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vendredi 19 février 2016

URGENT: Intrusion turque en Syrie: Hollande déclare risque de guerre entre la Turquie et la Russie

Le président François Hollande vient de déclarer qu’il y a un risque de Guerre entre la Russie et la Turquie car la Turquie est impliquée militairement sur le terrain. Le conseil de sécurité de l’ONU se réunit à 22h. La Russie vient de demander une réunion exceptionnelle du conseil de sécurité de l’ONU car la Turquie bombarde pour la 1ère fois les Kurdes à Azaz, Afrin et Alep avec de roquettes Toros 122mm et Kasirga transportés depuis la Thrace Orientale (frontière avec la Grèce). Alep. En même temps, à Moscou un conseil de guerre est en cours pour analyser la situation en Syrie et l’agression turque. Par ailleurs, le ministre saoudien des affaires étrangères, Adel al-Jubeir, a déclaré que son pays va livrer aux islamistes de systèmes de défense antiaérienne pour inverser la tendance comme cela avait été fait en Afghanistan. Source: europe1.fr//// Plus tot aujourd' hui: Les Kurdes menacent la Turquie “d’une grande guerre” Et cette perspective se précise. Depuis leur ambassade nouvellement ouverte à Moscou, la direction politique des Kurdes de Syrie a fait savoir que la Russie les “défendrait” si d’aventure l’armée turque franchissait la frontière pour détruire la guérilla kurde engagée contre les islamistes soutenus par Ankara. ///// Pour Erdogan, toute action en Syrie suppose un soutien –même minimal –de l’Otan et des USA. Mais la politique kurde de Washington constitue un obstacle presque insurmontable. Si Ankara veut sauver l’insurrection islamiste d’Alep et surtout empêcher la fermeture de sa frontière par les forces kurdes soutenues par la Russie, elle doit être au moins sûr de ne pas frapper les USA présents aux côtés des Kurdes lors de l’invasion. Et obtenir à cet effet la “neutralité” américaine. Source: breizatao.com //// Le tout survient après l' attaque meutrière en Turquie du convoi militaire qui a fait plus de 20 morts.Les prochaines heures sont extrêmement critique pour nous faire basculer dans la WW3! Soyez prêt au pire....

jeudi 18 février 2016

Discours de Sayed Nasrallah: Vent de panique en Israël

Raremen33t les discours de Sayed Nasrallah passent inaperçus en Israël, malgré toutes les mesures de censure. Il est arrivé des jours où ses diatribes étaient suivies par l’opinion publique israélienne tellement sa crédibilité était respectée. Cette fois-ci, l’effet de ses paroles est de loin le plus percutant. « Le Liban possède sa bombe atomique », a lancé le numéro un du Hezbollah d’un air plutôt malin, dans un discours prononcé à l’occasion de la commémoration du martyre des commandants de la résistance. Il avait auparavant détaillé qu’un seul missile suffisait pour que les 15 tonnes de gaz d’ammoniac qui se trouvent dans la ville de Haïfa, au nord de la Palestine occupée, puissent avoir l’effet d’une bombe atomique qui tue des dizaines de milliers d’Israéliens. Le numéro un du Hezbollah répliquait aux menaces israéliennes, dont celles du chef d’Etat-major israélien de vouloir détruire toutes les régions libanaises en cas de guerre, dont la totalité de la banlieue sud. Des responsables israéliens évoquent fréquemment ces temps-ci une troisième guerre contre le Liban et menace qu’Israël allait ramener ce pays 20 ans en arrière. À peine Sayed Nasrallah a-t-il brandi cette menace que toute la classe politique et médiatique s’est mobilisée. Laissant deviner un vent de panique qu’il fallait à tout pris calmer. Plus d’un ministre israélien sont montés à la barre. « Ce réservoir constitue une menace sécuritaire et environnementale dans le Golfe de Haïfa », a affirmé Ave Gbay, le ministre de l’environnement israélien selon lequel les autorités de l’occupation œuvrent pour transporter la production d’ammoniac au sud d’Israël, et sont prêtes à accueillir les propositions et les enchères pour construire une autre installation. « Depuis des mois, Israël œuvre pour transporter les réservoirs d’ammoniac vers un endroit plus sur », a dit Yaavov Lietsman, le ministre de la santé Israélien devant la Knesset ce mercredi, ont rapporté les médias israéliens selon le journal libanais al-Akhbar. De nombreuses ONG israéliennes se sont emparées de l’affaire, exprimant leur mécontentement des atermoiements du gouvernement israélien dans cette affaire. L’Association de Citoyens pour l’environnement a exprimé sont étonnement pour le journal israélien Maariv qu’en dépit du fait qu’en 2006, le Hezbollah a dirigé ses missiles vers ces réservoirs « cette bombe se trouve toujours à Haïfa». Même son de cloche de la part d’une autre ONG pour l’environnement, Tesloul, qui a confirmé par la voix de sa directrice le danger d’une attaque contre ce site, assurant qu’un seul missile suffisait pour tuer et blesser des dizaines voire des centaines de milliers de personne. Prenant au sérieux les menaces de Sayed Nasrallah, elle a critiqué les atermoiements du gouvernement israélien dans la décision d’évacuer ces réservoirs, "décision qui a été prise dans le passé mais n’a pas été exécutée". Une autre ONG israélienne, l’Organisation de l’Orientation Verte a commenté en disant que "la menace de Sayed Nasrallah est effective, réalisable et constitue une menace pour un million de personnes". « Le fait qu’un missile touche ces réservoirs constitue un danger mortel, beaucoup plus gravissime que n’importe quel missile. Ces produits sont toxiques, inflammables et peuvent causer des dommages inimaginables. Il ne faut surtout pas prendre de risque et évacuer nécessairement ces réservoirs », a-t-elle dit. Fait insolite tout de même dans cette ambiance de mécontentement: la municipalité de Haïfa s’est réjoui du discours de Sayed Nasrallah lui adressant ses remerciements d’avoir soulevé cette question, émettant l’espoir que cela pourrait inciter l’exécutif israélien à déplacer ces réservoirs, a rapporté le site francophone pro israélien Alya express Source: almanar.com.lb

Un autre essai nucléaire nord-coréen pourrait réveiller l'un des volcans les plus dangereux

Les séismologues ont averti que de nouveaux essais nucléaires nord-coréens pourraient provoquer l'explosion du mont Paektu, et ajouté que l'une des éruptions antérieures du volcan était l'un des plus grands événements volcaniques de l'histoire humaine. Le volcan, mesurant 2.744 mètres d'altitude, se trouve sur la frontière entre la Corée du Nord et la Chine. Sa dernière éruption s'est produite en 1903. Les scientifiques ont averti que l'augmentation de l'activité sismique au-dessous du mont, au cours des dernières années, a provoqué un soulèvement sismique et une hausse du niveau de dioxyde de soufre, ce qui suggère que la chambre magmatique est en pleine expansion, rapporte le quotidien britannique Telegraph. Le renseignement sud-coréen estime que Pyongyang se prépare à effectuer son cinquième essai nucléaire, ce qui pousse les scientifiques à avertir qu'une autre détonation pourrait réveiller le volcan endormi. "De forts mouvements sismiques du sol peuvent perturber la chambre magmatique d'un volcan, en accélérant ainsi l'activité volcanique. Une explosion nucléaire souterraine près d'un volcan actif constitue une menace directe", expliquent les chercheurs sud-coréens. Sa dernière grande éruption s'est produite en 946, elle est la troisième plus grosse éruption des 2 000 dernières années après celles du Tambora (Indonésie) et du Taupo (Nouvelle-Zélande). Le 6 janvier, la Corée du Nord a annoncé avoir fait exploser une bombe à hydrogène ou bombe thermonucléaire. L'essai en question a eu lieu sur le polygone de Punggye-ri (à quelque 70 km du mont Paektu), site historique des tests nucléaires nord-coréens. La magnitude du séisme provoqué par le test nord-coréen a été estimée à 4,85. Les séismologues avertissent que les explosions nucléaires souterraines de magnitude de 5,0 à 7,6 peuvent causer une surpression dans la chambre magmatique et provoquer ainsi une éruption. Le mont Paektu est considéré comme une montagne sacrée pour les Nord-Coréens. Les historiens du pays affirment que Kim Jong-il, l'ancien dirigeant, est né dans une cabane située sur l'un de ses versants tandis que son père, Kim Il-sung, menait une guérilla armée contre les occupants japonais. Source:wikistrike.com

mercredi 17 février 2016

Pékin déploie des missiles sur une île disputée, selon Taïwan

La Chine a déployé des missiles sol-air sur une île disputée en mer de Chine méridionale, ont assuré les autorités taïwanaises mercredi, Pékin soulignant avoir le droit de construire des systèmes d'"autodéfense" dans cette région stratégique. Le ministre taïwanais de la Défense a confirmé l'existence du dispositif après qu'un reportage de la chaîne américaine Fox News a fait état de l'arrivée de lance-missiles sur l'île de Woody (appelée "Yongxing", en chinois), dans l'archipel des Paracels. Une annonce qui intervient au lendemain d'un appel de Barack Obama à des "mesures tangibles" afin de réduire les tensions dans la zone. La Chine contrôle depuis les années 1970 l'ensemble de l'archipel des Paracels ("Xisha"), également revendiqué par le Vietnam et Taïwan. Mais les tensions dans la région --par laquelle transite un tiers des cargaisons mondiales de pétrole --se sont exacerbées depuis la transformation par Pékin de récifs disputés de l'archipel des Spratleys, plus au sud, en îles artificielles capables d'accueillir des installations militaires. Fox News a affirmé mardi que des images satellites montraient la présence de deux batteries de huit lanceurs de missiles sol-air et d'un système radar sur Woody, principale île des Paracels. "Le ministère de la Défense a pris connaissance d'un système de défense aérienne déployé par les Communistes chinois sur l'île de Yongxing", a déclaré à l'AFP un porte-parole du ministère taïwanais de la Défense. Le ministère n'a pas précisé à quel moment a été faite cette découverte, signalant simplement avoir remarqué l'installation "depuis un moment". De son côté, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi n'a pas explicitement démenti le déploiement des missiles, mais a appelé la presse à "porter (son) attention davantage sur les phares que nous avons construit sur certaines îles et récifs en mer de Chine méridionale". "Les installations d'autodéfense que la Chine a construit sur les îles (...) sont cohérentes avec le droit qu'a la Chine d'assurer sa protection et sa défense, dans le cadre du droit international", a déclaré le ministre. Source: AFP

dimanche 14 février 2016

L' Iran et l' Irak mettent en garde l' Arabie saoudite contre toute invasion terrestre en Syrie

L' Arabie saoudite doit se montrer très prudente en procédant à des exercices militaires dans la région, a déclaré samedi Ahmed al Assadi, porte-parole des forces de mobilisation irakiennes (Hached Chaabi) qui luttent contre les groupes takfiristes en Irak. Les médias avaient antérieurement annoncé que l'Arabie saoudite entamait dans le nord du pays un exercice militaire d'envergure baptisé North Thunder. L'exercice réunit les forces terrestres et aériennes de l'Egypte, du Soudan, de la Jordanie et d'autres pays arabes et musulmans qui font partie de la coalition formée par Riyad. "Des médias ont fait état de manœuvres militaires suspectes menées par l'Arabie saoudite et par plusieurs autres pays évoluant dans son orbite près des frontières occidentales de l'Irak. Nous voulons leur dire clairement, au nom de tous les combattants de la résistance irakienne, que les frontières de notre pays se transformeront en cimetière pour quiconque s'en approchera ou mettra le pied sur le sol irakien", a déclaré Ahmed al Assadi, cité par la chaîne de télévision Al Sumaria. En décembre 2015, l'Arabie saoudite a annoncé la mise en place d'une coalition « antiterroriste » réunissant 34 pays. Le 4 janvier dernier, un conseiller du ministre saoudien de la Défense, Ahmed Assiri, a fait savoir que son pays était prêt à envoyer des troupes terrestres en Syrie afin de combattre Daesh, mais à condition que ce projet soit approuvé par les Etats-Unis. Bahreïn et les Emirats arabes unis ont annoncé leur intention de prendre part à cette opération. Cette dernière pourrait être lancée en coordination avec la Turquie. Source:sputnik ///// Il est à noter que des avions de combat de l' Arabie saoudite sont déjà positionnés en Turquie. ///// L' Iran a mis en garde dimanche l'Arabie saoudite contre l'envoi de troupes en Syrie après le déploiement d'avions de combat saoudiens en Turquie, a rapporté la chaîne de télévision iranienne en arabe Al-Alam. "Nous ne permettrons certainement pas que la situation en Syrie évolue conformément à la volonté des pays malveillants. Nous prendrons les décisions nécessaires le moment venu", a déclaré l'adjoint du chef d'état-major des forces armées, le général Massoud Jazayeri, à la chaîne Al-Alam. "Les terroristes qui se battent en Syrie sont les hommes de l'Arabie Saoudite ou des Américains, des Israéliens ou encore des forces réactionnaires de la région", a déclaré M. Jazayeri. A partir "de quel pays, sinon la Turquie, ces terroristes entrent en Syrie? Quels pays, si ce n'est les pays réactionnaires arabes, les soutiennent?" a-t-il demandé. "Aujourd'hui, avec les victoires de l'armée syrienne et des forces populaires, ils veulent envoyer des troupes en Syrie, mais il s'agit d'un bluff et d'une guerre psychologique", a ajouté M. Jazayeri. "L'Arabie Saoudite a utilisé tout ce qu'elle avait en son pouvoir, et aujourd'hui non seulement en Syrie mais aussi au Yémen elle a échoué", a-t-il ajouté. Ryad a déployé des avions de combat sur une base aérienne en Turquie sous prétexte d’"intensifier ses opérations contre Daesh en Syrie". Un responsable militaire saoudien a pour sa part déclaré que le royaume était prêt à dépêcher des troupes au sol en Syrie dans le cadre de la coalition américaine. La Turquie de son côté bombardé des positions kurdes syriens dans le nord de la Syrie, non loin de la frontière turque. M.Jazayeri a en outre démenti les informations selon lesquelles il y a un différend entre l’Iran et la Russie sur la Syrie. Il a fait état d’une coopération totale entre Téhéran et Moscou au niveau politique et militaire. Et d’ajouter : « l’Iran appuie la présence russe sur la scène syrienne vu qu’elle donne un coup de force à la Syrie : peuple et gouvernement ». Avec AFP + AlAlam

Assistons-nous au début de la WW3? Pour une deuxième journée, l' armée turque bombarde en Syrie des positions kurdes

L'armée turque a bombardé dimanche des positions kurdes du nord de la Syrie pour la deuxième journée consécutive, causant la mort de deux miliciens, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu avait sommé la veille les Kurdes syriens des Unités de protection du peuple (YPG) de se retirer des secteurs situés au nord d'Alep dont ils se sont emparés ces derniers jours. Selon l'OSDH, les tirs turcs de samedi ont notamment visé la base aérienne de Menagh, à quelques kilomètres au sud d'Azaz, que les YPG ont prise récemment à d'autres insurgés syriens. Les YPG, soutenues par les Etats-Unis, sont liées au Parti kurde de l'Union démocratique (PYD), que la Turquie tient pour une émanation du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et considère à ce titre comme une organisation terroriste. Elles tiennent l'essentiel de la zone du nord de la Syrie frontalière de la Turquie. "S'il y a une menace pour la Turquie, nous n'hésiterons pas à prendre en Syrie les mesures que nous avons prises en Irak et à Qandil", a promis Ahmet Davutoglu, évoquant les offensives de ces dernières années contre le PKK. Le chef du gouvernement a en outre dit avoir eu un entretien avec le vice-président américain Joe Biden auquel il a réaffirmé que le PYD était étroitement lié au PKK et qu'il représente une menace pour la Turquie. Interrogé dimanche, Saleh Muslim, co-président du PYD, a opposé une fin de non recevoir aux demandes de retrait du Premier ministre turc, qui n'a selon lui aucun droit de s'ingérer dans les affaires syriennes. Du côté de la Russie, la menace d' utilisation d' une arme nucléaire est envisagée dans cette nouvelle guerre. Sources: multi sites web