Translate

jeudi 16 octobre 2014

Décompte vers la catastrophe, jour 1 de 60.

Au Kenya, une dame est morte d' une fièvre hémorragique. Il faudra attendre les résultats de l' autopsie pour connaître l' identité du virus, Ébola ou Marburg? ///// Un avion d' Air France en provenance de Paris avec 156 passagers à bord se retrouve isolée sur un bout de piste à Madrid. Un homme a rapporté faire de la fièvre et avoir des frissons. Son cas a été traité comme celui d' Ébola par prévention. ///// Les professionnels de l' OMS et du CDC ne comprennent plus vraiment le virus Ébola, suite à l' infection d' une deuxième infirmière à Dallas. Sources: beforeitsnews.com / theextinctionprotocol.wordpress.com Traduction Benoit Godin

Un troisième cas Ébola à Dallas, c' est une autre infirmière qui en est infectée. Elle est allée à Cleveland pour ses noces et avant de prendre l' avion, elle a téléphoné au CDC pour dire qu' elle faisait 99.4 degrés farenheit de température. Elle a fait son voyage et est présentement sous observation à l' hôpital de Dallas depuis son retour. Au CDC on ne comprend pas pourquoi elle a voyagé malgré la poussée de fièvre. C' est une erreur incompétente et irresponsable de la personne qui a reçu l' appel et ne lui a pas interdit de prendre l' avion. Voilà comment se propage le virus! //// Avez-vous vu la vidéo ou image de l' infirmière étant transférée vers Atlanta? On y voit clairement un autre bris majeur d'un protocole déficient ou de je m'en fout d' une personne non protégée accompagnant les gens et l' infirmière en habits Hazmat! Cela deviendra " criminel" de vouloir propager le virus. Source: beforeitsnews.com Traduction Benoit Godin

mercredi 15 octobre 2014

La FEMA a des camps dans de nombreuses villes et plus d`un million de cercueils.

 

Voici une carte des États-Unis qui parle par elle même. Chaque point représente un endroit où se situe un camp de la FEMA.

 

 

Et dire que tout est sous contrôle....

 

Source: live free or die

Voici une vidéo:

https://www.youtube.com/watch?v=JvAr2sKMw34&feature=player_embedded

Les Nations-Unies avisent qu`il nous reste 60 jours pour enrayer la propagation d`Ébola.

 

L`annonce est directe et prévient le monde. En accord avec l`OMS, les Nations-Unies disent que nous avons été avertit qu`Ébola “ coure plus vite que nous et gagne la course,” avec plus de 9,000 cas et 4,447 décès dans plusieurs pays et que 70% des gens infectés n`ont pas les soins adéquats et ne sont pas dans des centres de traitements et que 70% des enterrements sont effectués sans les indications nécessaires. Alors pour les prochains 60  jours,  “Nous sommes en face d`une situation sans précédents pour laquelle nous n`avons aucun PLAN.”

Si la communauté globale, l`OMS , le CDC et les multiples pays impliqués dans cette bataille depuis décembre 2013 n`ont pas su se préparer convenablement durant les 10 derniers mois, qu`est-ce qui fait penser qu`ils pourront faire quelque chose d`efficace en seulement 60 jours?

Bonne réflection!

Source: AllNewsPipeline

Traduction Benoit Godin

 

Je crois fermement qu`après cette période, les nouveaux cas vont augmenter à une vitesse vertigineuse. La panique sera indescriptible et avec les chifffres que l`on nous annonce pour le début de 2016, soit 3,4 milliards de morts, il y a de quoi à commencer à y penser sérieusement.

 

Bien que nos chers responsables continuent de dire que le virus est seulement par contact, pourquoi des gens deviennent infectées sans aucun contact direct ou proche des malades? Que se passe-t-il avec les gouttelettes suspendues dans l`air et qui contiendraient possiblement le virus? Pourquoi gardent-ils leurs ` têtes dans le sable ` et que nous devrions les suivrent aveuglément?

 

S`ils passent à côté pour ne pas faire paniquer le monde, allo, nous sommes à l`ère de l`Internet, des réseaux sociaux et du web, nous sommes informés et connaissons plus qu`autrefois, alors fini le temps de nous faire passer pour des moutons et dites la vérité. Vous désirez stopper la propagation, mais vous nous laissez continuer de côtoyer des gens possiblement infectés. Oui, le fait de mentionner que le virus serait peut-être aérien changerait la note, un vent de panique au début, mais les gens sauraient à quoi s`attendre et éviteraient possiblement les endroits bondés pour éviter de tomber malade par accident. - Benoit Godin

 

P.S. commencez à vous préparer si ce n`est pas encore fait, nourriture, premiers soins, articles divers pour une isolation à long terme, etc.

 

Chronique d'une catastrophe annoncée : L'actualité de l'Ebola du 13 au 19 Octobre



13/10 : Un deuxième cas détecté au Texas

Un soignant qui s'est occupé d'un Libérien décédé mercredi dernier au Texas de la fièvre hémorragique Ebola, a contracté le virus, selon les premiers examens.


http://www.lapresse.ca/international/dossiers/virus-ebola/201410/12/01-4808615-ebola-un-deuxieme-cas-detecte-au-texas.php


13/10 : un avion immobilisé à Boston

Un avion de la compagnie Emirates a été immobilisé plusieurs heures aujourd'hui à son arrivée à Boston, et cinq voyageurs ont été évacués par précaution vers des hôpitaux, a-t-on appris des services locaux de santé.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/10/13/97001-20141013FILWWW00405-des-passagers-malades-pris-en-charge-a-l-aeroport-de-boston.php


14/10 : Un employé de l'ONU meurt en Allemagne

Un Soudanais, employé de l’ONU et contaminé par Ebola, qui avait été accueilli jeudi à Leipzig (Est de l’Allemagne) en provenance du Liberia, est mort, selon une source hospitalière.


http://www.liberation.fr/monde/2014/10/14/un-employe-de-l-onu-atteint-d-ebola-meurt-en-allemagne_1121248


14/10 : Un premier cas possible à Bruxelles

Pour la troisième fois depuis les débuts de l'épidémie Ebola, la Belgique est confrontée à la possibilité d'un cas Ebola sur son territoire. Les deux premières fois se sont finalement avérées des fausses alertes. Cette fois-ci, il s'agit d'un individu ayant séjourné récemment en Guinée et revenu en Belgique au début du mois d'octobre.


http://www.dhnet.be/actu/belgique/un-premier-cas-ebola-possible-a-bruxelles-543bf754357030e6104661ff


15/10 : Un deuxième soignant infecté au Texas

Un deuxième infirmier a été diagnostiqué comme porteur du virus Ebola, à l'hôpital texan où est mort un homme atteint de la fièvre hémorragique et où un premier soignant avait été infecté.


 

Comme le premier cas, la personne contaminée est un professionnel de santé qui s'est occupé d'un Libérien qui a succombé au virus Ebola dans un hôpital de Dallas.


http://www.rtl.fr/actu/international/ebola-aux-etats-unis-un-deuxieme-soignant-infecte-au-texas-7774835649


15/10 : L'OMS prévoit une explosion des cas en Afrique de l'Ouest en décembre

L'épidémie d'Ebola pourrait infecter 5.000 à 10.000 nouvelles personnes par semaine en Afrique de l'Ouest, a indiqué mardi l'OMS


http://www.20minutes.fr/monde/1461117-20141014-ebola-oms-prevoit-explosion-cas-afrique-ouest-decembre


15/10 : Les Nations Unies avertissent qu'il ne reste que 60 jours pour enrayer la propagation

http://news.sky.com/story/1352857/sixty-days-to-beat-ebola-united-nations-warns



15/10 : Le maire de Londres annonce une préparation fantastique pour la lutte contre le virus Ebola

http://french.ruvr.ru/news/2014_10_13/Le-maire-de-Londres-a-annonce-une-preparation-fantastique-pour-la-lutte-contre-le-virus-Ebola-2061/


15/10 : L'Elysée annonce des "contrôles à l'arrivée des vols" de zones touchées

http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/ebola/ebola-l-elysee-annonce-la-mise-en-place-de-controles-a-l-arrivee-des-vols-en-provenance-de-la-zone-touchee_720643.html

Source: leschroniquesderorschach.blogspot.ca

Ébola notre inconscience

Soignants de l'épidémie d'Ébola à Monrovia, au LIbéria

 

Sans avoir encore explosé aussi exponentiellement que ne le prévoyaient certains modèles (que nous avions précédemment cités dans nos articles précédents) l’épidémie d’Ébola se développe rapidement, et pourrait très bien atteindre, non seulement l’ensemble des pays dits pauvres, mais aussi à un moindre degré (quoique ce ne soit pas certain) les pays dits riches, l’Europe, les États-Unis…

 

Il en est de même des taux de mortalité. Loin de s’atténuer, comme lors des précédentes épidémies d’Ébola, ils paraissent s’accroitre. Les statistiques venant des pays actuellement touchés minorent sans doute d’ailleurs la réalité, tant en ce qui concerne les cas, que les décès, compte tenu de la difficulté d’identifier ce qui se passe en brousse, comme dans les bidonvilles des mégapoles africaines, où le virus se répand actuellement.

 

La communauté internationale, selon l’expression classique, n’a manifestement pas pris conscience de l’ampleur et des taux de progression de l’épidémie. Cela tient à diverses raisons : la croyance (fausse) que le virus resterait confiné dans les pays pauvres, des croyances également fausses concernant la contagiosité, laquelle paraît plus grande qu’il n’est dit généralement, enfin d’autres illusions sur les capacités des institutions sanitaires à réagir rapidement.

 

Il apparaît ainsi de plus en plus évident que les autorités politiques et de santé ne sont pas suffisamment informées et averties pour prévoir les grands changements systémiques que l’humanité devra dorénavant affronter. Ces changements découleront de phénomènes désormais irréversibles comme le réchauffement climatique et la destruction des écosystèmes. Il serait ainsi tout à fait probable que si une grande majorité d’espèces vivantes complexes disparaissaient dans le siècle ou le demi-siècle, des espèces moins complexes mais tout à fait bien organisées pour faire face prendraient le relais. Ce serait le cas des virus et microbes. Ou bien ceux déjà existants muteraient pour profiter des nouveaux espaces à eux ouverts, ou bien de nouvelles espèces mieux organisées émergeraient, la nature ayant horreur du vide. Il faudra aussi tenir compte du fait que si les sociétés humaines s’appauvrissaient à l’occasion de ces changements, les taux de natalité pourraient continuer à croître à court terme, aggravant les problèmes rencontrés par les adultes survivants.

 

Plus immédiatement, les observateurs considèrent qu’Ébola est le fruit de la croissance, cette croissance qui est devenue incontrôlable. De la forêt où le virus restait confiné chez certaines chauves-souris ou primates, il s’étendra dorénavant sans limites perceptibles à l’ensemble des continents, du fait de la densité des transports aériens et de la multiplication des mégapoles, où devraient résider prochainement, selon les prévisions, au moins les trois quarts des humains. La Chine et l’Inde, à cet égard, ont des soucis à se faire.

 

Nous ne pouvons prétendre traiter d’aussi graves problèmes dans un simple article tel que celui-ci. Abordons cependant quelques points à l’ordre du jour, pour compléter ce qui avait été indiqué dans nos articles précédents [Cf. Pour approfondir plus bas, après l’article].

 

La contagiosité d’Ébola

Sans évidemment être virologue ou épidémiologue, mais en faisant appel au simple bon sens, nous ne comprenons pas comment les pays destinataires des vols en provenance de l’Afrique, comme plus généralement les pays recevant des voyageurs provenant de zones infectées, peuvent se rassurer en affirmant que la détection des températures (à condition d’ailleurs qu’elle soit bien faite) suffirait à identifier les malades contagieux. Il est dit que la contagiosité ne se produirait pas avant les premiers symptômes, dont celui de la fièvre. À supposer que cela soit vrai et le demeure, comme l’on sait que ces symptômes, notamment la fièvre, n’apparaissent que quelques jours après la contamination, le risque est grand de voir des voyageurs déjà contaminés, mais non encore symptomatiques, pénétrer sur le territoire, sans être détectés par les filtres aux frontières.

 

Si, ensuite, ces personnes, ou des personnes avec lesquelles elles auront été en contact, manifestent des symptômes identifiés comme ceux d’Ébola, elles auront eu le temps, avant d’être isolées, de contaminer des dizaines d’autres contacts. On ne pourra pas en effet considérer que les millions de personnes atteintes de grippes ou d’entérites, fréquentes en cette saison, devraient passer des tests ou être isolées. Lorsque le virus sera installé, même faiblement, dans les pays jusqu’alors indemnes, le prédiagnostic, consistant à demander si le sujet provient d’un pays africain contaminé, ne sera plus applicable. Faudra-t-il alors faire passer des tests approfondis à tous les grippés, afin de séparer les faux-positifs des positifs ? Le système de santé sera vite débordé, non seulement par le nombre des malades déclarés, mais par la nécessité de multiplier, par milliers ou millions, les examens, qui se révéleraient ensuite inutiles.

 

Un autre problème est désormais à l’ordre du jour, concernant la prévention de la contagiosité, car elle suppose des équipements spéciaux coûteux, devant en principe être détruits rapidement après usage. Or ces équipements commencent à manquer dans les pays infectés. Il en sera rapidement de même dans les pays menacés d’infection. Qui paiera et, plus spécifiquement, qui lancera les actions de production et de distribution susceptibles de pallier ces ruptures de stocks

 

L’appel à l’armée

En cas d’urgence nationale, un gouvernement pourrait considérer qu’il doit faire appel à la police ou à l’armée pour mettre un semblant d’ordre dans une situation devenue incontrôlable. Mais ce serait courir le risque de contaminer rapidement les policiers ou militaires. De plus, aussi disciplinés et dévoués que soient ces personnels, il serait compréhensible que certains d’entre refusent d’obéir à des ordres dépassant évidemment ceux auxquels ils considéraient de leur devoir d’obéir.

 

Par ailleurs, comme beaucoup des États atteints, aujourd’hui en Afrique, verront très vite s’écrouler le peu qu’ils possédaient de structures institutionnelles, les pays riches devront-ils envoyer des troupes au secours de ces États en faillite. D’ores et déjà, Barack Obama, qui vient de décider l’envoi de quelques 5.000 hommes en Afrique de l’ouest, s’est fait (non sans de bonnes raisons selon nous) accuser de vouloir introduire dans ces pays la présence de l’Africa Command, dont les gouvernements avaient précédemment déclaré vouloir se passer. Même s’il s’agissait de troupes sous mandat de l’ONU, elles seraient nécessairement très mal accueillies, au vu des mesures de prophylaxie qu’elles seraient obligées d’imposer. Les Organisations non gouvernementales (ONG) occidentales ne le seront pas mieux. Ainsi l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID), principale ONG américaine, est souvent, à juste titre, considérée comme un faux-nez de la CIA ou du Pentagone. Seule, Médecins sans frontières (MSF) semble échapper à ces critiques. Mais elle le paiera durement, du fait de la mortalité qui frappera nécessairement ses volontaires.

 

Vaccins et sérums

L’appel aux vaccins, destinés à prévenir la contagion, et aux sérums, destinés à soigner des malades déjà infectés, est présenté comme la solution la plus efficace pour bloquer la diffusion du virus. Mais, généralement, ceux qui en parlent dans les médias ne se rendent pas compte des difficultés qu’il faudra résoudre, ni des obstacles pratiques qu’il faudra surmonter, pour que de tels remèdes surviennent à temps. Une course de vitesse est désormais engagée entre les recherches médicales et la diffusion du virus. Rien ne dit que l’humanité pourra la gagner, malgré les ressources de la science.

Jusqu’à présent, le virus Ébola avait été considéré comme de diffusion locale, dans des pays, dont l’état sanitaire ne mobilisait pas les grands industriels de la recherche médico-pharmaceutique (les big Pharma, selon le jargon). Au début des années 2000, à l’instigation du Département américain de la Défense, quelques recherches avaient été mollement menées, étudiant les risques de bio-terrorisme. Mais rien de grande ampleur n’en était sorti. À ce jour, dans la suite de ces recherches, deux vaccins ont été annoncés, qui comportent un ajout de protéines d’Ébola dans un virus inoffensif.

L’un de ces vaccins est le fait d’une petite entreprise américaine nommée Newlink Genetics, et l’autre du géant britannique Glaxosmithkline (GSK). Ils semblent agir chez des macaques, mais n’ont pas encore été testés chez des humains.

 

Or, des tests, en principe impérativement requis dans des situations normales, paraissent en ce cas impraticables. Selon les informations données par les experts, il faudrait administrer le sérum à au moins 5 000 personnes avant de les placer dans des situations à risque. Il a été dit que les travailleurs médicaux travaillant déjà sur le terrain pourraient accepter de courir ce risque, mais cela parait improbable. Pour bien faire, ils devraient en effet accepter de ne pas se protéger. De toute façon, le temps nécessaire à ces tests sera beaucoup trop long pour que des enseignements utiles puissent en être tirés.

 

Certains spécialistes persistent à penser que le protocole des tests ne doit en aucun cas être allégé ou supprimé. Mais d’autres considèrent aujourd’hui que le taux de mortalité est si important qu’il faudrait sans attendre vacciner le plus grand nombre possible de personnes, soit à partir des vaccins cités ci-dessus, soit à partir d’autres souches qui seront par ailleurs présentées (La Russie vient d’annoncer pouvoir disposer de 3 vaccins expérimentaux d’ici six mois). Et cela sans se préoccuper des risques, qui ne seront d’ailleurs pas plus élevés que ceux découlant du parti pris de ne rien faire.

L’organisation mondiale de la Santé vient de se réunir en urgence le 5 septembre à Genève. Il y a été dit que pour bloquer l’épidémie, face au million de cas prévu à la fin de l’année, il faudrait plusieurs milliers de doses de vaccins (non testés) à cette date avant de commencer à agir. En fait, il en faudrait plusieurs millions, et davantage encore si l’on voulait vacciner des populations non encore en risque immédiat.

 

Or, il ne suffit pas de décider d’une telle politique pour qu’elle devienne immédiatement applicable, et cela dans les délais de quelques semaines qui seraient nécessaires. Les grosses firmes pharmaceutiques, même abondamment subventionnées, ne pourraient pas fabriquer en temps utile les doses nécessaires. Si elles le pouvaient, manquerait alors le personnel de santé, ou les civils formés à cette fin, nécessaires aux opérations de vaccination sur le terrain. Et que se passerait-il, si les vaccins utilisés, comme certains anti-rétroviraux auxquels on pense par ailleurs, se révélaient finalement sans action. Et que se passerait-il si le virus mutait dans l’intervalle, en acquérant davantage de virulence, au lieu d’en perdre comme il avait semblé le faire lors des épidémies précédentes.

 

Alors ne survivrait qu’une petite moitié de l’humanité, faite d’individu semblables à ceux qui, pour des raisons encore inconnues, survivent d’ores et déjà à l’infection. On voit que les économistes, qui, pour le moment, ne s’inquiètent que des pertes commerciales en provenance d’États africains de plus en plus paralysés par l’Ébola, sont loin du compte.

 

Source:  vineyardsaker.fr par Jean-Paul Baquiast

L`armée Américaine élabore un plan pour la Troisième Guerre mondiale


Alors que les politiciens et les médias américains débattent de plus en plus âprement sur la stratégie guidant la dernière guerre des États-Unis au Moyen-Orient, l’armée américaine a dévoilé un nouveau document intitulé Army Operating Concept (AOC) qui fournit une « vision d’un futur conflit armé » aux implications extrêmement inquiétantes.

C’est le dernier en date de toute une série de documents dans lesquels le Pentagone développe la stratégie sous-tendant la guerre préventive, annoncée en 1992 – à savoir le recours à la guerre comme moyen de destruction d’éventuels concurrents géopolitiques et économiques avant qu’ils ne deviennent suffisamment puissants pour obstruer une domination de la planète par les États-Unis.

Le document a été officiellement rendu public cette semaine lors de la conférence de l’Association de l’Armée des États-Unis (AUSA), une manifestation annuelle qui rassemble les hauts gradés de l’armée et les responsables du ministère de la Défense pour une série de discours et de réunions-débat. Celle-ci se déroule parallèlement à un énorme salon commercial organisé par des fabricants d’armes dans le but d’exposer leurs systèmes d’armes dernier cri et de conclure de lucratifs contrats avec le Pentagone.

Une bonne partie de la conférence de cette année a été dominée par de funestes avertissements quant à l’impact de la mise sous séquestre des dépenses militaires pour les effectifs des forces armées. Le général Raymond Odierno, le chef d’état-major de l’armée, a dit aux journalistes lundi à la conférence de l’AUSA qu’il « commençait à s’inquiéter de la taille de l’armée au final » et qu’il regrettait d’avoir dit au Congrès en 2012 que l’armée pouvait s’en sortir avec 490.000 hommes en service actif.

En plus de ces 490.000 soldats, il y a les 350.000 de la Garde nationale et 205.000 réservistes, pour un effectif total – que le Pentagone qualifie d’‘armée totale’ – dépassant de loin le million de soldats. La réponse à la question de savoir pourquoi des forces armées aussi gargantuesques paraissent insuffisantes au général Odierno se trouve dans le nouvel Army Operating Concept (AOC), un document irresponsable et dangereux qui présente une stratégie de la guerre totale sur toute la planète y compris les États-Unis.

Le document montre clairement que pour les hauts gradés de l’armée américaine, en ce qui concerne le débat actuel relatif aux « bottes sur le terrain » il ne fait aucun doute qu’il y aura des bottes et ce, en abondance.

L’AOC précise dès le début sa « vision » des guerres à mener par l’armée américaine à l’avenir. Dans un langage qui rappelle l’invocation par Rumsfeld des « inconnues inconnues, » le document affirme: « L’environnement dans lequel l’armée opérera est inconnu. L’ennemi est inconnu, le lieu est inconnu et les coalitions impliquées sont inconnues. »

La seule explication logique pour ce scénario paranoïde est que l’armée américaine estime que tout pays se situant au-delà de ses frontières est un ennemi potentiel. Partant du postulat comme quoi les environnements, les ennemis, les lieux et les coalitions impliqués dans les conflits à venir sont inconnus, l’armée américaine requiert une stratégie de guerre contre tous les États et tous les peuples. Cette stratégie découle de l’impératif tacite sous-jacent que l’impérialisme américain exerce son hégémonie sur l’ensemble de la planète, ses marchés et ses ressources et est prêt à anéantir tout concurrent qui se dresse sur son chemin.

Le document stipule sans détours que le « caractère du conflit armé » sera essentiellement influencé par « des modifications du paysage géopolitique dues à la lutte pour le pouvoir et les ressources. » Pour les hauts gradés de l’armée de telles guerres pour la domination impérialiste sont inévitables.

Selon le document, l’objectif stratégique de l’armée est d’atteindre la « suprématie », terme qu’il définit comme « l’application de capacités ou le recours à des tactiques de manière à rendre un adversaire incapable de réagir efficacement. »

Qu’impliquent ces mots? Dans le cas d’une confrontation avec une autre puissance nucléaire, ils entraînent la mise en œuvre d’une doctrine de la première frappe d’annihilation massive. Dans le cas de l’asservissement et de la domination d’autres régions du globe, ils réclament des opérations massives sur le terrain afin d’étouffer la résistance et d’imposer une occupation militaire.

Il est significatif qu’après plus d’une décennie de soi-disant « guerre contre le terrorisme, » durant laquelle la mission principale de l’appareil militaire et du renseignement américain fut de contrecarrer la menace prétendument omniprésente d’al Qaïda, « les organisations terroristes transnationales » occupent une place plutôt secondaire sur la liste des priorités de l’armée.

En tout premier lieu viennent les « puissances concurrentes », une catégorie qui comprend la Chine, puis la Russie. Pour ce qui est de la Chine, le document exprime de graves préoccupations sur « les efforts de modernisation de l’armée » chinoise, qui dit-il, visent à parvenir à une stabilité le long de sa périphérie, » ce que l’armée américaine est déterminée à empêcher. Les efforts militaires de la Chine, précise-t-il, « mettent en évidence le besoin de forces armées déployées à l’avant ou actives au niveau régional, » et pour « les forces armées de projeter la puissance de la terre dans le domaine de l’air, de la mer, de l’espace et de l’espace cybernétique. »

Se fondant sur certains événements récents survenus en Ukraine, le document accuse la Russie d’être « déterminée à étendre son territoire et à imposer son pouvoir sur le continent eurasien, » le propre objectif stratégique de l’impérialisme américain précisément. Seul un puissant déploiement des forces américaines au sol, prétend-il, peut dissuader « l’aventurisme » russe et « projeter un pouvoir national en exerçant une influence sur les conflits politiques. »

De là, le document passe aux « puissances régionales, » en premier lieu l’Iran. Il accuse aussi l’Iran de « poursuivre une vaste modernisation militaire » affirmant que, « prise collectivement l’activité iranienne a le potentiel de saper les objectifs régionaux des États-Unis, » c’est-à-dire, l’hégémonie incontestée sur le Moyen-Orient et ses ressources énergétiques. Les activités de l’Iran, conclut le document, « soulignent le besoin des forces armées de rester efficaces contre les forces déployées par des États-nations ainsi que les organisations de guérilla en réseaux ou insurrectionnelles. »

Le document ne restreint pas la « vision » de futures opérations militaires à une guerre à l’étranger, mais inclut la nécessité de « réagir et d’atténuer des crises en métropole, » qu’il qualifie de « théâtre unique d’opérations interarmées et de l’armée. » La mission de l’armée aux Etats-Unis, affirme-t-il, comprend « l’aide à la défense des autorités civiles. »

Le document de l’AOC est une manifestation brutale du fait que l’armée est hors de tout contrôle. Il s’agit dans ces conceptions stratégiques de préparatifs avancés pour livrer une Troisième Guerre mondiale, allant de pair avec l’instauration aux États-Unis mêmes d’une dictature militaire à laquelle il ne manquerait que le nom.

Les plaintes formulées par le général Odierno sur les effectifs des troupes ne seront pas satisfaites par des ajustements mineurs du budget du Pentagone votés par le Congrès. Le genre de guerre envisagé par l’armée ne peut être mené sans une massive mobilisation militaire par le biais d’un service militaire obligatoire – le retour à l’appel sous les drapeaux.

Les fondateurs des États-Unis ont à maintes reprises exprimé une sévère méfiance face à une armée permanente. L’armée telle qu’elle existe aujourd’hui et son plan pour une guerre mondiale représentent une hideuse réalisation moderne de leurs pires craintes. L’application de cette doctrine de la guerre totale est entièrement incompatible avec les droits démocratiques et un gouvernement constitutionnel aux États-Unis. Elle nécessite la répression impitoyable de toute opposition politique et de toute lutte sociale organisée par la classe ouvrière américaine.

Il n’existe, au sein de l’establishment dirigeant américain et de ses deux partis politiques, aucune opposition sérieuse empêchant de mener à son ultime conclusion la militarisation de la vie à « l’intérieur du territoire » américain. Le contrôle civil de l’armée est devenu lettre morte, les politiciens courbant systématiquement l’échine devant les généraux en matière de politique, tant étrangère qu’intérieure.

Source: mondialisation.caBill Van Auken et David North




Alerte: La FEMA aux États- Unis s' agite, les citoyens du monde peuvent trembler!

Ce message a été lancé en secret par la FEMA sous le nom de code "BOB" qui est de la Défense sanitaire militarisée Américaine. Il semblerait qu' une violente secousse sismique se produira sur le sol Américain ce jeudi 16 octobre, soit dans moins de 48 heures.

 

Un  contact avec un sismologue rend l' alerte plus que probable. Cette alerte est pour les Californiens et on leur demande d' évacuer la zone par mesure de précaution. Attention, ce n' est pas une certitude, seulement une alerte préventive suite aux agissements de la FEMA. Est-ce que le "Big One" est ainsi décidé d' avance? Suite le soir du 16 octobre...

 

Source: wikistrike.com

Un deuxième membre du personnel médical à Dallas est testé positif à Ébola. Un autre cas possible est sous observation au Texas. //// La thèse des gouttelettes pouvant propager le virus est discutée comme possibilité de propagation. J' avais mentionné ce point dans un article récent et il semble que nos " autruches" ne le voyaient pas. On continu de donner l' information incomplète. Il serait plus simple d' aviser que le virus pourrait se propager d' une autre manière et que le tout est sous études. //// Ce matin, il faut ajouter le Nigeria comme pays infecté sur la liste. Il rejoint officiellement le Liberia, la Guinée et le Sierra Leone. Le Nigeria avec sa ville de 21 millions d' habitants, représente un réel danger. La Côte d' Ivoire est surveillée comme risque futur. Sources: wikistrike/ beforeitsnews Traduction Benoit Godin

mardi 14 octobre 2014

Ébola au 14 octobre: Le CDC avise que 125 Américains sont présentement sous observations aux États-Unis.

En Ouganda, l' OMS avise de 2 nouveaux cas du virus Marburg. Y a-t-il une deuxième épidémie en formation? ///// Le personnel médical ayant soigné M. Duncan à l' hôpital de Dallas se sont plaints que leurs équipements de protection personnelle ne sont pas adéquat pour Ébola. Cela serait la raison possible de l' infection d' une des infirmières. ///?/ Toujours selon l' OMS, le nombre de nouveaux cas dans les 3 pays Ouest- Africains pourrait s' élever à plus de 10,000 cas par semaine vers la fin de l' année 2014. À ce jour, le nouveau bilan fait état de 4,447 morts. Ce virus a entraîné la fermetures des écoles, des élections suspendues, des activités minières et forestières arrêtées, des fermiers qui ont abandonné leurs champs et récoltes. Oui voilà un triste bilan et avenir pour ces gens. Sur l' internet, il y a des choses ridicules qui trouvent leurs chemins vers le public. Par exemple, quelqu' un essaie de nous faire croire que le virus Ébola est un mensonge et que personne n' est mort! Cela passerait ave 1 ou 2 cas, mais pas avec 4,447 morts! Bof, il en aura toujours qui écriront n' importe quoi pour simplement attirer l' attention vers eux. Sources: nytimes.com / beforeitsnews.com / NTV / KRDO Traduction Benoit Godin

Un tremblement de terre de 7.3 a fait un mort ce matin du 14 octobre dans la municipalité de Intipuca au El Salvador. Bien que le séisme s' est produit à 40 km de profondeur, il était près des côtes et à 64 km d' Intipuca. Une femme est morte lorsque le poteau de fils électrique soit tombé sur elle. En plus, 12 maisons ont été détruites. Les équipes d' urgence ont travaillé toute la journée et la majorité des pannes électriques ont été réparées. Source: theextinctionprotocol.wordpress.com Traduction Benoit Godin