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mardi 30 mai 2017

Breaking News: L' équipe de la Navy Seal 6 possiblement liquidée en Corée du Nord lors d' une tentative d' assassinat de Kim Jung-Un


Les experts militaires russes avisent que les Américains connaissent possiblement un problème avec leur équipe Navy Seal 6  qui opère à l' intérieur de la Corée du Nord. Cette mission de reconnaissance aurait connu de terribles pépins.

Auparavant, une nouvelle de la Corée de Sud avait fait mention que le USS Michigan, un sous-marin qui déplace des forces spéciales comme la US Navy Seal,  avait rejoint le porte-avions USS Carl Vinson au large des côtes de la Corée du Nord pour une mission secrète.


Le USS Michigan, un sous-marin nucléaire équipé de missiles guidés, avait été aperçu à Busan, Corée du Sud. Plus avant, le Service de l' Intelligence de la Chine rapportait que l' équipe de la Navy Seal 6 s' entraînait auprès de la version sud-coréenne des Seals pour " incapaciter " Kim Jung-Un.

Des signaux de l' Intelligence reçues par le Commandement Russe de l' Est, semblent indiquer que la patrouille aurait été inséré dans une mission de reconnaissance terrestre à l' intérieur de la Corée du Nord et qu' elle aurait malheureusement tombée sur une patrouille cabine, conduisant à la perte de membres des forces Américaines qui ont ainsi réduit au silence le contact radio pour demander de l'aide.

Ls US Navy a refusé tous commentaires sur les déplacements de l' équipe Seal 6 et le Pentagone n' a ni confirmé ou dénier la présence de cette équipe spécialisée sur le territoire nord-coréenn, " en ce moment ".

Si le tout se confirme, cela sera un dur coup pour les USA.

Extraits: Reaper, beforeitsnews.com
Traduction: Benoît Godin

lundi 29 mai 2017

La Chine envoie des navires près des côtes des États-Unis



En guise de représailles, la Chine décide d’envoyer près des côtes américaines des destroyers et des avions militaires, a annoncé le journal chinois Global Times.
L’opération était destinée à donner la réplique à la «liberté de navigation» des États-Unis dans les eaux contestés en mer de Chine méridionale. Le bâtiment de la marine américaine, le destroyer USS Dewey est passé, le 19 mai, «à moins de 12 milles nautiques» du récif de Mischief, un îlot faisant partie de l’archipel artificiel des Spratleys.
Selon le Pentagone jeudi 25 mai, un avion de patrouille maritime américain a été intercepté mercredi de manière «non professionnelle et non sûre» par deux avions de combat chinois au-dessus de la mer de Chine méridionale.
L’avion de patrouille américain intercepté, un P-3 Orion, a pu continuer sa mission sans problème après l’incident, a précisé le Pentagone.
La Chine revendique l’essentiel de la mer de Chine méridionale. Certains pays voisins ont également des revendications sur cette mer.
Source: parstoday.com

La Corée du Nord balance un nouveau missile balistique. Trump met en garde



La Corée du Nord a procédé lundi à un nouveau tir de missile balistique, sur fond de tensions très élevées sur la péninsule et en violation des résolutions de l'Onu.

La Corée du Nord a procédé lundi au tir d'un missile de courte portée qui a fini sa course au large de sa côte est, a annoncé la Corée du Sud. Tiré depuis la région de Wonsan, sur la côte orientale de la Corée du Nord, le missile de type Scud a parcouru 450 km et atteint une altitude de 120 km, a annoncé l'armée sud-coréenne.
Lors d'une conférence de presse, un porte-parole sud-coréen a ajouté que l'armée continuait d'analyser le tir, indiquant que plusieurs missiles avaient pu être tirés.
Le commandement américain dans le Pacifique a confirmé avoir suivi un missile nord-coréen ayant effectué un vol de six minutes avant de finir sa course en mer du Japon. Le Président Donald Trump a été informé du nouvel essai.
De son côté, le Président sud-coréen Moon Jae-in a immédiatement convoqué une réunion de son conseil de sécurité nationale, a indiqué l'état-major des armées sud-coréennes dans un communiqué.
La Corée du Nord détient un large stock de missiles Scud, développés à l'origine par l'Union soviétique. Le tir intervient dans un contexte d'intensification des essais de Pyongyang, qui tente de développer des missiles balistiques de longue portée capables d'atteindre les États-Unis.
Depuis le début de l'année 2016, Pyongyang a mené des dizaines d'essais de missiles et deux essais nucléaires, au mépris des sanctions du Conseil de sécurité des Nations unies.
La Corée du Nord a effectué plusieurs essais de missile Scud, mais certains experts estiment qu'elle cherche désormais à tester de nouvelles capacités de longue portée. Des versions modifiées de missiles Scud sont susceptibles d'atteindre 1 000 km.
 Source: wikistrike.com

dimanche 28 mai 2017

Analyse géopolitique: une attaque des USA contre la Corée du Nord est inévitable



Les États-Unis envisagent d’attaquer la Corée du Nord, selon l'expert américain en géopolitique George Friedman, en se préparant pour une guerre pénible et difficile avec des conséquences potentiellement catastrophiques.

Malgré qu'il soit peu probable que les États-Unis prennent des mesures avant que le Président Donald Trump ne retourne dans son pays ce week-end, les actions de la Corée du Nord semblent n'avoir « offert aux États-Unis aucune alternative », informe Business Insider, citant la déclaration de George Friedman, fondateur de Stratfor et de Geopolitical Futures, à la Conférence sur l'investissement stratégique 2017, à Orlando.
Selon M. Friedman qui reprenait à son compte une analyse de Geopolitical Futures, il y a un ensemble de facteurs qui prouvent que la confrontation entre les deux pays ne cesse de croître à un point où la guerre est inévitable.
Ainsi, le fondateur de Stratfor a expliqué que le 20 mai, les porte-avions américains Carl Vinson et Ronald Reagan étaient tous les deux à portée de tir de la Corée du Nord.
En outre, il a fait savoir que plus de 100 avions F-16 effectuaient quotidiennement des exercices dans la région, une tactique qui a précédé le début de l'opération américaine Tempête du désert contre l'Irak, en 1991.
De plus, le Pentagone a déployé des avions F-35 et des représentants du gouvernement américain devraient briefer l'île de Guam, un territoire non-incorporé des États-Unis situé dans le Pacifique, sur la protection civile, le terrorisme et la situation sur la péninsule coréenne le 31 mai.
Selon le géo-politologue américain, toutes ces mesures ne montrent qu'un scénario possible: la guerre.
Source: sputniknews.com

Une catastrophe nucléaire pire que celle de Fukushima pourrait frapper les Etats-Unis


Selon l'Université de Princeton, Washington a sous-estimé le danger auquel le pays ferait face en cas d'incendie dans une centrale nucléaire. Les chercheurs précisent qu'une telle catastrophe serait plus dévastatrice que celle de Fukushima.

Des scientifiques de l'Université de Princeton ont fait des projections sur ce qui pourrait se passer dans le cas où l'une des dizaines de centrales nucléaires du pays devait connaître un grace incendie. Les résultats publiés dans la revue Science choquent.

«Si le combustible usagé de l’une des dizaines de centrales nucléaires américaines prend feu, les dégâts seront pires que ceux qui ont été constatés après Fukushima», mentionne le travail de recherche des scientifiques de l'Université américaine. D’après eux, les Etats-Unis devront dépenser au moins un milliard de dollars pour compenser les pertes causées par la contamination des territoires situés dans un rayon de plus de 80 kilomètres autour des centrales.

Le principal problème mis à jour par cette étude découle du fait que, dans la plupart des centrales nucléaires du pays, le combustible nucléaire se trouve à proximité des déchets radioactifs. Même après l'évacuation du combustible de la zone active du réacteur, les produits radioactifs continuent d'émettre de la chaleur. Ainsi, toutes les centrales conservent leur combustible usagé pendant quatre ans dans de profonds bassins, où il se refroidit assez lentement au contact de l'eau.

Si un incendie devait se déclarer l'une des plus anciennes centrales nucléaires des Etats-Unis, en Pennsylvanie à Peach Bottom, le nuage radioactif pourrait recouvrir un territoire deux fois plus grand que New Jersey, soit plus de 50 000 km². Un tel accident nécessiterait de déplacer quelque huit millions de personnes, soulignent les chercheurs.

Pour éviter qu'une telle catastrophe se produise, les scientifiques proposent de déplacer le combustible usagé dans des conteneurs secs. Une option qui aurait l'avantage de réduire de 99% les émissions radioactives en cas d'incendie. Cette variante a été envisagée lors de la construction des centrales nucléaires mais elle n'avait pas été retenue en raison de son coût important.

Les chercheurs sont certains que le risque de catastrophe est trop important pour garder le silence et négliger les mesures de sécurité. Ils précisent qu’un désastre peut être provoqué par n'importe quel incident, un fort séisme ou un attentat.

«Il est nécessaire que les Etats subventionnant les réacteurs nucléaires n'octroient des fonds qu'aux centrales qui s'engagent à stocker le combustible usagé dans des conteneurs scellés en béton. Sinon, une inondation forte, un tsunami ou un séisme pourraient entraîner une catastrophe globale», estime Frank von Hippel, l’un des auteurs de l’article publié dans Science.

Source: rt