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samedi 27 août 2016

Attaque à la roquette sur un aéroport du sud-est de la Turquie


Quatre roquettes ont été tirées samedi soir contre l'aéroport de Diyarbakir, dans le sud-est de la Turquie, a rapporté l'agence de presse Dogan, attribuant l'attaque au Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).
La salve s'est abattue sur un terrain vide à proximité d'un point de contrôle de la police et n'a pas fait de blessés, a précisé Dogan.


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Des ambulances et des policiers ont été dépêchés sur les lieux, a poursuivi l'agence, ajoutant que les vols avaient été suspendus et les passagers mis à l'abri à l'intérieur du terminal.

Cette attaque survient au lendemain d'un attentat au véhicule piégé qui a fait au moins 11 morts dans les rangs de la police et des dizaines de blessés à Cizre, également dans le sud-est de la Turquie.

Cette région a majorité kurde vit au rythme des affrontements quasi-quotidiens entre forces de sécurité turques et combattants du PKK depuis qu'un cessez-le-feu de deux ans et demi entre les rebelles et Ankara a volé en éclats à l'été 2015.
L'armée turque a lancé mercredi une vaste opération dans le nord de la Syrie pour combattre le groupe jihadiste Etat islamique, mais aussi des milices kurdes considérées proches du PKK

Source: quebec.huffhingtonpost.ca

Syrie : toujours pas d’accord Russie-USA. La Turquie y envoie encore des chars


Quoique «fructueuses», d’après les termes du secrétaire d’Etat américain John Kerry, les 12 heures de pourparlers qu’il a eus avec son homologue russe n’ont pas rapproché les positions des Etats-Unis et de la Russie sur la coopération militaire contre la milice wahhabite takfiriste Daesh (Etat islamique-EI) et la cessation des conflits en Syrie.

C’est ce qu’a  déclaré le porte-parole du Pentagone Peter Cook, à  l'issue de l’entretien qui a lieu à Genève, vendredi.

Selon l’AFP, l'un des principaux points de désaccord entre les deux pays concerne Alep, deuxième ville de Syrie.

Kerry a annoncé que les discussions avec Lavrov avaient apporté "de la clarté en vue d'avancées" mais les deux responsables ont fourni peu de précisions quant au renouvellement de la trêve de février et les interventions humanitaires.

"Certaines contradictions dans ces discussions visant à parvenir à des solutions durables ont été réduites, mais comme l'a déclaré le secrétaire Kerry, il reste encore des questions qui doivent être examinées. Il n'y a pas d'accord pour le moment," a toutefois tempéré  M.Cook.
Lavrov: Pas de séparation kurde
Au terme de ces discussions, les déclarations des dirigeants de deux pays semblaient aller dans des directions différentes.

Lavrov a tenu à affirmer que les Kurdes syriens devaient rester une partie de l'Etat syrien.

"Je suis convaincu que les Kurdes doivent rester une partie de l'Etat syrien, une composante de la solution au problème et non pas un facteur utilisé pour diviser la Syrie, car alors cela provoquera une réaction en chaîne dans l'ensemble de la région, ce qui n'est dans l'intérêt de personne", a-t-il dit à l'issue des négociations.

La position américaine qui voudrait que les kurdes syriens restent à l’est du fleuve de l’Euphrate n’est pas clair la-dessus.

Maison Blanche: pas de zone tampon

La Maison Blanche elle a trouvé bon de tracer les limites de l’intervention turque en Syrie.

« L’établissement d’une zone tampon en Syrie est hors de question en Syrie », a dit son porte-parole Josch Ernest.

Sachant qu’Ankara voudrait évoquer cette question lors des pourparlers avec Washington et Moscou. Cette zone devrait servir de couper la continuité géographique entre les différentes régions de contrôle kurde au nord de la Syrie.

Selon le responsable américain, l’objectif de l’offensive turque lancée avec le soutien de la coalition internationale dirigée par les États-Unis est défini d’avance : celui de libérer Jarablos de Daesh, et d’assoir l’emprise de l’Armée syrienne libre à sa place. Son temps est lié à la réalisation de l’objectif, a-t-il défini.

Encore chars turcs 



Cette déclaration est d'autant plus suspecte que, sur le terrain, la Turquie continue d’envoyer de nouveaux chars dans le nord de la Syrie, pour le troisième jour consécutif.

Samedi matin, six chars turcs sont entrés en territoire syrien, a constaté un photographe de l'AFP dans le village de Karkamis, à la frontière turque.

Le photographe a affirmé avoir entendu des explosions sporadiques alors que les rebelles soutenus par Ankara s'affairaient à désamorcer les engins explosifs laissés par les combattants de l'EI à Jarablos.

Selon l’AFP, citant le quotidien Hurriyet, après trois jours d'opération, la Turquie maintient désormais 50 chars et 380 soldats en Syrie.
 
Pour Ankara, en conflit avec les Kurdes sur son propre territoire, cette opération vise entre autres à empêcher les Kurdes syriens de former une ceinture continue le long de sa frontière, qui menacerait directement la sécurité du pays.
 
 Les Kurdes attaqués

Plus tôt samedi, des rebelles pro-kurdes en Syrie avaient indiqué avoir été ciblés par des frappes aériennes turques.

"Des avions turcs ont bombardé nos positions ce matin dans le sud de Jarablos et le village de Til-Emarne où vivent des civils", a annoncé dans un communiqué le Conseil militaire de Jarablos, lié au Forces démocratiques syriennes (FDS) pro-Kurdes.

Selon lui, la frappe de l'Armée de l'air turque sur le village d'Amarna a fait plusieurs victimes civiles.
"Avec cette agression, une nouvelle période du conflit va s'ouvrir dans la région", a-t-il ajouté.
 
Par ailleurs, des affrontements ont éclaté samedi entre combattants soutenus par les forces kurdes et des chars turcs dans le nord de la Syrie, selon une ONG et une source kurde.

Sources: AFP, Sputnik, Al-Alam

Corée du Nord : Pyongyang menace les garnisons américaines et sud-coréennes à sa frontière



La Corée du Nord a menacé de tirer sur l'équipement d'éclairage utilisé par les armées américaine et sud-coréenne dans un village situé à l'intérieur de la zone démilitarisée entre les deux Corées.

Une déclaration officielle de l'Armée populaire de Corée du Nord a accusé les Etats-Unis et les troupes sud-coréennes d'initier des «provocations délibérées» en ciblant les postes frontières nord-coréens avec les lumières de puissants miradors, selon Associated Press.

La déclaration intervient quelques heures après que le Conseil de sécurité des Nations unies a fustigé la Corée du Nord pour le lancement de quatre missiles au cours des deux derniers mois. En outre, le commandement des troupes de l'ONU en Corée du Sud a accusé Pyongyang de planter des mines antipersonnel dans les environs de Panmunjom, village où la trêve entre les deux Corées a été signé en 1953.

Source: russia today

jeudi 25 août 2016

La Turquie met en demeure les Kurdes de quitter le Nord de la Syrie



Dans le cadre de l'opération «Euphrate», des centaines de «rebelles» syriens appuyés par l'aviation turque ont repris la localité de Jarablus occupée préalablement par Daesh. Mais la Turquie vise aussi à stopper l'expansion kurde à ses frontières.
Le ministre de la Défense turc, Fikri Isik, a exigé de la milice kurde YPG (Unités de protection du peuple, bras armé du Parti de l'union démocratique) qu'elle se retire de se retirer vers l'Est. Dans le cas contraire, l'armée turque passera à l' action, a-t-il menacé.

Depuis 24 août, la Turquie a envoyé ses forces spéciales et des chars pour se saisir de la ville syrienne de Jarablus, aux mains de Daesh depuis juillet 2013.
Les autorités turques veulent ainsi mettre fin à l'avancée des milices kurdes, qui opèrent aux frontières entre la Syrie et la Turquie. «Nous allons faire en sorte que le Parti de l'union démocratique ne remplace pas Daesh dans cette zone», a déclaré Fikri Isik.
L'opération militaire en territoire syrien est aussi l'occasion pour la Turquie de répondre à l'attentat commandité par l'Etat islamique à Gaziantep le 20 août dernier et qui avait fait 54 victimes.

Source: rt

Corée du Nord: le tir de missile a été "un immense succès", affirme Kim Jong-Un


La Floride dans la mire dˋ une tempete tropicale



Un vaste systeme depressionnaire associe avec une onde tropicale se deplace vers lˋ ouest a une vitesse de 15 a 20 mph en passant au sud-est des Bahamas. Selon les dernieres observations satellite et un rapport de reconnaissance de la Air Force Reserve, tout indique que ce systeme serait en circulation fermee et que les vents forts associes avec ce genre de systeme semble decroitre sous  les forces reliees a une tempete tropicale.

En plus, des averses et des activites orageuses semblent moins organisees depuis 24 heures. Meme si les vents en altitude ne sont pas coonductifs ppour un developpement significatif de tempete pour la prochaine journee et plus, ceux-ci pourraient devenir favorable lors du prchain week-end alors que le systeme se rapprochera des Keys de la Floride et du Golfe du Mexique.  

Peu importe la suite, il est a prevoir des pluies torrentielles pouvant causer des plueis soudaines et des coulees de boue, comme il sˋ est produit aujourdˋ hui sur le territe hispanique. Ce systeme pourrait produire des vents violents avec de la forte pluie sur une portion des Bahamas durant une a deux journees et la population des Keys et du su8d de la Floride etre aux aguets et de suivre le developpement de cette tempete.

Le minimum a prevoir pour la fin de semaine sera des forts wents et une abondance de pluie.  Les chances de formation dˋ une tempete tropicale pour les 48 prochaines heures est de 40% et grimpe a 70% pour les 5 prochains jours. 

Apres le passage de ce systeme, il faudra suivre le deplacement de la tempete tropicale Gaston qui suivra de pres et qui semble se diriger lui aussi directrement vers la cote Est .

Source: nhc.noaa.gov
Traduction et adaptation Benoit Godin

Un nouveau séisme frappe l’Italie, le bilan s’alourdit, passant à 241 morts




Séisme en Italie : journée de deuil, le bilan atteint 290 morts


Près de la ville de Terni, les sauveteurs continuent leurs recherches dans le centre de l'Italie touché par un nouveau séisme. Depuis un premier tremblement de terre la veille, le nombre de victimes est passé à 241 personnes dans la nuit du 25 août. Dans la nuit du 25 août, un nouveau séisme, d'une magnitude de 4,5, a touché l'Italie à 66 kilomètres au nord-ouest de la ville de Terni, d'une population de plus de 220 000 personnes, selon le Centre Sismologique Euro-Méditerranéen.

Il s'agit du 22e séisme en 24 heures. Alors qu’un certain nombre de personnes seraient piégés sous des décombres, une grande opération de sauvetage est en cours. Des centaines de volontaires ont rejoint les unités de secouristes, qui essaient de repérer et dégager les survivants. «Malheureusement, 90% de ceux qui nous dégageons sont morts, mais quelques-uns sont toujours en vie, c’est pourquoi nous sommes ici», a confié à l'AFP Christian Bianchetti, volontaire dans la ville d’Amatrice, déjà touchée par le séisme précédent.

Dans ces recherches, les rares succès sont des moments de joie intense pour une communauté meurtrie et instillent un peu d'espoir dans la population. Ainsi, des secouristes ont sauvé une fille de 10 ans, piégée dans les ruines pendant plus de 17 heures. La moitié de victimes est à déplorer dans les petites villes d’Amatrice et d’Accumoli, près de l’épicentre du séisme, à environ 100 kilomètres de Rome.

A Amatrice, où les trois quarts de bâtiments ont été détruits, un festival gastronomique annuel devait avoir lieu dans trois jours. «C’était l’une des villes d'Italie les plus belles et, maintenant, il ne reste plus rien», a déploré auprès de l’AFP un résident.

Source: francais.rt.com

mercredi 24 août 2016

La Chine déclare la guerre contre Daesh

Le président chinois Xi Jinping a promis de lutter contre Daesh, après que les islamistes ont tué quatre chinois dans deux attaques séparées cette semaine. La question de l’implication de l’aviation chinoise en Syrie reste ouverte. «La Chine renforcera sa coopération avec la communauté internationale, luttera résolument contre les opérations terroristes qui détruisent des vies innocentes afin de maintenir la paix et la tranquillité», a déclaré le président Xi Jinping. Il a appelé les «services concernés» à renforcer la coopération en matière de sécurité «en-dehors des frontières de la Chine».

Cette déclaration intervient après que Daesh a tué un otage chinois, le premier à être assassiné par Daesh. Fan Jinghui a été enlevé le 10 septembre, les djihadistes avaient réclamé une rançon pour lui redonner la liberté. Ils ont publié sa photo dans le dernier numéro de leur magazine Dabiq avec la mention «à vendre», en précisant : «offre limitée dans le temps». Dans ce numéro figurait également la photo d’un otage norvégien, Ole-Johan Grimsgaard-Ofstad, les yeux bandés. Mais comme ni le gouvernement norvégien et encore moins les autorités chinoises n’ont cédé, les deux otages ont été «exécutés pour avoir été abandonnés par les nations infidèles». Xi Jinping a en outre violemment condamné l’attaque «cruelle et sauvage» qui s’est produite dans un hôtel au Mali et dans laquelle trois Chinois ont été tués.

Les ressortissants chinois travaillaient pour le compte de la société China Railway Construction Corp à Bamako. Quatre autres Chinois ont été sauvés. «Sans aucune considération pour la conscience humaine et le fondement moral, l’organisation terroriste a perpétré cette action de sang-froid et avec violence. Le gouvernement chinois condamne fortement ces actions inhumaines», a déclaré le président chinois. La Chine dispose d’une importante force militaire dotée de deux millions d’hommes, ce qui peut être un signal inquiétant pour Daesh.

Reste qu’on ne sait pas encore si Pékin enverra des avions ou des troupes en Syrie et en Irak. Depuis des décennies, la Chine se prononce pour la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats.

Source: RT

La Terre tremble à deux endroits : Italie 6.2 et Birmanie 6.8 et on compte les victimes

A 02h00 CET ( 25 août), le bilan s'alourdit toujours et atteint 159 morts, 368 blessés et de très nombreux disparus (Protection civile) Les communes les plus touchées: Accumoli, Amatrice, Posta et Arquata del Tronto Le séisme de magnitude 6,2 qui a frappé le centre de l'Italie tôt mercredi a fait au moins quatorze morts, selon les médias italiens. Deux personnes ont été tuées dans l'effondrement de leur habitation à Pescara del Tronto, commune qui dépend d'Arquata dans la région des Marches, voisine de la région frappée par ce tremblement de terre, ont confirmé les carabiniers de cette commune. Il s'agirait d'un couple de personnes âgées, selon ces sources. Interrogé par l'agence italienne Agi, le maire d'Accumoli, commune située tout près de l'épicentre du séisme, a de son côté fait état d'un mort, décrivant une ville à moitié détruite. Selon lui, au moins quatre personnes sont encore prisonnières des décombres. "Ici, c'est une tragédie, nous avons des morts et des bâtiments détruits", a-t-il déclaré. Le fort séisme a atteint la magnitude 6,2, selon l'Institut américain de géologie (USGS). Il a secoué le centre de la péninsule italienne mercredi vers 3H30 (1H30 GMT) et a été ressenti à Rome par des journalistes de l'AFP. L'épicentre se trouvait à 10 km au sud-est de Norcia, une ville de la région d'Ombrie, à environ 150 km au nord-est de Rome, a précisé l'USGS, qui a assorti son communiqué d'une alerte rouge, suggérant d'éventuels dommages importants. /////// Par ailleurs, un séisme ressenti jusqu'à Bangkok et Rangoon. Des temples et pagodes également effondrés, notamment sur le célèbre site de Bagan. Selon le site EMSC, le tremblement de terre a enregistré 6.8 sur l' échelle de Richter. Il est à prévoir des secousses pendant plusieurs heures. Ce tremblement s' est produit ce mercredi en Birmanie, selon l'Institut d'études géologiques des États-Unis (USGS). Selon l'agence Reuters, l'épicentre a été localisé 143 km à l'ouest de Meiktila (ville située au nord de la capitale, Naypyidaw). L'épicentre se situe à 84 km de profondeur selon l'institut. Le tremblement de terre a été ressenti dans la capitale thaïlandaise, Bangkok, et à Rangoun en Birmanie, ont indiqué des journalistes de l'AFP. Les détails du séisme sont à venir. Multiples sources A 16h00, le bilan s'alourdit et atteint 73 morts et de très nombreux disparus (Protection civile) Les communes les plus touchées: Accumoli, Amatrice, Posta et Arquata del Tronto Le séisme de magnitude 6,2 qui a frappé le centre de l'Italie tôt mercredi a fait au moins quatorze morts, selon les médias italiens. Deux personnes ont été tuées dans l'effondrement de leur habitation à Pescara del Tronto, commune qui dépend d'Arquata dans la région des Ma

mardi 23 août 2016

L' occupation de la Syrie par les États-Unis est maintenant officielle!

« Voici un dangereux événement historique dont la survenue ne fait qu’augmenter le risque d’une guerre totale. » Au cours des dernières 24 heures, les États-Unis ont rendu très clair leur statut de force d’occupation hostile en Syrie. Hier, les USA ont transmis un c communiqué au gouvernement légitime de la Syrie et à la coalition anti-terroriste essentiellement russe qui assiste les Syriens. Ce communiqué fait savoir que les USA ont prélevé à leur usage une bande du territoire syrien, qu’ils entendent occuper militairement en y maintenant des troupes en service actif, des forces d’opérations spéciales, des conseillers, des mécaniciens et des unités de soutien ; ils ont également décrété une zone d’exclusion aérienne (« no fly zone ») et averti qu’ils abattraient tout avion syrien ou russe qui survolerait cet espace réservé [au-dessus de la zone déclarée « zone kurde autonome », N.éd ]. Comme le rapporte RT, le commandant des forces US en Irak et en Syrie, le lieutenant-général Stephen Townshend a déclaré : « Nous avons informé les Russes d’où nous en sommes (where we’re at…)… ils nous ont dit qu’ils en avaient informé les Syriens, et tout ce que j’ai à dire est que nous nous défendrons si nous nous sentons menacés ». Depuis lors, comme le rapporte Reuters, les affrontements entre forces kurdes et syriennes se sont intensifiés. Un certain nombre d’analystes avaient prévu que les USA adopteraient cette voie, étant donnés les succès de la campagne des Syriens et de leurs alliés russes en général et de la détérioration des relations américano-turques en particulier, celles-ci entraînant la possibilité, pour les Américains, de perdre l’accès à la base d’Incirlik, le tout s’ajoutant à la situation désastreuse des forces takfiristes bloquées dans Alep. Différentes agences d’information internationales font déjà circuler une version de l’histoire qui présente le communiqué des forces US comme « une mise en garde à la Russie et à la Syrie » (CNN) ou une « menace défensive » (IBT), mais elles omettent de préciser l’aspect de facto de ce développement. Elles ne croient pas devoir mentionner non plus que la déclaration officielle des États-Unis viole outrageusement les lois internationales et que ce qu’elle annonce n’est rien d’autre que l’occupation illégale d’un état souverain. Les observateurs ont compris depuis longtemps que la raison pour laquelle les USA ont financé et soutenu à la fois ISIS et les forces kurdes était qu’ils voulaient se servir d’ISIS comme vaincu de substitution, virtuel ou réel, pour ensuite découper une tranche de Syrie à occuper sous le prétexte d’y former un état kurde indépendant. En prévision de quoi d’ailleurs, des représentants de la « région autonome kurde » ont annoncé anti-constitutionnellement et unilatéralement sa fédéralisation. Ce tour de passe-passe a été utilisé pour donner une apparence de légalité, si ambiguë soit-elle, à l’annexion d’une « zone grise », afin de pouvoir embrouiller le discours public au niveau des médias. Cependant, les ministres des Affaires étrangères de la coalition anti-terroriste [la vraie, NdT], tout comme d’ailleurs les experts en droit international, ne se font aucune illusion sur la déclaration de fédéralisation unilatérale : il s’agit ni plus ni moins que d’une violation de la souveraineté syrienne par l’équivalent d’une république séparatiste, qui n’a pu être rendue possible que par une guerre d’occupation des États-Unis. Selon les dispositions légales de la Convention de Genève, comme en vertu de tous les accords parallèles, aucun pays n’a le droit d’occuper ni de morceler un pays souverain, quels que soient les termes que la puissance agresseuse forge pour se justifier. Source: reseauinternational.net

lundi 22 août 2016

300,000 fois MERCI


Merci à vous tous pour m' avoir découvert et suivi depuis décembre 2014. 

Voilà plus de 300,000 lecteurs sur ce site, que je prépare bénévolement soit sur mon cellulaire ou à la bibliothèque municipale. Comme vous le constatez, il n' y a aucun pop-up ou publicité qui pourrait déranger. Plusieurs voudraient me féliciter et cela me fais énormément plaisir. 

Au fil du temps, j' ai beaucoup appris sur notre monde qui bouge très rapidement, et malheureusement, trop souvent vers la violence. J' espère que vous appréciez mes lectures et si cela vous tente, j' ai mis en place un site pour me payer un café à l' adresse : 

HTTPS://ko-fi.com/A2328KN

Merci à tous et bonnes lectures à venir, lorsque je prendrai mon café, j'aurai une pensée pour vous peu importe où parmis les lecteurs répartis dans 122 pays.

Benoit

Israël bombarde la Syrie après qu'un tir de mortier s'est abattu sur le plateau du Golan

Selon le porte-parole de l'armée israélienne, un tir de mortier syrien aurait frappé le plateau du Golan, territoire contesté entre la Syrie et Israël. En représailles, Tsahal aurait opéré des tirs d'artillerie sur la ville syrienne de Quneitra. Selon le quotidien Haaretz, l'armée israélienne se serait livré à plusieurs tirs d'artillerie et de bombardements aériens sur des cibles militaires syriennes postées près de la ville de Quneitra. Ces tirs seraient une réplique après qu'un tir de mortier en provenance du territoire syrien se soit écrasé sur le plateau du Golan, territoire contesté entre les deux pays. Selon l'armée syrienne, un drone israélien aurait aussi attaqué des installations militaire dans la ville de Al Baath, près de Quneitra. Source: russiatoday

Séoul et Washington lancent leurs manoeuvres, Pyongyang menace

Des dizaines de milliers de militaires sud-coréens et américains ont entamé lundi des manoeuvres simulant une attaque nord-coréenne, auxquelles Pyongyang a répliqué par des menaces de frappe nucléaire préventive. Ces manoeuvres annuelles, baptisées Ulchi Freedom, sont essentiellement une simulation sur ordinateur, mais elles mobilisent quand même 50.000 Sud-Coréens et 30.000 Américains. Tous les ans, elles provoquent une montée de tension sur la péninsule. Or elles interviennent cette année dans une période de très forte crispation intercoréenne. Les manoeuvres Ulchi Freedom jouent un scénario complet d'invasion nord-coréenne. Washington comme Séoul prétendent que leur objectif est purement défensif. Mais Pyongyang les considère comme une provocation. Dans un communiqué, l'Armée populaire coréenne (KPA) a indiqué que les unités postées à la frontière étaient "complètement prêtes à lancer des frappes préventives de représailles contre toutes les forces offensives ennemies impliquées". La moindre violation de la souveraineté territoriale nord-coréenne pendant ces manoeuvres ferait que la source de cette provocation serait transformée en "un tas de cendres par une frappe préventive nucléaire à la coréenne", ajoute un porte-parole de la KPA, cité par l'AFP. Pyongyang est coutumier de ce genre de menace, mais les experts considèrent que le risque d'une bavure ou d'un incident involontaire -qui pourrait avoir des conséquences militaires dramatiques-est plus élevé du fait de la fermeture ces derniers mois de tous les canaux de communication intercoréenne. Pyongyang a coupé en début d'année les deux lignes de communication qui existaient avec le Sud, qui étaient dédiées à l'armée et au gouvernement. En juillet, la Corée du Nord a fermé son dernier canal direct avec Washington en cessant tous ses contacts avec le gouvernement américain via la mission nord-coréenne à l'ONU. Source: Agences

Escalade israélienne: Plus de 50 raids contre Gaza, 4 Palestiniens blessés

L' aviation et les chars de l’occupation israélienne ont mené dimanche plus de 50 raids contre la bande de Gaza, faisant quatre blessés selon les autorités de l'enclave sous blocus israélien depuis 10 ans. Peu auparavant, la police d’occupation avait indiqué qu’une une roquette tirée depuis la bande de Gaza s'est écrasée, dans l'après-midi, dans la colonie israélienne de Sderot, située à quatre kilomètres de Gaza, sans faire de tués ou des blessés ou même des dégâts. Moins d'une heure plus tard, des chars israéliens postés le long de la frontière ont tiré les premiers projectiles contre le nord du petit territoire palestinien, tandis que l'aviation entamait des raids, selon l'armée d’occupation. Ces frappes ont blessé légèrement deux Palestiniens. "L'un d'eux, âgé de 20 ans, a reçu des éclats d'obus au visage lors des tirs israéliens sur le nord de la bande de Gaza", a indiqué Achraf al-Qodra, le porte-parole du ministère de la Santé dans l'enclave palestinienne. Des sources au sein des services de sécurité gazaouis, ont précisé que "six projectiles ont été tirés sur différents objectifs". "Deux d'entre eux ont détruit un réservoir d'eau à Beit Hanoun, faisant des blessés et causant des dégâts". Dans la nuit, les tirs des chars se poursuivaient tandis que l'aviation israélienne menait cinq nouveaux raids, faisant deux autres blessés parmi les Palestiniens, selon M. Qodra. Trois de ces raids ont causé des dégâts sur des bases utilisées par les brigades Qassam, les brigades al-Qods, la branche armée du J islamique palestinien, et les brigades Abou Ali Mostafa, la branche armée du F populaire de libération de la Palestine (FPLP, la gauche historique palestinien ont précisé les responsables de la sécurité. L’occupation ne réussira pas à imposer une nouvelle équation à Gaza En réaction à ces frappes, le porte-parole du Hamas Sami Abou Zouhri a aff lundi matin que « cette nouvelle escalade israélienne s’inscrit dans la d’agressions de l’occupation menée contre notre peuple palestinien ». « L’ennemi cherche à imposer une nouvelle équation à Gaza », a-t-il indi « L’agression de l’occupation ne réussira point à briser la volonté de notre pe ou à imposer de nouvelles équations face à la résistance », a souligné M.A Zouhri. La dernière guerre israélienne contre la bande de Gaza remonte à l'été 2014. Le Hamas menace les détenus israéliens Par ailleurs, d'une import parade mili dans la ville de R (sud de Gaza porte-parole de branche militair Hamas, les brig Ezzedine Al-Qas a appelé "l'enne arrêter ses mes arrogantes co les prison palestiniens". « Faute de quoi, les détenus israéliens (capturés depuis 2014) subiront le m traitement réservé aux prisonniers palestiniens détenus dans les geôles l’occupation », a menacé Abou Obeida. Il a en outre ajouté que le Hamas est « prêt pour conter une nouvelle agressio l'ennemi sioniste » et affirmé que le blocus imposé contre Gaza « ne l'empêch pas d'augmenter sa puissance ». « Celui qui plante la colère, récolte un volcan », a mis en garde le porte-parol Hamas. Diverses sources internet via almanar.com

Terrorisme. Les Allemands vont devoir stocker des vivres et de l'eau pour 10 jours

Pour la première fois depuis la fin de la Guerre froide, le gouvernement allemand a l'intention d'appeler la population à constituer des stocks de vivres et d'eau en cas d'attentat ou de catastrophe, écrit dimanche le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS). L'Allemagne a relevé son niveau d'alerte après cinq attentats -dont deux revendiqués par l'organisation État islamique (EI) -et la tuerie commise par un déséquilibré le mois dernier. Le gouvernement a annoncé au début du mois son intention d'augmenter fortement les crédits alloués à la police et aux autres forces de sécurité. « La population sera obligée de détenir un approvisionnement alimentaire individuel suffisant pour dix jours », précise le FAS en citant le « projet de défense civile » élaboré par le ministère de l'Intérieur. Un porte-parole du ministère a déclaré que le projet serait soumis au conseil des ministres mercredi quelques heures avant d'être dévoilé par le ministre mais il s'est refusé à toute précision sur son contenu. Chaque foyer devra aussi stocker suffisamment d'eau potable pour cinq jours, selon le document cité par l'article du FAS. Le projet de 69 pages ne considère pas comme probable un attentat sur le sol allemand nécessitant une riposte à l'échelon national mais il évoque des mesures de précaution qui conduiraient les ménages à « se préparer de manière appropriée à un événement qui pourrait menacer notre existence et ne peut être catégoriquement exclu à l'avenir », ajoute-t-il. Le document mentionne aussi la nécessité d'un système d'alerte fiable, d'une amélioration de la protection structurelle des bâtiments et d'une augmentation des capacités du système de santé. L'appui de la population civile aux forces armées devrait également figurer parmi les priorités, ajoute-t-il, toujours selon le FAS. Source: wikistrike.com

Les USA préviennent Moscou et Damas qu’ils se défendront en cas de frappes près de leurs positions

Le général Stephen Townsend, du haut commandement des forces américaines en Syrie et en Irak, a conseillé à la Syrie et à la Russie de ne pas s’approcher des positions américaines qui, si elles « se sentaient menacées », pourraient riposter. «Nous avons informé les Russes d’où nous en étions. Ils nous ont dit en avoir informé la partie syrienne. Je peux seulement dire que nous nous défendrons si nous nous sentons menacés», a déclaré Stephen Townsend dans un entretien téléphonique avec la chaîne américaine CNN. Cette déclaration fait allusion aux frappes opérées par les avions syriens, qui se seraient approchés trop près des positions américaines, près de la ville d’Hassaké. Selon le porte-parole du Pentagone, Jeff Davis, les militaires américains aurait essayé de contacter l’armée syrienne, en vain. Washington a alors contacté Moscou pour s’assurer qu’il ne s’agissait pas d’avions russes et envoyé des avions pour reconnaître à qui ces appareils appartenaient. Mais les avions syriens avaient disparu. «Les Etats-Unis prendront toutes les mesures nécessaires», a assuré Stephen Townsend. Malgré leurs désaccords, les côtés russe et américain se sont accordés en juillet pour transmettre l’un à l’autre les informations les plus importantes en Syrie et en Irak. «Concernant les problématiques anti-terroristes, nous [les Russes et les Américains] comprenons la nécessité de coopérer et d’échanger nos information», a ainsi déclaré le chef des services de renseignement russe, Alexandre Botnikov. Source: rt

dimanche 21 août 2016

Syrie-Usa : affrontement aérien

Les Etats-Unis ont envoyé en urgence des chasseurs au nord-est de la Syrie. On assiste dans la région à une escalade des affrontements entre l’armée syrienne et les terroristes. Washington est intervenu pour la première fois directement contre le régime syrien en envoyant dans le nord-est de la Syrie des avions pour protéger ses forces spéciales qui conseillent des combattants kurdes, visés depuis deux jours par des bombardements syriens. Il n'y a toutefois pas eu d'affrontements directs puisque le temps que les avions américains arrivent sur zone près de la ville de Hassaké, les appareils syriens étaient déjà partis. Les avions de la coalition mènent à présent davantage de patrouilles dans cette région. Lors d'une de ces patrouilles vendredi, "deux avions syriens SU-24 ont tenté de traverser cette zone, et ont croisé des avions de la coalition. La présence de ces avions a incité les avions syriens à quitter la zone sans incident", a rapporté vendredi soir un responsable de la défense américaine. "Les appareils de la coalition n'ont pas ouvert le feu". L’armée syrienne dit que les terroristes sont affiliés aux Unités de protection du peuple, soutenues par les Etats-Unis. Les responsables syriens tiennent les forces kurdes pour responsables des affrontements. Source: parstoday.com/fr

A la surprise générale, l’Australie est contre le désarmement nucléaire proposé par l’ONU

Un projet de l’ONU qui a pour but «d’unir les efforts et de détruire tous les armes nucléaires» a buté sur un obstacle inattendu. Il aurait dû être accepté à l'unanimité mais l'opposition de l'Australie a contraint les participants à voter. Lors de sa présentation devant 103 pays au siège européen des Nations unies, à Genève, un projet de traité interdisant les armes nucléaires s'est heurté à l'opposition surprise de l'Australie. Ian McConville, ambassadeur australien, s’est fermement opposé à ce projet qui obligerait les pays disposant de l'arme nucléaire à «arrêter la course aux armes nucléaires et à entamer un désarmement nucléaire». «Un simple traité d’interdiction ne facilitera pas la réduction des armes nucléaires. Mais il pourrait renforcer la détermination des possesseurs d'armes nucléaires à ne pas diminuer leur arsenal», a-t-il précisé. L’allocution de l’ambassadeur de l’Australie a fait un grand bruit. Les partisans de la campagne contre les armes nucléaires étaient sûrs que leur projet serait adopté à l’unanimité et que son acceptation ne nécessiterait pas de vote. Mais l’opposition de l'Australie a empêché la réalisation de leur dessein. A juste titre : seuls 68 des 103 ambassadeurs présents ont soutenu ce projet. 22 ont voté contre et 13 se sont abstenus. L'assemblée a néanmoins décidé de poursuivre les négociations sur ce traité mais cela ne se fera pas avant 2017. Ce n’est pas la première fois que Canberra s’oppose à l’interdiction complète des armes nucléaires. D’après les documents obtenus grâce à la Loi américaine pour la liberté d'information, en 2015, l’Australie avait déclaré qu’elle allait s’opposer à tous les traités qui interdiraient les armes nucléaires au motif qu'elle estime la dissuasion nucléaire, dont font preuve les Etats-Unis, indispensable dans l'éventualité d'un conflit avec la Corée du Nord. Source: francais.rt.com