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samedi 19 novembre 2016

Syrie: nouvelle surprise pour Poutine ?



Alors que le nouveau président américain dit vouloir rompre avec la politique d'Obama en Syrie, en accordant la priorité non pas au renversement d'Assad mais à la lutte contre le terrorisme, DEBKAfile, site proche des milieux du renseignement de l'armée israélienne, fait des révélations intéressantes. 
À croire le site, Obama serait sur le point de préparer un coup de massue contre Trump et son équipe en Syrie :
"Plusieurs convois bourrés d'armes et d'équipements militaires américains auraient quitté ces derniers jours les bases américaines à Bagdad à destination de la Syrie. Ces armements sont destinés aux Kurdes syriens du Parti de l'union démocratique."
Selon le site, ce serait Barack Obama en personne qui aurait donné l'ordre exprès que ce ravitaillement ait lieu dans les plus brefs délais, ce qui introduit une réelle rupture dans la politique syrienne de la Maison Blanche. Depuis 5 ans, les États-Unis veillaient à ce que des armements lourds, et surtout des missiles antiaériens et antichars, ne tombent pas entre les mains des Kurdes syriens.
Toujours d'après cette source, "de nouveaux convois sont attendus dans les jours à venir pour franchir les frontières irako-syriennes et débarquer dans le nord de la Syrie, ajoute DEBKAfile. Le site pro-israélien s'interroge en ces termes : "Mais pourquoi ce changement de cap d'Obama en Syrie, après cinq ans de refus de tout engagement militaire direct ?"
Le site énumère six raisons en se référant aux "sources russes" : 
1. Obama compte à tout prix jouer les trouble-fête : un accord serait sur le point d'être conclu entre Donald Trump, Vladimir Poutine et Recep Tayyeb Erdogan autour de la Syrie. En ce sens, le président sortant compte infliger son premier coup dur à Trump dans un dossier qui se promet d'être, s'il est résolu, l'un des succès retentissants du nouveau président aussi bien en termes de politique étrangère que de sécurité.
2. Les sources moscovites et ankariotes auxquelles DEBKAfile fait référence lui ont affirmé que l'accord précité devrait autoriser l'armée turque à lancer une offensive contre Raqqa à l'appui de l'aviation russe. Dans le même temps, la Russie et l'Iran intensifieraient leurs efforts pour libérer l'est d'Alep des mains des terroristes takfiristes. 
3. Cet accord censé favoriser "la libération de Raqqa" devrait devenir effectif à la mi-janvier 2017, c'est-à-dire au moment où Trump s'apprête à être investi président. C'est un moment propice, car d'ici là, la bataille de Mossoul aura, elle-aussi, sans doute pris fin. Trump et ses conseillers croient que le plan d'Obama pour la libération de Mossoul est un fiasco, car les forces irakiennes restent bloquées aux portes de la ville après quatre semaines d'efforts. Donald Trump chercherait donc à "libérer Raqqa" avant son entrée à la Maison Blanche, ne serait-ce que pour marquer un point face aux démocrates en ce qui concerne la lutte contre Daech. Obama aura donc tout intérêt à jouer les trouble-fête et à faire en sorte que le plan tombe à l'eau
4. Toujours à en croire DEBKAfile, Trump aurait demandé à plusieurs officiers à la retraite de surveiller de près la situation dans les provinces kurdes de la Syrie et en Irak et de l'en tenir informé. 
5. Une fois dotées d'armes de fabrication américaine, les forces militaires kurdes, dont le nombre est de 45.000, sauront contrer l'armée kurde et son action à Raqqa. Si Erdogan est réellement décidé à utiliser ses soldats pour mettre en échec Daech à Raqqa, le spectacle de Kurdes armés jusqu'aux dents serait en mesure de le dissuader, prévoit le plan d'Obama.
6. Les sources que cite DEBKAfile n'écartent pas la possibilité de raids aériens menés par la Russie et la Turquie contre les convois d'armes et de munitions à destination des Kurdes de Syrie, d'autant plus que tous les mouvements liés à ces convois d'armes sont repérés par les radars russes et turcs. L'équipe de Trump aurait même discuté d'un tel scénario avec Ankara et Moscou. 
Le site israélien n'a évoqué aucune preuve à l'appui de cette information, se contentant de multiplier les références aux sources basées à Ankara et à Moscou. 

Source: parstoday.com

Europe : 80 membres de Daesh prêts à passer à l’acte, selon un expert du renseignement néerlandais


Le coordinateur de la lutte antiterroriste aux Pays-Bas a tiré la sonnette d’alarme, estimant que l’organisation Daesh avait entre 60 et 80 membres répartis sur le territoire européen et prêts à y mener des attentats.

L’expert néerlandais Dick Schoof a déclaré à l’agence Associated Press que de nombreuses recrues du groupe terroriste recevaient des messages «leur demandant de ne pas venir en Syrie ou en Irak, mais de préparer des attaques en Europe». Parmi ceux-ci, entre 60 et 80 djihadistes seraient prêts à passer à l’acte, a-t-il estimé.
Si le membre du renseignement a souligné que le nombre de «combattants terroristes étrangers» en Europe n’avait pas augmenté ces six derniers mois, il a indiqué que cela ne signifiait pas pour autant «que la menace potentielle de ceux qui seraient partis est diminuée».

Source: rt

mardi 15 novembre 2016

Le maire de New York exhorte les Américains à poursuivre les manifestations contre Donald Trump



Pointant du doigt les commentaires du président élu sur l'avortement, soulignant l'élection d'un «extrémiste de droite» à la Maison Blanche, Bill de Blasio a appelé les Américains à continuer à protester.

Après des jours de protestations – qualifiées d'émeutes par les autorités – à New York et dans de nombreuses villes des Etats-Unis, Bill de Blasio en a remis une couche.
Le maire de New York a affirmé que la résistance était nécessaire, car le magnat de l'immobilier risquait de perdre le vote populaire – Hillary Clinton dispose de 700 000 voix de plus selon le dernier décompte d'Associated Press. Un état de fait qui, à ses yeux, remet en question la légitimité dont dispose Donald Trump pour diriger le pays.
«Dans ce pays, plus la déstabilisation est causée pacifiquement, plus elle va changer la trajectoires des choses», a expliqué Bill de Blasio dans une interview radio.

Il a également juré de protester contre tout plan du gouvernement fédéral de déporter les Newyorkais sans papiers et s'est avoué choqué par la position réaffirmée de Donald Trump sur l'avortement. Le futur président a en effet annoncé qu'en remplacement du juge décédé Anthony Scalia, il nommera à la Cour Suprême, un juge opposé à l'avortement.
La nomination de Steve Bannon, ancien directeur du site internet Breitbart, à la Maison Blanche  au poste de stratège et de conseiller n'est pas non plus du goût du maire de New York, qui considère ce site d'information comme «une organisation qui a été étroitement liée aux suprématistes blancs».

Bill de Blasio appelle donc à manifester mais estime ironiquement qu'il faut tenir Donald Trump responsable de tout ce qu'il fait qui «encourage la haine et la division [...] Plus il est extrême, plus les gens ripostent, plus cela affaiblit son pouvoir».
Les relations entre les deux hommes sont tendues depuis de longs mois, le nouveau président l'ayant notamment qualifié de «pire maire de l'histoire de New York».
Le milliardaire à réagi en deux temps à ces manifestations. Il a d'abord mis en cause  des manifestants professionnels et les médias, coupables selon lui de les provoquer.

Source: rt

Un système russe brouillera les communications des troupes US et de l’Otan


Les responsables des communications haute fréquence au sein de l’armée américaine et de l’Otan ont de quoi s’inquiéter: un concepteur russe annonce la mise au point d’un système de lutte électronique susceptible de les neutraliser.
Un nouveau système stratégique de lutte électronique mis au point en Russie sera capable de neutraliser le signal du Système global de communications haute fréquence des Etats-Unis, a communiqué lundi le service de presse du groupe Technologies radio-électroniques (KRET en russe), concepteur du système.
Le groupe avait précédemment annoncé les essais réussis d’un sous-système destiné à réunir en un seul et même réseau les systèmes de lutte électronique les plus puissants en Russie, Mourmansk-BN.
« Le système stratégique national de lutte électronique développé avec la participation active du KRET constitue une réponse asymétrique au concept de guerre en réseau (network centric warfare) réalisé par les forces armées des Etats-Unis et de l’Otan. Notre système peut être qualifié de défense en réseau », indique le communiqué.
Le conseiller du directeur général adjoint du KRET Vladimir Mikheïev a précisé que le concept consistait à détruire le champ informatique ennemi et à empêcher la transmission et la réception de commandes et d’informations.
« Tout d’abord, le système servira à neutraliser les communications haute fréquence, plus particulièrement le Système global de communications haute fréquence des Etats-Unis (High Frequency Global Communications System) qui assure les communications entre tous les organes de commandement du ministère de la Défense, les avions et les navires des Etats-Unis et de leurs alliés », précise le communiqué.
Ce type de communications ne peut être remplacé que par les communications par câble résistant aux brouillages.
« Les communications par satellite ne sont pas suffisamment stables. Cela veut dire que le fonctionnement des systèmes se trouvant dans le rayon d’action des complexes russes, plus particulièrement des postes de commandement, des navires ou des avions, sera sensiblement compliqué », note le communiqué.
Source: french.almanar.lb.com

Le coup de fil Trump-Poutine crée un vent de panique à Bruxelles


Suite à la conversation téléphonique, apparemment « amicale et conciliante » entre Donald Trump et Vladimir Poutine, les deux pays semblent ouvrir une nouvelle ère de « coopération mutuelle ». Une nouvelle qui n’a pas manqué de susciter une panique dans les rangs des responsables de l’Union européenne.

« Cette nuit, Vladimir Poutine a été ramené de la « cambrousse internationale », lorsque le président américain élu a fait le vœu de s’assurer qu’une nouvelle ère de "coopération constructive" règne dans les relations des deux superpuissances rivales », lit-on dans le Daily Mail. Lors de la conversation, le républicain a notamment promis de collaborer plus étroitement avec leader russe, marquant « un dégel considérable » dans les relations russo-américaines, apprend-on de l’article. 


Londres compte dissuader Trump de coopérer avec la Russie Cet entretien semble avoir renforcé les craintes des dirigeants européens qui redoutent que la nouvelle administration américaine puisse reléguer l’Europe au second plan. Pire encore, les relations étroites entre Moscou et Washington pourraient créer des problèmes pour l’Union européenne, affirme le quotidien. Plusieurs hauts fonctionnaires de Bruxelles avaient déjà vertement critiqué M. Trump. Par exemple, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, avait déclaré que l’élection du milliardaire au poste de chef d’État constituait une « menace à la sécurité globale ». Le Daily Express indique pour sa part que si Donald Trump reconnaît vraiment l’appartenance de la péninsule de Crimée à la Russie il risque d’aggraver davantage les relations entre les États-Unis et l’UE.

Source: sputnik

Syrie: l’Occident ignore des attaques chimiques perpétrées par les terroristes


Le 13 novembre, les terroristes ont eu recours à des armes chimiques pour attaquer les positions de l’armée arabe syrienne à Alep. Cette fois-là, des frappes ont été menées dans les faubourgs de Karam al-Tarab à proximité de l’aéroport international. 28 militaires syriens ont été blessés lors de l’attaque chimique qui était une revanche des terroristes incitée par de récentes avancées de l’armée gouvernementale, dit le commandement des forces syriennes. Cet incident était le troisième cas de l’utilisation de matières toxiques au cours de ces derniers 15 jours.
Il est à noter que l’attaque précédente a eu lieu le 3 novembre quand des obus contenant des gaz toxiques ont été lancés dans le sud-est d’Alep.
L’attaque chimique menée le 30 octobre par les extrémistes à proximité de l’Académie Al-Assad a fait un mort et au moins 40 civiles blessés.
Selon les militaires syriens, dans tous ces cas, les terroristes ont recouru à des armes chimiques à base de chlore. La communauté internationale a complètement ignoré l’utilisation des substances toxiques par l’opposition syrienne. L’ONU n’a qu’annoncé que ses experts « étudieraient les détails ». Une enquête n’a pas même été entamée.
La veille, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) a publié un rapport où elle accusait l’EI mais aussi la Syrie d’avoir utilisé des armes chimiques.
Le texte prévoit également l’introduction des sanctions contre des infrastructures militaires et scientifiques syriennes. Dans ce cas-là, le Ministère des Affaires étrangères a tout à fait raison d’avoir condamné cette résolution en la qualifiant de subjective.
Il est évident que des organisations internationales sont de parti pris, compte tenu de leurs accusations injustesd’avoir tué des civils d’ Alep ou d’avoir bombardé des écoles et des quartiers d’habitation.
Il ne reste qu’à espérer que les soi-disant activistes occidentaux arrêteront d’accuser Damas d’attaque chimique et de « crime contre l’humanité » ainsi que de se taire devant les actes terroristes.

Source: journslinternational.wordpress.com

dimanche 13 novembre 2016

La Troisième Guerre Mondiale commence le 20 Novembre 2016. Mémorisez bien cette date.


L' article à été publié le 27 septembre 2016, je le place aujourd'hui sur mon blog, car on se rapproche de la date mentionnée. Est-ce encore un canular ou bien la réalité à venir? C' est encore à suivre....
Dans l’un des rapports les plus sombres jamais émis par le Conseil de sécurité (SC), les experts du Kremlin d’aujourd’hui mettent en garde le monde entier, que nous sommes tous maintenant « au bord du gouffre » après que le régime Obama s’est dressé, seul, contre le reste de l’Humanité. Il a bloqué la résolution des Nations Unies contre l’envoi d’armes dans l’espace, et que, une heure plus tard, il a activé pour la première fois dans l’Histoire son « bouclier antimissile » à la frontière de la Russie.
Avec le régime Obama rejetant la « dernière chance pour la paix » de l’Organisation des Nations Unies, et activant son bouclier antimissile contre la Fédération, le président Poutine a déclaré: « ce n’est pas un système de défense. Il fait partie potentiel nucléaire stratégique des États-Unis amené sur la périphérie, et, dans ce cas, l’Europe de l’est est cette périphérie et une autre étape de l’ébranlement de la sécurité internationales ». De son côté, le président du comité de défense de la Douma d’État, l’amiral Vladimir Komoyedov, a mis en garde  » ils [le régime Obama] se déplacent vers la ligne de tir – ce ne sont pas à 100% qu’ils nous visent; mais c’est à 200, 300, 1000% « .
L’incitation du régime Obama pour pousser le monde entier au bord de la guerre, vient de l’échec catastrophique des États-Unis pour soumettre la République Syrienne afin qu’elle puisse être utilisée par l’Arabie Saoudite et les États du Golfe pour construire des gazoducs vers l’Europe en vue de l’étranglement financier de la Russie, qui est que le plus grand fournisseur de carburant à l’Europe.

Alors que le régime Obama perd sa guerre syrienne, tout en étant aidé par les terroristes islamistes les plus radicaux dans le monde, il est parvenu, le 9 septembre, à un accord avec la Fédération pour permettre l’arrivée de l’aide humanitaire à la ville assiégée d’Alep. Mais 8 jours plus tard, le 17 Septembre, les Américains ont attaqué les troupes gouvernementales syriennes, avec plus d’une heure de bombardements aériens, tuant 62 d’entre eux et en blessant plus de 100 autres, brisant ainsi l’accord de cessez-le-feu conclu avec la Fédération. Ce bombardement était destiné à ouvrir la voie à une grande attaque d’ISIS contre les positions de l’armée syrienne.
Après ce meurtre délibéré des soldats gouvernementaux syriens protégeant les citoyens d’Alep, les Américain ont envoyé, le 18 Septembre, un de leurs Drones attaquer le convoi d’aide humanitaire envoyé à ces gens, tuant et blessant 200 personnes civiles accompagnant le convoi. La riposte russe est arrivée 3 jours plus tard. Le 21 Septembre, les navires de guerre russes ont tiré trois missiles Caliber sur le bunker des opérations de coordination USA/Israël/ISIS dans la région de Dar Ezza dans la partie ouest d’Alep, près de montagne Sam’an. Trente officiers étrangers, agents du renseignement israéliens, américains, etc. y ont été liquidés (voir la vidéo ci-dessous).
En ayant à expliquer au Congrès américain l’échec complet du régime Obama en Syrie, le secrétaire à la Défense Ash Carter et le général Joseph Dunford, président du Joint Chiefs of Staff, ont fait face, hier, au Comité sénatorial des services armés où ils ont été poussés à immédiatement établir une zone d’exclusion aérienne en Syrie pour que les Américains puissent « tuer à volonté ». La réponse du général Dunford a été claire et nette. Il leur a dit à juste titre: « en ce moment … pour que nous puissions contrôler l’ensemble de l’espace aérien en Syrie, il nous faudrait aller à la guerre contre la Syrie et contre la Russie ».
Comme suite à cet avertissement du général Dunford, le régime Obama est devenu le seul pays dans le monde à bloquer la résolution de l’ONU empêchant des armes dans l’espace, tout en forçant Israël, la Géorgie et l’Ukraine de s’abstenir (qui ont tous reçu des quantités massives d’armes américaines), puis à activer son bouclier antimissile contre la Fédération et que la Fédération avait déjà mis en garde signifierait une guerre nucléaire.

La raison pour laquelle le régime Obama a bloqué cette «dernière chance pour la paix » de l’ONU vient des «avances critiques» des États-Unis dans le domaine des armes spatiales au cours de la dernière année. Rien que l’an dernier, le président Obama, « prix Nobel de la paix », a scandaleusement alloué 5 milliards $ pour leur développement.

Pour savoir combien ces nouvelles armes spatiales d’Obama sont absolument terrifiantes pour la Fédération, il faudrait lire les rapports de nombreux experts, dont voici un échantillon.
« Dans une guerre du futur proche, 1000 missiles foncent sur la Russie à Mach 20. Chacun d’eux frappera ponctuellement les missiles nucléaires du Kremlin, les radars militaires, les bases sous-marins.

En quelques minutes, 80 pour cent de l’arsenal nucléaire de la Russie est détruit sans que les États-Unis lancent une seule arme nucléaire. Les réseaux militaires russes sont aveugles, la capacité de la nation à riposter éliminée ou fortement dégradée.

Les missiles entrants n’ont pas d’armes ordinaires, mais des véhicules de glissement hypersoniques développés en grande partie dans le secret dans le cadre du programme de Prompt Global Strike US. Ils se déplacent si vite, qu’il est impossible de les abattre. »
– Vice.com
Le ministre adjoint des Affaires étrangères, Sergueï Ryabkov a condamné la création, par le régime Obama, de son système de défense antimissile et le développement du Prompt Global Strike (PGS) dans l’espace. Il a en outre averti les Américains « nous sommes très préoccupés quant à la perspective de passer à une course aux armements dans le domaine de l’espace et nous insistons sur la nécessité d’un document juridiquement contraignant, qui interdirait le déploiement de systèmes d’armes de choc dans l’espace extra-atmosphérique » mais qui, hier, a été rejeté par le président Obama.
Avec le président Poutine qui a correctement déclaré que la Fédération pourrait « détruire l’Amérique en une demi-heure ou moins » ce rapport conclut, le peuple américain est délibérément tenu dans l’ignorance de la guerre totale que régime Obama, soutenu par la propagande médiatique, prépare. Des experts américains, tels que l’ancien responsable de l’administration Reagan, Paul Craig Roberts, ont récemment averti que les États-Unis sont «une nation morte qui marche» et le professeur Julian Zelizer, de Princeton, qui avertit cette semaine que « quelque chose de choquant » est réglé pour la course présidentielle et que « nous devrions tous nous accrocher à nos sièges«  en prévision d’une surprise en Octobre, qui pourrait prendre la forme d’une crise pour la sécurité nationale, et qui serait certainement une guerre mondial.

Source : nouvelordremondial.cc

Les manifestations anti-Trump dérapent, un homme touché par balle à Portland, USA


On s'y attendait, les manifestations anti-Trump qui mobilisent les Américains scandalisés par son élection ont fini par mal tourner. A Portland, des coups de feu ont été tirés, un homme serait touché.

 
Pacifistes pour la plupart, quelques manifestations anti-Trump sont plus tendues dans certaines villes américaines, au surlendemain de la victoire indiscutable de Donald Trump contre Hillary Clinton. 

A Portland, des coups de feu ont été tirés ce matin et un homme a été touché, selon les premières informations données par plusieurs médias américains. L'incident s'est produit lorsque des manifestants ont traversé le Morrison Street Bridge pour rejoindre le centre-ville. Les policiers ont alors utilisé des gaz lacrymogènes et des grenades à main incapacitantes pour contenir les perturbateurs. 

C'est alors qu'a agi, selon un témoin, l'auteur des coups de feu qui était à bord d'un véhicule en compagnie d'autres passagers. Il aurait commencé par tirer en l'air avant de réitérer son geste, cette fois en touchant la victime. Le pont est désormais cerné de véhicules de police, laquelle décrit le tireur comme étant un "adolescent mince à capuche"

Les manifestations de sont déroulées pour une quatrième soirée de suite. Si la tendance se maintient, il faudra commencer à voir une loi entrer en vigueur, voire la Loi Martiale! 
Entre-temps, ils restent mobilisés. Plusieurs dizaines de milliers de manifestants ont défilé samedi 12 novembre contre Donald Trump aux États-Unis, tandis que le président élu intensifiait ses consultations et a semblé édulcorer certaines de ses propositions de campagne.
"Pas d'Amérique raciste", "Donald Trump doit s'en aller", scandaient des milliers de manifestants dans les rues de Chicago, certains portant à la poitrine une épingle à nourrice, devenue symbole de solidarité avec les minorités attaquées par la candidat républicain pendant la campagne.

Sources: 7sur7.be // huffingtonpost.com

L' OTAN se prépare-t-il à un retrait des troupes américaines d’Europe après l’élection de Trump ?


Après l’élection inattendue de Donald Trump, qui a fortement remis en cause l’engagement de Washington au sein de l’OTAN durant sa campagne, l’Alliance se préparerait à l’éventualité d’un retrait des troupes américaines du Vieux continent.
Selon le magazine d’actualité allemand Der Spiegel, les stratèges de l’OTAN ont esquissé un rapport secret incluant le pire des scénarios possibles pour l’Alliance atlantique, selon lequel le nouveau président élu des Etats-Unis Donald Trump mettrait sa menace à exécution et ordonnerait aux troupes américaines de se retirer d’Europe.
«Pour la première fois, la sortie des Etats-Unis de l’OTAN est devenue une menace» qui pourrait mettre à mal l’existence-même du bloc, a déclaré un officier allemand de l’Alliance au magazine, sous couvert d’anonymat.

Source: sputniknews.com

Un tsunami de 2,5 mètres après un séisme de magnitude 7.9 en Nouvelle-Zélande


Après un fort tremblement de terre, la Nouvelle-Zélande se trouve face à une autre catastrophe: un grand tsunami s'approche de ses côtes.

Le service de protection civile a enregistré l'arrivée de la première grande vague après qu'un séisme a frappé l''île du Sud (l'une des deux principales îles de la Nouvelle-Zélande séparées par le détroit de Cook) dans la nuit de dimanche à lundi (entre 11h00 et 12h00 UTC). Les ondes atteignent 2,5 mètres, signale le site météorologique Weather Watch.





Le séisme a eu lieu à 56 kilomètres au nord de la ville d'Amberley et à 97 kilomètres de Christchurch, ville qui ne s'est pas encore complètement remise du tremblement de 2011 qui avait coûté la vie à plus de 180 personnes. Selon le Centre sismologique euro-méditerranéen (CSEM), il s'agit d'une secousse de magnitude 7.9 sur l'échelle de Richter.

Séisme de magnitude 7,9 dans l'ouest de l'Indonésie, alerte au tsunami Le foyer du séisme se trouvait à une profondeur de 10 kilomètres. Deux secousses se sont produites à 148 et à 76 kilomètres au sud-ouest de la capitale avec une magnitude de 6.2 et 5.7 respectivement. Une alerte aux tsunamis a été déclarée sur les côtes est des îles du sud et du nord de la Nouvelle-Zélande. En cela, les services de secours ont prévenu que la première vague du tsunami ne devait pas nécessairement être la plus haute et que de grandes vagues allaient apparemment se briser sur les côtes néo-zélandaises pendant plusieurs heures encore. De même, plusieurs secousses-écho ont été enregistrées suite au tremblement. Plusieurs localités se sont vues évacuées par la suite. Plus tôt, la ville de Kaikoura sur l''île du Sud a connu une rapide diminution du niveau des eaux de 2,5 mètres, ce qui témoigne de la formation d'un possible tsunami. Les autorités ont conseillé aux habitants locaux d'éviter autant que possible les plaines.




Une centaine de personnes manquent toujours à l' appel.

Avec un niveau élevé sur l' échelle de Richter, le nombre de répliques est aussi élevé. Plus de 50 tremblements de plus de 4.0 à 6.4 ont déjà été enregistré et augmentera avec les heures à venir.



Source: multiple Internet