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vendredi 18 septembre 2020

Le président iranien déclare que les États-Unis seront vaincus ce week-end; Les États-Unis envoient donc un groupe aéronaval dans le golfe Persique



Le président iranien Rohani a déclaré aux médias plus tôt cette semaine "Les États-Unis subiront une défaite humiliante ce week-end". Il SEMBLE parler de l'expiration des sanctions de l'ONU contre l'Iran, mais ses propos paraissent ambigus. Alors. . .

Les États-Unis ont déployé un groupe aéronaval dans le golfe Persique.

L'USS Nimitz est illustré ci-dessus alors qu'il est entré dans le détroit d'Ormuz plus tôt dans la journée.

Le Nimitz est accompagné des croiseurs à missiles guidés Princeton et Philippine Sea et du Destroyer Sterett.

Je suppose que nous verrons ce qui se passera ce week-end.

Source: halturnerradioshow.com

jeudi 17 septembre 2020

Menace mondiale «incontrôlable»: le secrétaire général de l’Onu s’alarme sur le Covid-19



 «Le coronavirus est aujourd'hui la première menace mondiale pour la sécurité dans notre monde», a estimé le secrétaire général de l’Onu le 16 septembre lors d'une conférence de presse. Selon lui, un vaccin ne résoudra pas la crise mondiale engendrée.

La pandémie de coronavirus reste «hors de contrôle», a déclaré le secrétaire général de l'Onu Antonio Guterres lors d'une conférence de presse à New York le 16 septembre.

Il a avancé que le monde franchira «le plus sombre des jalons: un million de vies perdues à cause du virus».

«La pandémie de Covid-19 est une crise qui ne ressemble à aucune autre dans notre vie et la session de l’Assemblée générale ne sera donc pas comme les autres cette année», a ajouté M.Guterres.

En outre, lors de son discours, le secrétaire général a qualifié la pandémie de «menace numéro un» pour la sécurité mondiale.

Antonio Guterres a ainsi exhorté la communauté internationale à ise rassembler pour vaincre le virus, soulignant qu'un vaccin à lui seul ne peut résoudre la crise mondiale liée à la maladie.

Le besoin d’un vaccin «populaire»

À partir de maintenant, tout vaccin «doit être considéré comme un bien public mondial», estime le secrétaire général de l’Onu, car le Covid-19 ne respecte aucune frontière. «Nous avons besoin d’un vaccin abordable et accessible à tous, un vaccin populaire», insiste-t-il.

«Nous devons développer massivement les outils nouveaux et existants qui peuvent répondre aux nouveaux cas [d’infection, ndlr] et fournir des traitements vitaux pour stopper la transmission et sauver des vies, en particulier au cours des 12 prochains mois», préconise-t-il.

Source: sputniknews.com

lundi 14 septembre 2020

La Turquie pose ses conditions pour une réduction des tensions en Méditerranée orientale



La Turquie a rendu public ses conditions pour une réduction des tensions en Méditerranée orientale et surtout en Mer Égée avec la Grèce. Parmi ces conditions, figurent en premier lieu :


– Le retrait des navires de guerre grecs (et ceux de leurs alliés) près de la zone d’opération du navire de recherches Oruç Reis (du nom d’un des fameux frères Barberousse) ;



– L’arrêt de la militarisation des îles de la Mer Égée orientale ;


– Le renforcement de l’initiative de désescalade de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN) et l’adhésion de la Grèce à cette initiative ;


– L’arrêt des harcèlements dont font l’objet les membres de la communauté turque ou d’origine turque en Thrace, en Épire et au Péloponnèse.


Ni Ankara ni Athènes n’évoquent en premier lieu la question centrale des gisements gaziers en Méditerranée orientale, laquelle est le principal enjeu.


Les tensions entre la Grèce et la Turquie ne datent pas d’aujourd’hui et sont une constante de la géopolitique des deux pays membres de l’Otan.


Du côté turc, le commandement militaire turc estime que la Grèce ne dispose d’aucune chance possible en cas de conflit armé de courte durée. Les forces armées turques disposent en effet d’un nombre impressionnant de plans de « ré-invasion éclair » de la Grèce mis à jour et améliorés depuis au moins 1953. Du côté grec, l’aide militaire de la France et des Émirats Arabes Unis, qui s’est concrétisée par la prochaine acquisition de 18 avions de combat Dassault Rafale par les forces aériennes grecques, confirment le bras de fer entre les Émirats Arabes Unis et la Turquie des champs d’opérations de la Tripolitaine jusqu’au nord de l’Irak.


La Turquie dispose également du soutien de Washington, lequel se méfie toujours du tropisme anti-impérialiste des populations grecques même si le système politique grec est totalement corrompu. La France soutient la Grèce pour des raisons liées à des questions énergétiques en Afrique et géostratégiques au Levant.


Cependant le principal atout dont dispose la Turquie est le contrôle des flux migratoires et elle me manquera pas de l’utiliser pour bloquer puis exclure totalement son « allié » français de sa nouvelle zone d’influence.


source : strategika51.org