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jeudi 23 janvier 2014

Des Cochons-Sangliers radioactifs à Fukushima




 

JAPON – Ces animaux hybrides saccagent les biens des habitants qui reviennent progressivement dans la région…

Tout n’est pas bon dans le cochon. Alors que le gouvernement japonais tente de repeupler la région de Fukushima, théâtre d’une catastrophe nucléaire en mars 2011, les habitants côtoient depuis quelques semaines de bien étranges voisins, rapporte le site des Echos.

Des «cochongliers», ou «inobuta», s’en prennent en effet à leurs habitations, à la recherche de denrées, saccageant dans leur quête tout ce qu’ils trouvent sur leur passage. Au moins cinq municipalités seraient concernées.

Viande radioactive

Ces animaux hybrides seraient nés du croisement entre des sangliers occupant les bois voisins, et des porcs, dont les élevages ont été lâchés dans la précipitation au moment de la catastrophe. Les «cochongliers», qui ont en partie hérité leurs gênes du cochon, n’ont pas peur de l’homme, et il est ainsi très difficile pour les habitants de les faire fuir. Leur viande étant hautement radioactive, leur consommation est également proscrite. La menace est prise très au sérieux par les autorités, qui organisent des battues pour éradiquer l’espèce. D’autres cas de «cochongliers» ont été signalés ailleurs dans le monde, où les deux espèces ont pu cohabiter.

Auteur Aurélie Delaunoy pour 20Minutes



La Terre face à un mini âge glaciaire ? La NASA détecte une activité solaire particulièrement faible





Les conditions météorologiques actuelles rappellent celles qui ont précédé l'ère du "minimum de Maunder" (âge glaciaire), entre 1645 et 1715.


Les conditions météorologiques actuelles rappellent celles qui ont précédé l'ère du "minimum de Maunder", entre 1645 et 1715.

Pendant plus de 400 ans, du début du XVe siècle au milieu du XIXe siècle, la Terre a été frappée par un phénomène météorologique peu commun : le petit âge glaciaire. Cette période, qui toucha l’Europe et l’Amérique du Nord, fut marquée par un refroidissement important des hivers et par des étés courts. Et plus particulièrement durant la période appelée "minimum de Maunder" approximativement située entre 1645 et 1715, durant laquelle le nombre de taches solaires était significativement plus faible qu'aujourd'hui. A cette époque, les hivers étaient tellement froids que la Tamise avait gelée. Mais un nouvel âge de glace est-il encore possible ? A en croire les scientifiques de la Nasa, oui. En effet, comme le relaie le Daily Mail, les chercheurs de l’agence américaine ont observé que l’activité solaire est à l’heure actuelle à son plus bas niveau depuis près d’un siècle.

Ces mêmes scientifiques assurent aussi avoir constaté que le Soleil se retrouvait dans des conditions assez similaires que lors de la période du minimum de Maunder. Ainsi, s’ils affirment que 2013 a été l’année du « maximum solaire » ils établissent à 20% la probabilité que les températures évoluent vers « des modifications majeures ». C’est le cas de Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory , qui a assuré à la BBC « n’avoir jamais rien vu de tel en trente ans ». « Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace » certifie ce scientifique.

Concrètement le nombre de taches solaires est en forte diminution depuis 2011 et les éruptions solaires sont de moins en moins importantes et de plus en plus rares. Ce qui fait dire à Mike Lockwood de l’Université de Reading que « d’ici à 40 ans, il y a une probabilité de 10 à 20% de retraverser un âge glaciaire tel que durant la période du minimum de Maunder ». L’an dernier déjà la NASA mettait en garde sur le fait « quelque chose d'inattendu » qui se passe sur le Soleil ".


 
Ce n’est pas la première fois que l’hypothèse d’un nouvel âge de glace est évoquée. Déjà en 2011 le site The Register titrait : "La Terre se dirige peut-être vers un mini-âge glaciaire". Dans l’article, il était écrit : "Des scientifiques National Solar Observatory (NSO) et de US Air Force Research Laboratory et l'US Air Force Research Laboratory analysent le comportement récent du Soleil, et tout indique qu'une période d'activité solaire inhabituellement basse peut être sur le point de commencer." De quoi réjouir les ours polaires…


Source Wikistrike

Les USA sont ruinés: le Trésor ne pourra plus payer ses factures fin février



Le Trésor américain a de nouveau pressé mercredi le Congrès de relever le plafond de la dette, estimant n’avoir de quoi remplir ses obligations financières que jusqu’à fin février.

Le secrétaire au Trésor Jack Lew, qui avait d’abord estimé que des mesures extraordinaires de financement pourraient durer jusqu’à début mars, affirme dans une lettre au Congrès rendue publique par son ministère qu’elles seront épuisées fin février. Le plafond d’endettement américain, dont le relèvement est une prérogative du Congrès, arrive à échéance le 7 février.

Au-delà de cette date, pour continuer à fonctionner, l’Etat américain devra fairses participations à des fonds de pension de fonctionnaires– comme il l’avait fait à l’automne dernier.

Mais le Trésor explique que, cette fois, son recours à ces mesures exceptionnelles est limité car février est le mois des remboursements aux contribuables américains des impôts trop perçus. Le délai fourni (…) par les mesures de financement exceptionnel est bien plus court qu’en 2011 et 2013, reconnaît Jack Lew dans cette lettre, en référence aux autres bras de fer avec le Congrès sur le plafond de la dette.

C’est surtout parce le gouvernement fait face à d’importantes sorties de trésorerie en raison des remboursements d’impôts, ajoute-t-il. Et de préciser qu’en février l’année dernière l’Etat avait déboursé 230 milliards de dollars au lieu de 45 milliards pour un mois ordinaire.

Les impôts sur le revenu américain sont prélevés à la source tout au long de l’année et, en février-mars, l’Etat rembourse le trop perçu. Le mieux serait que le Congrès agisse avant le 7 février pour assurer un financement en bonne et due forme du gouvernement, ajoute M. Lew dans sa lettre aux élus.

Quand je vous ai écrit en décembre j’estimais que le Trésor épuiserait ses mesures exceptionnelles fin février ou début mars, écrit le secrétaire au Trésor dans cette lettre adressée au président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, mais dont des copies ont été envoyées aux autres dirigeants du Congrès. D’après l’estimation la plus récente, nous pensons que le Trésor risque d’avoir épuisé ces mesures à la fin février.

Le Congrès, en congés cette semaine, reprend ses travaux la semaine prochaine.

Source: Agence de presse via Romandie

Fukushima : Silence des médias autour de deux explosions atomiques souterraines




Une catastrophe sans précédent semble se dérouler dans le Pacifique nord dans une indifférence quasi générale. Depuis le 12 mars 2011, soit presque trois ans déjà, des quantités importantes de matières radioactives s’échappent de la centrale nucléaire de Fukushima, suite au tremblement de terre et au tsunami qui ont balayé cette région du Japon et détruit une partie des installations. L’accident a été classé au plus haut niveau de dangerosité, soit le niveau 7, identique à celui de Tchernobyl. Cependant, il semblerait que la radioactivité soit bien plus importante et la catastrophe qui s’annonce plus terrible encore. Malgré des déclarations, qui se veulent rassurantes, de la part du gouvernement japonais, la situation n’est absolument pas sous contrôle et ne permet toujours pas le redémarrage des réacteurs et cela 3 ans après les faits.

Les observations démontrent au contraire, une augmentation anormale du niveau de rayonnement sur le site, depuis le mois d’août dernier. Il est à ce jour, près de 8 fois plus élevé que la norme. Le taux autorisé de radionucléides émetteurs de rayons bêta dans l'eau est de 10 becquerels par litre. Il avoisinerait aujourd’hui le niveau record de 2,1 millions de becquerels par litre, pour les eaux souterraines qui se déverseraient dans l’océan. L’entreprise TEPKO tente d’expliquer cette hausse, par les pluies torrentielles qui se sont abattues cet été et qui auraient provoqué de nouvelles fuites d’eau radioactive, malgré les cuves souterraines de stockage spécifiquement adaptées. Une explication qui ne convint guère les spécialistes, notamment les spécialistes russes, qui s’inquiètent des conséquences d’une mauvaise gestion de la situation par les techniciens japonais, visiblement dépassés par l’ampleur de l’accident.

Apparemment, quelque chose s'est passé au sein de l’usine depuis le mois d’août dernier, quelque chose qui n’a pas été révélé au public. Le Ministère de la Défense russe affirme avoir détecté le 31 décembre 2013, deux explosions atomiques souterraines de « bas niveau » dans la zone de la catastrophe de Fukushima. La première explosion mesurée à 5.1 d’intensité, a été suivie d'une plus petite évaluée elle, à 3,6 sur l'échelle de Richter. A titre de comparaison, la bombe atomique larguée sur Hiroshima en 1945 par les Etats-Unis, représente 16 kilotonnes de TNT, soit un séisme de magnitude 6 sur l’échelle de Richter. Ce rapport rappelle en outre, que l'architecte du réacteur 3 de Fukushima, avait averti dès le 17 Novembre 2011 qu'une explosion hydro-volcanique était « inévitable » en raison du combustible atomique fondu qui s’échappe de la cuve de stockage.

Alors comment expliquer le silence des médias traditionnels sur un sujet aux conséquences si dramatiques pour l’humanité ?

Certainement en raison des consignes émanant des pouvoirs politiques qui, comme à l’époque de Tchernobyl, tente d’éviter la panique des populations. Souvenez-vous que lors de cette catastrophe, qui a coûté tant de vies, les pouvoirs publics occidentaux avaient nié la dangerosité du nuage radioactif qui s’était propagé sur l’Europe, se refusant même à publié officiellement les études à posteriori, traitant de l’apparition des tumeurs ou des pics de cancers divers (sang, poumons, foie, gorge, thyroïde, et ainsi de suite) qui s’étaient déclarés dans les années qui suivirent.

À quoi bon paniquer des populations et céder à un quelconque « catastrophisme ». En témoigne une vidéo saisissante, postée sur Youtube pendant le réveillon de Noël, d’un homme utilisant un compteur Geiger dans une ville côtière de la côte ouest américaine. Le rayonnement mesuré atteint jusqu'à cinq fois le niveau normal. Réalité ou faux grossier, les agences officielles qui ont effectué de nouveaux tests ont annoncé qu’elles n’avaient pas constaté de « danger pour le public ». Un bel euphémisme. A noter, que la faune maritime directement touchée, comme les poissons ou les crustacés consommés par les populations, ne rentraient pas dans le cadre de ces études.

Un fait troublant demeure cependant. Les Etats-Unis semblent avoir passé commande, dès le 6 décembre, de près de 14 millions de doses d'iodure de potassium, un composé qui protège le corps contre l'empoisonnement radioactif à la suite d'accidents nucléaires graves. Un nombre de doses, qui est loin de couvrir les besoins de la population entière. Elles seront livrées en février 2014, et pourraient être utilisées préventivement pour une partie de la population, directement exposée aux déchets nucléaires et aux eaux radioactives rejetées dans l’océan.
Une étude médicale américaine atteste déjà d'une nette augmentation de cas d'hypothyroïdie chez environ
20% des bébés nés en Californie après l'accident de Fukushima.

Les grands médias, pourtant si prompts à exploiter la moindre vidéo sur internet, dès lors qu’elle sert à illustrer la version officielle en cours, ont été remarquablement silencieux et ne l’ont même pas mentionné. Surtout pas de panique !

La décontamination de la centrale nucléaire de Fukushima devrait prendre au moins trente ans et coûter 125 milliards de dollars (environ 100 milliards d’euros). De quoi recruter tous les sans-domicile-fixe de la planète, en plus de ceux du Japon, déjà engagés pour nettoyer le site. Une solution comme une autre de résoudre un problème l’un après l’autre.

Source Wikistrike

Suivant les scientifiques atomistes, nous serions à 5 minutes seulement de l’apocalypse…


S’ils le disent, c’est que quelque part ça doit être vrai, ou alors est-ce encore une info délirante censée nous occuper quelques minutes.. Au choix…

Si nous vivons aujourd’hui dans une « relative » période de paix, les technologies modernes sont telles que la situation pourrait basculer en quelques secondes. Heureusement, de nombreux garde-fous existent pour garantir une certaine protection. Tous les ans cela dit, des experts en évaluent les risques.

Depuis 1947, le Bulletin des Scientifiques Atomistes – créé par les physiciens du Projet Manhattan après les bombardements d’Hiroshima et Nagasaki – publie chaque année son horloge de la fin du monde. Elle utilise l’analogie du décompte vers minuit pour dénoncer le danger qui pèse sur l’humanité du fait des menaces nucléaires, écologiques et technologiques.

Si en 1949, nous n’étions qu’à 2 minutes de l’apocalypse (date à laquelle la Russie réalisait ses premiers tests atomiques, nous sommes aujourd’hui à 23h55 « 5 minutes, c’est encore trop près », selon les experts.

En cause, une menace nucléaire toujours très présente : Chine, Inde, Pakistan, Corée du Nord, Israël, Iran, autant de pays « à risque ». Mais il y a d’autres facteurs aggravants. Les révélations d’espionnage ont par exemple entraîné une réelle instabilité politique. Le dérèglement climatique cause toujours davantage de catastrophes naturelles (Fukushima) et les innovations technologiques s’accélèrent.

Une situation critique, donc, mais qui n’est pas sans solutions. Les scientifiques atomistes proposent ainsi que les dirigeants américains et russes négocient ensemble à nouveau, que davantage de discussions internationales à vocation humanitaires sur l’arme atomique voient le jour et que les gouvernements prennent enfin de véritables mesures pour protéger notre climat et notre planète.

Un leitmotiv qui, chaque année, est diplomatiquement ignoré… 23h55 !

Source: Gizmodo.fr // Les moutons Enragés