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samedi 18 mars 2017

Un défecteur Nord-Coréen clame que le prochain essai nucléaire sera l' apocalypse!



Un haut dirigeant de la Corée du Nord qui a fuit son pays a annoncé que le prochain essai nucléaire de la Corée du Nord aurait des effets dévastateurs - pas seulement pour ce pays communiste, mais aussi pour le reste du monde.
Dans un interview avec la Voix de l' Amérique ( VOA ), Thae Yong Ho,  ancien député ambassadeur à Londre, mentionne que le dictateur Kim Jong Un aurait l' intention de faire un nouvel essai nucléaire beaucoup plus puissant que ceux d' auparavant.
Et les résultats pourraient être bien dévastateurs.
Vidéo anglaise:
Ce jeudi 16 Mars, l' agence Yonhap News a rapporté que, Selon le 38e Nord, un site régit par l' Institut Amiréco-Coréenne à l' Université John Hopkins sur les Études Internationales Avancées, les images satellites de la Corée du Nord du site d' essais nucléaires à Punggye-ri montrent des excavations substantiels de tunnels au portail Nord. C' est au même endroit où les quatre derniers essais souterrains ont eu lieu.
Ceci est le site qui est particulièrement inquiétant pour le détecteur nord-coréen.
“ Un essai nucléaire à lequel le Nord tente de conduire à Punggye-ri brisersit le pays en deux pièces, ” annonce Yong Oh.
Si un tel essai était dirigé, il serait 14 fois plus puissant que les précédents Selon Yonhap.
En plus d'être un diplomate Nord-coréen, Thae Yong Ho était aussi un analyste pour l' Institut National de la Stratégie Sécuritaire. Il mentionne que les rails et toutes majeurs du pays passent près de Punggye-ri.
“ Si une explosion massive créant une pollution dans cette région et subséquemment  Pyongyang perdant le contrôle sur les frontières d de la province Nord Hamkyong, une défection massive pourrait survenir à cet endroit, ” a-t-il ajouté, comparant les conséquences d'une telle explosion à un apocalypse. 
Thae Yong Oh fait remarquer que Punggye-ri n' est pas très loin de la Chine, indiquant qu'il serait prudent de la part de la Chine d'aider à prévenir la Corée du Nord  de ne pas faire aucuns essais.
C' est apeurant de penser qu'il y a quelques années, un si petit pays et son arsenal nucléaire pourrait avoir des missiles pouvant atteindre et frapper le sol des États-Unis. Le dictateur Kim doit être arrêté avant qu'il poursuive avec plus d'informations essais. 
Le Présidentent Donald Trump n' a pas créé cette situation alarmante, mais doit y faire face d' une manière que l' ancien Président Barack Obama n' a pas fait. Et le plus tôt est préférable.
Source: H/T Breitbart 
Traduction: Benoît Godin

Moscou attend des explications US suite au bombardement d’un village syrien

 

Une photo représentant un fragment du missile Hellfire retrouvé après le bombardement du village syrien d'Al-Jineh devrait forcer le Pentagone à sortir de son silence, indique le ministère russe de la Défense.

La Russie attend des commentaires du Pentagone au sujet du bombardement du village syrien d'Al-Janah, la photo représentant un fragment d'un missile Hellfire devant le contraindre à sortir de son silence, a déclaré vendredi aux journalistes le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov.

« L'incident tragique dans le village syrien d'Al-Jineh a permis de révéler le mécanisme réglé du système occidental de propagande antirusse avec la participation des médias mainstream. Les premières informations sur les victimes de masse suite au bombardement ont été diffusées par l'Observatoire syrien des droits de l'homme de Londres et les activistes des Casques blancs étaient traditionnellement à l'origine de ces informations », a-t-il signalé.
 
 
Selon le porte-parole, ces informations contenant des soupçons visant l'aviation russe ou syrienne ont été rapidement publiées par des médias européens tels que Bild et Euronews. M. Konachenkov a estimé que tout était réuni pour que la procédure habituelle soit appliquée, à savoir des publications de faux suivies de déclarations des ministères français ou britannique des Affaires étrangères demandant l'ouverture immédiate d'une enquête.
« Mais ça n'a pas été le cas… Par contre, une photo représentant un fragment d'un missile d'aviation de type sol-air AGM-114 Hellfire retrouvé sur le lieu de l'explosion a été dévoilée. Elle n'a laissé aucune possibilité à la coalition internationale de garder, comme d'habitude, le silence et aux diplomates de verser dans la rhétorique antirusse », a indiqué le porte-parole.
Selon M. Konachenkov, il faut s'attendre à des commentaires de la part des représentants américains. Le porte-parole précise que l'incident dans le village syrien d'Al-Jineh a montré qu'avant de faire des conclusions, les médias mainstream devraient étudier les faits.
En évoquant la situation, le ministère russe des Affaires étrangères a pour sa part indiqué que Moscou appelait à la coopération dans la lutte contre les terroristes internationaux en Syrie.

Source: sputniknews.com

Les messages de la riposte syrienne

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
heures après le raid aérien israélien contre une base militaire syrienne dans la banlieue de Palmyre, Israël est toujours en état de choc. La presse israélienne regorge de commentaires qui évoquent tous la fin de la suprématie "de l'Armée de l'Air" israélienne dans la région. Mais outre cet aspect, il existe d'autres dimensions de la riposte de la DCA syrienne aux frappes d'Israël.
Ron Ben-Yishai, expert en questions militaires et sécuritaires au journal Yediot Aharonot relève surtout les " missiles qui ont servi à la riposte syrienne et ont provoqué la chute de l'un des quatre chasseurs israéliens ": " Assad semble avoir une totale confiance en soi. Si cette fois, il a riposté au raid israélien, c'est parce qu'il avait l'aval de Poutine. Et d'ailleurs pour la première fois, le régime syrien a tiré des missiles S200 en direction des avions israéliens" , avions qui selon l'Israélien devaient bombarder des "missiles de longue portée du Hezbollah."
Pour justifier les frappes israéliennes qui se sont avérées un véritable fiasco et qui ont provoqué même une convocation de l'ambassadeur israélien au ministère russe des Affaires étrangères, Ben-Yishai a prétendu : " Une usine est située à proximité d'Al Safira dans le sud-est d'Alep. C'est une usine qui fabrique des missiles Scud-D d'une portée de 700 kilomètres". L'expert israélien se sentait particulièrement gêné de reconnaître que "le régime syrien utilise les missiles de fabrication russe S200, capables de traverser des distances de plusieurs centaines de kilomètres" bien qu'ils ne soient pas aussi "performants que les S300 et les S400 que possède aussi le régime syrien".
Pour Ben Yishai, " l'emploi par le régime syrien des S200 pour riposter contre Israël marque un tournant : la présence russe et iranienne et la victoire à Alep ont permis à Assad d'avoir recours aux armes stratégiques contre ses ennemis et n'avoir plus aucune peur".
Ben Yishai a avoué l'incapacité d'Israël à riposter " à la riposte syrienne" puisque cette fois Moscou s'est pleinement engagé aux côtés de Damas : " le tir des S200 russes alors que les avions israéliens se trouvaient loin du territoire syrien est un avertissement. Tout peut basculer en l'espace de quelques secondes et une vraie confrontation pourrait avoir lieu"
Un autre journal israélien, Haaretz, estime de son côté que " Bachar al-Assad tente de changer les règles du jeu de façon pas trop criante". Le journal écrit : "Il est peu probable qu'Assad veuille impliquer Israël dans la guerre où de nombreuses parties sont présentes. .. mais il y a une nouveauté qui est fort dangereuse. Un missile antimissile syrien a pénétrée dans l'espace aérien israélien, un missile qui aurait pu provoquer des dizaines de morts, s'il s'écrasait sur le sol". Israël prétend avoir abattu le missile antimissile syrien, via son bouclier antimissile Arrow.
"Mais une chose est sûre : en ripostant au raid aérien israélien, Damas et ses alliés ont fait passer un message à Israël: la politique de retenue adoptée par Damas face à Tel-Aviv n'est plus d'actualité et Israël devra choisir : viser les positions du Hezbollah en territoire syrien ou se préparer à une intervention plus large dans la guerre en Syrie".
 
Source: parstoday.com

Pékin critique le déploiement du THAAD

 
S’opposant encore une fois au déploiement du système antibalistique THAAD des États-Unis en Corée du Sud, la Chine a déclaré qu’il violait sa sécurité nationale.
L’opposition de Pékin intervient un jour après que Séoul a confirmé l’arrivée du radar en bande X du THAAD en Corée du Sud.
Un jour avant la première visite officielle à Pékin du secrétaire d’État américain Rex Tillerson, la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying, a déclaré ce vendredi 17 mars que la position de son pays envers le système antibalistique THAAD n’avait pas changé.
Selon les médias locaux, Rex Tillerson doit s’entretenir avec le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi du déploiement du système THAAD en Corée du Sud.
« Pékin dispose de raisons suffisantes et logiques pour s’opposer au déploiement du THAAD en Corée du Sud. Nous appelons, une fois de plus, les parties concernées à respecter les préoccupations logiques de la Chine et à renoncer à l’installation d’un tel système en Corée », a dit la porte-parole de la diplomatie chinoise.
« Nous ne nous opposons pas à ce que la Corée du Sud prenne des mesures pour assurer sa sécurité. Mais ces mesures ne doivent pas nuire aux intérêts sécuritaires de son voisin », a-t-elle précisé.
Pour rappel, les États-Unis ont déployé les premiers éléments de leur système THAAD en Corée du Sud le lundi 6 mars.
Source: parstoday.com
 

jeudi 16 mars 2017

Économie : le monde va-t-il basculer cette semaine ? Le journal Die Welt l'affirme. En voici les trois raisons



Brexit voté par la Grande-Bretagne, élections aux Pays-Bas et hausse des taux d'intérêt aux USA, tels sont les trois ingrédients d'un cocktail explosif qui pourrait bien changer la face du monde en 48 heures. 48 heures plus tard, « le monde ne sera pas tel qu'il est maintenant: les événements des deux prochains jours auront un impact sur les marchés mondiaux, la devise européenne, ils changeront le visage de l'Europe et mèneront probablement à la faillite de toute une puissance mondiale », lit-on dans le journal allemand Die Welt. 
On entend le mot « Brexit » de toutes parts depuis juin 2016, mais en réalité, la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE n'a pas encore vu le jour, car la demande officielle de la sortie de l'Union européenne en conformité avec l'article 50 du Traité de Lisbonne n'a pas été déposée, soulignent des experts économiques du journal allemand Die Welt. 

« Pourtant, cette loi pourrait être signée mardi. Suite à son approbation par la reine Elizabeth II, le Premier ministre Theresa May présentera la demande au Conseil européen », ajoutent-ils. 

Ainsi, de nombreux experts supposent que Theresa May le fera mardi ou mercredi, tandis que d'autres analystes politiques estiment que le Premier ministre n'entamera pas la procédure à la veille des élections aux Pays-Bas, mais qu'elle attendra jusque fin mars. 

« En conséquence, débutera la partie dure du Brexit », prévient l'analyste agence de notation Fitch James McCormack. Selon lui, les Britanniques se retrouvent dans une situation difficile, car « ils ignorent la facture que leur fera payer l'Europe ». 

La dette est pourtant d'ores et déjà un grave problème pour le Royaume-Uni: le gouvernement et les citoyens vivent au-dessus de leurs moyens. La dette britannique atteint donc environ 90 % du PIB du pays. 

Par conséquent, le capital étranger est extrêmement important pour la Grande-Bretagne. Pourtant, « si les investisseurs perdent confiance, le pays sera menacé par une crise financière comme dans les années 1970, lorsque le FMI a aidé le Royaume-Uni. Ainsi, beaucoup dépend de la réaction des investisseurs étrangers à la demande de la sortie du pays de l'UE », selon le journal allemand. 

L'article mentionne également que les prochaines élections aux Pays-Bas marqueront le début de « l'année européenne des super-élections ». Si le populiste de la droite Geert Wilders remportait la victoire, il ne parviendrait pas probablement à créer un gouvernement majoritaire. Néanmoins, l'UE a toutefois peur d'un effet domino: si la droite se renforce en Europe, une possible victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle n'effrayera plus les électeurs français. 

Mercredi soir, le chef de la Réserve fédérale américaine Janet Yellen augmentera les taux directeurs, ce qui ne plaira d'ailleurs à personne. Et « si la plus puissante banque centrale du monde augmente le prix de la devise la plus importante du monde, les effets secondaires ne sont pas exclus », s'inquiètent les auteurs de l'article. 

Les marchés financiers les qualifient de « malédiction de la Réserve fédérale des États-Unis » et rappellent que chaque effondrement boursier a été précédé d'une augmentation du taux de base, comme cela a été le cas en 1974, 1987, 2000 et 2008. Cet événement, comme le souligne le média, « peut réduire à néant tous les plans politiques de Donald Trump ». 

« Le programme visant à stimuler l'économie, pour un montant de mille milliards de dollars sera principalement financé à crédit et ne pourrait être réalisée qu'avec de l'argent pas cher », concluent des experts.

Source: wikistrike.com

L’unité d’élite US qui a tué Ben Laden va conduire des exercices militaires contre la Corée du Nord



Alors que la Corée du Sud et les Etats-Unis mènent des fmanœuvres militaires aux frontières avec la Corée du Nord, auxquelles vont se joindre des unités d’élite, Pyongyang a mis en garde quant à une possible riposte.
Des forces d’opération spéciales américaines vont «participer aux exercices Foal Eagle et Key Resolve de cette année [2017] pour réaliser des missions d’infiltration au Nord [en Corée du Nord], éliminer son commandant en chef [Kim Jong-Un] et démolir ses infrastructures militaires clés», a déclaré un responsable sud-coréen à l’agence de presse basée à Séoul, Yonhap News, le 13 mars.
Parmi les participants américains aux exercices, qui ont déjà débuté, vont se joindre les Rangers, la Delta Force, mais aussi la SEAL Team 6, notamment réputée pour avoir conduit l’opération ayant mené à la mort du leader d’al-Qaïda Oussama Ben Laden, en 2011. Des avions de chasse F-35 simuleront par ailleurs des frappes contre des sites stratégiques nord-coréens.


Cité par le journal britannique the independent, Gary Ross, commandant de la Marine américaine, a toutefois nuancé l’objectif de la mission, assurant qu’il ne s’agissait pas d’entraîner les militaires à renverser Kim Jong-un, mais uniquement de «renforcer les capacités de l’alliance entre la République de Corée et les Etats-Unis».
De son côté, Pyongyang a d’ores et déjà mis en garde d’«attaques sans pitié» si sa «souveraineté et sa dignité» étaient mise en péril, rapporte l’agence nord-coréenne KCNA. 

Source: rt

lundi 13 mars 2017

Détroit d'Hormuz : US Navy surpris!



Alors que les États-Unis utilisent largement leurs bâtiments d'espionnage contre l'Iran, ce pays ne compte pas rester les bras croisés : l'Iran serait sur le point de se doter des capacités de dissuasion « insoupçonnées ».
Le think Tank " Washington" fait publier un rapport qu'il intitule " L'Iran, sur le point de contrer la surveillance US" où il écrit : il semblerait que l'Iran soit bien désireux d'élargir la portée de ses missiles anti-navires et de contrer le processus systématique de surveillance auquel sont exposées ses activités balistiques . Les Iraniens sont si sérieux pour endiguer toute activité d'espionnage qu'ils se disent même prêts à une confrontation militaire."
Washington qui n'évoque évidemment pas l'aspect totalement illégitime de la présence militaire américaine dans la région du golfe Persique revient sur ce qu'il qualifie de " face-à-face" entre les vedettes rapides du Corps des Gardiens de la Révolution islamique et un navire de guerre US le 4 mars 2017. Un communiqué du CGRI avait d'ailleurs confirmé cette information en soulignant que le bâtiment US accompagné de navettes britanniques s'était approché des eaux territoriales iraniennes.
" Les bateaux iraniens ont barré la route au navire américain et la flotte qui l'accompagnait le poussant à changer de cap. Une chose est sûre : les bateaux iraniens se sont approchés du navire américain dans le strict objectif de l'empêcher d'espionner le dernier teste balistique de la RII"
Dans la suite de son article, le think Tank Washington reconnaît que le navire USS Invincible est un navire d'espionnage (navire américain précité est doté de dispositifs d'interception capables de déterminer très précisément la portée des missiles iraniens). " C'est vrai que l'USS Invincible avait pour mission de collecter des informations au sujet des essais balistiques iraniens et ce, à trois niveaux : surface, sub-surface, aérien. Le think Tank Washington évoque par la suite les propos du commandant en chef du département aérospatial du CGRI, le général Hajizadeh qui avait confirmé le test du missile balistique anti-navire "Hormuz-2" sur la côte de Makran dans la mer d'Oman, "un teste couronné de succès et qui a détruit sa cible située à 250 kilomètres " précise encore cet article. 
 Le Think Tank reconnaît que l'USS Invincible espionnait au moment des faits la zone où l'Iran effectuait son essai balistique, un essai impliquant un missile de type "active radar homing".  Et l’article d’ajouter : “ L'USS Invincible espionne depuis 2012 les activités balistiques iraniennes. Il a quitté le 23 janvier sa base à Bahreïn avant de la regagner le 6 mai. C'est pendant cette même période que l'Iran aurait testé un missile balistique de moyenne portée dans la région de Semnan, à 1000 kilomètres du détroit d'Hormuz et le tir aurait été effectué sous la surveillance rapprochée de l'USS Invincible”.
L'USS Invincible est capable de détecter les codes secrets qui s'échangent entre le missile et son site de lancement et ces données, une fois collectées pourraient servir pour renforcer la protection des batteries de missiles Thaad ou Patriot déployés par les États-Unis dans la région.
Le rapport se penche ensuite sur les testes balistiques effectués par l'Iran dans le port iranien de Jask, sur la côte de la mer d'Oman : " Jask s'est transformé ces dernières années en une base-pionnière pour surveiller le trafic maritime via le détroit d'Hormuz. La présence de cette base permettrait au CGRI de dépêcher très rapidement sur place ses forces et ses missiles de croisière et balistiques . Si on prend à la lettre le commandant Hajizadeh, et on croit au succès du teste du missile Hormuz-2, cela voudrait dire au clair que les missiles anti-navires téléguidés iraniens pourront désormais contrer la 5ème flotte US  dans le détroit d'Hormuz et la mer d'Oman. Ce genre de système balistique possède  en général un système radar actif et un autre système radar non-actif ainsi qu'un système optoélectronique. Ces dispositifs permettront au CGRI de contourner la 5ème flotte américaine à Bahreïn tout en traversant le détroit d'Hormuz”.
L'article affirme que l'incident du 4 mars est loin d'être " l'effet du hasard" : " cela pourrait faire partie d'un effort plus large fourni par le CGRI désormais décidé à bloquer toute possibilité de surveiller ses armements sensibles par l'Occident. L'Iran a d'ailleurs multiplié ces derniers temps ses avertissements contre l'apparition dans le ciel du golfe Persique des avions de reconnaissance occidentaux, avions qui ont pour mission de collecter des renseignement sensibles."
Le texte va encore plus loin dans la spéculation et conclut :" De tout ce qui précède on peut conclure que l'Iran travaille à un vaste plan de dissuasion qui viserait directement des navires de guerre stratégiques américains, plan qui rendrait certaines zones inaccessibles à nos forces. Les missiles Fareh-313 et Zolfaqar , ayant des portées de 500 et de 750 kilomètres feraient potentiellement partie de ce plan".

Source: parstoday.com