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vendredi 26 février 2021

«Le diable est déjà là»: détectée en Californie, une nouvelle souche de coronavirus inquiète des chercheurs



Selon des chercheurs de l’université de Californie à San Francisco, le variant de coronavirus découvert dans cet État est aussi dangereux que la souche anglaise. La rencontre de ces deux mutations en une seule personne fait craindre le pire.

Alors que plusieurs variants de coronavirus jugés plus contagieux que la souche initiale ne cessent de faire des ravages à travers le monde, une mutation détectée en Californie attire également l’attention, avancent des chercheurs de l’université de Californie à San Francisco (UCSF). Bien que leur étude n’ait pas encore été publiée, elle fait déjà l’objet de plusieurs articles de médias américains.


Se référant aux chercheurs, le Los Angeles Times écrit que le variant en question est probablement apparu en mai et est déjà devenu la souche dominante en Californie. Non seulement il se propage plus facilement que ses prédécesseurs, mais aussi «évite les anticorps générés par les vaccins Covid-19 ou une infection antérieure». Selon le journal, cette mutation est associée au développement de formes graves de la maladie ainsi qu’à la mort.

D’après l’étude à laquelle se réfère le média, ce nouveau variant jugé «préoccupant» doit inquiéter autant que ceux détectés au Royaume-Uni, en Afrique du Sud et au Brésil.

Scénario cauchemardesque

Baptisée B.1.427/B.1.429, cette souche représentera probablement «90% des infections» en Californie «d'ici la fin du mois prochain», selon le Dr Charles Chiu, chercheur en maladies infectieuses et médecin à l’UCSF.

Le diable est déjà là. Je souhaite que ce soit différent. Mais la science c’est la science», lance-t-il auprès du Los Angeles Times.

Qui plus est, tout comme le variant britannique, la souche californienne est dotée de «capacités améliorées» ce qui, selon le chercheur, ouvre la porte à un «scénario cauchemardesque»: les deux virus pourraient se rencontrer en une seule personne, échanger leurs mutations et créer une souche encore plus dangereuse.

Comme l’indique le site de l’université John-Hopkins, avec plus de 51.000 décès des suites du Covid-19, la Californie est aujourd’hui l’État américain le plus durement touché. À ce jour, le bilan de l’épidémie aux États-Unis s’élève à plus de 508.000 décès. Près de 28,4 millions de contaminations y ont été recensées.

Source: wikistrike.com

jeudi 25 février 2021

L’inversion du champ magnétique terrestre liée à plusieurs extinctions il y a 42 000 ans



De nouvelles recherches suggèrent que la plus récente inversion du champ unmagnétique terrestre, survenue il y a environ 42 000 ans, se serait révélée dévastatrice. Entraînant des conditions climatiques extrêmes, elle aurait précipité l’extinction des mammifères et des Néandertaliens.


LA DATATION LA PLUS PRÉCISE DE L’ÉVÈNEMENT


Le champ magnétique terrestre s’étend dans l’espace et se concentre surtout aux pôles nord et sud. Les pôles magnétiques se déplacent et s’inversent occasionnellement tous les 200 000 à 300 000 ans environ, mais nous disposons de peu de preuves sur l’impact d’un tel évènement sur notre planète. Dans le cadre de travaux présentés dans la revue Science, des chercheurs du South Australian Museum d’Adélaïde ont mis en évidence quelques éléments de réponse, et établi l’estimation la plus précise à ce jour de la date de sa dernière inversion.


Connu sous le nom d’évènement de Laschamp, celui-ci se serait produit il y a entre 41 560 et 41 050 ans, et aurait duré moins d’un millénaire, selon les analyses au radiocarbone réalisées sur les anneaux d’un ancien arbre kauri fossilisé (Agathis australis), se trouvant dans une zone humide du nord de la Nouvelle-Zélande.


« Cet arbre a traversé l’évènement de Laschamp », explique Alan Cooper, co-auteur de l’étude. « Nous nous sommes basés sur le déplacement du radiocarbone, ou carbone 14, dans l’atmosphère pour détecter exactement le moment où le champ magnétique s’était inversé. »


La magnétosphère, constituant la région autour de la planète dominée par le champ magnétique terrestre, s’affaiblit lorsque les pôles magnétiques s’inversent. Cooper et son équipe ont estimé que l’intensité du champ magnétique terrestre ne représentait que 6 % de ses niveaux actuels lors de l’événement de Laschamp.


UN AFFAIBLISSEMENT DU CHAMP MAGNÉTIQUE À L’ORIGINE DE CONDITIONS CLIMATIQUES EXTRÊMES


Lorsque le champ magnétique terrestre s’affaiblit, davantage de rayons cosmiques pénètrent dans l’atmosphère et transforment certains atomes en carbone 14 radioactif, augmentant ainsi les niveaux de cet isotope. En mesurant les niveaux de carbone 14 dans chaque anneau de l’arbre kauri, l’équipe a pu dater avec précision la durée de la dernière inversion des pôles magnétiques terrestres.


Différentes simulations informatiques ont permis aux chercheurs de déterminer que plusieurs changements climatiques majeurs avaient coïncidé avec l’évènement de Laschamp. Il s’est notamment avéré que l’affaiblissement du champ magnétique avait permis à davantage de rayonnements ionisants, provenant d’éruptions solaires et de rayons cosmiques, d’atteindre la Terre.


« Ceux-ci endommagent la couche d’ozone et la lumière ultraviolette arrive à des niveaux très élevés », détaille Cooper. « Ces phénomènes auraient engendré des conditions climatiques extrêmes, notamment la foudre, des températures élevées et beaucoup de lumière solaire, auxquelles les organismes ont pu avoir du mal à s’adapter. »


L’INVERSION DES PÔLES MAGNÉTIQUES LIÉE À DEUX ÉVÈNEMENTS D’EXTINCTION MAJEURS


D’après Paula Reimer, chercheuse à l’université de Belfast n’ayant pas participé aux travaux, ces changements environnementaux extrêmes pourraient avoir causé, ou du moins contribué à différents évènements d’extinction majeurs, notamment ceux des grands mammifères en Australie et des Néandertaliens.


« Il est intéressant de noter que la mégafaune d’Australie et de Tasmanie [les mammifères géants préhistoriques existant au Pléistocène tardif] et les Néandertaliens d’Europe se sont éteints à peu près au moment où les pôles magnétiques se sont inversés, il y a 42 000 ans », explique la chercheuse.


« Le pôle nord s’est déplacé de manière sporadique au cours du siècle dernier, dérivant d’environ un kilomètre par an », explique Cooper. « Cela ne signifie pas nécessairement qu’un tel évènement se reproduira, mais si c’était le cas, ce serait absolument catastrophique. »


https://dailygeekshow.com/inversion-champ-magnetique-extinction/


Selon des chercheurs de la British Geological Survey, les pôles magnétiques ont commené à s’inverser !


NASA-Science-Predicts-2012-Sun-Pole-Shift-Pole-Reversal.jpgDes chercheurs de la British Geological Survey soutiennent à travers une étude scientifique que les pôles magnétiques de la terre seraient sur le point de se renverser ou auraient déjà commencé à se renverser. Ils livrent leurs conclusions sur le site même de la British Survey.


 Les chercheurs ont adopté des mesures de contrôle afin de surveiller en permanence le processus de basculement en cours grâce à l'installation d'un observatoire magnétique dans le sud de l'Etat de Géorgie, aux États-Unis, qui surveille l'ASA, l'anomalie de l'Atlantique Sud, et  tente d’y apporter des réponses.


Dans cette anomalie, le rayonnement de l'espace profond pénètre directement dans l'atmosphère de la Terre, et selon Jean-Pierre Valet, superviseur sur l'inversion géomagnétique à l'Institut de Physique du Globe de Paris: «L'un des changements les plus spectaculaires qui puisse se produire avec une inversion des pôles serait l'affaiblissement de l'intensité du bouclier. »


L'Observatoire magnétique a détecté une preuve que les pôles magnétiques se déplacent : L’ASA est en extension et se propage en particulier vers l'ouest. Pour les chercheurs, cette « BGS » pourrait être la preuve que le champ magnétique de la Terre s’inverse, malheureusement, ces chercheurs ne savent pas encore le scénario possible. (WS: Une inversion se produit actuellement, on peut facilement deviner le pourquoi ces scientifiques ne parlent pas sur le scénario… à voir le film 2012)


Les indices proviennent du lointain passé de notre planète. La dernière inversion qui s'est produite il y a 800.000 ans a provoqué sur terre un brusque changement climatique ainsi que l'extinction de diverses espèces animales. Mais après un certain temps le champ magnétique s’est re-stabilisé. Il est celui que nous connaissons aujourd'hui.


"Même si le champ devenait très faible, la surface de la terre serait protégée contre les intempéries. De même que, comme nous le voyons et percevons la présence du champ magnétique terrestre maintenant, il est possible que nous ne pourrions pas voir un quelconque changement significatif après le renversement" (WS: Mais bien sûr, dormez tranquille), explique Monika Korte, directeur scientifique de l’Observatoire géomagnétique Niemegk au GFZ de Potsdam, en Allemagne.


Les scientifiques de « bgs » continuent leurs efforts de recherche sur l'anomalie de l'Atlantique Sud, conscients qu’elle peut apporter des réponses importantes et significatives sur l'interprétation du processus d'inversion magnétique des pôles de la Terre et son impact sur l'écosystème.


Source: noiegliextraterrestri.blogspot.com

mardi 23 février 2021

Rapport choquant du gouvernement britannique : Des injections expérimentales d’ARNm ont causé 1716 cas de troubles oculaires et rendu 22 personnes aveugles


Le gouvernement du Royaume-Uni a recueilli des données critiques sur la fiabilité des “vaccins” de Pfizer/BioNTech et d’Oxford/AstraZeneca, et le dernier rapport ne brosse pas un joli tableau.

La première dose du “vaccin” expérimental de Pfizer/BioNTech a été administrée à 5,4 millions de citoyens, dont 500 000 ont reçu une deuxième dose.

Jusqu’au 24 janvier, près de 50 000 cas de lésions ont été signalés pour ce vaccin spécifique, y compris la mort soudaine de sept citoyens britanniques

1,5 million de doses supplémentaires du “vaccin” de l’université

Au moins une personne sur 333 souffre d’effets indésirables graves dus au vaccin au Royaume-Uni

d’Oxford/AstraZeneca ont été reçues dans les bras de citoyens britanniques, ce qui a entraîné 21 032 autres effets indésirables. Ces événements indésirables ont été enregistrés jusqu’au 24 janvier 2021 dans le cadre du système de carte jaune de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé, et n’incluent pas toutes les lésions pertinentes et actuelles.

Le taux actuel de lésions dues au vaccin (en cours de notification) est de 1 sur 333 personnes. Ce taux est probablement beaucoup plus élevé parce que les gens hésitent souvent et/ou ont honte de déclarer des lésions dues au vaccin ; beaucoup de gens considèrent la vaccination comme une solution sûre et efficace à 100 % et n’osent pas la remettre en question. De nombreux médecins refusent d’admettre que les lésions dues au vaccin sont réelles.

Les effets indésirables ne sont pas non plus des problèmes mineurs qui se résolvent en un jour. Ces effets indésirables peuvent altérer la vie, provoquer des accidents vasculaires cérébraux, une inflammation du cœur, une paralysie musculaire, la cécité et un choc anaphylactique.

Avant le lancement des vaccins expérimentaux à ARNm, les sociétés pharmaceutiques ont signé des contrats avec tous les grands gouvernements du monde, afin de contourner l’État de droit et d’indemniser leur société de la responsabilité de toutes les lésions inévitables liées aux vaccins qu’elles savaient susceptibles de se produire.

Les rapports les plus choquants concernent les troubles oculaires:

978 personnes ont été diagnostiquées avec des troubles oculaires après des injections du vaccin de Pfizer-BioNTech

738 personnes ont été diagnostiquées avec des troubles oculaires après des injections du vaccin d’AstraZeneca (1716 au total)

Au total 22 personnes sont devenues aveugles.

Le vaccin de Pfizer/ BioNTech a causé soixante-neuf incidents de paralysie faciale de Bell, une condition qui paralyse les muscles d’un côté du visage.

Le gouvernement continue de minimiser les lésions et les décès causés par les vaccins

Les vaccins expérimentaux ont également tendance à provoquer des attaques auto-immunes dans le système cardiovasculaire. Vingt et une personnes ont subi un accident vasculaire cérébral (AVC) après avoir été vaccinées.

Il y a eu d’autres événements cardiovasculaires graves, notamment un infarctus du tronc cérébral, un infarctus cérébelleux, une attaque cérébrale, une occlusion des artères cérébrales, une hémorragie cérébrale, un infarctus cérébral, une hémorragie intracrânienne, une attaque ischémique et une hémorragie sous-arachnoïdienne.

Selon les autorités réglementaires, les femmes enceintes ne sont pas censées être vaccinées avec ces piqûres expérimentales. Selon les fabricants, il existe peu de données sur l’utilisation du vaccin à ARNm contre le COVID-19 BNT162b2 chez les femmes enceintes.

Les études de toxicité sur la reproduction animale n’ont pas été achevées et le vaccin n’est donc pas recommandé pendant la grossesse.

Toutefois, le système de déclaration de la carte jaune révèle que certaines femmes enceintes ont contourné ce processus de dépistage et que quatre femmes enceintes ont souffert d’un avortement spontané après la vaccination Pfizer et deux ont subi le même sort après la vaccination avec la version d’AstraZeneca.

Au lieu de freiner cette expérience de vaccination de masse, les régulateurs continuent de minimiser ces lésions et les imputent à l'”âge avancé” ou aux “conditions sous-jacentes” d’un patient. Le gouvernement britannique, à la défense des fabricants de vaccins :

“Une forte proportion des personnes vaccinées lors de la campagne de vaccination jusqu’à présent sont très âgées, dont beaucoup souffriront également de pathologies préexistantes. L’âge avancé et les maladies chroniques sous-jacentes rendent plus probable l’apparition d’effets indésirables fortuits, surtout si l’on considère les millions de personnes vaccinées. Il est donc important que nous examinions attentivement ces rapports afin de distinguer les effets secondaires possibles des maladies qui se seraient produites indépendamment de la vaccination”.

Source: aubedigitale.com