choses en tête» susceptibles de le faire annuler. 

Le 11 décembre, le ministre de la Défense iranien avait mis en garde le régime sioniste si le futur président américain poursuivait dans cette voie : «Cela signifierait la destruction du régime sioniste [...] qui impliquerait toute la région et mènerait à une guerre mondiale.»

Source: rt

mercredi 14 décembre 2016

Un haut gradé de la Maison Blanche sonne l`alerte!

 
Un repésentant de la Maison Blanche a mentionné, “ Laissez-moi vous dire quelque chose maintenant. Trump a déjà été choisi comme Président. Il a été choisi il y a 2 ans. Et laissez-moi vous dire pourquoi ils vont laisser Trump entrer...
 
 
 
 
Cette personne qui est un haut gradé de la Maison Blanche a aussi mentionné qu`il travaille constament avec Obama.
 
 
 
 
Il a ajouté, “ Il y aura une Loi martiale... L`an prochain ( 2017 ) ... Il y aura bien une Loi Martiale...  Il y aura une catastrophe économique!   Et laissez-moi vous dire quelque chose, personne n`a idée que le tout s`en vient. Moi personelement, je vais terminer ce que je fais avec l`administration d`Obama  et je vais partir d`ici et aller en Belgique...”
 
Voilà un extrait d`un exposé d`un haut gradé de la maison Blanche. Le tout est à prendre comme un avertissement de ce qui pourrait ce passer en janvier 2017?
 
Nul ne le sait, alors ce dossier sera à suivre de près.
 
 
 
Extraits: beforeitsnews.com / Lyn Leahz
Traduction Benoit Godin

L’Iran veut construire des navires à propulsion nucléaire en réponse aux sanctions américaines


Le président iranien, Hassan Rohani, a ordonné mardi aux experts d’entamer la conception de navires à propulsion nucléaire, en réaction au renouvellement des sanctions américaines pour dix ans, a rapporté la télévision d’Etat.

Qualifiant de violation de l’accord nucléaire de 2015 le renouvellement de ces sanctions par le Congrès américain, M. Rohani a ordonné au chef de à l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) de planifier la conception et la production de moteurs à propulsion nucléaire pour le transport maritime.

Il a par ailleurs ordonné au ministère des Affaires étrangères de prendre des mesures juridiques au niveau international contre les négligences des Etats-Unis dans l’application de l’accord nucléaire, ainsi que le renouvellement des sanctions.

Ce renouvellement pour dix ans a été voté à la quasi-majorité par la Chambre des représentants et le Sénat américains. Il doit encore être approuvé par le président sortant Barack Obama pour entrer en vigueur, ce qui ne devrait pas poser de problème, selon plusieurs responsables américains.
L’Iran et les grandes puissances, dont les Etats-Unis, ont conclu en juillet 2015 un accord sur le dossier nucléaire iranien.

Après l’entrée en vigueur de l’accord en janvier, une partie des sanctions internationales contre l’Iran ont été levées. Mais Téhéran accuse les Etats-Unis d’empêcher une normalisation de ses relations économiques notamment bancaires avec le reste du monde.

Source: almanar.com.lb

Alep: l'évacuation stoppée


Contrairement à ce que l’on avait annoncé, aucun homme armé n’est sorti d’Alep et les bus verts attendent les éléments qui ont déposé les armes et qui doivent quitter bientôt cette ville syrienne.
Mardi soir, des sources liées aux opposants et à la partie russe ont affirmé que les groupes terroristes déployés à l’est d’Alep s’étaient rendus à l’armée et qu’ils seraient évacués mercredi matin. L’opération a été repoussée selon l’agence de presse iranienne Fars.

Leur départ était prévu à cinq heures du matin, mais jusqu’ici aucun bus n’a quitté Alep et ce, alors que, depuis des heures, des dizaines de bus verts attendent l’arrivée des hommes armés.
Selon les informations dont nous disposons, les assaillants armés ont brûlé leurs sièges, leurs véhicules et d’autres affaires avant de quitter les quartiers qu’ils occupaient. Certains rapports affirment que le Front al-Nosra entrave l’application de l’accord sur l’évacuation des éléments armés d’Alep.

L’accord d’évacuation a été annoncé mardi par les groupes terroristes et confirmé par Moscou et Ankara. Le Conseil local d’Alep a annoncé pour sa part que les opérations pour évacuer les civils et les terroristes commenceraient mercredi matin.

Dans le même temps, Vitali Tchourkine, représentant russe auprès des Nations unies, a confirmé mardi l'accord du cessez-le-feu à Alep. Il a dit que les terroristes se retireraient de l’est d’Alep, sans qu’il y ait besoin que les civils quittent leurs maisons.

Source: parstoday.com

Suède : les municipalités doivent se préparer à la guerre à la demande du gouvernement


Toujours plus proches de l'OTAN, les autorités suédoises ressuscitent une doctrine datant de la guerre froide, celle de la «stratégie de défense totale». Dans ce cadre les collectivités locales sont tenues de réactiver des mesures de défense civile.

Le gouvernement suédois a décidé de remonter le temps. Les autorités locales doivent ressortir des tiroirs des mesures de défense civiles afin d'être en mesure de faire face à un confit majeur. Il leur incombe de renforcer les services de secours ainsi que les dispositifs de protection civile. La «stratégie de défense totale», une doctrine datant de la guerre froide, implique que l'action militaire soit aussi complété par un effort du secteur économique et de la population.

Les autorités justifient la décision, annoncée en décembre 2015, par une «aggravation de la situation internationale». Selon une lettre de l'Agence de protection civile suédoise, la MSB, adressée aux municipalités, ces dernières doivent en conséquence se préparer à la «guerre et aux conflits». «Cette stratégie n'est pas nouvelle, nous l'avons mise en œuvre durant la guerre froide», indique la MSB, précisant toutefois : «Il n'y a rien qui indique qu'une guerre soit probable, mais le gouvernement nous a chargé de nous y préparer».

Le 25 mai 2016, le parlement suédois a ratifié un accord de coopération renforcée avec l'organisation politico-militaire de l'Alliance atlantique (OTAN). Cette dernière peut, depuis, déployer ses troupes dans le pays et mener des exercices militaires. Alors que la Suède n'est toujours pas, stricto sensu, membre de l'OTAN, Stockholm a décidé de se ranger sous son parapluie, le ministère de la Défense évoquant une «menace croissante de la Russie».   

Source: russiatoday.com

Un think-tank US dresse une liste des scenarios à redouter en 2017

 

Pour le groupe de réflexion Council on Foreign Relations (CFR), un éventuel conflit militaire entre l'Otan et la Russie constitue la plus grave menace pour l'année 2017.

Des avions de l'Otan et de la Suède espionnent de nouveau la Russie Fait curieux mais rassurant, aucune des prévisions émises par le CFR pour l'année 2016 et jugées « très probables » par ses analystes ne s'est réalisée. Or, les recherches du Council sont régulièrement prises en considération lors du développement de la politique étrangère de Washington. Alors, « un affrontement militaire délibéré ou involontaire entre la Russie et les pays membres de l'Otan », dont la probabilité est évaluée comme « élevée », occupe la première position sur la liste des menaces de 2017 dressée par le CFR.

Viennent ensuite une possible crise en Corée du Nord déclenchée par l'essai d'un missile ou par une provocation militaire, des cyberattaques destructives visant les infrastructures vitales des États-Unis et une attaque terroriste contre les USA ou un de leurs alliés avec un lourd bilan de victimes.

Parmi les menaces dont la probabilité est jugée « modérée » figurent une recrudescence de violence et d'instabilité en Afghanistan due à un renforcement des Taliban, une escalade des tensions entre la Turquie et les groupes armées kurdes, ainsi qu'une exacerbation du conflit qui ravage la Syrie.

En donnant ses prévisions pour 2016, le Council on Foreign Relations avait tablé en premier lieu sur une brusque escalade de la crise syrienne.   

Source: altertinfo.net

Le Pentagone autorise ses hommes à tuer jusqu’à 10 civils par frappe

 

Le Pentagone a diffusé mardi une mise à jour de ses règles militaires en temps de guerre, qui prétend être destinée à limiter les pertes civiles. Pourtant, les militaires seront autorisés pour la première fois à tuer jusqu’à 10 civils, comparé à zéro civil autrefois, pour qu’ils soient sagressifs dans leurs ciblages.Le manuel de guerre (Law of War manual), actualisé le mardi 13 décembre, donne ainsi des exemples de précautions que doivent prendre les militaires américains pour éviter les « dommages excessifs » aux personnes et aux biens lors de la planification et la conduite des attaques.
Qui a laissé Daech regrouper 5.000 djihadistes près de Palmyre… en passant inaperçus? « Protéger les civils dans les conflits armés est crucial et il est important que nos procédures soient claires et pratiques », a souligné Jennifer O'Connor, conseillère juridique au Pentagone. La nouvelle version fournit plus de détails sur la nécessité d'identifier les zones où les cibles militaires sont plus susceptibles d'être localisées et les civils moins susceptibles d'être présents. De plus, elle présente des exemples de décisions, menant à renoncer à une attaque, prises en raison de victimes civiles potentielles. L’actualisation met également en évidence le fait que les subordonnés ne sont pas obligés d’obéir à des ordres qui sont « clairement illégaux », y compris les cas où un commandant pourrait ordonner une attaque qui pourrait entraîner des victimes civiles excessives.                       
 
La coalition reconnaît avoir fait 173 victimes parmi les civils irakiens et syriens. Curieusement, ce manuel autorise également, et ce pour la première fois, de tuer jusqu’à 10 civils. Selon les hauts fonctionnaires de la défense, cités par le site Military Times, les dirigeants militaires qui planifient des opérations contre Daech en Irak et en Syrie peuvent autoriser des frappes où jusqu'à 10 civils peuvent être tués, si cela est jugé nécessaire pour neutraliser une cible militaire critique. Il s'agit d'un changement par rapport à la politique antérieure qui exigeait qu’aucun civil ne soit tué. Les fonctionnaires ont expliqué que le changement avait été fait en raison des craintes que l'armée ne soit pas assez agressive dans son ciblage.

Source: sputniknews.com

Bachar el-Assad à RT : la trêve proposée par les Occidentaux a pour but de sauver les terroristes


 

Lors d'une interview exclusive à RT, le président syrien a rejeté toute éventualité de trêve qui «stopperait la progression de l'armée syrienne». Il déplore aussi que les médias détournent les yeux quand «les terroristes tuent des civils à Palmyre».
«Il faut toujours lire entre les lignes en politique.» C'est par ces mots que le président syrien Bachar el-Assad, interrogé par la journaliste de RT Maria Finochina mardi 13 décembre, a livré sa vision de la demande de «cessez-le-feu immédiat» formulée par six pays, dont la France et les Etats-Unis, le 7 décembre dernier.
Bachar el-Assad à RT
«Si l'on traduit cette déclaration, il s'agit d'un appel à stopper la progression de l'armée syrienne face aux terroristes», a-t-il estimé, jugeant que la préoccupation principale des pays occidentaux était de «sauver les terroristes».
Répondant à ces questions alors même que la ville d'Alep vit ses dernières heures de combat et que les rebelles sont sur le point de subir une lourde défaite, Bachar el-Assad a déclaré : «Si nous libérons Alep, les politiques occidentaux et les médias mainstream s’inquiéteront alors du sort des civils, alors qu'ils ne s'en préoccupent pas lorsque la situation inverse se produit, lorsque les terroristes tuent des civils et s'emparent de Palmyre.» Concernant le sort de cette ville, le président syrien s'est dit préoccupé par la «destruction du patrimoine humain, et non pas juste syrien» dans la cité antique.
Les médias ne s'intéressent pas aux civils tués par les terroristes
Depuis quelques jours, les combattants de Daesh ont lancé une nouvelle offensive contre la ville de Palmyre, alors que les rebelles sont en passe d'être défaits à Alep. La semaine précédente, la France, le Royaume-Uni, les Etats-Unis, le Canada, l'Italie et l'Allemagne ont à nouveau demandé un cessez-le-feu, quelques jours après le veto chinois et russe opposé à une première demande. Le ministre des Affaires étrangères russe avait estimé qu'à ce stade des combats, ce répit serait «indubitablement utilisé pour rassembler et réarmer les extrémistes et ne ferait que ralentir la libération d'Alep».
Bachar el-Assad à RT
L'interview en intégralité se trouve en bas.
RT : Nous commençons avec une question sur Alep, bien sûr. Alep est maintenant en train de vivre les combats probablement les plus féroces depuis le début de la guerre il y a près de six ans, ici, en Syrie, mais les politiciens et les médias occidentaux observent une attitude très négative concernant l'avancée de votre armée. Pourquoi pensez-vous qu’il en est ainsi ? La considèrent-ils comme leur propre défaite ?
Le président syrien Bachar el-Assad : En fait, après leur échec à Damas – car toute la rhétorique pendant les trois premières années portait sur «la libération de Damas de l'Etat» – après leur échec, ils sont partis à Homs, quand ils ont échoué à Homs, ils sont partis à Alep. Ils se sont concentrés sur Alep au cours des trois dernières années, et pour eux, c’était la dernière carte importante à jouer sur le champ de bataille syrien. Bien sûr, il y a toujours des terroristes dans différentes régions de la Syrie, mais ce n'est pas la même chose que lorsqu’on parle d’Alep, qui est la deuxième plus grande ville, qui a une valeur politique, militaire, économique et même morale, quand leurs terroristes sont vaincus. Donc, pour eux, la défaite des terroristes est la défaite de leurs mandataires, pour parler sans ambages. Ce sont leurs mandataires et pour eux la défaite de ces terroristes est la défaite des pays qui les encadraient, que ce soit des pays de la région ou des pays occidentaux comme les Etats-Unis, tout d'abord les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni.
RT : Alors croyez-vous qu'ils considèrent les récents événements comme leur propre défaite ?
B.A. : Exactement, c'est ce que je veux dire. La défaite des terroristes, c'est leur propre défaite parce qu'ils sont leur véritable armée sur le terrain. Ils ne sont pas intervenus en Syrie, ou pas directement. Ils sont intervenus par procuration. Donc c'est ce que nous devons examiner si nous voulons être réalistes, indépendamment de leurs déclarations, bien sûr.

Palmyre : «Daesh n’a pu le faire qu’avec le soutien d’Etats.»

RT : Palmyre est une autre zone agitée en ce moment. Elle est en train d’être reprise par Daesh, mais nous n'entendons pas beaucoup de condamnations à ce sujet…
B.A. : Tout à fait. Si elle était prise par le gouvernement, on se serait inquiété pour le patrimoine. Si nous libérons Alep des terroristes, les responsables occidentaux et les grands médias vont s'inquiéter pour les civils. Ils ne s'inquiètent pas quand le contraire se produit, quand les terroristes tuent des civils ou attaquent Palmyre et détruisent le patrimoine de l’humanité – pas seulement le patrimoine syrien.
L'offensive de Daesh contre Palmyre, si vous prenez en compte le moment où son attaque a lieu, est liée à ce qui se passe à Alep. C'est la réponse à ce qui se passe à Alep, aux progrès de l'armée arabe syrienne. Ils ont voulu saper la victoire à Alep et en même temps détourner l'armée syrienne d'Alep pour l’attirer vers Palmyre et stopper son avancée . Mais, bien sûr, cela n'a pas marché.
RT : Nous avons aussi entendu des informations selon lesquelles le siège de Palmyre n'était pas seulement lié à la bataille d'Alep, mais aussi à ce qui se passait en Irak, et il y a des renseignements qui suggèrent que la coalition dirigée par les Etats-Unis – qui compte près de 70 pays – a laissé les combattants de Daesh de Mossoul, en Irak, partir et renforcer Daesh ici, en Syrie. Pensez-vous que ce pourrait être le cas ?
B.A. : Ce pourrait être le cas, mais cela ne sert qu’à libérer les politiciens américains de leurs responsabilités au moment de l'attaque, quand ils disent que c’est «simplement à cause de Mossoul, bien sûr, l'armée irakienne a attaqué Mossoul, et Daesh a quitté Mossoul pour la Syrie». Ce n'est pas le cas. Pourquoi ? Parce qu'ils ont débarqué au cours de cette attaque avec des effectifs énormes ainsi qu’une puissance de feu que Daesh n'avait jamais eue auparavant. Leur attaque s’est portée sur un front énorme, des dizaines de kilomètres, de quoi constituer le front de plusieurs armées.
Daesh n’a pu le faire qu’avec le soutien d’Etats. Pas un seul Etat – des Etats. Ils sont arrivés avec des mitrailleuses, des canons, de l'artillerie, tout est différent. Leur avancée dans le désert a seulement pu avoir lieu sous la supervision de l'alliance américaine, qui aurait dû les combattre à Raqqa, et à Mossoul, et à Deir-Ez-Zor, mais cela ne s'est pas produit. Ils ont soit fermé les yeux sur ce que Daesh allait faire ou – et c'est ce que je crois – ils l’ont poussé vers Palmyre.
Donc il ne s'agit pas de Mossoul. Nous ne devons pas tomber dans ce piège. Ca a tout à voir avec Raqqa et de Deir-Ez-Zor. Ces villes sont très proches, seulement à quelques centaines de kilomètres l’une de l’autre, elles pouvaient faire l’objet de la surveillance des satellites américains, des drones américains et du soutien américain.
RT : Quel est l’état des forces de Daesh aujourd'hui ?
B.A. : A la hauteur du soutien qu'ils reçoivent des puissances occidentales et régionales. En fait, ils ne sont pas si forts... Si vous parlez de Daesh comme d’un cas isolé, ils ne sont pas forts, parce qu'ils n'ont pas d'incubateur social naturel. Sans cela, les terroristes ne peuvent pas être si forts. Mais le soutien réel qu'ils reçoivent – l'argent, l'investissement pétrolier, le soutien des avions des alliés américains – est la raison de leur force. Ils sont donc aussi forts que leurs soutiens, ou que leurs superviseurs.
RT : A Alep, nous avons entendu que vous aviez permis à certains de ces terroristes de quitter librement le champ de bataille. Pourquoi l’avoir fait ? Il est clair qu'ils peuvent revenir à, disons, Idlib, se procurer des armes et se préparer à d'autres attaques, puis peut-être retourner attaquer ceux qui libèrent Alep.
B.A. : Exactement, c'est correct, et cela se produit depuis plusieurs années. Mais parfois vous perdez, parfois vous gagnez, et quand vous gagnez plus que vous perdez, vous êtes gagnant. Dans ce cas, notre priorité est de protéger la zone des destructions causées par la guerre, protéger les civils qui y vivent, laisser la possibilité à ces civils de partir par des corridors dédiés, quitter ces zones pour celles contrôlées par le gouvernement et donner la chance à ces terroristes de changer d'avis, de rejoindre le gouvernement, de retourner à leur vie normale et d'obtenir une amnistie. S'ils ne le font pas, ils peuvent partir avec leurs armes, avec les inconvénients que cela implique, mais ce n'est pas notre priorité, car si vous combattez dans n'importe quel autre secteur en dehors de la ville, vous aurez moins de destructions occasionnées et moins de victimes parmi les civils, voilà la raison.

«La lutte contre les terroristes c’est comme un jeu vidéo».

RT : Je vois que vous les appelez terroristes, mais en même temps, vous les traitez comme des êtres humains, vous leur dites : «Vous avez une chance de retourner à la vie normale.»
B.A. : Exactement. Ce sont des terroristes parce qu'ils ont des mitrailleuses, ils tuent, ils détruisent, ils commettent des actes de vandalisme, et ainsi de suite. C'est naturel – partout dans le monde on qualifie cela de terrorisme. Mais en même temps, cela reste des humains qui ont commis des actes de terrorisme. Ils pourraient être capables d’autres choses. Ils ont rejoint les terroristes pour différentes raisons, soit par crainte, soit pour l'argent, parfois pour des raisons idéologiques. Donc, si vous pouvez les faire retourner à leur vie normale, pour qu’ils redeviennent des citoyens normaux, c'est notre travail en tant que gouvernement. Il ne suffit pas de dire «Nous allons combattre les terroristes». La lutte contre les terroristes c’est comme un jeu vidéo. Vous pouvez détruire votre ennemi, mais le jeu va générer et régénérer des milliers d'ennemis, donc vous ne pouvez pas le traiter à la manière américaine : simplement tuer, encore tuer ! Ce n'est pas notre objectif ; c'est la dernière option.
Si vous pouvez changer les choses, c'est une bonne option. Et cela a fonctionné. Cela a été un succès car parmi un grand nombre de ces terroristes, quand vous les faites changer d’avis, certains reviennent à une vie normale et certains rejoignent l'armée syrienne. Pour combattre avec l'armée syrienne contre les autres terroristes. C'est un succès, de notre point de vue.
RT : Monsieur le président, vous venez de dire qu’un coup l’on gagne et qu’un coup l’on perd. Considérez-vous en avoir fait suffisamment pour minimiser les pertes civiles pendant ce conflit ?
B.A. : Nous faisons de notre mieux. Ce qui est suffisant, c'est subjectif, chacun peut le voir à sa façon. Au bout du compte, ce qui est assez, c'est ce que vous pouvez faire. Ma capacité en tant que personne, la capacité du gouvernement, la capacité de la Syrie en tant que petit pays qui fait face à une guerre soutenue par des dizaines de pays, des centaines de chaînes médiatiques traditionnelles et d'autres machines encore qui travaillent contre vous. Donc, cela dépend de la définition du «assez», c'est donc, comme je l'ai dit, très subjectif, mais je suis certain que nous faisons de notre mieux. Au final, rien n’est suffisant, et l’être humain est ainsi fait, toujours plein de bonnes choses et d’échecs ou d'erreurs, c'est le cours naturel des choses.

«Vous êtes allés trop loin dans votre combat contre les terroristes, cela ne devait pas se produire».

RT : Les pays occidentaux ont demandé à maintes reprises à la Russie et à l'Iran de faire pression sur vous pour mettre fin aux violences. Tout récemment, six pays occidentaux ont à nouveau demandé à la Russie et à l'Iran de faire pression sur vous, exigeant un cessez-le-feu à Alep.
B.A. : Oui.
RT : Allez-vous le faire ? C’est au moment où votre armée progresse qu’ils demandent un cessez-le-feu.
B.A. : C'est exactement ça. Il est toujours important en politique de lire entre les lignes. Peu importe ce qu'ils demandent. La traduction de leur déclaration c’est : «Vous les Russes, s'il vous plaît, stoppez l'avancée de l'armée syrienne face aux terroristes.» C'est le sens de leur déclaration, oubliez le reste : «Vous êtes allés trop loin dans votre combat contre les terroristes, cela ne devait pas se produire. Vous devriez dire aux Syriens de mettre fin à cela. Nous devons garder les terroristes et les sauver.» Voici en bref.
Deuxièmement, la Russie n'a jamais – ni ces jours-ci, ni pendant la guerre, ni avant la guerre, ni à l'époque de l'Union Soviétique –essayé d'intervenir dans nos prises de décision. Chaque fois qu’ils avaient un avis ou des conseils, la façon dont nous allions les considérer n'avait pas d'importance, ils disaient toujours à la fin : «C'est votre pays, vous savez quelle est la meilleure décision à prendre. C'est comme ça que nous le voyons, mais si vous le voyez de façon différente, vous savez, c'est vous les Syriens.» Ils sont réalistes, ils respectent notre souveraineté et défendent toujours la souveraineté qui repose sur le droit international et la Charte des Nations unies. Il ne leur est donc jamais arrivé de faire pression, et ils ne le feront jamais. Ce n’est pas dans leurs habitudes.
RT : Dans quel été se trouve actuellement l'armée syrienne ?
B.A. : Il s’agit de la comparer à deux choses. Tout d'abord à la guerre-même et ensuite à la taille de la Syrie. La Syrie n’est pas un grand pays, donc elle ne peut pas avoir une grande armée en termes quantitatifs. Le soutien de nos alliés a été très important, en particulier de la Russie et de l’Iran. Après six ans, ou presque six ans, de guerre, soit un conflit plus long que la Première ou la Seconde Guerre mondiale, il est sûr et évident que l’armée syrienne ne peut pas être plus forte qu'elle ne l’était avant. Mais ce que nous avons c'est la volonté de défendre notre pays. C’est la chose la plus importante. Notre armée a perdu tant de vies, nous avons tant de martyrs, tant de soldats handicapés. Du point de vue des chiffres, nous avons perdu beaucoup, mais nous avons toujours cette détermination. Je peux vous dire que cette détermination est beaucoup plus forte qu’avant la guerre. Mais nous ne pouvons certainement pas ignorer le soutien de la Russie, celui de l'Iran, qui rendent notre détermination plus efficace et concrète.
RT : Le président Obama a tout récemment suspendu l'interdiction d’armer les rebelles syriens. Comment cela pourrait-il, à votre avis, se traduire sur le terrain ? Cela est-il susceptible de donner une impulsion directe ou indirecte aux terroristes ?
B.A. : Nous ne sommes pas sûrs qu’il a levé cet embargo au moment où il l'a annoncé. Il a pu l'avoir levé avant, mais il l'a annoncé plus tard en vue de lui donner, disons, une certaine légitimité politique. C'est la première chose. Deuxième point, très important : la date de l’annonce et le moment de l’attaque contre Palmyre. Il existe un lien direct entre ces deux événements, la question est donc à qui ces armements sont-ils envoyés ? Dans quelles mains vont-ils se retrouver ? Dans les mains de Daesh et du Front al-Nosra qui se coordonnent entre eux. L'annonce sur la levée de l'embargo est donc directement liée à l'attaque sur Palmyre et au soutien d'autres terroristes à l’intérieur d'Alep, parce que lorsqu’ils subissent une défaite à Alep, les Etats-Unis et l’Occident ont besoin de soutenir leurs intermédiaires ailleurs, parce qu'ils n'ont aucun intérêt à résoudre le conflit en Syrie. Ainsi, le point crucial de cette annonce est de créer plus de chaos, car les Etats-Unis créent le chaos afin de le gérer, et lorsqu’ils le gèrent, ils souhaitent utiliser différents facteurs de ce chaos pour exploiter les différentes parties du conflit, qu’elles soient internes ou externes.
RT : Monsieur le Président, comment vous sentez-vous en tant que petit pays au milieu de tant d’autres pays qui n'ont aucun intérêt à ce que cette guerre prenne fin ?
B.A. : C'est quelque chose que nous sentions avant la guerre, mais aujourd'hui on le sent, bien sûr, encore plus, parce que les petits pays se sentent plus en sécurité lorsque il y a un équilibre international. C'était notre cas, ce que vous évoquez, après l’effondrement de l’URSS, quand il n'y avait que l’hégémonie américaine, et les Etats-Unis souhaitaient faire ce qu'ils voulaient et dicter leur politique à tout le monde. Ce sont les petits pays qui souffrent le plus. Nous le sentons donc aujourd'hui, mais en même temps, il y a plus d'équilibre aujourd'hui avec le rôle de la Russie.
C'est pourquoi nous croyons que plus la Russie est forte – et je ne pense pas seulement à la Syrie, mais à tout petit pays dans le monde – plus la Chine émerge, plus nous nous sentons en sécurité. La situation dans laquelle nous vivons est très douloureuse, à tous les niveaux : au niveau humanitaire, des sentiments, des pertes, tout. Mais en fin de compte, il ne s'agit pas de perdre ou gagner ; il s’agit de gagner ou de perdre votre pays. C’est une menace existentielle pour la Syrie. Ce n'est pas un gouvernement qui va perdre par rapport à un autre gouvernement, ou une armée par rapport à une autre armée ; soit le pays va gagner, soit il va disparaître. C'est comme ça que nous le voyons. C'est pourquoi vous n’avez pas le temps de sentir la douleur ; vous n'avez que le temps pour lutter, défendre et faire quelque chose sur le terrain.
RT : Parlons du rôle des médias dans ce conflit.

B.A. : D'accord.
RT : Toutes les parties prenantes à cette guerre ont été accusées d'avoir causé des victimes civiles, mais les médias occidentaux ont gardé un silence presque total au sujet des atrocités commises par les rebelles... Quel rôle les médias jouent-ils ?
B.A. : Tout d’abord, les médias traditionnels et leurs collègues hommes politiques souffrent depuis quelques décennies d'une décadence morale. Ils n’ont aucune morale. Peu importe de quoi ils parlent, ce qu'ils évoquent ou ce qu’ils utilisent comme masque – les droits de l’homme, les civils, les enfants – ils le font dans leur propre intérêt politique afin de pousser leur opinion publique à les soutenir dans leur intervention dans la région, de façon militaire ou politique. Ils n'ont donc aucune crédibilité à cet égard.
Regardez ce qu’il se passe aux Etats-Unis, c’est une véritable rébellion contre les médias traditionnels, parce qu'ils ont menti et continuent à mentir à leur public. Nous pouvons dire que l’opinion publique ou la population occidentale ignore la réalité de la situation dans la région, mais ils savent au moins que les médias principaux et leurs hommes politiques leur ont menti pour servir leurs intérêts. C'est pourquoi je ne pense pas que les principaux médias peuvent encore faire croire à leurs histoires, c'est pourquoi ils luttent pour leur existence en Occident. Même s'ils ont une longue expérience et un énorme soutien, de l'argent et des ressources, il leur manque néanmoins une chose essentielle à leur survie : la crédibilité. Ils n'en ont pas, ils l'ont perdue. Ils ne sont pas transparents, ils ne sont donc plus crédibles. C'est pourquoi ils sont aujourd'hui très lâches, ils ont peur de votre chaîne, de toute déclaration qui pourrait révéler la vérité, parce que cela démystifierait leurs propos. C'est ça la raison.
RT : L'agence de presse Reuters a cité Amaq, l’organe de propagande de Daesh, à propos du siège de Palmyre. Pensez-vous que de cette manière-là, ils donnent une certaine légitimité aux extrémistes, en les citant ainsi dans leurs médias ?
B.A. : Même s'ils ne mentionnent pas leurs agences de presse, ils adoptent néanmoins leur rhétorique. Si vous regardez le côté technique de la manière dont Daesh se présente depuis le début, via ses vidéos, les actualités, les médias en général et les relations publiques, ils utilisent des techniques occidentales. Regardez-y à deux fois, c'est très sophistiqué. Comment quelqu'un qui est pourchassé, méprisé de toutes parts, attaqué par des avions, dont on veut chasser de toutes les villes qu’il occupe, pourrait se montrer aussi sophistiqué, sans être détendu et sans recevoir tout le soutien possible ? Ce n’est pas tant à propos d'Amaq ; c'est l'Occident qui adopte ses histoires, parfois directement et parfois de façon indirecte.

Avertissement! La USGS ne rapporte pas un tremblement au Mont St-Helen et possiblement accompagné d` un glissement de terrain


Des gens ont ressenti un tremblement de terre et la USGS nie le tout. Est-ce qu`il-y-a eu un séisme au Mont St-Helen? Il y a aussi rumeur sur la possibilité d`un glissement de terrain qui se serait produit à cet endroit. 

 

Gens de l' état de Washington, USA soyez prêt!

 

A suivre....

 

Source: Jonathan Lee / beforeitsnews.com

Traduction Benoit Godin

lundi 12 décembre 2016

L' Inde confisque l' or et les bijoux de ses citoyens


La répression financière est à la hausse de par le monde, et notamment en Inde. Après avoir rendu ses plus grosses coupures illégales en novembre, le gouvernement indien s’en prend désormais à l’or.
Et pas seulement aux barres et pièces d’or. Lors de récents raids, il est allé jusqu’à confisquer des bijoux.
Pour en savoir plus, voyez mon article du 27 novembre intituléCash Chaos in India, 86% of Money in Circulation Withdrawn; Cash Still King in Japan.
Les plus grosses coupures indiennes, ce sont les billets de 500 (7,30 dollars) et de 1000 roupies (14,60 dollars), qui représentent plus de 85% des billets en circulation. Ils n’ont désormais plus cours légal.  
Le désordre qui a fait suite à la décision du gouvernement de les sortir de la circulation se poursuit jusqu’à aujourd’hui.
L’Inde confisque l’or de ses citoyens
india-gold
Voici un extrait de Message to Modi: Do No More Harm, par Mihir Sharma.
Le désordre né de la « démonétisation » ne s’estompe pas. Il y a de fortes chances que les bouleversements économiques actuels, notamment dans les régions rurales de l’Inde, affectent la croissance pendant encore quelques trimestres. Il est difficile de prédire quels en seront les effets, nous sommes désormais en territoire inconnu, et les estimations varient considérablement. De nombreux analystes tombent toutefois d’accord avec l’ancien Premier ministre, Manmohan Singh, qui s’attend à voir les récentes politiques faire perdre deux points de pourcentage au taux de croissance du PIB.
La démonétisation a d’abord été présentée comme uneattaque de haute précision contre l'argent noir — les piles d’argent illicites qui ont été accumulées à l’abri du regard du percepteur. Il est désormais évident que cette attaque ait été tout sauf précise. Pire encore, des questions gênantes sont aujourd’hui posées quant à la possibilité pour les règles et exemptions qui ont accompagné cette démonétisation d’avoir permis à certains propriétaires d’argent noir de blanchir leurs réserves. C’est pourquoi Modi choisit maintenant de présenter la démonétisation comme un moyen d’encourager le développement d’une société sans espèces.
Et pourtant, l’idée d’une guerre contre le capital non-déclaré reste centrale à la démonétisation, ce qui signifie que Modi devra trouver d’autres manières de poursuivre son agenda. Le gouvernement a déjà commencé à faire des perquisitions chez des individus soupçonnés d’avoir dissimulé des actifs autres que des espèces, comme par exemple de l’or.  
Beaucoup s’inquiètent de voir les perquisitions redevenir chose fréquente, ce qui a poussé le gouvernement à tenter d’apaiser la situation en clarifiant, entre autres, que rien ne se passerait si « les réserves d’or des individus se limitent à 500 grammes d’or par femme mariée, 250 grammes par femme non-mariée et 100 grammes par homme ». Il a également ajouté que les bijoux ne feraient l’objet d’aucune limitation, si tant est qu’ils proviennent d’un héritage. L’agent en charge d’une perquisition a « la possibilité, à sa seule discrétion, de ne pas saisir une quantité plus importante encore de bijoux ».
Cela signifie, malheureusement, que les agents fiscaux de l’Inde ont gagné la loterie. Lors d’une perquisition, ils peuvent décider de confisquer, ou non, les réserves d’or d’une famille. Les Indiens possèdent de très importantes réserves d’or – estimées à 20.000 tonnes, dont une majeure partie a été héritée. Les lois qui s’appliquent aux mandats de perquisition simple sont différentes, mais très peu le savent. Plutôt que de faire le ménage en matière de gestion fiscale, le gouvernement a offert aux agents de perquisition plus de pouvoir qu’ils n’en ont eu depuis des décennies. Les riches paieront le nécessaire pour qu’on les laisse en paix, les autres souffriront 
Les riches s’en sortent, les autres souffrent
La dernière phrase de l’article précédent en dit long sur ce qui se passe aujourd’hui : « Les riches paieront le nécessaire pour qu’on les laisse en paix, les autres souffriront ».
Les preuves dont nous disposons poussent à croire que ceux qui ont des contacts politiques, ainsi que leurs amis, ont été avertis de ces mesures. Tous les autres se sont retrouvés coincés.
Les perquisitions d’or renforcent la guerre que mène le gouvernement indien contre les espèces. Et ce genre d’actions finira ultimement par faire grimper la demande en or.
Qu’arrivera-t-il ensuite ?
Je ne cesse jamais de me demander ce qui arrivera ensuite. Certains prétendent le savoir. J’admets être dans le noir. Je suis sûr que nous avançons vers une crise des devises, mais suis incapable de déterminer quand elle se présentera. Et la liste des candidats potentiels ne cesse plus de se rallonger.
Je me suis principalement penché sur le Japon, la Chine et l’Union européenne. L’Inde m’a pris par surprise, mais s’intègre dans ma théorie générale selon laquelle une goutte inattendue viendra bientôt faire déborder le vase, ailleurs qu’aux Etats-Unis.
Les décisions des Etats-Unis pourraient déclencher une crise des devises, mais je suis d’avis qu’une crise frappera d’abord un autre pays. Si je ne me trompe pas, l’or représentera de nouveau une valeur refuge dans toutes les devises, et principalement dans celle qui se trouvera à l’épicentre de la crise.

Source: 24hourgold.com/francais

Rumeurs de frappes contre l'Iran: la riposte sera foudroyante (Défense)


La République islamique opposera une riposte foudroyante à une attaque éventuelle d'Israël contre les sites nucléaires iraniens, a déclaré dimanche le ministre iranien de la Défense Mostafa Mohammad Najjar, commentant les récents exercices des forces aériennes de l'Etat hébreu. 

Selon lui, "une pression psychologique rigoureuse" est actuellement exercée sur Téhéran afin de l'amener à renoncer aux technologies nucléaires civiles. 

"La République islamique ne prendra jamais l'initiative d'aggraver la tension ou de provoquer un affrontement, mais elle punira sévèrement l'agresseur", a souligné le ministre de la Défense. 

M. Najjar estime que les "actions de propagande" telles que les exercices de l'aviation israélienne ont pour but de "torpiller les efforts diplomatiques" visant à régler la situation entourant le programme nucléaire iranien. 

Dimanche, l'état-major général des forces aériennes grecques a officiellement confirmé avoir effectué, du 28 mai au 12 juin, des manoeuvres conjointes avec l'armée de l'air de Tsahal. 

Selon le New York Times, les exercices ont réuni plus de 100 chasseurs israéliens F-16 et F-15, ainsi que des hélicoptères et des avions ravitailleurs. Ces aéronefs ont parcouru plus de 900 milles (1.449 km), soit une distance similaire à celle qui sépare Israël de l'usine iranien d'enrichissement d'uranium de Natanz.

L'Iran avertir donc Israël et Dubaï par cette menace.

Source: alterinfo.net / Internet


Qui a laissé Daech regrouper 5.000 djihadistes près de Palmyre… en passant inaperçus?


Après avoir regroupé leurs forces, plus de 5000 djihadistes, dont certains en provenance de Mossoul, sont entrés dans Palmyre en utilisant des voitures piégées et des kamikazes. Le directeur de l'Institut des études stratégiques de Damas dévoile à Sputnik à qui sont les satellites et le matériel militaire qui leur ont permis d'entrer dans la ville.

Plus de 5 000 djihadistes, avançant dans trois directions, du nord, de l'est et du sud, sont entrés dans Palmyre, une cité reprise à Daech en mars 2016. La manœuvre de djihadistes est devenue possible notamment parce que les frappes de la coalition sur Raqqa ont été suspendues cette semaine. 


Daech utilise des voitures piégées et perce la défense à Palmyre À l'heure actuelle, l'armée syrienne se trouve près de la ville, les forces gouvernementales ayant également réussi à évacuer la plupart des civils de Palmyre et se regrouper. Les troupes syriennes mènent en ce moment des combats défensifs et dans les heures qui viennent l’armée va passer à la contre-attaque, raconte à Sputnik le Dr Taleb Ibrahim, directeur adjoint de l'Institut des études stratégiques de Damas. Même si la plupart des civils ont été évacués par l’armée gouvernementale, il reste selon ses estimations entre 300 et 500 personnes sur place. 

D’où viennent ces 5 000 djihadistes? Les terroristes se sont réunis près de Palmyre en provenance de lieux différents, y compris de Mossoul, une ville qui n'a d’ailleurs pas encore été reprise par la coalition menée par les États-Unis alors même qu'ils projetaient d'y lever le drapeau du vainqueur le 8 novembre, jour de l’élection américaine, et l'envisagent maintenant pour le 20 janvier, jour de l’investiture de Donald Trump. Du coup, détail intéressant pour les terroristes s’abritant dans Palmyre, la coalition a ouvert un corridor grâce auquel ils se sont retrouvés… justement dans Palmyre. 

«À Palmyre, Daech prend revanche pour Alep» Quant à l’attaque, elle a été soudaine selon le spécialiste. Près de 5 000 combattants de Daech sont entrés dans la ville et l’armée syrienne s'est montrée incapable de repousser l’attaque tout de suite, toutes ses forces étant centrées sur Alep. Mais le facteur principal de la défaite a été, selon Taleb Ibrahim, la stratégie de Daech: les djihadistes l’appellent « l’attaque des frelons ». Au début, ils forment de petits groupes pour ensuite entamer des séries d’attaques jusqu’à ce qu’ils prennent le contrôle de l’armée. Mais alors que Daech est confronté à au moins à deux grandes offensives dans Mossoul, au nord de l’Irak et à Raqqa, la « capitale » des terroristes en Syrie, d’où viennent ces 5 000 combattants? 

 Kremlin: la prise de Palmyre par les terroristes ternit l’image de toute l’humanité « Je crois que Daech coopère avec le renseignement. Il y a quelques jours seulement, ils n'auraient pas pu organiser une telle offensive. Tout le monde sait que les Forces démocratiques syriennes s’apprêtaient à attaquer Raqqa. Alors, ils ont organisé une rencontre avec les représentants des États-Unis pour discuter d'un plan d’action. Et soudain, tout a été annulé et Daech a reçu le feu vert pour la prendre Palmyre. Et d’ajouter: « Je pense que l'attaque contre Raqqa a été annulée suite à l’ordre de quelqu'un au sein des services de renseignement américain ou du Moyen-Orient».  

« Entre 4 et 5 000 personnes ainsi que des centaines de chars et de matériel militaire ont été impliqués dans l’offensive. Mais c’était impossible à faire, car des avions, des satellites et d'autres outils d'observation de la coalition se trouvaient à Raqqa. Comment les combattant de Daech ont-ils réussi à passer inaperçus? Je suis sûr que Daech coopère avec la CIA et d'autres agences de renseignement au Moyen-Orient », conclut le directeur adjoint de l'Institut des études stratégiques de Damas.

Source: sputniknews.com

La deuxième vague d' énergie cosmique devrait frapper Terre le 26 décembre


La NASA avait annoncé cette vague sans plus de précision. Voilà que les calculs seraient sortis. La date de 26 décembre est retenue pour cet événement, qui serait plus puissant que celui de 2004 et ses 240,000 victimes.

Un petit rappel sur le tsunami qui avait fauché ces vies après un énorme tremblement de terre près de Sumatra dans l' océan Indien et qui avait pris les gens par surprise. Quelques jours avant de frapper, il y avait eu des séismes importants.

Cette même situation est actuellement en cours, la semaine passée il y a eu un séisme de 7.8 en Indonésie et le 6.7 près des côtes Californiennes. Alors l' avenir proche nous dira si la NASA voit juste ou non.

Il est impossible de savoir le lieu exact et si cette vague nous touchera avec fracas. Pour le moment, soyez informés de cette possibilité venant du Cosmos.

Benoît Godin, multiples sources Internet

dimanche 11 décembre 2016

L' armée syrienne cherche à empêcher Daech de s'installer à Palmyre


L'armée syrienne a reculé du centre vers les banlieues de Palmyre et cherche à reprendre le contrôle de la ville attaquée par Daech. Les terroristes n'ont pas repris le contrôle de la partie historique de Palmyre.

Les troupes gouvernementales syriennes combattent les terroristes de Daech dans les banlieues de Palmyre qu'ils avaient reprise à Daech en mars 2016, a annoncé dimanche Talal al-Barazi, gouverneur de la province de Homs. "Les commandants de l'armée syrienne ont décidé de quitter le centre de la ville de Tadmor (Palmyre) et de se déplacer vers les banlieues", a indiqué le gouverneur cité par la chaîne de télévision Al-Ikhbariyah TV. 

Selon lui, cette décision s'explique par la supériorité en forces de Daech qui attaque Palmyre de plusieurs directions à la fois. "L'armée syrienne inflige des pertes aux groupes de Daech", a ajouté le gouverneur al-Barazi. Rossiya Segodnya a antérieurement appris d'une source informée que les habitants de Palmyre avaient été évacués et que des combats acharnés entre l'armée syrienne et Daech se poursuivaient à la périphérie de la ville.   


Palmyre: les habitants évacués, les combats avec Daech se déroulent à la périphérie. Toutefois selon le chef de la commission principale des antiquités et des musées de Syrie Ahmed Deeb, Daech n'a pas pris le contrôle de la partie historique de Palmyre. "La situation est difficile. On peut dire que la partie historique de Palmyre est de nouveau en danger, mais on ne peut pas affirmer qu'elle est tombée entre les mains des terroristes, les combats continuent", a indiqué M.Deeb.  


Selon le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, plus de 4 000 membres de Daech ont entrepris dimanche une nouvelle tentative de s'emparer de Palmyre. Daech y avait envoyé des renforts en effectifs et en matériels de Deir ez-Zor (Syrie) et de Raqqa (Irak) où la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis avait suspendu cette semaine son opération militaire contre Daech. 


Ces derniers mois, le groupe terroriste État islamique (Daech) a tenté à maintes reprises de déloger les troupes gouvernementales de leurs positions défensives. Les terroristes ont ainsi concentré d'importantes forces à l'ouest de Palmyre et cherchaient à s'emparer des champs pétroliers de Jazel et de Shaer. Leurs tentatives n'ont pourtant pas été couronnées de succès. Depuis une semaine cependant, le nombre d'attaques de la part des terroristes a grimpé en flèche. Les combattants de Daech ont réussi en outre à s'emparer de plusieurs hauteurs de la chaîne de montagnes de l'At-Tar, tout près de Palmyre.


Source: sputniknews.com

Trump menace de ne plus reconnaître le principe de la Chine unique


Le président élu des Etats-Unis a menacé de ne plus reconnaître le principe de la Chine unique, qui a conduit Washington à interrompre en 1979 ses relations diplomatiques avec Taïwan, si Pékin ne fait pas de concessions en matière commerciale.

«Je ne veux pas que la Chine me dicte ce que je fais», a-t-il déclaré sur la chaîne Fox, défendant avec véhémence sa récente conversation téléphonique avec la présidente de Taïwan, Tsai Ing-wen.
Il a expliqué qu'il aurait été insultant de pas répondre à l'appel de la présidente taïwanaise qui voulait le féliciter pour sa victoire.

«Je ne sais pas pourquoi nous devons être liés à une politique d'une Chine unique, à moins que nous passions un accord avec la Chine pour obtenir d'autres choses, y compris sur le commerce», a-t-il estimé.
Outre les questions commerciales, Donald Trump a accusé la Chine de ne pas coopérer avec les Etats-Unis sur sa politique de taux de change, ainsi que sur les armements nucléaires ou encore sur les tensions dans la mer de Chine méridionale, où Pékin renforce fortement sa présence militaire.

Concernant la menace constituée par les armes nucléaires de la Corée du Nord, le président élu a fait valoir que la Chine, le principal allié de Pyongyang, «pourrait résoudre ce  problème».
Mais« ils [les Chinois] ne font rien pour nous aider», a-t-il lancé.
Pourtant, la Chine a voté fin novembre en faveur de nouvelles sanctions, lorsque l'ONU a resserré l'étau des sanctions internationales autour de la Corée du Nord en plafonnant les exportations nord-coréennes de charbon vers la Chine.

Source: rt