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samedi 5 novembre 2016

Daech recrute des enfants autour de Mossul



Les terroristes ont transporté plus de 1.000 civils enlevés dans la commune de Hammam Al-Alil à Tel Afar, vraisemblablement pour les utiliser en tant que boucliers humains contre les attaques aériennes. Ils ont également ordonné aux habitants de la ville de leur remettre leurs enfants, en particulier les garçons.

La porte-parole des Nations unies pour les droits de l'homme, Ravina Shamdasani a déclaré vendredi que le groupe terroriste Daech avait ordonné aux habitants de la commune irakienne de Hammam Al-Alil de leur remettre leurs enfants, en particulier les garçons de plus de neuf ans. « Ils ont frappé aux portes des habitants en demandant leurs garçons », a fait savoir Ravina Shamdasani, ajoutant que les familles qui ne voulaient pas donner leurs enfants avaient été menacé punitions sévères. 

L' armée irakienne reprend six quartiers de Mossoul Selon Mme Shamdasani, les membres de l'État islamique ont également transporté 1 600 civils enlevés de la commune de Hammam Al-Alil à Tel Afar, dont certains pourraient être emmenés en Syrie. Ils ont également transféré 150 familles de Hammam Al-Alil à Mossoul mercredi, informe Middle East Monitor. Daech continue cette campagne d'enlèvements afin de regrouper des civils autour de ces objets cruciaux, utilisant les gens comme boucliers humains pour éviter les attaques aériennes, menées par la coalition internationale. De plus, lors d'une réunion des Nations unies à Genève, citant des « sources crédibles », la porte-parole a fait savoir que des terroristes avaient tué des centaines de personnes, dont 50 déserteurs et 180 anciens employés du gouvernement irakien près de leur bastion, Mossoul. 


En outre, Mme Shamdasani a indiqué que l'Onu avait reçu des informations sur des attaques aériennes de la coalition menées par les États-Unis qui indiquaient qu'elles avaient coûté la vie à des civils pendant une bataille le 2 novembre, lorsque quatre femmes ont été tuées et 17 autres civils ont été blessés dans le quartier d'Al-Qudus dans l'est de Mossoul. L'opération visant à libérer la ville de Mossoul a commencé le 17 octobre dernier. Les combats sont menés par les forces armées, la police irakienne et des milices kurdes appuyées par l'aviation de la coalition dirigée par les États-Unis. En deux semaines d'opération, plus de 16 500 habitants ont dû quitter leurs foyers.


Source: sputniknews.com

vendredi 4 novembre 2016

Une milice américaine se prépare à «combattre et tuer» si Clinton «volait» l’élection



Dans l’Etat de Géorgie aux Etats-Unis, les membres de la Force de sécurité des trois pour cent, une milice qui soutient le candidat républicain Donald Trump, s’entraînent au tir et au combat, à quelques jours de l’élection présidentielle américaine.
Alors que le scrutin américain approche à grands pas, une milice armée se prépare à la possibilité de troubles aux Etats-Unis, si l’élection du 8 novembre venait à être remportée, «frauduleusement» selon eux, par la candidate démocrate Hillary Clinton, rapporte le journal britannique Daily Mail.
Soupçonnant cette dernière de vouloir «voler» l’élection, les membres de la «Force de sécurité des trois pour cent» (III% Security Force), une milice basée en périphérie de la ville d’Atlanta, se prépare au pire à coups d’exercices militaires et autres courses d’obstacles.
Et s'ils assurent qu’ils ne seront pas les premiers à tirer, ils n’entendent pas laisser leur arme à la maison pour autant.
Source: Reuters
Chris Hill, qui a fondé le groupe paramilitaire il y a plusieurs années, a même dessiné des plans pour une possible marche armée sur Washington si la démocrate venait à remporter le scrutin.
«Je serai là pour porter assistance à mes compatriotes et pour les empêcher d’être désarmés et je me battrai et je tuerai, et je pourrais mourir dans ce processus», explique-t-il au journal.
Source: Reuters
Un autre groupe paramilitaire, les Oath Keepers (littéralement «gardiens des serments»), avait déjà appelé à venir surveiller plusieurs bureaux de votes le jour de l’élection pour empêcher les fraudes.

A plusieurs reprises, le candidat républicain Donald Trump n'avait déclaré que le scrutin pourrait être «truqué», ajoutant qu’il ne reconnaîtrait pas le résultat du vote en cas de victoire d'Hillary Clinton.
Selon l’organisation américaine Southern Poverty Law Center, qui étudie l’activité des groupes extrémistes, le nombre de milices actives aux Etats-Unis serait passé de 42 en 2008, à 276 en 2015.

Source: rt

Un avion-espion US repéré près d’une base russe en Syrie


Les avions militaires US poursuivent leurs missions de reconnaissance près des sites et navires russes. Un avion de patrouille maritime Poseidon s’est approché le 4 novembre de la base russe dans la ville syrienne de Tartous.

Un avion de patrouille maritime et de lutte anti-sous-marine P-8A Poseidon de la marine US a effectué vendredi un nouveau vol de reconnaissance près de la base de maintenance technique de la Marine russe à Tartous, en Syrie, ont annoncé les médias occidentaux qui suivent les déplacements des avions militaires dans le monde. 


Damas: la base russe de Tartous renforcera l'armée syrienne L'avion portant le numéro de bord 168761, qui a quitté la base aérienne de Sigonella, en Sicile, a fait de nombreux tours non loin de la côté syrienne, au large de Tartous. Son itinéraire est pour la première fois passé par l'espace aérien de la Crète. Selon les experts, il n'est pas exclu que la région de Tartous soit dans le collimateur des militaires américains en prévision de l'arrivée de navires russes à la base. Les États-Unis s'intéressent aussi au groupe naval russe en mission en Méditerranée orientale. Le grand navire de débarquement Tsezar Kounikov et le navire de soutien KIL-158 sont entrés le 3 novembre en Méditerranée par les détroits de la mer Noire. D'après les sites d'information d'Istanbul, les navires font route vers Tartous. 

Les militaires américains s'excusent pour l'incident avec l'avion russe en Syrie. Deux avions de patrouille maritime P-8A Poseidon de l'US Navy ont mené une mission de reconnaissance près de Tartous et à l'est de la Crète où se trouverait le groupe naval russe dirigé par le porte-avions Amiral Kouznetsov. Cette semaine, les avions de lutte anti-sous-marine américains surveillent quotidiennement les navires russes en Méditerranée. 

Ces derniers mois, le Pentagone a intensifié ses missions aériennes de reconnaissance visant des sites russes. Des avions américains ont été détectés à proximité des frontières russes dans les mers Baltique et Noire, ainsi que près des bases russes en Syrie. Le P-8A Poseidon est un avion de patrouille maritime, destiné aussi à la lutte anti-sous-marine, conçu et fabriqué par l'entreprise Boeing et entré en service fin 2013. Il est dérivé de l'avion de ligne Boeing 737.

Source: fr.sputniknews.com

Al-Qaïda aurait menacé de frapper les Etats-Unis la veille de l'élection présidentielle



Des menaces d'attentat planeraient au dessus de certains Etats américains d'après des informations que les Etats-Unis auraient recueillies. Les cibles potentielles d'Al-Qaïda seraient New York, le Texas et la Virginie.

Le vendredi 4 novembre, une source gouvernementale à Washington a indiqué à l'agence de presse Reuters que les Etats-Unis auraient recueilli des informations sur une éventuelle menace d'Al-Qaïda à l'approche des élections.

Selon cette source, certaines agences fédérales auraient transmis l'information concernant le risque d'une attaque terroriste à des autorités locales comme la police de New York (NYPD) ou les autorités portuaires de New York et du New Jersey. 

La police de New York a néanmoins indiqué dans un communiqué que le rapport concernant la menace terroriste manquait de détails et que l'information était toujours en cours d'évaluation. 

Un peu plus tôt dans la journée du vendredi 4 novembre, la chaîne d'information CBS News avait indiqué l'existence de menaces d'attentats pour la veille des élections présidentielles, c'est à dire le lundi 7 novembre. Selon CBS News, Al-Qaïda pourrait viser New York mais aussi les Etats du Texas ou de la Virginie.

CBS News a cité des sources non identifiées et n'a pas spécifié de lieux particulièrement visés dans ces Etats. De son côté, le FBI n'a pas détaillé les informations de CBS News et a simplement indiqué dans un communiqué paru vendredi 4 novembre : «Les unités antiterroristes et de sécurité nationale sont vigilantes et sont positionnées pour se défendre contre des attaques ici aux Etats-Unis.»

Les élections présidentielles américaines doivent avoir lieu le mardi 8 novembre. 

Source: russiatoday

Les abeilles officiellement reconnues comme espèce en voie de disparition



The United States Fish and Wildlife Service (USFWS) est un organisme fédéral des États-Unis dépendant du Département de l'Intérieur, et qui s'occupe de la gestion et la préservation de la faune. Le 30 septembre dernier, cet organisme a classé officiellementles abeilles comme une espèce en voie de disparition. Si les abeilles venaient à disparaître, les conséquences seraient terribles, jusqu'à menacer grandement la survie de l'humanité. Le service a ainsi estimé que 7 espèces d'abeilles à face jaune originaires d'Hawaï devaient être protégées en vertu de la Loi sur les espèces en voie de disparition. 




En effet, les abeilles sont des insectes pollinisateurs, ce qui signifie qu'elles permettent à 80% des espèces végétales sur terre de se reproduire. En France par exemple, « les bourdons (qui font partie d'une sous-espèce d'abeilles) lâchés dans les serres permettent aux agriculteurs cultivant tomates et melons d'assurer leur production » explique Benoît Gilles, entomologiste, au magazine Atlantico. Par effet boule de neige, une disparition des espèces végétales aurait des conséquences sur l'alimentation des animaux, et donc des humains. 
Si l'utilisation globale et massive d'insecticides est souvent pointée du doigt comme cause principale de cette hécatombe chez les abeilles, elle n'est pas seule et les causes sont bien plus nombreuses que cela. On peut notamment évoquer la déforestation, la pollution de l'air, la réduction de la ressource alimentaire (quantité et diversité des fleurs fournissant nectar et pollen) et des habitats, les infections parasitaires, la compétition avec des espèces invasives, le changement climatique ou encore le développement des réseaux 4G, poursuit Benoît Gilles.
En France, « les mortalités d'abeilles se sont largement aggravées depuis une vingtaine d'années. On est passé d'un taux de mortalité qui était de l'ordre de 5% par an à 30% en moyenne. L'enjeu de l'apiculture, des abeilles, dépasse le petit monde des apiculteurs et concerne toute la société » déclare Henri Clément secrétaire général de l'union nationale des apiculteurs de France, cité par RTL.

Source: sciencepost.fr

mercredi 2 novembre 2016

La flotte russe sème la peur


Time Magazine le confirme : l'arrivée de la flotte russe dans les eaux de la Méditerranée a instillé une crainte terrible dans les rangs de l'opposition anti-Assad.
Une flotte composée de huit navires de guerre appareille en ce moment en Méditerranée, prête à lancer une nouvelle série de frappes contre les terroristes. 
La revue britannique revient sur la journée du 26 octobre où la flotte a gagné la Méditerranée "au grand dam de l'opposition, qui n'écarte pas une nouvelle vague de frappes russes et syriennes contre ses positions après avoir perdu de nombreuses localités ces dernières semaines".
La flotte de guerre russe a quitté le 15 octobre dernier les ports russes pour se rendre en Méditerranée. Cette flotte a pour mission de renforcer la présence militaire russe à Tartous.  
Time Magazine ajoute : "Depuis l'entrée de la flotte russe dans les eaux territoriales syriennes il y a 13 mois, les risques d'une confrontation directe entre la Russie et l'opposition sont grands. De nouveaux agissements russes prouvent que Moscou cherche à déclencher de nouvelles frappes contre Alep et d'autres régions où l'opposition est présente." 
En dépit de l'arrêt des raids aériens russes contre les positions terroristes à Alep depuis le 18 octobre dernier, la Russie a annoncé ne pas croire à une " trêve qui reste unilatérale", car " les rebelles poursuivent leurs attaques contre l'est d'Alep". Le ministre russe de la Défense a mis en garde mardi l'Occident contre toute tentative d'amalgamer les rebelles modérés et les terroristes : "L'Occident devra bien décider contre qui il veut se battre : les terroristes ou la Russie."
Depuis le 28 octobre, les terroristes ont tué 48 civils, dont 17 enfants, à Alep. 
Selon certains analystes, la présence de la flotte russe en Méditerranée vise à déclencher une nouvelle série de frappes contre les terroristes, frappes qui pourraient être déclenchées le 8 novembre prochain, jour de l'élection présidentielle aux États-Unis.    
Source: parstoday

Les djihadistes d'Alep refusent la proposition russe visant à permettre leur retrait de la ville



Un représentant des rebelles islamistes occupant l'est de la ville d'Alep a refusé la proposition russe de les laisser quitter la ville avec leurs armes d’ici le 4 novembre au soir.

«Cela est totalement hors de question. Nous n'abandonnerons pas Alep aux Russes et nous ne nous rendrons pas», a déclaré Zakaria Malahifji du groupe rebelle Fastaqim, à l'agence Reuters. 

Le ministère russe de la Défense avait affirmé que les combattants et civils présents dans la partie est de la ville sous occupation des opposants à Bachar el-Assad pourraient quitter la ville. Les autorités avaient déclaré être prêtes à prolonger la cessation des bombardements sur cette partie de la ville durant l'évacuation. 

Zakaria Malahifji a ajouté qu'il n'y avait aucun corridor sécurisé pour sortir de la ville, au contraire des affirmations des autorités russes.

«Ce n'est pas vrai. Les civils et les combattants ne partent pas. Les civils craignent le régime, ils ne lui font pas confiance. Et les combattants ne se rendent pas», a-t-il déclaré.

La dernière tentative pour laisser les civils quitter la ville a été un échec. Pendant les huit jours de trêve, à compter du 20 octobre, les terroristes ont pilonné les corridors afin d'empêcher les résidents d'Alep de quitter la ville. 48 personnes avaient néanmoins réussi à passer. Selon le ministère russe de la Défense, la somme de 300 dollars devait être versée afin de pouvoir emprunter les corridors sans être bombardé. 

Source: rt

mardi 1 novembre 2016

La moitié des Russes craignent que la crise syrienne déclenche une troisième guerre mondiale


Selon un sondage, près d'un Russe sur deux considère probable le déclenchement d'un confit mondial à cause de l'opposition entre Moscou et l'Occident sur le dossier syrien. Ce qui n'empêche pas une majorité de Russes de soutenir le Kremlin en Syrie.

48% des Russes considèrent la probabilité d'une troisième guerre mondiale opposant la Russie et l'Occident dans un futur proche comme forte ou très forte. 42% d'entre eux perçoivent celle-ci comme faible ou très faible, alors que 10% se montrent incapables de donner leur opinion à ce sujet. Tels sont les résultats d'un sondage réalisé par le centre de recherche privé Levada, publié le 31 octobre.

Selon cette même enquête d'opinion, une minorité de Russes (35%) estime probable ou très probable que la Russie et l'Ouest parviendront à trouver une solution mutuelle à la crise syrienne, tandis que 39% d'entre eux parient sur l'échec des deux camps à s'entendre sur ce dossier épineux, dans les années à venir.

Le soutien militaire à Damas toujours plébiscité en Russie


En dépit de ces inquiétudes, une petite majorité de sondés de la Fédération de Russie continue à soutenir l'action de ses dirigeants en Syrie : 52% des personnes interrogées approuvent en effet l'engagement russe aux côtés du gouvernement syrien, alors que seulement 26% d'entre eux déclarent avoir une vision négative ou très négative de celui-ci. Des opinions fondées, à en croire cette enquête, sur un véritable intérêt pour ce sujet de politique étrangère : 64% des sondés affirment être familiers avec l'action russe en Syrie et les frappes menées par le Kremlin dans ce pays du Proche-Orient et 18% vont jusqu'à assurer suivre de très près l'actualité sur ce thème.

Dans la même veine, un sondage réalisé le mois dernier par le centre de recherche public russe VTSIOM avait indiqué que 73% de la population russe considérait que les critiques formulées par l'Occident à l'encontre des frappes aériennes visant les forces rebelles à Alep (en Syrie) étaient infondées.

Source: russiatoday

dimanche 30 octobre 2016

L' Otan repère trois sous-marins russes en Méditerranée


Trois sous-marins embarquant des missiles de croisière Kalibr auraient rallié le  naval russe en Méditerranée.

Le Sunday Times a annoncé, se référant à des sources anonymes dans la marine britannique et l'Otan, que trois sous-marins russes s'étaient joints au groupe aéronaval russe en Méditerranée. 


Selon le média, il s'agit de deux sous-marins à propulsion nucléaire Chtchouka-B (projet 971) et d'un sous-marin diesel Paltous (projet 877). La semaine dernière, la marine britannique aurait détecté leur entrée en Méditerranée. Les sources du média supposent que les sous-marins pourraient être dotés de missiles de croisière Kalibr destinés à frapper des cibles en Syrie. Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg avait déclaré précédemment que l'alliance était préoccupée par le déploiement du groupe aéronaval russe dans la zone est de la Méditerranée. Selon lui, les navires russes pourraient être utilisés afin d'effectuer des frappes sur Alep. Le ministère russe des Affaires étrangères n'a pas trouvé de raisons de préoccupation, signalant que des navires russes avaient toujours été présents en mer Méditerranée par le passé.

Moscou lance un message symbolique important Le groupe naval de la Flotte du Nord russe, parti le 15 octobre en direction de la Méditerranée, comprend le porte-avions Amiral Kouznetsov, le croiseur Pierre le Grand, les navires anti-sous-marins Vice-amiral Koulakov et Severomorsk, ainsi que des bateaux de maintenance.

Source: sputniknews.com

L' Italie tremble encore... «J'ai vu l'enfer» : témoignages d'Italiens après le tremblement de terre



Le séisme du 30 octobre a été le plus fort que la péninsule ait connu depuis 1980. Si aucune victime n'est heureusement à déplorer, les italiens restent très inquiets après cette catastrophe, qui ne sera pas la dernière.

«C'était l'apocalypse, une secousse terrible», a déclaré à l'AFP soeur Lucia Rafaello, du couvent de Santa Maria della Pace de Norcia.

Après le tremblement de terre de magnitude 6,6, selon l'Institut américain de géologie (USGS), qui a fra asppé le 30 octobre le centre de l'Italie et plus précisément la ville de Norcia et ses environs, les soeur du couvent Santa Maria della Pace ont été évacuées avec le reste de la population même si leur petite église n'a pas été détruite. Mais elle n'ont pas l'intention de le quitter pour autant et n'attendent que le feu vert des autorités pour y retourner.

«J'ai vu l'enfer», raconte Marco Rinaldi, le maire d'Ussita, une autre ville qui se trouve dans la zone qui a subi les secousses les plus fortes. Il explique qu'il a dû dormir dans sa voiture. «Il n'y a plus de ville, tout s'est effondré», se désole Aleandro Petrucci, un maire d'une autre commune, celle d'Arquata del Tronto.
Même son de cloche chez son adjoint, Michele Franchi, pour qui tout va devoir être reconstruit de zéro, car «le séisme a emporté les dernières choses qui tenaient encore debout».
Sur Twitter également, l'émotion est intense pour les Italiens, qui ont du mal à digérer la tragédie.

Dès les premières secousses, quelques minutes avant celle de 07h40 – la plus dévastatrice –, les habitants de Norcia sont sortis de chez eux et se sont rassemblés sur la place principale du village, des couvertures sur les épaules.

Certains se sont alors agenouillés pour prier face à la basilique San Benedetto, presque complètement détruite.


«On va rester ici, on veut aider les gens par nos prières, même si on doit rester sous les tentes», a ajouté sœur Lucia Rafaello.

Le pire resterait-il à venir ?

«La fatigue ne doit pas se transformer en résignation», a exhorté le chef du gouvernement italien Matteo Renzi, lors d'une brève conférence de presse à Rome. «Nous reconstruirons tout : les maisons, les églises et les magasins. L'Italie ne va pas lésiner sur la reconstruction des lieux qui représentent son âme», a-t-il promis, annonçant qu'un Conseil des ministres extraordinaire se tiendrait le 31 octobre.
La puissance de la secousse a également entraîné des éboulements et de nombreuses routes de cette région du centre de l'Italie ont été coupées.
A l'heure actuelle, la situation reste critique car de nouveaux tremblements de terre pourraient avoir lieu dans les mois qui viennent. C'est du moins l'avis de plusieurs experts qui ne sont toutefois pas en mesure de dire si une secousse de puissance équivalente se reproduira prochainement.


Le 26 octobre dernier, deux tremblements de terre de magnitude 5,5 et 6,1 avaient déjà secoué le centre de l'Italie. La première secousse avait permis d'éviter un grand nombre de victimes, poussant les habitants hors de chez eux, avant l'arrivée de la seconde, plus destructrice.
Mais c'est surtout le 24 août dernier qu'un séisme avait marqué les esprits : ce jour là, la terre avait tremblé au beau milieu de la nuit, faisant près de 300 morts.
La secousse du 30 octobre est néanmoins la plus forte que la péninsule ait connue depuis 1980. Le dernier tremblement de terre d'une puissance équivalente remonte à novembre 1980. De magnitude 6,9, le séisme avait fait près de 3 000 morts.

Source: russiatoday.com


Tic-tac : préparatifs de guerre en Europe



Les ministres de la Défense de l'OTAN ont organisé une réunion de deux jours à Bruxelles mercredi pour débattre des plans définitifs pour le déploiement de quelque 4000 soldats organisés en quatre groupements tactiques installés à portée d'une attaque sur la frontière russe. 

Ces forces de première ligne devront être appuyées par une force de réaction rapide de 40 000 hommes capables d'aller au combat en quelques jours. Ce plan représente la plus grande escalade militaire dans la région depuis le pic de la guerre froide entre les États-Unis et l'ancienne Union soviétique et porte en lui la menace grandissante d'un affrontement armé entre Washington et Moscou, les deux plus grandes puissances nucléaires du monde. 

À la fin de la session de mercredi, le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a confirmé que les États-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et le Canada ont accepté de fournir les éléments principaux des groupements tactiques qui seront déployés respectivement en Pologne et dans les trois anciennes républiques soviétiques baltes : l'Estonie, la Lituanie et la Lettonie. 

Stoltenberg a ajouté que d'autres États membres de l'OTAN contribueraient par des soldats et armements au renforcement militaire. Décrivant le déploiement comme « multinational », il a insisté que ce renforcement soulignait que «[u]ne attaque contre tout allié sera considérée comme une attaque contre nous tous ». Le secrétaire à la Défense Ashton Carter a déclaré que Washington enverrait une « force d'intervention d'un bataillon en ordre de bataille » d'environ 900 soldats en Pologne. Les troupes sont prélevées sur le 2e régiment de cavalerie Stryker, un nom reçu du véhicule blindé de combat Stryker. L'unité a été envoyée à plusieurs reprises dans les guerres d'Afghanistan et d'Irak. 

En outre, le Pentagone envoie l'équipe de combat de la 3e brigade blindée de la 4e division d'infanterie, accompagnées de chars de combat et d'artillerie lourde, qui sera basée en Pologne, mais opèrera dans la périphérie générale des anciennes républiques soviétiques et d'anciens pays du Pacte de Varsovie sur le flanc ouest de la Russie. La 10e brigade de combat aéronautique est également envoyée, équipée d'hélicoptères d'attaque Black Hawk. 

Washington a également annoncé qu'il expédie 330 marines sur une base en Norvège après que le gouvernement norvégien a approuvé le déploiement lundi. « Nous nous attendons à un défi durable à l'Est, venant de la Russie, par le biais de son activité militaire », a dit David Lute, l'ambassadeur américain auprès de l'OTAN, qui a expliqué la démarche. La Grande-Bretagne, quant à elle, a précisé ses plans pour déployer 800 soldats en Estonie, équipés de chars de combat, de véhicules de combat d'infanterie blindés et de drones. Ils doivent être rejoints par des unités de France et du Danemark. Des avions de combat britanniques sont également envoyé en Roumanie. 

L'Allemagne va déployer un bataillon de 400 à 600 soldats en Lituanie, marquant la première entrée de l'armée allemande dans le pays depuis son occupation par les nazis, qui y a tué près d'un quart de million de Juifs. Le déploiement allemand sera soutenu par des unités des Pays - Bas, de la Norvège, de la Belgique, de la Croatie et du Luxembourg. Le Canada enverrait 450 soldats en Lettonie, rejoints par 140 militaires italiens. Défendant ces déploiements dans une interview avec la société de radiodiffusion allemande, Deutsche Welle, le secrétaire général adjoint américain sortant de l'OTAN, Alexander Vershbow, a prétendu que l'alliance menée par les USA « n'avait pas le choix ». 

« La Russie a changé tout le paradigme en 2014 avec son agression contre l'Ukraine, son annexion illégale de la Crimée », a déclaré Vershbow.
C'est un mensonge éhonté. La crise en Ukraine a été déclenchée non par « l'agression » de la part de l'oligarchie du Kremlin, mais bien par la conspiration de Washington et Berlin pour renverser le gouvernement élu à Kiev par la mobilisation des forces violentes nationalistes d'extrême droite et fascistes. Les États-Unis se sont ouvertement associés à ce coup d'État, avec la ministre adjointe des affaires étrangères Victoria Nuland se vantant que les États-Unis avaient dépensé 5 milliards de dollars pour favoriser un changement de régime ukrainien. La réintégration de la Crimée à la Russie - elle ne fut placé sous administration ukrainienne qu'en 1956, lorsque la Russie et l'Ukraine faisait partie de l'Union soviétique - a été très largement plébiscitée par la population du territoire lors d'un référendum populaire. Du point de vue de Moscou, ce fut une mesure défensive prise pour sauvegarder la base historique de la flotte russe de la Mer noire.
Le coup d'État en Ukraine a été le point culminant de l'encerclement militaire implacable de la Russie, qui a vu l'OTAN déplacer ses frontières 1200 km vers l'est.Maintenant, les déploiements annoncés mercredi ont transformé en lettre morte l'accord négocié entre l' OTAN et Moscou de ne pas envoyer un nombre « substantiel » de troupes occidentales dans ces régions. 

Dans le sillage du coup d'État ukrainien, le président américain Barack Obama se rendit en Estonie pour déclarer l'engagement « éternel » de Washington pour la défendre ainsi que les deux autres États baltes, avec « des bottes américaines sur le sol », engageant ainsi les États-Unis à la guerre pour la défense des trois territoires minuscules gouvernés par des gouvernements de droite et fanatiquement anti-russe et avides de confrontation. En justifiant d'avantage la mobilisation actuelle de l'OTAN, M. Stoltenberg a déclaré mercredi « Près de nos frontières, la Russie poursuit sa posture militaire autoritaire ». Étant donné que l'OTAN a étendu ses activités aux frontières de la Russie, cela signifie effectivement que la Russie est une menace parce qu'elle maintient des forces armées sur son propre sol. 

Les tensions avec la Russie, ainsi qu'au sein de l'alliance de l'OTAN elle-même, ont été encore intensifiées au sujet de l'expédition par Moscou d'une flottille de huit navires dirigée par le porte-avions Amiral Kuznetsov en Méditerranée orientale pour appuyer les opérations russes en soutien au gouvernement syrien. Après des reportages indiquant que cette flottille russe allait s'arrêter à Ceuta, ville portuaire sous contrôle espagnol sur la côte nord de l'Afrique, pour le ravitaillement, les puissances de l' OTAN ont exercé une pression énorme sur le gouvernement espagnol pour qu'il ne permette pas aux navires de guerre russes d'y accoster. 

Le ministre de la Défense britannique Michel Fallon a déclaré que son gouvernement « serait extrêmement préoccupé si un membre de l'OTAN devait envisager d'aider un groupe de porte-avions russe qui pourrait finir par bombarder la Syrie ». 

L'Espagne aurait permis à près de 60 navires de guerre russes à se ravitailler en carburant et approvisionnement à Ceuta depuis 2011. La pratique a conduit à des dénonciations au Congrès américain et un amendement en mai dernier au projet de loi de dépenses militaires américaines obligeant le Pentagone de tenir le Congrès informé des pays qui hébergent des navires russes. Les médias russes ont rapporté mercredi que Moscou a annulé sa demande de ravitaillement au port, tandis que les sources gouvernementales russes ont déclaré que les navires avaient suffisamment de ravitaillement pour atteindre leur destination. 

La controverse reflète les divisions croissantes qui ont éclaté au sein de l'alliance de l'OTAN sous la pression de la confrontation croissante avec la Russie. Les pays d'Europe du Sud, en particulier l'Espagne, l'Italie et la Grèce, sont devenus de plus en plus hostiles au régime de sanctions contre la Russie qui a seulement exacerbé leurs propres crises économiques. Dans l'intervalle, l'Allemagne et la France ont lancé des propositions pour transformer l'Union européenne en une alliance militaire indépendante, ce qui reflète le conflit croissant entre les intérêts américains et européens. 

Les responsables de l'OTAN ont formulée la question de la flottille russe en termes de préoccupations « humanitaires » sur la situation en Syrie, avec des avertissements que les avions de combat à bord du Kuznetsov se joindront à des frappes aériennes contre l'est d' Alep et d'autres zones contrôlées par les milices islamistes liées à Al-Qaïda et soutenues par Washington et ses alliés. 

Sans aucun doute une préoccupation plus fondamentale est que le renforcement naval russe en Méditerranée orientale, s'ajoutant au déploiement par la Russie des avions de combat et des systèmes de défense antimissiles mobiles avancés S-400 et S-300 en Syrie elle-même, met au défi le contrôle de la région historiquement exercé par la sixième flotte américaine, qui a été gravement miné par le « pivot » des États-Unis vers l'Asie. 

La puissance de feu russe dans et autour de la Syrie a en effet également empêché l'imposition d'une « zone d'exclusion aérienne », une politique promue par la candidate démocrate à la présidentielle Hillary Clinton et une grande partie de l'establishment de la politique étrangère des États-Unis, en dehors d'une confrontation militaire directe avec la Russie. 

Cela a été reconnu mardi par le directeur du renseignement national américain James Clapper dans les remarques au Conseil des relations étrangères. « Cela ne m'étonnerait pas qu'ils abattent un avion américain s'ils estimaient qu'il menaçait leurs forces au sol, » a dit Clapper à propos de l'armée russe. « Le système qu'ils ont là-bas est très avancé, très capable, et je ne penses pas qu'ils le feraient - le déploiement - s'ils n'avaient pas l'intention de l'utiliser ».
Que la poudrière qui explosera soit en Europe orientale ou en Syrie, la poussée par l'impérialisme américain pour atteindre l'hégémonie mondiale fait monter constamment la menace d'une guerre mondiale.

Source: wsws org.fr 

Le Sénat américain rapporte que les chemtrails sont réels et nous tuent


Prononcer le mot « chemtrails » dans un bus public ou sur Facebook va vous valoir les sarcasmes des oreilles indiscrètes et des membres de votre famille qui sont sceptiques.
Cependant, alors que le scepticisme, indépendamment de la source, n’est pas la pire chose au monde, il semble que ceux qui croient fermement à l’idée que le gouvernement américain pulvérise des produits chimiques dangereux dans l’atmosphère pourraient finalement avoir raison.
Les preuves ?
Non, pas une vidéo de YouTube par un concierge retraité de la NASA. Cette fois, vous avez un véritable document officiel du gouvernement américain admettant qu’ils placent des produits chimiques dans l’atmosphère.
Le document se trouve ici mais je vais traduire quelques extraits ci-dessous pour vous donner l’essentiel des informations. Tout d’abord, le Dr Norman A. Beckman commence par demander un rapport sur l’historique des modifications du climat.
Washington, D.C., 30 juillet 1976.

Dr Norman A. Beckman,
Directeur par intérim, Service de Recherche du Congrès
Bibliothèque du Congrès, Washington, D.C.

Cher Dr Beckman: La modification du climat, bien qu’il s’agisse d’une science relativement jeune, a suscité au cours des années un grand intérêt au sein des communautés scientifiques, commerciales, gouvernementales et agricoles. Ces réactions sont facilement compréhensibles.
Dans la section suivante, vient la réponse du gouvernement, qui présente quelques aspects hautement surprenants:
Bien que les Soviétiques et certains opérateurs américains privés annoncent un certain succès dans la suppression de la grêle par l’ensemencement des nuages, (au moyen de fusées, d’avions) notre compréhension des processus physiques qui créent la grêle demeure faible.
La seule grande expérience menée par les Etats-Unis a amélioré notre compréhension des orages violents, mais a surtout prouvé l’étendu de ce que nous ne connaissons pas encore.
Depuis plus de 30 ans, les deux branches législative et exécutive du gouvernement fédéral ont été impliquées dans un certain nombre d’aspects concernant la modification du climat.
Cette dernière déclaration à elle seule devrait vous inciter à cliquer sur le lien ci-dessus pour lire l’ensemble du document. Partagez-le avec vos amis les plus sceptiques et voyez ce qu’ils ont à dire – je sais qu’il m’a vraiment pas mal ouvert les yeux.

Programme et potentiel de la modification du climat
Le Gouvernement Fédéral s’implique depuis 30 ans dans plusieurs aspects de la modification du climat au travers d’activités du Congrès et de l’exécutif. Depuis 1947, les amendements concernant la modification du climat liés aux fonds de recherche, des opérations, des études des politiques à mener, règles, contingences, rapports d’activités, établissement de panels d’experts et de comités, ainsi que les problèmes internationaux ont été présentés au Congrès. Il y a eu des séances sur plusieurs des mesures proposées et des audiences de surveillance ont été également menées sur les programmes en cours. Au total, six lois particulières sur la modification du climat sont passées depuis 1958, alors que d’autres ont inclus des provisions qui d’une certaine manière sont liées à la modification du climat. Les résolutions traitant de l’utilisation de technologies de modification du climat en tant qu’arme par les forces militaires américaines et la promotion d’un traité de l’ONU interdisant de telles activités ont été présentées dans les deux chambres du Congrès, et l’une de ces résolutions a été adoptée par le Sénat.
Lorsque les effets de l’ensemencement des nuages s’estompent, les nuages éclatent, provoquant des inondations, détruisant les récoltes, les bâtiments, et noyant des gens ainsi que le bétail.
L’ensemencement a été responsable de sérieuses pollutions de l’air.
Retard mental et folie liés à la dispersion de produits chimiques dans l’air.
L’empoisonnement de toute matière vivante est directement lié à la dispersion de ces produits.
L’emphysème est trois fois plus élevé dans les régions où ces dispersions sont les plus fortes.
Le cancer explose hors de proportions.
Les pertes financières de l’agriculture et des industries qui leur sont liées se montent à des milliards.
Les arbres des forêts ainsi que des vergers meurent à cause des réactions chimiques qui ont lieu dans l’air du fait de l’ensemencement des nuages.
L’atmosphère est rendue complètement inefficace biologiquement pour toute la matière vivante qui inclut les animaux et les plantes.
En d’autres termes, ils nous tuent exprès.
La géo-ingénierie nous détruit.
Le gouvernement américain admet avoir modifié la force des ouragans.
Etc. (400 pages)
Source: fawkesnews.com