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samedi 31 décembre 2016

"Les démocrates tentent de se venger contre Trump pour sa victoire "


L' année 2016 a été celle de combats acharnés, y compris ceux informationnels. Dans une interview à Sputnik, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova évoque le «virus d'engagement», l'élection de Donald Trump et la «vengeance» des démocrates.

Le monde est en proie à des guerres informationnelles avec toutes les conséquences qui en découlent — des attaques informationnelles et provocations. D'ailleurs, la terminologie militaire a pénétrée dans le domaine des informations, estime la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova. « Ce que nous faisons est une tentative de dévier les attaques, de nous protéger contre l'agression informationnelle déployée contre la Russie : des désinformations sans cesse, des intox, l'utilisation de données non fiables ou déformées par tous », a-t-elle indiqué. Et de préciser qu'il ne s'agit pas de tous les pays, tous les hommes d'État ou tous les médias, mais de tous les domaines. « Le virus d'engagement a contaminé de nombreux médias qui ont une longue histoire. Des médias respectés. Il me semble qu'ils n'ont pas résisté face à la pression, ils ont cédé et acceptent de se faire utiliser comme un instrument de guerre médiatique », a expliqué Mme Zakharova. 

«Ridiculisées par les Russes»: Trump tacle les grandes chaînes américaines Ainsi, les accusations de l'establishment US affirmant que la Russie avait misé sur Trump et que ce dernier était « son candidat » est un élément de guerre de l'information. « Pourtant, ce n'était pas le cas. Lorsque les deux principaux candidats ont été définis, lorsqu'il est devenu clair que Clinton et Trump participeraient à la course principale, il est devenu évident que l'un d'entre eux a fondé sa campagne sur une rhétorique antirusse. Si nous évoquons la politique étrangère des démocrates et de Hillary Clinton, tout ce qu'ils ont évoqué dans le contexte des relations internationales était lié d'une manière ou d'une autre à la diabolisation de la Russie », a poursuivi la diplomate. 

Scandale diplomatique Russie-USA: «Washington en mode propagande» Si bien qu'affirmer que la Russie soutenait, sympathisait ou se réjouissait suite à la victoire de « son » candidat c'est ne rien comprendre, ou au contraire, très bien comprendre ce qui se passe et faire passer le blanc pour le noir, juge-t-elle. « Certes, il aurait été impossible de se réjouir face à la victoire (de celle, ndlr) qui a défini (…) la Russie comme la principale cible de sa politique étrangère. Mais même dans ce contexte, la victoire de Clinton aurait été perçue comme le choix du peuple américain », a insisté la porte-parole de la diplomatie russe. Et de souligner que les tentatives de déformer la position russe dans tous ses aspects a eu un impact sur la présidentielle US. « L'administration sortante ne se lasse pas des tentatives de dégrader les relations bilatérales. (…) À vrai dire, j'ai l'impression que les démocrates tentent de se venger contre Trump pour sa victoire, adoptant des décisions absurdes à un mois de son investiture. Que vaut à elle seule la décision de livrer aux groupes armés syriens des missiles sol-air ? », a conclu Mme Zakharova. Rappelons que les États-Unis ont décidé jeudi d'expulser 35 diplomates russes que le président sortant Barack Obama a qualifiés « d'agents secrets ». 

 Poutine sur les sanctions: nous ne nous abaisserons pas à la "diplomatie de cuisine" L'administration sortante américaine a en outre adopté de nouvelles sanctions contre la Russie, accusant les services secrets russes et plusieurs individus d'ingérence dans la présidentielle américaine par le biais d'attaques informatiques. Le Kremlin a considéré ces mesures comme « un acte d'agression de la part de personnes qui doivent quitter leurs postes dans trois semaines », en allusion à l'administration Obama. Le porte-parole du président russe Dmitri Peskov a promis que Moscou prendrait des mesures en réponse aux actions américaines. Le ministère russe des Affaires étrangères a proposé au président Poutine d'expulser 31 employés de l'ambassade des États-Unis à Moscou et quatre employés du consulat américain à Saint-Pétersbourg, une initiative déclinée par le chef d'État. Refusant de répondre « œil pour œil, dent pour dent », M. Poutine a même invité les enfants des diplomates américains à participer aux festivités de fin d'année organisées au Kremlin.

Source: sputniknews.com

jeudi 29 décembre 2016

Kremlin : les sanctions américaines démontrent la politique étrangère agressive de Washington




Qualifiant les nouvelles sanctions mises en place par les Etats-Unis contre la Russie d'illégales, et doutant qu'elles soient approuvées par Donald Trump, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a promis une réponse adéquate de Moscou.

La réponse du Kremlin aux sanctions anti-russes introduites par le président américain sortant Barack Obama, qui prévoient l'expulsion de 35 diplomates et la fermeture de deux sites russes à New-York et dans le Maryland, ne s'est pas faite attendre.

Déplorant l'approbation des mesures, le porte-parole du gouvernement Dmitri Peskov a indiqué qu'elles étaient la preuve de la politique étrangère agressive menée par Washington, et qu'une réponse «adéquate» serait apportée par Moscou.

Il a ensuite estimé que les nouvelles sanctions américaines, qu'il a qualifiées d'illégales au regard du droit international, avaient pour objectif de détruire les relations diplomatiques entre Moscou et Washington.

Toutefois, Dmitri Peskov s'est interrogé sur l'efficacité de ces sanctions, alors que l'administration Obama quittera ses fonctions dans trois semaines. Selon lui, celle-ci tente d'imposer un modèle de comportent à la future administration du président élu Donald Trump, qui entrera en fonction le 20 janvier.

«On voit clairement les efforts pour imposer une certaine ligne politique, c'est à dire priver l'administration Trump d'une autonomie quelconque et la priver du droit de choisir le chemin que va proposer le nouveau président», a déclaré le porte-parole du Kremlin, exprimant ses doutes que Donald Trump approuve ces mesures.

Après l'élection de ce dernier en novembre, le président russe Vladimir Poutine avait fait part de son espoir de voir les relations entre les deux pays s'améliorer.

«Une bande de loosers de la politique extérieure»


Dans une publication Facebook nommée «Le coming out d'Obama», la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova s'en est vivement pris à la décision du président américain sortant. 

«Ce n'est pas une administration, c'est une bande de loosers de la politique extérieure. Etroits d'esprit et rancuniers. Aujourd'hui, Obama l'a officiellement confirmé. Le plus étonnant, c'est que, sans être parvenu à inscrire dans l'histoire une réussite quelconque sur le plan international, le prix Nobel de la paix, au lieu de mettre un point élégant [à son mandat], a mis une grosse tâche d'encre», a déclaré la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.

Expliquant avoir une pensée émue pour le Secrétaire d'Etat américain John Kerry, dont elle regrette qu'un tel professionnel ait été obligé de travailler pour Barack Obama, elle a poursuivi sur le même ton : «Aujourd'hui, c'est le peuple américain qui est humilié, et cela par son propre président et non par les terroristes ou par les troupes rivales.»

«Cette fois, Washington a été giflée par son propre maître, qui a compliqué à outrance les tâches pressantes de l'équipe entrante [de Donald Trump]», peut-on encore lire dans la publication de la représentante russe.
L'agonie de cadavres politiques
Cité par l'agence de presse russe RIA, le président du comité aux affaires internationales de la Chambre haute du parlement russe Konstantin Kosachyov a pour sa part estimé que la décision de Washington d'expulser 35 diplomates russes de son territoire représentait «l'agonie de cadavres politiques».

Source: russiatoday.com

mercredi 28 décembre 2016

Après une tempête de glace, le Canada se transforme en patinoire géante


Tempête de glace et pluies verglaçantes ont transformé les routes de l'Ontario au Canada en patinoire. Abandonnant leurs voitures pour des patins à glace, les habitants en ont tiré le meilleur parti.

La région canadienne de l'Ontario a été touchée par une tempête de glace qui a laissé une couche de 15 millimètres sur les routes, provoquant de nombreux accidents. S'il est devenu beaucoup trop dangereux de prendre le volant, les habitants de la région ont trouvé un moyen astucieux de se déplacer.

Les pluies verglaçantes n'ont en effet pas entamé le moral des Canadiens. Dans un pays où le hockey est roi, les habitants ont trouvé une bonne excuse pour sortir les patins à glace.  

- La tempête a aussi touché une partie du Québec, laissant une belle couche de glace sur le paysage et les routes. Cela nous rappelle la pire tempête de verglas que le Québec a connu le 5 Janvier 1998, paralysant une bonne partie de la province, les pannes de courant plongeant les gens dans le noir et le froid pendant plusieurs jours et semaines. - Benoît Godin

Source: rt

La guerre radio-électronique et le crash du Tu-154


Un avion de la Défense russe se dirigeant à Khmeimim, base aérienne russe en Syrie, est tombé après le décollage dans les eaux territoriales russes. Les musiciens et les journalistes se trouvant à bord ont tous péri dans cet accident. Aucun rescapé, comme toujours lorsqu’il s’agit d’une catastrophe aérienne… Ces lignes qui ont fait le tour du monde ne reflètent pas vraiment tout le dramatisme de ce qui est en train de se jouer dans le bassin de la mer Noire.

Il se trouve que l’avion en question a été en « grande visite », comme disent les avionneurs, en septembre dernier ce qui veut dire que tous les systèmes – avionique, propulseurs, hydraulique – ont été mis en révision. Qui plus est, cet avion desservait une commande spéciale : les musiciens de l’ensemble de musiciens Alexandrov (Choeur de l’Armée Rouge), les ballerines qui s’y sont associées et les journalistes de la grande chaîne de télévision devant participer aux festivités du Nouvel An organisées par la Défense russe pour le corps expéditionnaire russe en Syrie. Vous pouvez bien imaginer que l’appareil aurait dû être bichonné jusqu’au dernier boulon. Mais voilà qu’il tombe sans raison apparente, un peu comme si c’était dans le Triangle de Bermudes.
Il est à dire que le désastre est arrivé juste après le décollage les 3 moteurs s’étant arrêtés simultanément parce que le Tupolev est tombé dans un total silence – tel que les observateurs de passage se trouvant sur la berge, à une distance d’1,5 km, ont entendu le bruit de l’eau qui se refermait sur la coque engloutie. L’épave gît à une profondeur de 50-70 mètres avec les débris qui se sont dispersés à une très grande distance à cause du courant qui est particulièrement fort dans cet endroit et une mer hivernale démontée. Tout ça pour dire qu’il serait difficile de retrouver les boîtes noires qui, dans ce type d’avion, ne sont pas encore pourvus de balises électroniques. Difficile, mais possible puisqu’une équipe de plongée faisant plus d’un millier de personnes est déjà sur place pour travailler dans les conditions particulièrement éprouvantes.
Les avions tombent, hélas, et assez régulièrement, mais la bizarrerie de ce dernier crash a été remarquée par plus d’un observateur. Non seulement l’avion était dans un état excellent et le vol étroitement surveillé, mais, qui plus est, l’équipage n’a donné aucune alerte par radio. La tour de contrôle a pu juste constater la disparition du Tupolev. Point, à la ligne.
Ayant passé plus de 15 ans dans l’aviation civile et militaire, je suis en droit de dire qu’il s’agit d’un cas rarissime – beaucoup plus rare que la disparition de l’avion de ligne Malaysian Airlines dont l’épave n’a jamais été découverte ni aucune hypothèse viable sur le crash avancé. Quoi qu’il en soit, un grand nombre de professionnels militaires russes estiment qu’aucune raison logique n’aurait pu mener à un tel dénouement tragique. D’aucuns avancent l’hypothèse d’un missile de croisière ou d’un missile antiaérien portable de type « Stinger ». Il est cependant sûr que si ça avait eu lieu, on aurait dû enregistrer l’impact et l’éclair au moment de la déflagration sans parler du suivi du tracé du missile qui eût pu être réalisé par les moyens de surveillance de la mer Noire. Donc une telle éventualité de tir terroriste est fort peu probable.
Reste la dernière version des faits qui, à bien y réfléchir, n’est pas si futuriste que ça. Depuis très longtemps, les Russes parlent de leurs armes ultra-sophistiquées dans le domaine de la défense anti-aérienne et du brouillage électronique. Les moyens de la guerre électronique seraient tellement sophistiqués que le passage d’un seul avion russe au-dessus d’un croiseur américain qui était d’ailleurs en mer Noire à ce moment-là, a provoqué le blocage de tous les systèmes électroniques y compris la liaison avec le satellite et les systèmes d’armements embarqués. Le croiseur a dû même rebrousser chemin pour revenir à Istanbul. Cette information prouve, de façon éloquente, que l’on peut très bien bloquer l’avionique de bord avec les moyens de guerre radio-électronique qui peuvent servir d’arme offensive. Si les Russes l’ont fait, il serait logique de supposer que l’OTAN a à sa disposition les armements de même type. Un groupe aéronaval américain est actuellement localisé en mer Noire et a été même renforcé de plusieurs bâtiments. Deux bâtiments de guerre français « Dupuy- De-Lôme », le meilleur d’ailleurs dans le domaine de la lutte radio-électronique et « Le Chevalier Paul » croiseraient également dans le même périmètre. Il est extrêmement difficile de repérer un faisceau radio-électronique dirigé. Et quand bien même les Russes réussissent à démêler l’écheveau, auraient-ils le courage de faire porter le chapeau à l’OTAN ?
 
Il est également vrai que s’il s’agit d’une acte ennemi (l’usage d’un bâtiment de guerre n’a rien d’un acte terroriste mais équivaut à des hostilités ouvertes entre les Etats), le moment a été très bien choisi. Non seulement la date est symbolique : c’était Noël hier (c’est vrai que les Russes orthodoxes le fêtent selon le calendrier julien plutôt le 7 janvier, mais une partie des Eglises orthodoxes le fait bien le 25). En plus, l’avion appartenait à la Défense russe et le Choeur de l’Armée Rouge est le symbole même de l’armée russe. Enfin, dernière chose à dire, la catastrophe s’est passée au moment du départ d’Obama qui crache le feu à propos de l’avènement de Donald Trump et de l’éventuelle amélioration des relations avec la Russie.
Le symbolisme a forcément un rôle a joué. On n’a pas oublié la tempête diplomatique qu’avait déchaînée le concert donné par l’orchestre russe dirigé par le très célèbre Guerguiyev dans le théâtre antique d’Alep, juste après la libération de la cité antique. De tout temps les symboles ont leur force et leur mysticisme : faire tomber un avion militaire avec le Choeur de l’Armée Rouge qui s’est envolée pour célébrer le Nouvel An après la libération d’une grande partie de la Syrie est plus que symbolique. Quant aux moyens mis à exécution, je considère que la piste mentionnée serait à prendre en considération. Et si la France en sait quelque chose, on ne serait pas étonné par le laquais de l’Elysée qui, à la différence de la majorité des chefs de l’État (y compris les Américains), s’est bien gardé d’exprimer ses condoléances au Kremlin se limitant juste à un bref message de la part de l’ambassadeur à Moscou. S’agit-il juste d’un acte cynique ou y a-t-il là matière à réflexion ?
Alexandre Artamonov

Source: pravdafrance.com

Un tremblement de terre rare de 5.8 au Nevada et un 6.3 au Japon




Un tremblement de terre de magnitude 5,8 a secoué ce mercredi l’État américain du Nevada, ont annoncé les services géologiques américains (USGS).

La terre a tremblé ce mercredi aux États-Unis. Plusieurs secousses se sont produites dans l'État du Nevada, près de la frontière avec la Californie, soit un 5.5, 4.0 et 5.6 selon les services géologiques américains (USGS) et la EMSC.  Le séisme initial  s'est produit à 08h18 UTC, précise l'USGS, ajoutant que ​le foyer se situait à 19 km de profondeur et à 29 kilomètres de la ville de Hawthorne.

Par ailleurs, un important séisme de magnitude 6.3 sur l'échelle ouverte de Richter (services géologiques du Japon) a frappé le nord-est de Tokyo. L'épicentre se trouve à 10 km à peine de profondeur, au nord de la préfecture d'Ibaraki, à 130 km de Tokyo.


La zone touche 3 millions de personnes et si on se rappelle le 8.9 de 2011, donc aucune inquiétude pour s' affoler. Une réplique de magnitude 5.0 à aussi été ressentie.


Aucune alerte au tsunami.

Sources:  multiples sites


mardi 27 décembre 2016

Manoeuvres iraniennes: missiles sol-air Mersad et Ya Zahraa lancés contre un drone



Au deuxième jour des manoeuvres militaires aériennes  » les défenseurs du ciel walayat 7″ , les forces de l’armée iranienne et celle des Gardiens de la révolution ont lancé des  missiles sol-air de type Mersad et yaZahraa contre un drone militaire iranien furtif dans le sud de l’Iran et l’ont  visé « , a rapporté l’agence d’informations iranienne Farsnews .
Parallèlement, des opérations de surveillance des zones sensibles et dangereuses ont eu lieu  dans le sud du pays alors que le système de missiles de défense aérienne  Mersad a détruit plusieurs objectifs volants.
Ce système vise les cibles volantes à une  altitude moyenne,  il est en fait une copie locale révisée et améliorée du système de défense  US Hawk.
Autre système de missiles de défense aérienne, testé avec succès, le système Ya Zahraa S-3, un système qui détruit les cibles volantes à une basse altitude , avec une grande précision..
Ce système de missile Ya Zahra a été fabriqué par les experts de l’industrie de la défense iranienne et lance des missiles de type Thaqeb d’une portée de 20 km. Sa particularité : sa mobilité tactique et sa capacité à viser plusieurs cibles simultanément.
Par ailleurs, un nouveau sytème de communication a été testé pour la première fois durant ce deuxième jour: le système Isman pour les communications lointaines géospatiales qui vise à assurer les comunications de manière  directe et en toute sécurité à une distance de cent cinquante kilomètres.
Source: Médias

Erdogan dit avoir les preuves du soutien de l'Etat islamique par les Etats-Unis


Le président turc a déclaré que les Etats-Unis ne tenaient pas leurs promesses concernant la lutte contre l'Etat islamique. Il affirme avoir les preuves qu'ils soutiennent les groupes terroristes en Syrie.

Recep Tayyip Erdogan, le président turc a déclaré qu'il avait des preuves que la coalition dirigée par les Etats-Unis a apporté un soutien au groupe terroriste Etat islamique et aux milices kurdes YPG et PYD. 

«Ils nous accusaient de supporter Daesh», a commencé le président turc lors d'une conférence de presse mardi 27 décembre à Ankara, «maintenant, ils supportent des groupes terroristes comme Daesh, YPG et PYD. C'est très clair, nous avons de preuves avec des photos et des vidéos» a t-il poursuivi sans ambages.  

Détails à suivre...

Source: wikistrike.com

lundi 26 décembre 2016

Séisme de 7.6 au Chili


Un puissant séisme de magnitude 7,6 a frappé dimanche le sud du Chili et déclenché momentanément une alerte au tsunami, mais sans causer de victimes, selon les premières informations, dans ce pays bien préparé aux tremblements de terre.
Ce tremblement de terre est survenu à 11 h 22, heure locale ce dimanche, selon l’institut d’études géologique américain (USGS). Son épicentre était situé à environ 1,000 km au sud de la capitale Santiago, à 40 kilomètres au sud-ouest de Puerto Quellon (sur l’île de Chiloé), et à 33 kilomètres de profondeur, a précisé l’USGS.
Une alerte au tsunami a d’abord été déclarée pour la zone côtière des régions affectées, déclenchant l’évacuation d’environ 4 000 habitants dans la région de Los Lagos, selon la police. Les services d’urgence craignaient l’arrivée de grosses vagues sur l’île de Chiloé, dont la population a alors commencé à être dirigée vers les parties les plus hautes de l’île.

L’alerte tsunami levée

Mais près de deux heures après le séisme, les autorités ont levé cette alerte, a annoncé le directeur de l’Onemi, le Bureau national chilien des urgences, Ricardo Toro. Les services d’urgence ont toutefois recommandé à la population de s’éloigner par précaution d’une centaine de mètres des plages de la région.
Beaucoup de force et de courage aux compatriotes affectés par le séisme à Chiloé et dans d’autres zones du sud !" a écrit la présidente socialiste Michelle Bachelet sur son compte Twitter. ". Les protocoles d’urgence sont déjà en cours d’opération", a-t-elle ajouté. 
Source: wikistrike.com


samedi 24 décembre 2016

Paix pour Noël 2016


Pour ce Noël j' aimerais vous souhaiter à tous de la Paix. Malheureusement, les actualités nous font revenir brusquement à la dure réalité. Comme cette bulle, belle et si fragile, il ne suffirait de peu pour qu' elle éclate.

Ainsi il faut toujours penser, rêver et espérer qu' un jour nous puissions vivre comme des terriens et non comme des individualistes voulant absolument écraser son prochain.

À tous amis lecteurs qui fêteront la Noël, je vous dis MERCI et des très joyeuses fêtes et à lundi le 26 Décembre.

Soyez aux écoutes pour l' arrivée de la vague cosmique toujours prévue pour lundi.

Benoît Godin

vendredi 23 décembre 2016

Syrie: 88 civils tués dans les frappes truqués


Les raids aériens de l’aviation turque en Syrie ont fait au moins 88 morts parmi les civils.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), un organisme d'information associé à l'opposition syrienne et fondé à Londres, les frappes aériennes menées pendent toute la journée de jeudi et vendredi au matin par les avions de chasse turcs au nord de la Syrie, ont coûté la vie à au moins 88 civils dont 24 enfants.
72 civils ont été tués jeudi et 16 autres vendredi dans la ville d’al-Bab, contrôlée par Daech et située dans le nord de la province d’Alep, à 30 kilomètres de la frontière turque. 
Ces raids aériens ont été menés au lendemain du meurtre de 14 soldats de l’armée turque à al-Bab. Il s’agit du bilan le plus lourd jamais enregistré par l'armée turc depuis le début de son intervention en Syrie, il y a quatre mois.
Mercredi matin, l’armée turque a annoncé que les miliciens soutenus par Ankara avaient pris le contrôle de l’autoroute reliant al-Bab à Alep.
Damas condamne fermement l’intervention militaire turque en Syrie et la considère comme une violation flagrante de sa souveraineté.

Source: parstoday.com

jeudi 22 décembre 2016

Alep libérée: les USA vont-ils capituler?


Alep libérée, les autorités syriennes sont sur le point de rouvrir l’aéroport international d’Alep pour les vols civils.
Cet aéroport est resté fermé durant des années, en raison des combats violents entre les forces syriennes et les terroristes. Les informations font également état des efforts de la population à reconstruire les ruines de plus de cinq ans de guerre sans merci des terroristes contre non seulement des monuments historiques de l'une des plus anciennes villes du monde mais aussi contre les centaines d'ateliers et d'usines.
Sur le terrain des combats à l'est de Homs où se trouve Palmyre, on rapporte d'intenses combats qui opposent l'armée syrienne aux terroristes. L’Armée de l’Air russe a mené elle-aussi des frappes mercredi contre les positions de Daech dans la partie occidentale de Palmyre.
Quant à l’armée syrienne et ses forces alliées, elles repoussaient puissamment les terroristes qui tentaient de s’infiltrer dans la zone de sécurité de l’aéroport militaire stratégique T4.
25 terroristes de Daech ont été tués ou blessés sans compter le fait que le groupe a également subi de lourdes pertes matérielles. L’Armée arabe syrienne a détruit 2 chars et 3 véhicules techniques dotés de mitrailleuses antiaériens de 23mm.
C’est la 4e tentative du groupe terroriste de déloger les forces syriennes au sein de cet aéroport qui abrite la base aérienne la plus importante de la Syrie et d'où décollent des Soukhoïs syriens.
Mais que cherchent les ennemis d'Assad au juste?
Certains analystes politiques comme Ghaleb Qandil estiment que la libération d'Alep a bouleversé le rapport de forces en Syrie et poussera par voie de conséquence les ennemis de la Syrie à tenter tous les coups pour ramener la situation au statut quo ante. Certes, ils ont peu de chance de réussir mais ils n'ont pas d'autre choix. Leur stratégie consisterait donc, dans les semaines à venir, à réactiver Daech et d'autres groupes terroristes et à les employer à l'effet de faire monter la tension sur les fronts de combat. Les attentats terroristes et à la voiture piégée se multiplieront surtout dans des régions sous contrôle de l'armée syrienne. Les terroristes viseront les cibles civils. 
L'axe anti-syrien fera feu de tout bois pour contrer une reprise en main de la situation par l'État syrien et ses alliés. Les assauts de Daech et du Front al-Nosra, ou encore les offensives des miliciens pro Turquie voire l'assassinat de l'ambassadeur russe en Turquie devraient être tous compris en ce sens. La guerre par procuration n'est donc pas prête à finir. 
Ghaleb Qandil prévoit même un embrasement des fronts de combat non pas en Syrie mais aussi en Irak, au Yémen et en Libye. Dans tous ces pays, l'objectif consisterait à cibler deux ou plusieurs pays voisins. L'Irak et la Syrie se trouvent de façon prioritaire en ligne de mire car ce sont deux États au cœur du plan dit " Grand Moyen-Orient ". 
A vrai dire, la libération d'Alep des mains des terroristes ne signifie nullement la capitulation des États-Unis et de leurs alliés au Moyen-Orient face à l'axe de la Résistance. Le soutien occidental continuera à aller aux terroristes. 

Source: parstoday.com

mardi 20 décembre 2016

La Planète X / Nibiru pour 2017?


Des gens bien informés de la NASA, du DoD  ( Département de la Défense ) – l' Intelligence Militaire Nationale, SETI et la CIA assument que les 2/3 de la population mondiale ne survivront pas au passage de la Planète X / Nibiru et l' inversion des pôles.
La NASA reconnaît la possibilité ( en 1982 ) de l'existence de planètes additionnelles dans notre système solaire. Un an plus tard ( 1983 ) la NASA a lancé le satellite IRAS (Infrared Astronomical Satellite Infrared Artificial Satellite) qui détecte les gros objets de l' espace. 
Le Washington Post a résumé le tout dans un interview avec un scientifique du programme de propulsion JPL IRAS. Qu'arrive-t-il avec la Planète X /Nibiru alias Nemesis, le Destructeur, Wormwood, Hercolubus?

Est-ce que la Planète X /Nibiru est réelle?  Selon un invité, Robert Henry Evans,  elle existe et la NASA le sait très bien et elle est en route vers nous. Prend-elle 3,600 ans à compléter son orbite autour du Soleil? 

Comme vous pouvez l' imaginer, les effets gravitationnels d' une planète de cette taille ( environ 7 fois la Terre ) rime avec de grands troubles pour la planète Terre. Vous remarquerez que notre Terre connait une augmentation des tremblements de terre, d' activités volcaniques, une météo complètement bizarre et plus.

Lorsque Pioneer 10 a été envoyé dans le lointain espace, c' était pour étudier cette Planète X. Lors du voyage, Pioneer à rencontrer une force mystérieuse - qui a doublé les anomalies de la sonde spatiale tout en rendant perplexe les scientifiques de la NASA.

Pioneer à été gentiment poussé  ( par la force de la magnétosphère de la Planète X ) et s' est mis en mouvement dans la direction opposée vers le Soleil. Son momentum vers l'avant a aussi subit une décélaration.

Source: beforeitsnews.com
Traduction: Benoît Godin

Vous vous rappelez tous ces bruits bizarres qui provenaient du sol de la Terre? Possiblement le bruit de la machinerie qui creusait des tunnels pour relier des " bunkers " appartenants aux élites,  comme cela a souvent été mentionné dans des articles. 

Alors si le tout se réalise en 2017, soyez prêts ( Benoît Godin )

Israël / Hezbollah une nouvelle guerre?




L’ancien chef du conseil israélien de sécurité, le commandant général Giora Eiland, a évoqué la puissance militaire croissante du Hezbollah libanais. Il a insisté sur le fait qu’Israël ne pourra plus supporter une nouvelle guerre avec le Hezbollah, c’est pourquoi il doit éviter les provocations.
Ce général israélien a conseillé à Tel-Aviv d’éviter tout geste provocateur envers le Hezbollah. Il n’y aura, a-t-il insisté, aucune chance de réussite en cas de conflit avec ce mouvement. Il a évoqué la  puissance militaire croissante du Hezbollah libanais.
Le général Giora Eiland qui s’exprimait sur la chaîne 10 d’Israël a précisé que «Tel-Aviv doit avoir peur non parce que le Hezbollah peut avoir accès aux armes de destructions massives, mais parce qu’il possède plus de 130.000 missiles de tout type et de toute portée.
Revenant sur les attaques israéliennes en Syrie, ce général israélien les a qualifiées de «  petites » et « très calculées » pour ne pas provoquer la réaction directe de Damas.
Il a évoqué ensuite les déclarations tenues par le ministre israélien des affaires militaires, Avidgor Liberman. Ce dernier déclarait qu’ « Israël ne permettra jamais l’accès du Hezbollah aux armes sophistiquées ». Eiland a précisé que ce discours est un aveu indirect d’impuissance du fait de la puissance militaire du Hezbollah grandissante.
Revenant sur la guerre syrienne, cet ancien chef du conseil israélien de sécurité a déclaré qu’avec la fin de la guerre en Syrie, le Hezbollah en sortirait comme l’un des vainqueurs. Cette situation ne serait pas, à ses yeux, en faveur d’Israël qui se trouve devant un choix plus difficile car Tel-Aviv n'est pas en mesure de déclencher une guerre contre le Hezbollah.
Dans le même temps,  le Hezbollah a dit posséder des preuves indiquant que les Etats-Unis et l’Arabie saoudite soutiennent le groupe terroriste de Daech.
Le président du conseil exécutif du Hezvollah, Seyyed Hachem Saffieyddin a insisté sur le fait que ce mouvement dispose de documents bien étayés du soutien des Américains et des Saoudiens à Daech.
Ce soutien vise, a-t-il précisé, à faire survire cette menace en Syrie et en Irak et  à tout pays qui s’oppose aux politiques américano-occidentales. 
Source: parstoday.com

lundi 19 décembre 2016

Le coup d'état des élites US en cours


Il y a une tentative de coup d’État des « élites » en cours contre le président élu américain Trump.

 Le coup est orchestré par le camp d’Hillary Clinton en collaboration avec la CIA et les puissances néoconservatrices du Congrès.
 Le projet est de retourner le Collège électoral contre Trump grâce à l’absurde accusation de la CIA selon laquelle « La Russie a fait gagner Trump ». L’affaire viendrait alors devant le Congrès. Les néo-conservateurs et les bellicistes républicains pourraient alors confier la présidence à Clinton ou, si cela échoue, mettre Mike Pence, le vice-président élu de Trump, sur le trône. Le business de la guerre que se partagent tour à tour les deux partis, et que la présidence d’un Trump menacerait d’interrompre, pourrait alors se poursuivre sans accroc.
Si le coup d’État réussissait, il s’en suivrait de violentes insurrections aux États-Unis, avec probablement des conséquences imprévisibles.
Voilà les grandes lignes du dispositif. Aucun plan précis n’a été publié mais le projet est cependant devenu assez clair. Je vais maintenant me livrer à quelques spéculations.
L’objectif prioritaire est d’empêcher Trump de devenir président. Il est trop indépendant, ce qui met en danger de nombreux centres de pouvoir au sein des milieux dirigeants étasuniens. Le choix de Tillerson comme nouveau secrétaire d’État ne fait qu’augmenter le danger (je prédis que Bolton n’obtiendra pas le poste de sous-secrétaire d’état.) Tillerson est pour une stabilité qui profite aux affaires, pas pour une politique aventureuse de changements de régime. Les ennemis institutionnels de Trump sont :
 La CIA, qui est devenue l’Agence centrale d’assassinat sous les gouvernements Bush et Obama. Une partie importante de son budget dépend de la poursuite de la guerre contre la Syrie et des campagnes d’assassinats de drones en Afghanistan, au Pakistan et ailleurs. Les politiques plus isolationnistes de Trump mettraient vraisemblablement fin à ces campagnes et aux budgets correspondants.
 L’industrie de l’armement qui pourrait perdre ses énormes ventes à ses principaux clients du golfe Persique si un président Trump réduisait les interventions étasuniennes au Moyen-Orient et ailleurs.
 Les néoconservateurs et les Likoudniks* qui veulent que les États-Unis demeurent le bras d’Israël pour contrôler le Moyen-Orient au profit des sionistes.
 Les faucons de guerre, les militaires et les « interventionnistes humanitaires » qui considèrent toute réduction du rôle de première puissance mondiale des États-Unis comme un sacrilège.

Le directeur actuel de la CIA, Brennan, figure de premier plan du programme de torture de la CIA et consigliere d’Obama, fait partie du camp Clinton / anti-Trump. Les anciens chefs de la CIA Hayden et Panetta soutiennent ouvertement Clinton, tout comme l’ancien directeur adjoint de la CIA, Michael Morell, le roi de la torture.
Il n’est donc pas étonnant que la CIA mène la campagne anti-russe. Sa tâche est maintenant de persuader le public américain que l’intervention russe a faussé les élections américaines en faveur de Trump. Le but est de délégitimer la victoire de Trump aux yeux des médias et du public, mais encore plus aux yeux des Electeurs du collège électoral.
La CIA est fortement soutenue par les mêmes médias encadrés qui ont soutenu Clinton lors de l’élection. (Ce sont aussi, évidemment, ces mêmes médias qui ont soutenu auparavant la campagne de la CIA sur les « armes de destruction massive de Saddam »).
Le partisan démocrate et professeur de droit, Harvard Lawrence Lessig, essaie d’influencer les Électeurs du collège électoral en leur offrant un soutien juridique personnel gratuit. Il dit que le vote du Collège électoral est maintenant scellé.
Si on parvenait à convaincre 37 Électeurs républicains, mis en place par les électeurs de leurs États pour voter pour Trump, de ne pas élire Trump, de s’abstenir ou de voter pour quelqu’un d’autre, Trump n’aurait pas les 270 votes requises. L’élection du président serait alors renvoyée à la Chambre des représentants.
Même si les Électeurs votaient pour Trump, les députés de la Chambre et du Sénat pourraient remettre officiellement en question ce vote et provoquer des retards, entamer des enquêtes au Congrès et des recours juridiques.
Voici le détail de la procédure générale et de la procédure spécifique pour le Collège électoral selon l’Administration nationale des Archives.
Bien que les néo-conservateurs n’aient aucun soutien réel dans le corps électoral des États-Unis, ils ont une forte influence sur des pans importants du Congrès et sur les journalistes de MSM (National News). Beaucoup de chefs de file néo-conservateurs et de fauteurs de guerre comme Robert Kagan, Max Boot et l’équipe éditoriale du Washington Post ont soutenu Clinton pendant la campagne électorale. Clinton a même fait des clips de campagne avec des personnalités du Congrès républicain comme Lindsay Graham, Sasse et Flake.
A force de pression, la Chambre et la majorité du Sénat pourraient bien finir dans le camp anti-Trump. Mais quel que soit le résultat, il y aurait sûrement d’intenses querelles juridiques et tout cela finira, à mon avis, devant la Cour suprême.
A la place des entourloupes juridiques, Obama pourrait donner l’ordre aux services secrets de lancer une enquête officielle sur l’ingérence russe dans les élections, ce qui pourrait retarder l’investiture de Trump. Il peut le faire avant le 20 janvier, la date de l’inauguration officielle. Voilà ce que cela signifierait exactement :
En ordonnant un « examen complet » des allégations sur l’ingérence de la Russie dans le processus électoral de 2016, le président Barack Obama demande essentiellement à la communauté du renseignement de porter un jugement sur la validité de l’élection qui doit placer Trump dans le bureau ovale.
Un « compromis » pourrait être trouvé au Congrès ; il s’agirait d’attendre l’analyse de la communauté du renseignement pour en discuter avant d’investir Trump. Cela ne donnerait rien de concret car les éléments du Renseignement national sont très vagues. Mais pendant ce temps, le vice-président élu serait le président en exercice :
Si le président élu ne parvient pas à se qualifier pour l’investiture avant l’inauguration, le vice-président élu exerce les fonctions de président jusqu’à ce qu’un président soit qualifié, selon la Section 3 du 20e Amendement. 
Si le processus législatif ou congressionnel de l’élection de Trump est retardé, cela pourrait durer longtemps. Les Blob et les Borg qui détiennent le pouvoir à Washington ne verraient aucun inconvénient à avoir Pence comme président par intérim, pendant que Trump n’aurait aucun pouvoir officiel au gouvernement. (Clinton pourrait-elle alors devenir vice-président par intérim ou se qualifier comme nouvelle présidente ?)
L’intervention des médias en faveur du camp anti-Trump est incroyable.
Mais souvenons-nous qu’il n’y a aucune preuve, ZERO preuve, que la Russie ait quoi que ce soit à voir avec la DNC ou Podesta ou d’autres fuites, ni avec la publication de mails par des organisations comme Wikileaks.
Craig Murray affirme qu’il sait de source sure qu’il n’y a pas eu de piratages mais des fuites organisées et qu’il connaît le(s) fuiteur(s). Il dit même maintenant que les mails lui ont été communiqués lors d’une visite à Washington. D’anciens responsables du renseignement, comme William Binney, un ancien officiel de la NSA dont les compétences techniques sont reconnues, disent aussi que l’histoire du piratage est un mensonge.
Tout ce que nous avons entendu ou vu jusqu’ici, ce sont des rumeurs, des ouï-dire, et des allégations. Pour moi qui suis un professionnel de l’informatique, tout cela est ridicule, exactement comme Murray l’explique ici. Si les piratages en question se sont vraiment produits alors les méthodes soi-disant utilisées sont si ordinaires que n’importe qui aurait pu le faire. Au plan technique, rien ne prouve, ni de près, ni de loin, que « c’est la Russie qui l’a fait ».
Mais cela n’empêche pas le NYT de publier des quantités d’articles qui nous disent que « c’est la Russie qui l’a fait », basés sur les rumeurs sans base de la CIA et les allégations informatiques peu professionnelles de Crowdstrike, la compagnie de sécurité informatique que la DNC a engagée. Avant cela, le Washington Post avait publié des affirmations catégoriques de l’ingérence de la Russie par des fonctionnaires anonymes. NBC News coiffe tout le monde au poteau en disant que « des responsables du renseignement » affirment que Poutine lui-même a dirigé la campagne de piratage. Bill Arkin et Ken Dilanian, les auteurs de cette histoire sont des sous-marins de la CIA dont on sait qu’ils lui faire vérifier leurs articles avant de publier. La prochaine fois, NBC News nous dira que Vladimir Vladimirovich lui-même était au clavier.
Beaucoup d’organes de presse et d’éditoriaux suivent ces « meneurs ».
Une partie du plan élaboré par le camp Clinton a été expliquée au Conseil national démocratique par une ancienne consultante de l’opposition, l’Ukrainienne-Américaine Alexandra (alias Andrea) Chalupa, dans ce fil de discussion :
Andrea Chalupa @AndreaChalupa, 11 déc
1.) Le Collège électoral se réunit le 19 décembre. Si les Électeurs ignorent #l’état d’urgence dans lequel nous sommes, et que Trump est élu, nous pouvons encore le stopper le 6 janvier au Congrès
2.) S’il y a des objections à l’élection du Collège électoral, elles doivent être soumises par écrit, signées par au moins 1 député de la Chambre et 1 sénateur
3.) Si des objections sont présentées, la Chambre et le Sénat se retirent en session pour examiner leur validité au regard des procédures stipulées dans la loi fédérale.

Les éditoriaux et les articles d’opinion des principaux journaux soutiennent la conspiration de leur mieux. Voilà par exemple (un exemple parmi beaucoup d’autres) ce qu’écrit A.J. Dionne dans le Washington Post :
La conclusion de la CIA selon laquelle la Russie a activement participé à notre élection pour faire élire le président Trump est une excellente raison pour que les Électeurs se demandent s’ils doivent exercer leur indépendance. À tout le moins, on doit leur dire ce que sait la CIA, et surtout s’il existe des preuves que Trump ou ses lieutenants se soient compromis activement avec la Russie pendant la campagne.
L’éditorial du New York Times déplore que Trump ridiculise les contes de fées que raconte la CIA.
Beaucoup de gens qui ont voté pour Trump seraient dégoûtés et indignés si (ou quand) on refuse à Trump l’accès à la Maison Blanche. Beaucoup d’entre eux sont armés et protesteront. C’est sûr qu’il y aura de la violence si le coup d’État réussit.
Trump a choisi quatre anciens généraux pour faire partie de son cabinet et de son équipe. En cas d’escalade, ou pourrait se retrouver dans un scénario comme celui de ce document militaire de 1992 : Les origines du coup militaire américain de 2012 (pdf) de Charles J. Dunlap.
Moon of Alabama
Traduction : Dominique Muselet
Via: wikistrike.com
Notes :
*Membres du parti israélien de droite, le Licoud. **Conseiller