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vendredi 12 octobre 2018

URGENT: LES NOUVEAUX MISSILES S-300 EN SYRIE À ÊTRE OPÉRÉS. . . . PAR LES IRANIENS!


Les nouveaux systèmes de défense antimissile sol-air de haute technologie livrés par la Russie à la Syrie seront gérés et exploités par des IRANIENS jusqu'à ce que les membres de l'armée arabe syrienne puissent être correctement formés au fonctionnement du système sophistiqué de missiles. Les Iraniens n'hésiteront pas à abattre tout avion militaire israélien lançant des attaques en Syrie! Cette évolution est préoccupante pour la situation au Moyen-Orient. La raison pour laquelle Israël a lancé des frappes aériennes et antimissiles en Syrie au cours de la dernière année a été d'empêcher l'accumulation de forces militaires iraniennes dans ce pays. À présent, les forces militaires qu’Israël a attaquées impunément en Syrie ne sont pas seulement équipées du système de missiles S-300, c’est elles qui ont le doigt sur la gâchette! La Russie prévoyait clairement de laisser les Iraniens utiliser le système de défense antiaérienne depuis le début, puisqu'elle a envoyé les systèmes syriens S-300PMU-2, exactement le même modèle que l'Iran avait reçu de la Russie en 2016. Les Iraniens connaissent bien le fonctionnement du système de défense antiaérien. S-300 et peut utiliser le système avec compétence. Israël s'est engagé à CONTINUER de lancer des attaques en Syrie malgré le déploiement du nouveau système de missiles. Parler, cependant, est bon marché. Depuis l’arrivée de la S-300 en Syrie, aucune attaque militaire israélienne n’a été lancée contre la Syrie. Cela pourrait très rapidement dégénérer en une conflagration majeure si Israël décidait de mettre fin à sa menace de poursuivre ses attaques, maintenant que la Syrie dispose du S-300 et que ces systèmes ont des doigts iraniens sur les déclencheurs de missiles. Si Israël lance des attaques et que ses avions sont abattus par des Syriens S-300 licenciés par des troupes iraniennes, Israël considérera-t-il cela comme un acte de guerre de l'Iran? Les implications sont très graves.

Source: halturnerradioshow.com
Adaptation: Benoit Godin

jeudi 11 octobre 2018

Poutine lance des exercices des forces nucléaires russes avec tirs réels


Des exercices des Forces nucléaires russes avec tirs réels se sont déroulés en Russie sur l'ordre de Vladimir Poutine. Ils ont engagé des avions à long rayon d'action et des sous-marins.
Les Forces stratégiques russes ont mené jeudi des tirs de missiles dans le nord de la Russie dans le cadre des exercices lancés sur l'ordre du Président Poutine, a annoncé le ministère russe de la Défense.
«Des exercices des forces stratégiques nucléaires russes se sont déroulés le 11 octobre 2018 sur l'ordre du chef suprême des armées Vladimir Poutine», a indiqué le ministère dans un communiqué.
Ils ont engagé des sous-marins nucléaires des flottes du Nord et du Pacifique, des bombardiers de l'aviation à long rayon d'action et des régiments de missiles, ainsi que des systèmes d'alerte aux missiles.
L'armée russe a ainsi testé son système de commandement et contrôlé la transmission des ordres et des signaux du centre national de commandement aux postes régionaux et unités militaires.
Le programme des manœuvres comprenait «des tirs d'entraînement de missiles balistiques et de croisière effectués par les sous-marins se trouvant dans les mers de Barents et d'Okhotsk, ainsi que les avions à long rayon d'action ayant décollé depuis les aérodromes Engels, Oukraïnka et Chaïkovka», a précisé le ministère.
Les missiles ont détruit leurs cibles sur les polygones de Koura au Kamtchatka, de Thija dans la région d'Arkhangelsk, de Pemboï dans la république des Komis et le polygone de Terekta dans la région d'Astrakhan. Les systèmes d'alerte et les radars terrestres ont détecté tous les missiles balistiques tirés par les sous-marins.
Les Forces stratégiques ont réalisé toutes les missions, d'après le ministère.
Source: sputniknews.com

mercredi 10 octobre 2018

L’armée d’insectes du Pentagone


L’armée d’insectes du Pentagone
par Manlio Dinucci
Des essaims d’insectes, transportant des virus infectieux génétiquement modifiés, attaquent les cultures d’un pays et détruisent sa production alimentaire : il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais de ce qu’est en train de préparer l’Agence du Pentagone pour les projets de recherche scientifique avancée (Darpa).
Le révèlent sur Science, une des plus prestigieuses revues scientifiques, cinq scientifiques de deux universités allemandes et une française. Dans leur éditorial publié le 5 octobre, ils mettent fortement en doute que le programme de recherche de la Darpa, intitulé “Insectes alliés”, ait uniquement le but déclaré par l’Agence : celui de protéger l’agriculture étasunienne des agents pathogènes, en utilisant des insectes comme vecteurs de virus infectieux génétiquement modifiés qui, en se transmettant aux plantes, en modifient les chromosomes. Cette capacité -soutiennent les cinq scientifiques- apparaît “très limitée”.
On trouve par contre dans le monde scientifique “la vaste perception que le programme ait le but de développer des agents pathogènes et leurs vecteurs pour des objectifs hostiles”, à savoir “un nouveau système de bio-armes”. Ceci viole la Convention sur les armes biologiques, entrée en vigueur en 1975 mais restée sur le papier surtout par le refus des USA d’accepter des inspections dans leurs propres laboratoires.

Les cinq scientifiques spécifient que “des simplifications faciles suffiraient pour générer une nouvelle classe d’armes biologiques, armes qui seraient extrêmement transmissibles à des espèces agricoles sensibles, en répandant des insectes comme moyens de transport”.
Le scénario d’une attaque des cultures alimentaires en Russie, Chine et autres pays, conduite par le Pentagone avec des essaims d’insectes qui transportent les virus infectieux génétiquement modifiés, n’appartient pas à la science-fiction. Le programme de la Darpa n’est pas le seul à utiliser des insectes dans un but guerrier. Le Laboratoire de recherche de l’U.S. Navy a commandité à la Washington University de St Louis une recherche pour transformer les sauterelles en drones biologiques.
À travers une électrode implantée dans le cerveau et un minuscule transmetteur sur le dos de l’insecte, l’opérateur à terre peut comprendre ce que les antennes de la sauterelle sont en train de capter. Ces insectes ont une capacité olfactive capable de percevoir instantanément divers types de substances chimiques dans l’air : ce qui permet d’identifier les dépôts d’explosifs et autres sites à frapper par une attaque aérienne ou de missiles.
Des scénarios plus inquiétants encore émergent de l’éditorial des cinq scientifiques sur Science. Le programme de la Darpa -soulignent-ils- est le premier programme sur le développement de virus génétiquement modifiés pour être diffusés dans l’environnement, lesquels pourraient infecter d’autres organismes “pas seulement dans l’agriculture”. En d’autres termes, parmi les organismes cible des virus infectieux transportés par des insectes il pourrait aussi y avoir celui de l’homme.

On sait que, dans les laboratoires étasuniens et dans d’autres, ont été effectuées pendant la guerre froide des recherches sur des bactéries et virus qui, disséminés par des insectes (poux, mouches, tiques), peuvent déclencher des épidémies dans le pays ennemi. Parmi eux la bactérie Yersinia Pestis, cause de la peste bubonique (la très redoutée “mort noire” du Moyen-Age) et le virus Ebola, contagieux et létal.
Avec les techniques aujourd’hui disponibles il est possible de produire de nouveaux types d’agents pathogènes, disséminés par des insectes, envers lesquels la population cible n’aurait pas de défenses.
Les “plaies” qui, dans le récit biblique, s’abattirent sur l’Égypte avec d’immenses essaims de moustiques, mouches et sauterelles par volonté divine, peuvent aujourd’hui s’abattre réellement sur le monde entier par volonté humaine. Ce ne sont pas les prophètes qui nous le disent, mais ces scientifiques restés humains.

Édition de il manifesto

lundi 8 octobre 2018

A quoi ressemblera un monde avec 1,5°C de plus ? Le Giec nous (re)met en garde



Jusqu’ici, les rapports remis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) avaient le mérite, année après année, d’alerter les opinions publiques – et l’inconvénient peut-être de les déprimer un peu. Mais le dernier rapport de cette institution du climat, rendu public ce lundi 8 octobre, est presque un rêve auquel on a tous envie de croire. C’est d’ailleurs un peu là que le bât blesse. 
Ce rapport, nommé "SR 15" et issu de la 48e session du Giec qui se tenait à Incheon (Corée du Sud), envisage en effet un monde qui ne se réchaufferait "que" de 1,5°C – c’est-à-dire l’objectif officiel de l’Accord de Paris, conclu à l’issue de la COP21, fin 2015. Et la moitié de ce qui semble, hélas, se profiler dans la réalité.

1Le calendrier

Reste que même à "seulement" 1,5°C de plus, le monde n’ira pas bien (euphémisme). Le Giec explique qu’au rythme actuel des émissions de gaz à effet de serre, cette échéance sera atteinte en 2040 – dans moins d’un quart de siècle. Et ensuite ? En 2075, l’humanité arrivera aux 2°C – les fameux 2°C au-delà desquels les scientifiques ne savent plus modéliser la catastrophe qui nous attend.

2Les transports

Pour rester dans les 1,5°C, indiquent les experts, il faut que tous les moyens de transport utilisant des carburants fossiles (à base de pétrole, donc) disparaissent d’ici à 2060. Les voitures à pétrole devront, elles, être reléguées aux souvenirs en Europe à l’horizon 2030-2040.

3Les énergies

En 2050, dit le Giec, il faudra que la demande mondiale en énergie retrouve le niveau de celle de 2010 – alors que cette demande bondit d’année en année. D’ici à la fin du siècle, il faudra que cette demande baisse encore de 25% à 30%, autrement, les 1,5°C seront compromis.
Comment faire pour réduire à ce point la demande en énergie dans un monde à la démographie galopante ? Notamment par une politique volontariste d’isolation des bâtiments – rappelons que l’objectif des 500.000 logements par an, énoncé par les gouvernements français depuis des années, n’a jamais été atteint, faute d’ambition.
En revanche, l’ambition d’Emmanuel Macron de fermer les dernières centrales à charbon françaises d’ici à la fin de son quinquennat (si elle se réalise) est clairement en avance sur les préconisations du Giec, qui demande aux pays de l’Union européenne de parvenir à cette issue en 2030.

4Les impacts humains et économiques

Un réchauffement climatique à 1,5°C coûterait entre 3% et 5% du PIB mondial en terme de dommages en 2050 – contre 5% à 8% de ce PIB dans un scénario à 2°C. Ces chiffres semblent abstraits ? La réalité humaine est très prosaïque : 1,5°C de plus signifie jusqu’à 200 millions de décès prématurés d’ici à la fin du siècle, causés par la malnutrition, le paludisme et les vagues de chaleur.


5Les impacts sur la biodiversité

La Giec estime que sur les 80.000 espèces d’insectes, de plantes et de vertébrés étudiés, près d’un huitième vont disparaître en cas de réchauffement à 1,5°C. Une perspective catastrophique ? Oui, mais bien moins qu’à 2°C, qui verra un quart de ces espèces mourir, faute d’accès à un habitat et/ou à des ressources alimentaires dignes de ce nom.
Source: Arnaud Gonzague/ nouvelobs.com

Des médecins mettent en garde contre les risques énormes pour la santé de la 5G...le gouvernement fait de son déploiement une priorité


Dès 2020, la prochaine génération de téléphones mobiles devrait commencer à déployer la 5G et remplacer la norme 4G actuelle. La promesse est la transmission de données ultra-rapide. Mais les médecins mettent en garde contre les risques énormes pour la santé.


Méfiance contre le nouveau standard de la radio mobile


Plus de 180 scientifiques et médecins de 36 pays ont recommandé à la fin du mois de septembre 2017 un moratoire sur l’élargissement de la cinquième génération (5G) des télécommunications dans une lettre d’appel. Ils appellent à prendre des mesures fondées sur le principe de précaution et à faire preuve de retenue jusqu’à ce que les scientifiques indépendants de l’industrie étudient les risques potentiels pour la santé humaine et l’environnement.

La technologie 5G augmenterait considérablement l’exposition des citoyens aux champs électromagnétiques à haute fréquence (RF-EMF) en l’ajoutant à d’autres technologies telles que le Wi-Fi, etc. déjà utilisées pour les télécommunications. Il a été prouvé que les HF-EMF sont nocifs pour l’homme et l’environnement
La technologie 5G fonctionne uniquement sur de courtes distances, expliquent les scientifiques. En raison de la matière solide, les signaux seraient mal transmis. De nombreuses nouvelles antennes seraient nécessaires et le déploiement complet dans les zones urbaines pourrait se traduire par des antennes espacées de 10 à 12 maisons. En conséquence, l’exposition forcée est considérablement accrue.

Avec “l’utilisation sans cesse croissante des technologies sans fil”, personne ne peut éviter une exposition. En outre l’augmentation du nombre de stations de base 5G (même à l’intérieur des maisons, des magasins et des hôpitaux), 10 à 20 milliards de connexions sans fil (réfrigérateurs, machines à laver, caméras de surveillance, voitures et bus autonomes, etc.) en feraient partie. Tout cela ensemble pourrait conduire à une augmentation exponentielle de l’exposition totale à long terme de tous les citoyens de l’UE aux champs électromagnétiques de radiofréquences (RF-EMF).
La nouvelle norme mobile 5G est destinée à utiliser des fréquences supérieures et inférieures aux bandes de fréquences déjà utilisées. Cependant, la plupart des pays utiliseront des bandes de fréquences plus élevées, ce qui suscite beaucoup d’inquiétude et de nombreux dangers à ne pas négliger.

Le problème principal: les micro-ondes

Les micro-ondes à haute fréquence dans la gamme nouvellement prévue de 6 à 100 gigahertz ont des longueurs d’onde très courtes de seulement cinq centimètres à trois millimètres de longueur. Ceux-ci sont principalement absorbés par des fréquences supérieures à 20 gigahertz, principalement à travers la peau.
Comme les micro-ondes, contrairement aux ondes radio, sont déjà gênées par le verre, la pluie et les arbres, de nouveaux systèmes radio devraient être créés tous les quelques centaines de mètres. Conséquence: l’exposition aux rayonnements serait augmentée de façon permanente.

Les effets sur la peau

La plus grande préoccupation concerne les effets des nouvelles longueurs d’onde sur la peau. Le corps humain a deux à quatre millions de glandes sudoripares. Le Dr. Yael Stein, de l’Université hébraïque, a découvert que les ondes millimétriques peuvent  causer des douleurs physiques, car nos nocicepteurs interprètent les ondes comme des stimuli nuisibles et génèrent donc des signaux de douleur.
Nous pouvons donc nous attendre à une augmentation des maladies de peau, des cancers de la peau et des sensations de douleur. 

La 5G c’est pour quand ?

Nous aurons tous compris que la 5G est encore en état d’ébauche et en cours de tests. Nous entrons dans une phase d’expérimentation qui devrait se poursuivre jusqu’en 2019.
Selon Matthieu Galvani, Directeur Général de Djezzy, la migration vers de réseau se fera progressivement dans les 5 prochaines années.
Source: fawkesnews.com

dimanche 7 octobre 2018

Des scientifiques sonnent l'alarme concernant le programme « insectes alliés » de la DARPA qui pourrait être utilisé comme arme biologique



Une équipe de scientifiques tire la sonnette d'alarme dans un
nouveau rapport du Science Policy Forum sur un mystérieux programme du gouvernement américain qui développe des virus génétiquement modifiés qui seraient dispersés dans l'environnement à l'aide d'insectes. Les insectes «Frankenstein» infectés par le virus sont en train d'être développés en vue de contrer les menaces potentielles naturelles et artificielles dans l'approvisionnement en nourriture aux États-Unis. Le programme, géré par la DARPA (Agence de recherche avancée sur les projets de défense) du Pentagone, pourrait être considéré comme une tentative de développer une classe entièrement nouvelle d’armes biologiques qui inciterait d’autres pays à rechercher des armes similaires.

Les chercheurs de l'Institut Max Planck de biologie évolutive et de l'Université de Fribourg en Allemagne, ainsi que de l'Université de Montpellier en France, suggèrent que le programme de la DARPA pourrait constituer une violation de la Convention sur les armes biologiques, le premier traité de désarmement multilatéral interdisant le développement, la production et le stockage des armes biologiques et des toxines.

Surnommé le programme "Insect Allies", la DARPA a commencé à modifier les insectes en 2017, avec un plan visant à produire des cultures plus résilientes pour aider les agriculteurs à faire face au changement climatique, soit à la sécheresse, au gel, aux inondations, à la salinité et aux maladies, a déclaré Gizmodo. La technologie au centre du programme est une méthode entièrement nouvelle de modification génétique des cultures. Au lieu de modifier les semences dans un laboratoire, les agriculteurs envoyaient des essaims d'insectes dans leurs cultures, où les insectes génétiquement modifiés infecteraient les plantes avec un virus transmettant les nouveaux gènes de résilience, un processus connu sous le nom d'altération génétique horizontale. D'où le nom de la technologie: agents de modification génétique environnementale horizontale (HEGAA).

Pour que l'HEGAA fonctionne, Gizmodo explique que les laboratoires de la DARPA développent un virus qui est inséré dans le chromosome de l'organisme cible. Les scientifiques utilisent des cicadelles, des aleurodes et des pucerons génétiquement modifiés en laboratoire à l'aide de CRISPR, ou d'une variante d'un système d'édition de gènes, pour transporter le virus dans les cultures. Chaque plante serait alors infectée par l’insecte, ce qui aurait pour effet de protéger les cultures des menaces naturelles ou anthropiques.

Cependant, l'auteur principal du rapport, Richard Guy Reeves du Département de génétique évolutive de l'Institut Max Planck de biologie évolutive, a déclaré que le programme Insect Allies de la DARPA est troublant et constitue un exemple de recherche à double usage dans laquelle le gouvernement américain pour aider les cultures des agriculteurs, développe également une arme biologique.


Les "insectes alliés" seraient soutenus par un financement de 27 millions de dollars. Selon Gizmodo, quatre équipes de chercheurs universitaires travaillent actuellement sur le projet, notamment des chercheurs du Boyce Thompson Institute à New York, de la Pennsylvania State University, de l'Ohio State University et de l'Université du Texasà Austin. La DARPA maintient que "tout le travail est effectué dans des laboratoires fermés, des serres ou d'autres installations sécurisées" et que les insectes ont une durée de vie intégrée pour limiter leur propagation. En 2020 ou 2021, la DARPA prévoit de tester les insectes infectés par le virus sur les cultures dans les serres dans des endroits non divulgués.

Reeves a déclaré que l'utilisation d'insectes en tant que véhicule de modification génétique est une idée horrible car ils ne peuvent pas être contrôlés et indique que les pulvérisations aériennes traditionnelles pour délivrer des HEGAA constituent le pari le plus sûr. Selon la DARPA, les insectes sont la seule solution pratique, car la pulvérisation en surface des HEGAA nécessiterait une infrastructure agricole accrue, ce qui n'est pas disponible pour tous les agriculteurs.

Le rapport précise qu’il n’existe actuellement pas de cadre réglementaire mondial pour prendre en charge cette nouvelle façon de transporter les HEGAA vers les cultures, lesquelles, si elles ne sont pas correctement supervisées, pourraient entraîner des accidents.

Les scientifiques du rapport interprètent le programme de la DARPA sur les insectes comme "une intention de développer un moyen d’apporter des HEGAA à des fins offensives", telles que la conduite d’une guerre biologique.

Ces insectes génétiquement modifiés pourraient être implantés avec une maladie mortelle que l’administration Trump pourrait déclencher sur des terres agricoles au Venezuela, en Syrie, en Iran, en Corée du Nord, en Russie et même en Chine, qui décimerait l’approvisionnement en nourriture du pays.

Les scientifiques soutiennent que l'introduction de cette technologie potentiellement dangereuse ouvrirait la voie à une classe entièrement nouvelle d'armes biologiques, expédiées par des insectes, qui pourraient être considérées comme des armes de destruction massive. Les scientifiques avertissent que cette technologie inciterait les nations rivales à développer des programmes similaires.

Source: zerohedge.com