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vendredi 11 novembre 2016

Poutine reste prudent envers Trump


Le président russe a opté pour une position prudente vis-à-vis du président élu des Etats-Unis.
Selon Bloomberg citant une source proche du Kremlin, le président russe Vladimir Poutine a pris une décision importante concernant Donald Trump.
« Vladimir Poutine a ordonné une certaine précaution concernant tout lien avec Donald Trump et les responsables du Kremlin restent sceptiques quant à la volonté du président élu de réparer les relations entre Moscou et Washington », a révélé la même source ayant requis l’anonymat.
Donald Trump avait récemment dit que les avions russes seraient pris pour cible de l’aviation américaine au cas où ils s’approcheraient des navires de guerre US. 

Source: rt

jeudi 10 novembre 2016

Syrie:Israël bombarde, Damas réagit


Le commandement en chef des forces armées syriennes a réagi au bombardement de ses positions à Quneitra par l'aviation israélienne.
Le QG des forces syriennes met en garde Israël contre les conséquences de cette frappe. Mercredi après midi, l'aviation israélienne a pris d'assaut les positions de l'armée syrienne à Quneitra, acte qui selon le commandement de l'armée, reflète le désarroi du régime israélien de voir les forces syriennes et leurs alliés repousser violemment l'offensive des terroristes d'al-Nosra dans la localité de Hazar et ses environs, non loin de Quneitra. Cette contre-offensive de l'armée a laissé un lourd bilan de morts et de blessés dans les rangs des terroristes. 
"Les frappes israéliennes visaient à remonter le moral des troupes terroristes et à masquer leurs défections massives", lit -on dans le communiqué de l'armée. 
Le commandement de l'armée syrienne réaffirme sa volonté de combattre jusqu'au bout les "mercenaires terroristes d'Israël" que sont "Daech", "le Front al-Nosra" et leurs alliés, tout en mettant en garde contre de nouvelles tentatives similaires de la part d'Israël.  
Alors que le monde avait les yeux rivés sur les élections américaines et leur issue, le régime israélien a bombardé les positions de l'armée syrienne et du Hezbollah à Quneitra, parallèlement à une vaste attaque terroriste contre le village stratégique de Hazar à Tal Achaar.
Le dernier raid de l'aviation israélienne contre les positions syriennes remonte à il y a deux mois. Ce raid s' est soldé par la riposte de la DCA syrienne et partant par l'abattage d'un F16 d'Israël. La Syrie a déployé des batteries de missiles S300 et S400 dans le nord et le sud en prévision de toute tentative d'attaque contre son armée.
Depuis 2011, Israël soutient activement les terroristes takfiristes d'al-Nosra à Quneitra à 70 kilomètres de Damas, limitrophe d'Israël et de la région stratégique de Quneitra.

Source: parstoday.com

mercredi 9 novembre 2016

Clash imminent Turquie/Hachd ?


L' un des commandants des Hachd al-Chaabi confirme l'information : les combattants des Unités de mobilisation populaire continuent leur progression vers l'aéroport de la ville stratégique de Tel Afar, où ils pourraient se retrouver confrontés à l'armée turque.
Interrogé par l'agence iranienne Tasnim, Hassan Abdel Hadi, responsable médiatique des Unités de mobilisation populaire (Hachd al-Chaabi), a annoncé le début de la seconde phase des opérations de libération de Mossoul, qui se concentrent autour de l'aéroport militaire de Tal Afar, à 8 kilomètres de la ville. Cependant, les combattants irakiens avancent lentement en raison du déploiement des troupes turques dans cette localité et de la possibilité d'une confrontation militaire directe avec celles-ci. 
La Turquie a clairement menacé les combattants des Unités de mobilisation populaire de tirs de missiles, dans le cas où ces derniers entreraient dans la ville. 
"Les soldats turcs sont déployés tout autour de Tal Afar et d'après nos informations, ils se sont déguisés en civils pour entrer dans la ville. Ankara a peur que la route Mossoul-Raqqa ne soit coupée. L'avancée des combattants des Hachd al-Chaabi sur la route reliant Tal Afar à al-Mahlabiya contribue en effet à couper cette voie de communication stratégique qui permet aux terroristes de circuler librement entre Mossoul en Irak et Raqqa en Syrie", a ajouté le commandant irakien avant de dénoncer les agissements militaires de la Turquie dans le nord de Mossoul. 
"Le gouvernement irakien a déjà mis en garde la Turquie contre tout aventurisme en Irak. Les Turcs considèrent Mossoul comme une province de l'Empire ottoman. Or les Hachd al-Chaabi ont joué aux trouble-fête en coupant la route qui mène de Raqqa à Tal Afar. C'est une démarche propre à accélérer la libération de Mossoul." 
"L'aéroport de Tal Afar est actuellement aux mains de Daech. Et ce sont les terroristes et la Turquie qui en profitent. Si l'aéroport est libéré, les forces irakiennes pourront l'utiliser pour renforcer leurs positions et accélérer la libération de Mossoul et d'autres régions des mains des terroristes. L’aéroport pourrait surtout servir de base de décollage aux chasseurs irakiens qui frapperont Daech et ses convois en partance pour la Syrie et pour les deux provinces de Hassaka et de Deir ez-Zor", a poursuivi le commandant.
"À Mossoul, les terroristes de Daech ont le moral à zéro. Bon nombre d'entre eux ont déserté et fui les zones de combat. Selon des sources fiables, les chefs terroristes multiplient les décapitations des déserteurs pour empêcher l'effondrement de Daech à Mossoul", a ajouté le chef militaire.

Source: parstoday.com


L' après victoire de Trump, de violentes manifestations en Californie et que nous réserve l' avenir?


Nous assistons à des réactions anti-démographiques en ce moment. Bien sûr qu'il y aura toujours des perdants dans une élection, mais de là à tuer et tout détruire parce que le résultat déplaît, alors la société est gravement malade. Que nous réserve les prochains jours, semaines et nous? À la lumière des évènements d' hier soir, l' avenir semble très agitée et risque de voir une querelle interminable au pays de l'est Oncle Sam. 

Les spécialistes déclarent que nous avons frôlé de près la WW3 si le résultat aurait été l' inverse. Chose certaine, ce n' est que le début d'une un long conflit interne aux USA.

Hier soir après le résultat, des voitures ont été incendiées et une personne a été blessée à Oakland. Les mouvements de protestation se multiplient à travers les Etats-Unis dont une partie des électeurs n'acceptent pas le résultat des élections.

Selon KTVU une centaine de manifestants se sont rassemblés à Oakland, dans l'Etat de Californie, et ont bloqué l'autoroute. Ils ont aussi forcé le système de transport ferroviaire à fermer et au moins un manifestant a été percuté par un véhicule.


La police a temporairement fermé la route 24 pour prendre en charge la victime qui souffre de blessures «majeures» selon le sergent de police Matt Langford. SF Gate rapporte que des voitures ont été incendiées et vandalisées.

Des mouvement ont également éclaté à l'université de Berkeley, où l'on pouvait entendre scander : «Ce n'est pas mon président», ainsi qu'à l'université de Davis où les étudiants ont bloqué les rues en chantant des slogans hostiles contre Trump et ses supporters : «Vous n'êtes pas l'Amérique, nous sommes l'Amérique».

La contestation pourrait bientôt s'internationaliser, des manifestants anti-racistes ayant prévu d'organiser des actions devant l'ambassade des Etats-unis à Londres.

Source: multiples Internet // Benoît Godin

Trump élu président: mauvais pour l'Otan et bon pour la Russie?


L'élection de Donald Trump est susceptible de modifier l'équilibre des forces en Europe, estime l'ancien président polonais Alexandre Kwasniewski.

L'élection de Donald Trump au poste de président des États-Unis est capable d'affaiblir l'Otan et de consolider les positions de la Russie, a estimé l'ex-président polonais Alexandre Kwasniewski dans une interview accordée à la chaîne télévisée Polsat. L'ancien chef de l'État polonais dit ne pas avoir été surpris par l'élection de Donald Trump. « Les critiques à l'encontre de Donald Trump n'ont pas été perçues par ses électeurs. Ils avaient besoin d'une personne ne faisant pas partie du système, capable de damer le pion aux élites, à Washington, d'une personne qui a du tempérament et qui se prononce contre la politesse en politique, qui dit ce que le cœur lui dit de dire. Trump a justifié les attentes de ses électeurs », a estimé l'ex-président polonais. Kwasniewski espère que Donald Trump s'occupera des affaires intérieures des États-Unis et « cessera les d'expériences en politique étrangère ». 


 Trump mettra fin aux ingérences US s'il est élu. Toutefois, l'ex-président polonais a rappelé que Donald Trump avait promis, lors de sa campagne électorale, que les « États-Unis ne s'occuperont plus de l'Otan de la même façon que cela s'était fait jusqu'à présent ». « Tout affaiblissement de l'Otan dans cette partie de l'Europe est dangereux pour nous », a déclaré Kwasniewski, indiquant que l'Ukraine serait le premier pays à ressentir les changements dans la politique extérieure des États-Unis. « Une conception irréfléchie du "redémarrage" des relations avec la Russie est un problème non moins dangereux », a-t-il ajouté. « Je crois que ce sera à l'Ukraine de payer en premier le prix très élevé du redémarrage de relations qui suivra l'élection de Donald Trump », a conclu l'ex-président polonais.

Source: sputniknews.com

mardi 8 novembre 2016

Urgent: Des navires russes préparent une frappe contre les djihadistes aux abords d'Alep


Le groupe de navires russes avec le porte-avions Amiral Kouznetsov à sa tête s'apprête à frapper dans les prochaines heures les djihadistes dans la province d'Alep, selon une source au sein du ministère russe de la Défense.

Pour Moscou, les autorités autoproclamées d'Alep jouent le jeu des terroristes Le groupe de navires russes comprenant le porte-avions Amiral Kouznetsov, le croiseur Pierre le Grand, les navires anti-sous-marins Vice-amiral Koulakov et Severomorsk, ainsi que des bateaux de maintenance, prépare une frappe contre les terroristes dans la province d'Alep dans les prochaines 24 heures, a confirmé à Gazeta.ru une source au sein du ministère russe de la Défense. La frappe sera réalisée à l'aide des missiles de croisière Kalibr et de l'aviation en pontée et aura pour cible les abords lointains de la ville et non les zones résidentielles, a souligné la source. La ville même ne sera pas prise pour cible car les terroristes qui s'y trouvent se servent des civils comme d'un bouclier humain.


 « La tâche principale de ce groupe est d'effectuer des frappes aériennes sur les abords d'Alep où les groupes armés de djihadistes s'efforcent de faire une percée dans la ville, ceci en coopération avec les navires de la flotte de la mer Noire de la Fédération de Russie, avec l'aviation stratégique et de longue portée et avec les avions de la base militaire de Hmeimim. » Au cours de l'opération, il est prévu d'utiliser des armes innovantes ainsi que les missiles de croisière Kalibr qui se sont déjà révélés très efficaces. « Si lors des précédents tirs de missiles réalisés depuis la Caspienne le nombre de cibles détruites a été estimé à des dizaines, cette fois des centaines d'objectifs des terroristes qui se préparent à une percée seront éliminés aux abords de la ville dans les deux-trois prochains jours », a signalé la source. 

Actuellement, on s'emploie à déterminer les régions où se massent les groupes radicaux, les trajets de leurs déplacements et l'emplacement de leurs positions. A ces fins, le nombre de moyens de reconnaissance russes a été considérablement augmenté, notamment en terme de drones et de radars. Des unités orbitales spatiales sont également activement engagées dans la collecte de données de renseignement. 

Les terroristes pilonnent Alep, deux morts parmi les civils Ces deux dernières semaines, les djihadistes ont entrepris de multiples tentatives de percée à Alep en direction de l'ouest et du sud-ouest. Plus de 2 000 terroristes ont participé aux attaques, avec des dizaines de chars, des véhicules blindés et des véhicules kamikazes à l'appui. Plus tôt, les forces aériennes russes et syriennes ont suspendu leurs frappes sur la ville d'Alep. Une nouvelle pause humanitaire s'est déroulée à Alep le 4 novembre de 9 heures du matin à 19 heures, heure locale. 

Cette mesure ordonnée par le président russe Vladimir Poutine et coordonnée avec les autorités syriennes visait à éviter les victimes parmi les civils et « appeler les combattants à la raison ». Selon le ministère russe de la Défense, les groupes armés ont eu la possibilité de quitter la ville, d'évacuer les malades et les blessés, ainsi que de libérer les civils qui souhaitaient quitter les quartiers est d'Alep. Pendant ces 11 heures, les troupes et équipements gouvernementaux ont été retirés des couloirs humanitaires, conçus pour que les groupes armés puissent quitter Alep en toute sécurité. Des autobus et ambulances ont été déployées pour l'évacuation immédiate des blessés et malades.

Source: sputniknews.com

L'OTAN placée en alerte pépare 300 000 soldats à intervenir en urgence dans les pays baltes



L'OTAN est en alerte : son secrétaire général, Jens Stoltenberg, a annoncé au journal britannique The Times du 7 novembre que l'Alliance atlantique préparait une force militaire à répondre en urgence - en deux mois - à une éventuelle agression militaire russe contre les pays baltes (Lettonie, Lituanie et Estonie). 
Si le dirigeant de l'organisation militaire n'a pas souhaité préciser l'envergure des troupes en question, le représentant permanent du Royaume-Uni auprès de l'OTAN avance le chiffre de 300 000 soldats - un nombre de combattants que l'Alliance ne pourrait pas déployer aujourd'hui en moins de six mois. 

«Nous avons constaté une implication militaire russe plus nette qu'avant au cours de ces dernières années : le triplement des dépenses en matière de Défense depuis 2000, le développement de nouvelles compétences militaires, l'entraînement et l'utilisation des forces militaires de la Russie contre ses voisins...», a invoqué Jens Stoltenberg pour justifier cette effervescence de l'Alliance atlantique sur le continent européen

 «Nous avons également vu la Russie diffuser de la propagande en Europe parmi les alliés de l'OTAN et c'est exactement pour cela que l'OTAN répond», a également avancé le haut responsable.

Ce plan d'accroissement des capacités de déploiement d'urgence de l'organisation militaire, a-t-il expliqué, a été validé en octobre dernier, à l'issue de discussions des ministres de la Défense des pays membres de l'OTAN. 

Un plan faisant suite au renforcement de la présence de l'OTAN aux portes de la Russie 

Lors de son sommet de juillet dernier à Varsovie, l'OTAN avait déjà annoncé le déploiement de 1 000 soldats en Pologne, en plus de l'envoi de quatre bataillons de 4 000 hommes au total dans les pays baltes, invoquant, toujours, une potentielle menace russe contre les alliés européens de l'Alliance. Ce déploiement de troupes aux frontières de la Russie, de même que les insinuations (ou franches accusations) des dirigeants de l'OTAN à propos des prétendues ambitions guerrières de Moscou, ont été vivement critiqués et à de nombreuses reprises par les responsables russes. 
«L'OTAN continue de voir le monde politico-militaire à travers une sorte de miroir déformant», avait ainsi regretté le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, peu après le sommet de Varsovie, avant d'ajouter : «Contrairement à l'intérêt objectif de maintenir la paix et la stabilité en Europe [...] l'Alliance concentre ses efforts sur la dissuasion d'une menace venant de l'est qui n'existe pas».

Source: wikistrike.com

lundi 7 novembre 2016

« Une guerre mondiale contre la Syrie » ou les temps forts du dernier entretien d’Assad



Dans son entretien au Sunday Times, le président syrien Bachar el-Assad a déclaré qu’une guerre mondiale était en train de se jouer contre son pays et regroupait des dizaines de pays soutenant les terroristes. Il a en outre passé en revue un large éventail de questions, dont les attaques chimiques et le soutien de la Russie.
Au début du conflit, qui secoue la Syrie depuis mars 2011, ce pays proche-oriental s’était retrouvé en tête-à-tête avec des armées de terroristes de toutes sortes, financés et armés par des dizaines de pays tiers. Une guerre mondiale se joue contre la Syrie, a déclaré Bachar el-Assad dans son entretien publié dimanche par le journal britannique Sunday Times.
« Nous la qualifions de guerre mondiale, mais c’est une guerre mondiale contre la Syrie. Des dizaines de pays (agissaient, ndlr) contre nous, envoyant à ces terroristes de l’argent et des moyens logistiques, pendant que notre armée ne comptait dans son sein que des Syriens. Nous bénéficions d’un certain soutien du (mouvement libanais, ndlr) Hezbollah, mais le Liban est un pays qui ne compte que quatre millions d’habitants », a expliqué le président syrien, dressant le tableau de la disposition initiale des forces dans son pays.
Il a bien évidemment mentionné le soutien de Téhéran, mais a souligné que ce dernier se limitait à l’envoi de conseillers militaires sur le sol syrien et ne prévoyait pas d’envoi de troupes terrestres. « Au bout du compte, nous nous sommes retrouvés face à un nombre interminable de terroristes affluant en Syrie, ce qui a créé des problèmes. Or, la puissance de feu russe et le soutien iranien ont équilibré la situation », a poursuivi Bachar el-Assad.
Une politique fondée sur le droit international
La politique menée par la Russie en Syrie est basée sur la morale et sur le droit international, a fait remarquer le président Assad.
À la question de savoir qui dictait ses conditions Moscou ou Damas, M. Assad a souligné : « Bien sûr que nous sommes ceux qui prenons les décisions ». « Les militaires russes ont été déployés en Syrie durant six décennies.
Leur politique est fondée sur deux principes : la morale et le droit international », a expliqué le président. « Même s’ils ont leur point de vue, ils disent : « C’est votre pays, vous savez mieux quoi faire ».
Ils n’ont jamais tenté de s’ingérer (dans les affaires de la Syrie, ndlr), car ils ne veulent rien de nous. Ils ne nous ont pas demandé de placer à la tête de l’État une marionnette. Ils savaient que la Syrie reculait face au terrorisme et que ce dernier prévaudra en Europe ce qui se répercutera, à son tour, sur la Russie et le reste du monde », a-t-il déclaré.
L’Occident a cédé en puissance
Par le passé, on a reproché à Assad d’être « coupé de la réalité ». Or, de nos jours c’est l’Occident qui perd sa puissance et n’a aucun argument pour expliquer ce qui est en train de se passer, a relaté le président syrien.
« Daech mène le trafic de brut et se sert de puits pétroliers irakiens surveillés par des satellites et les drones américains et l’Occident n’en dit pas un mot. Alors qu’ici (en Syrie, ndlr), les Russes sont intervenus et Daech s’est restreint », a-t-il constaté.
De nouveaux alliés
Selon le président Assad, 70 % du territoire du pays est contrôlé à ce jour par les forces gouvernementales. À cela ont contribué une année de campagne russe et à une série de trêves conclues au cours de ces derniers mois.
« Beaucoup de ceux qui avaient l’habitude de tenir tête au parti Baas, à ce gouvernement et à ce système soutiennent aujourd’hui ce gouvernement. Ce n’est pas parce qu’ils l’aiment, mais parce qu’ils soutiennent la paix. Ils ont perdu espoir. Lorsqu’ils se trouvaient sous le joug des groupes armés ils n’avaient ni de juges, ni d’administration municipale (…), ni d’assistance médicale », a expliqué M. Assad.
Armes chimiques
Dans son entretien, Bacher el-Assad a de nouveau déclaré que ses troupes n’avaient jamais eu recours aux armes chimiques.
« Nous n’y avons jamais eu recours. C’est une arme de destruction massive et (si nous l’avions employée) elle aurait tué des milliers de personnes en quelques minutes. Aucun incident du genre ne s’est jamais produit chez nous », a-t-il dit.
Il n’est pas temps de partir
Le président syrien a déclaré qu’il n’avait pas l’intention de quitter son poste avant la fin de son mandat qui expire en 2021. « Il aurait été plus facile de partir ou de prendre plaisir à vivre, car je ne profite d’aucun bénéfice — je ne fais qu’assumer la responsabilité. (…) Mais c’est la guerre et le président est le chef de l’état-major, pour cela il doit être à la tête de l’armée pour défendre son pays », a conclu Bachar el-Assad.
Source:  almanar.com.lb

dimanche 6 novembre 2016

Red Flag: Les États-Unis affirment vouloir lancer des cyberattaques sur les infrastructures critiques russes en cas d'abus ingérence pendant les élections



Si elle s'avère bien exacte, cette information est grave: les Etats-Unis menacent de lancer des cyberattaques sur la Russie pendant ou juste après les élections si les russes essayaient d'influer sur le scrutin. Ils affirment en effet avoir pénétré les télécommunications, le réseau électrique (infrastructure clé de tout pays) et pire encore le système de contrôle du Kremlin...carrément. 


Le simple fait d'annoncer ces piratages à l'encontre d'une nation comme la Russie ainsi que l'intention d'attaquer est déjà un acte extrêmement belliqueux. Cette information pourrait prêter à sourire dans un autre contexte vu que le b.a.-ba d'une cyberattaque réussie est tout de même l'effet de surprise. Annoncer à l'avance une cyberattaque tout en précisant en plus les cibles est totalement grotesque. 

Pourquoi donc le gouvernement américain se risque-t-il a une annonce de la sorte? Il sont tout simplement en train de se forger un alibi. En effet, le roman du piratage du DNC a déjà été débunké mais les Etats-Unis persistent à présenter "la main invisible de Poutine" comme un danger pour les élections, mettant notamment en avant les avertissements du hacker Guccifer 2.0, qui a reprit le flambeau de son prédécesseur qui purgant actuellement une peine de 4 ans et demi de prison. 

L'identité du hacker est bien entendu inconnue à ce jour et pourrait provenir de n'importe ou, y compris des Etats-Unis...mais non, pour Washington, c'est forcément la Russie. Conclusion, si d'aventure la moindre attaque d'envergure venait perturber les élections, et cela même si elle venait de l'intérieur du pays, les Etats-Unis pourraient faire porter le chapeau à la Russie et lancer des représailles, au minimum proportionnelles. En gros, un vrai acte de guerre déguisé en "juste retour des choses". C'est bien connu, les Etats-Unis ne sont jamais des agresseurs: ils installent la démocratie, protègent la veuve et l'orphelin (du moins, quand ce ne sont pas eux qui rendent les gens orphelins).

Pour couronner le tout, le gouvernement US annonce qu'Al Qaida pourrait lancer des attentats le 7 novembre, la veille des élections. Ils sont en train d'instiller en place un climat de terreur agitant le spectre d'attaques à la fois terroristes et cybernétiques. Concernant d'éventuels attaques "terroristes", rappelons que les dernières attaques d'envergures sur le sol américain officiellement attribuées à Al Qaïda (crée par les Etats-Unis dixit Hillary) se sont avérées être le plus gros false flag de tout les temps, impliquant divers gouvernements. Quand au piratage tant redouté, ce serait l'acte d'agression le plus grossier et le moins avantageux sur la scène internationale que la Russie puisse faire.

 Autant dire que la Russie n'a pas fait de déclarations aussi stupides que celles de Biden à ce jour et qu'il y a très peu de chances que cela arrive. Soit il ne se passera strictement rien, soit ce sera la main non pas de Poutine...mais d'Obama. A suivre.

Source: fawkesnews.com