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samedi 1 octobre 2016

La Jamaïque, Haïti et Cuba menacés par l'ouragan Matthew


L'ouragan Matthew en provenance des Caraïbes menace de frapper la Jamaïque, dans la nuit de samedi à dimanche, puis Haïti et Cuba. Après avoir atteint la catégorie 5, avec des vents soufflant à 260 km/h, il a finalement été rétrogradé à 4.

La Jamaïque, Haïti et Cuba se préparent à l'arrivée de l'ouragan Matthew. En provenance des Caraïbes et d'une très forte puissance, il menace de frapper, dans la nuit de samedi 1er octobre à dimanche, la Jamaïque puis Haïti et Cuba, selon le centre américain de surveillance des ouragans (NHC).

Vendredi soir, le NHC, basé à Miami, a indiqué que l'ouragan, qui était classé jeudi en catégorie 1, avait atteint la catégorie 5, soit le dernier échelon de l'échelle Saffir-Simpson (de 1 à 5), avec des vents soufflant en moyenne à 260 km/h.

Samedi matin, toutefois, le centre américain l'a fait revenir en catégorie 4. Le dernier ouragan ayant atteint cette force dans l'Atlantique avait été Felix qui, en septembre 2007, avait fait quelque 150 morts et des milliers de sinistrés.

Pluies torrentielles et inondations attendues

Dans son dernier bulletin de 9 h GMT, le NHC localise l'œil de Matthew à 675 km au sud-est de Kingston, en Jamaïque, et à 590 km de Port-au-Prince, la capitale haïtienne. L'ouragan se déplace à une vitesse d'environ 11 km/h.

En Jamaïque, une surveillance ouragan a été déclenchée, tandis qu'une alerte de tempête tropicale est en cours pour Haïti et le sud de la République dominicaine. Ces pays s'attendent à des pluies torrentielles et des inondations et le NHC a mis en garde contre des glissements de terrain.

En Haïti, les autorités ont mis en alerte les habitants d'îlots du sud du pays, leur indiquant qu'ils étaient en première ligne et les appelant à se préparer en toute urgence. "On leur a demandé de sécuriser les abords des maisons et de stocker de l'eau et de la nourriture", a expliqué à l'AFP Edgar Celestin, un porte-parole des services de secours haïtiens.

En Jamaïque, le Premier ministre Andrew Holness a enjoint les autorités "d'accélérer" les préparatifs et les aides qu'il faudra apporter à la population après le passage de l'ouragan. Ce qui inclut le placement dans des abris de quelque 2 000 personnes sans logement, a précisé l'ancien maire de Kingston, Desmond McKenzie.

La saison des ouragans dans l'Atlantique s'étend chaque année en principe du 1er juin au 30 novembre mais le premier ouragan de 2016, baptisé Alex, s'était formé en janvier.

Source: france24.com

vendredi 30 septembre 2016

Les valeurs bancaires européennes chutent dans le sillage de Deutsche Bank


Les valeurs bancaires chutaient vendredi matin en Europe, de Paris à Londres en passant par Milan, Madrid ou Zurich, sous l’effet des craintes entourant la solidité de Deutsche Bank.
A 10H11 (08H11 GMT), Société Générale perdait 3,94% à 29,60 euros à Paris, après avoir lâché plus de 5%, Barclays reculait de 3,53% à 161,40 pence à Londres, Unicredit perdait 4,81% à 1,94 euro et Santander 4,74% à 3,76 euros. UBS reculait de 3,38% à 12,59 francs suisses, et Credit Suisse – 3,25% à 12,19 Francs suisse.
Il y a « une aggravation de la perception du risque par les investisseurs », constate auprès de l’AFP Alexandre Baradez, un analyste de IG France.
L’information jeudi selon laquelle une dizaine de fonds spéculatifs avaient commencé à réduire leur exposition à Deutsche Bank a causé une petite panique à Wall Street.
Les craintes sur la santé de Deutsche Bank, une énorme banque aux multiples ramifications internationales, sont de plus en plus fortes.
Selon M. Baradez, cette information « a mis un peu le feu aux poudres hier soir ». La posture de statu quo adoptée par la banque et le gouvernement allemand ont par ailleurs tendance à « entretenir les inquiétudes sur les banques », ajoute M. Baradez.
Source: AFP

jeudi 29 septembre 2016

Alerte: La Deutsche Bank sˋ effondrera-t-elle vendredi 30 Septembre 2016?

 



Un informateur de la Banque allemande a confirmé a SuperStation95 que la plus grande banque de lˋ Allemagne, la Deutsche bank, sˋ effondrera demain le 30 Septembre 2016. Le Gouvernement allemand nˋ a aucun plan pour effacer la dette et cette décision pourrait anéantir des banques dans les USA et dˋ autres pays dans le monde!




Toujours selon cet informateur, le systeme tombera demain. La chute de cette banque est inévitable maintenant et effacera tout immédiatement!


Cˋ est a surveiller ce vendredi...

Extrait: beforeitsnews.comTraduction Benoit Godin

Un raid style militaire met fin a une protestation paisible contre un oléoduc aux USA


Certains ont le visage peint, casquette vissée sur la tête et téléphone portable en main. D’autres, hommes ou femmes, chevauchent à cru des montures au son de chants traditionnels, de longues tresses leur battant le dos. Des tipis ont été montés pour accueillir des centaines de personnes et les drapeaux des tribus indiennes rassemblées sur la plaine flottent au vent. Des policiers américains en uniforme observent la scène, quand ils ne procèdent pas à des interpellations.

Malgré les apparences, cette prairie du Dakota du Nord n’est pas le décor d’un western inédit. La mobilisation lancée il y a plusieurs mois par les Sioux de la réserve indienne voisine vise l’arrêt de la construction d’un oléoduc qui empiète, selon eux, sur des terres sacrées où sont enterrés leurs ancêtres, et menace l’approvisionnement en eau de leur territoire. Ils craignent notamment qu’une rupture des canalisations ne vienne polluer la rivière Missouri qui, rappellent-ils, les alimente en eau potable et irrigue non seulement des terres indiennes, mais aussi des milliers de fermes et de ranchs.

Long de 1 800 kilomètres, le pipeline, qui coûtera 3,7 milliards de dollars, est prévu pour entrer en service à la fin de l’année, et doit acheminer le pétrole jusqu’en Illinois.
Mais le tout a changé avec lˋ arrestation de 21 personnes durant une priere paisible. 
La police du Dakota du Nord lourdement équipée du style armée a encerclé, ce mercredi 28 septembre 2016, les manifestants autochtones  contre la construction du pipeline. Les manifestants disent que les plans de lˋ oléoduc passerait sur les terres sacrées ou sont enterrés leurs ancetres et que le projet serait nuisible a leur style de vie. 
Les officiers lourdement armés avec des véhicules et armes ont menacé les manifestants, lesquels se nomment  “ les protecteurs de lˋ eau ” en défendant la riviere Missouri River contre une pollution imminente, selon Unicorn Riot.

Jusquˋ a 21 personnes ont été arreté. “ Les autorités du Dakota du Nord lourdement armées ont déployé du personnel  avec des fusils et armes dˋ assaut,  des véhicules de lˋ armée et des aérosols sur les paisibles manifestants ” décrit sur Facebook par un membre du Camp Oceti Sakowin.

Sources: telesur.com /// lefigaro.com

La Russie prête à discuter avec les USA sur la Syrie s'ils s'abstiennent de leurs «menaces»


La Russie est prête à poursuivre le dialogue avec les Etats-Unis concernant des actions conjointes contre les terroristes en Syrie, à condition que la Maison blanche s’abstienne de «menaces [envers] l’armée et les citoyens» russes, a indiqué Moscou.

«Une fois de plus, nous déclarons que nous sommes pleinement disposés à continuer le dialogue avec la partie américaine et à poursuivre les actions conjointes pour combattre les actions terroristes en Syrie», a indiqué le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konashenkov, le 29 septembre.

«Cependant, même le moindre soupçon de menace envers nos soldats et les citoyens russes doit être exclue de ce dialogue. La question de la sécurité des citoyens russes, peu importe où ils puissent être, n’est pas négociable. C’est notre priorité principale et inconditionnelle», a-t-il ensuite ajouté.

Ces déclarations surviennent au lendemain des commentaires du porte-parole du département d’Etat américain John Kirby, qui a déclaré le 28 septembre que si la guerre en Syrie se poursuivait, «de plus en plus de vies russes seront perdues, de plus en plus d'avions russes seront abattus». Il avait ajouté : «La Russie continuera de renvoyer ses troupes au pays dans des sacs mortuaires et continuera de perdre des ressources, peut-être même des avions.»

Source: rt

mercredi 28 septembre 2016

Un avertissement Majeur a été émis! Nous nous approchons du Crash du Marché, Alerte Rouge!


Les gens riches deviennent tres prudents, les ventes a Greenwich diminuent, les ventes de maisons elles aussi sont touchées. Lˋ indicatif des biens durables ont chuté pour le 20e mois consécutif, lesquel nous annonce que nous sommes en récession.

Le Chef Analyste Technique de la HSBC y percoit un signal comme le crash de 1997. Bridgewater a calculé que les banques centrales dans le monde ont encore seulement entre 8 et 24 mois avant la chute de tout le systeme.

En Allemagne, la Deutch Bank serait sur ses derniers mois... avant son implosion.

Le tout est a suivre de pres, car les spécialistes mentionnent quˋ elle ressemblera a celle de 2008 mais pire que celle-ci!

Source: multiples
Traduction et adaptation Benoit Godin

Pyongyang annonce la fin de la mise au point de ses armes nucléaires


L’ambassade nord-coréenne en Russie affirme dans un communiqué que le pays a achevé la plus grande partie de ses recherches concernant le développement de l’arme nucléaire.
Le communiqué indique que les récents essais ont testé et vérifié la structure, le fonctionnement, les caractéristiques techniques et la puissance de l’ogive nucléaire standardisée pour des missiles balistiques stratégiques Hwasong de l’Armée populaire de Corée.
« La standardisation (de l’ogive) a permis à la Corée du Nord de totalement maîtriser les technologies de fabrication et d’utilisation des matières fissiles, de construire en quantité suffisante des ogives nucléaires différentes de grande puissance et d’améliorer l’utilisation de la charge nucléaire », indique le communiqué.
En outre, Pyongyang s’est déclaré prêt à poursuivre l’accumulation qualitative et quantitative des armes nucléaires en réponse à la menace grandissante américaine.
« Nous continuerons toujours à prendre des mesures pour l’accroissement des forces nucléaires nord-coréennes destinées à protéger notre dignité, notre droit d’exister et la véritable paix de la menace croissante américaine d’une guerre nucléaire », conclut le communiqué.
Source:  french.almanar.com.lb

Les USA prêts à suspendre leur coopération avec la Russie sur le dossier syrien


Le secrétaire d’État américain John Kerry a averti son homologue russe Sergueï Lavrov que Washington s’apprête à suspendre la coopération avec la Russie sur le dossier syrien, a indiqué le porte-parole du Département d’État John Kirby.

Selon la déclaration du porte-parole du Département d'État John Kirby, le secrétaire d'État américain John Kerry a averti son homologue russe Sergueï Lavrov dans un entretien téléphonique que Washington s'apprête à suspendre la coopération avec la Russie sur le dossier syrien. 

Moscou a publié le texte de l'accord avec les États-Unis sur la Syrie John Kirby a précisé que les chefs de diplomatie se sont entretenus par téléphone ce mercredi. « Il (John Kerry, ndlr) a informé le ministre des Affaires étrangères que les États-Unis s'apprêtent à suspendre la coopération américano-russe sur la Syrie, y compris la création d'un Centre exécutif conjoint, jusqu'à ce que la Russie fasse le nécessaire pour stopper l'offensive à Alep et restituer le régime du cessez-le-feu », a-t-il déclaré. John Kerry a également accusé la partie russe d'avoir utilisé des bombes incendiaires dans les quartiers urbains d'Alep. 

Selon le chef de la diplomatie américaine, Moscou et Damas auraient attaqué des infrastructures civiles à Alep. Ces derniers jours, le cessez-le-feu en Syrie risquait d'être complètement interrompu. Les combats à Alep se sont intensifiés lorsque l'armée syrienne a annoncé la fin du cessez-le-feu vendredi dernier, accusant les rebelles de multiples violations du régime de cessation des hostilités devenu ainsi intenable à ses yeux.


Source: fr.sputniknews.com

Eruption du mont Barujari en Indonésie : près de 400 touristes manquent à l'appel


Des centaines de touristes ont dû fuir la montagne après que le mont Barujari est entré en éruption. Un millier de randonneurs et de touristes se trouvaient aux alentours du volcan et des centaines de personnes ne sont toujours pas localisées.Selon un porte-parole des autorités indonésiennes, plus d'un millier de personnes ont été évacuées et près de 400 autres n'ont toujours pas été localisées. 

Des opérations de sauvetage et de repérage sont toujours en cours. Après l'éruption du mont Barujari en Indonésie, un volcan qui culmine à 3 700 mètres d'altitude, les randonneurs et les touristes fuient les lieux. 

Voir la vidéo qui montre le moment de l'explosion 
ici 

Le volcan a propulsé une impressionnante colonne de fumées et de cendres volcaniques dans le ciel indonésien. 

Selon les autorités, la «plupart» des quelque 1 000 touristes qui étaient dans les environs du volcan aurait quitté les lieux en sécurité, mais un bilan et un décompte précis des victimes de l'éruption reste difficile à effectuer. En effet, beaucoup de visiteurs auraient quitté les lieux sans passer par les sorties officielles et n'auraient donc pas été répertoriés. 

Environ 120 randonneurs, des étrangers pour la plupart, ont été localisés alors qu'ils redescendaient sains et saufs les flancs du volcan. . 


L'éruption a aussi été filmée depuis les airs. Le nuage de cendre perturbe le trafic aérien, notamment entre Bali et Perth, en Australie. 



Le mont Barujari est un cône volcanique se situant lui-même dans le cratère plus vaste du volcan Rinjani. Il est situé sur l'île de Lombok, à l'Est de Bali. C'est encore l'un des sommets les plus élevés de l'archipel indonésien qui attire de nombreux touristes et randonneurs du monde entier. 

Le mont Rinjani est l'un des 129 volcans actifs de l'archipel indonésien, lequel se trouve sur la fameuse «ceinture de feu» du Pacifique, qui court jusqu'au Japon en passant par la Nouvelle-Zélande.


Source: wikistrike.com

Le Pentagone ne veut pas s'interdire la première frappe nucléaire


Les Etats-Unis ne veulent pas s'interdire de dégainer les premiers l'arme nucléaire en cas de conflit, a déclaré le chef du Pentagone Ashton Carter, en visite dans un site de recherche nucléaire militaire américain.

Le maintien d'une possibilité de tirer les premiers «a été notre politique depuis longtemps et fait partie de nos plans pour l'avenir», a déclaré le secrétaire à la Défense américain sur la base aérienne de Kirtland (Nouveau-Mexique, sud-ouest), qui accueille le centre de recherches atomiques.

Des rumeurs à Washington ont récemment prêté à Barack Obama l'intention de faire cette déclaration de renoncement à la première frappe. En 2009, le président américain avait affirmé à Prague, dans un discours resté célèbre, son attachement à un monde sans armes nucléaires.

La question de la première frappe a été soulevée dans la soirée du 27 septembre par Lester Holt, le présentateur du premier débat télévisé opposant les candidats à la Maison Blanche Hillary Clinton et Donald Trump. Mais les deux candidats n'ont pas articulé de réponse claire, Donald Trump répondant par des phrases ambiguës, et Hillary Clinton n'abordant pas la question.

Le 27 septembre, deux parlementaires démocrates ont déposé un projet de loi qui interdirait au président américain de lancer une première frappe nucléaire sans qu'il n'y ait eu auparavant de déclaration de guerre par le Congrès.

«Le risque d'une guerre nucléaire menace gravement la survie de l'espèce humaine. Malheureusement, en n'excluant pas d'être les premiers à utiliser l'arme atomique, les Etats-Unis augmentent le risque d'une escalade nucléaire involontaire», a indiqué le sénateur démocrate Edward Markey, cosignataire du texte avec le représentant démocrate Ted Lieu.

Source: lapresse.ca

mardi 27 septembre 2016

USA/Russie: Le danger est plus grand que durant la guerre froide, estime le Pentagone


Que les médias occidentaux rapportent les propos du chef du Pentagone 

concernant la menace nucléaire russe, on ne peut que s'attendre à une 

augmentation des tensions géopolitiques et à une diabolisation croissante 

de la Russie jusqu'au déclenchement d'un affrontement militaire.

 
La Russie de Vladimir Poutine est à certains égards plus inquiétante que l'Union soviétique d'hier en ce qui concerne l'emploi de l'arme nucléaire, a déclaré lundi le secrétaire à la Défense Ashton Carter.
 
Lors d'une visite à la base de missiles nucléaires intercontinentaux de Minot, dans le Dakota du Nord, le chef du Pentagone a critiqué la «gesticulation nucléaire» de la Russie d'aujourd'hui, et ses investissements dans «de nouvelles armes nucléaires».
 
Il est possible de se demander si les dirigeants russes d'aujourd'hui ont gardé «la grande retenue qu'avaient les dirigeants de l'époque de la Guerre froide, quand il s'agissait de brandir leurs armes nucléaires», a-t-il déclaré.
 
Poutine «prêt»
 
Aujourd'hui, a-t-il affirmé, «l'utilisation la plus probable de l'arme nucléaire n'est plus la guerre totale» envisagée pendant la Guerre froide, que les grandes puissances se sont bien gardées de déclencher.
 
Elle est plutôt une attaque «terrible et sans précédent, par exemple par la Russie ou la Corée du Nord, pour essayer de forcer un adversaire supérieur sur le plan conventionnel à abandonner l'un de ses alliés» pendant une crise, a déclaré le secrétaire à la Défense.
 
Après l'annexion de la Crimée, Vladimir Poutine a publiquement déclaré qu'il avait été prêt à sortir l'arme nucléaire pendant les opérations.
 
Les stratèges occidentaux s'inquiètent aussi des projets de Moscou en matière de missiles à courte et moyenne portée.
 
Violation du traité FNI
 
Moscou est soupçonné d'avoir testé un missile de croisière en violation du traité FNI de 1987 qui interdit les armes nucléaires de portée intermédiaire en Europe.
 
Le secrétaire à la Défense a été en revanche beaucoup plus positif sur le comportement de la Chine, qu'il ne se prive pourtant pas d'étriller dans d'autres domaines.
 
«La Chine se comporte professionnellement dans le domaine nucléaire, malgré la croissance de son arsenal nucléaire, tant en quantité qu'en qualité», a déclaré le chef du Pentagone.
 
Après des années passées à vivre sur leur acquis, les Etats-Unis se préparent à investir massivement dans le renouvellement de leurs armes nucléaires pour les prochaines décennies.
 
Coût astronomique
 
Malgré le coût astronomique de ces efforts - dépassant le millier de milliards, selon certaines estimations - les Etats-Unis prévoient ainsi de renouveler leurs 400 missiles intercontinentaux Minuteman III.
 
Ils prévoient aussi de se doter d'un nouveau missile de croisière à long rayon d'action, de nouveaux sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, et de moderniser leur bombes nucléaires B-61.
 
«Nous commençons maintenant à corriger des décennies de sous-investissement dans la dissuasion nucléaire», a indiqué Ashton Carter.
 
Source:
http://www.20min.ch

Lˋ Otan entre en jeu: l'Alliance va envoyer ses avions-radars AWACS en Syrie


L 'Alliance atlantique va bientôt envoyer en Syrie ses avions de détection et de commandement aéroporté AWACS, a déclaré le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg.


M. Stoltenberg a fait cette déclaration à l'issue d'une réunion informelle des ministres de la Défense de l'Union européenne.


L'Otan va soutenir la coalition avec ses AWACS Les appareils AWACS sont destinés à effectuer le suivi de la situation dans les airs, détecter et surveiller des cibles aériennes. Leur envoi en Syrie où les djihadistes de l'Etat islamique n'ont même pas d'aviation est pour le moins surprenant. 


Auparavant, le secrétaire général de l'Alliance avait communiqué que les pays membres de l'Otan allaient soutenir la coalition luttant contre Daech avec ses avions-radars AWACS. Selon lui, les appareils opéreront dans l'espace aérien international et dans celui de la Turquie afin de contrôler la situation en Syrie et en Irak. Le secrétaire général de l'Otan a également déclaré que les militaires de l'Alliance formeraient des soldats irakiens dans le pays.


Source: fr.sputniknews.com

C’est énorme! Une météorite a percuté l’Australie! Un impact qui a secoué tout l’hémisphère sud et la NASA ne l’a jamais vu venir!



Une météorite sˋ écrase en Australie: Les gens étaient terrifiés alors que la roche spatiale aurait occasionnée des pannes de courant. 

Les habitants de lˋ Australie ont été surpris pour ce qui ressemble a lˋimpact dˋ une météorite dans le Queensland.

Les résidents sur place ont répéré la météorite qui a provoqué un gigantesque flash lumineux qui a éclairé le ciel de nuit.

Le rocher spatial sˋ est écrasé sur la plage de Turkey Beach et Emerald dans le Queensland, Australie. Les habitants de la région ont déclaré que lˋ impact aurait provoqué un séisme, leurs maisons sˋ étant mises a trembler. La police locale a confirmé avoir recu plusieurs appels téléphoniques pour des accidents de la route a cause du séisme déclenché par lˋ impact.

Cependant, Geoscience Australia a déclaré quˋ il nˋ y a pas eu de tremblement de terre, mais que cela ressemblait plutot a lˋ impact dˋ une météorite quelque part sur la cote selon la chaine de météo Higgings Storm Chasing.

Donc, plus de peur de que mal et les météorites sont toujours non-apercues avant leurs impact sur la Terre, ce qui en fait des imprévisbles en tout temps.

Multiples Sources Internet

dimanche 25 septembre 2016

Les Etats-Unis déploient leurs troupes dans 7 bases militaires du nord de la Syrie


Les Etats-Unis ont déployé des forces spéciales dans au moins 7 bases au nord de la Syrie localisées dans les régions de Qamishli, Ain Issa, Kobane, Hasaka et Tal Abyadh.


Le Pentagone a admis la semaine dernière qu’il a placé ses forces au nord de la Syrie, mais n’en a pas révélé les détails.

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Basé sur des informations obtenues par Fars News Agency, par des médias et des sources sur le terrain, les 7 bases dans lesquelles les forces étatsuniennes sont déployées sont :
1. Dans la province septentrionale de la Syrie de Hasakah, les forces U.S. cherchent à former un terrain d’aviation à partir de l’aéroport de Rmeilan pour constituer leur salle d’opérations et construire des plates-formes pour hélicoptères.
2. Dans le village de Mabrouka dans les parties occidentales de Qamishli, au moins 45 soldats des forces spéciales de l’armée étatsunienne ont été déployés.
3. L’usine de cimenterie française de Lafarge, localisée entre Kobane et la ville d’Ain Issa dans Jalabiya au nord-est de la Syrie. Des sources Informées ont rapporté que les Etats-Unis ont augmenté le nombre de leurs forces déployées dans la région, ajoutant qu’une autre base est en construction pour préparer l’atterrissage d’hélicoptères et former les miliciens.
4. La base d’Ain Issa près d’une ville du nord de la Syrie héberge plus de 100 soldats des forces étatsuniennes.
5. La base de Kobane au nord de la Syrie dans laquelle sont déployées plus de 300 soldats des forces spéciales étatsuniennes.
6. La base de Tel Byder dans la province d’Hasaka et dans les parties occidentales de Qamishli qui est équipée de plate-formes pour des hélicoptères militaires. Les Etats-Unis forment des miliciens dans cette base.
7. La base de Tal Abyadh qui a été la scène des mouvements de la plupart des forces étatsuniennes en Syrie. Au moins 200 forces spéciales U.S., équipées de véhicules blindés, ont été déployées dans la région et les drapeaux U.S. ont été hissés sur certaines constructions gouvernementales dans cette zone.
Aucun rapport officiel n’a été encore publié sur le nombre exact de forces étatsuniennes et des armes transférées aux bases mentionnées ci-dessus mais des sources sur le terrain ont rapporté avoir observé des véhicules blindés, des armes semi-lourdes, des missiles TOW, des caméras thermiques…
Les rapports ont déclaré le mois dernier que les Etats-Unis ont installé une nouvelle base militaire à Hasaka, au nord-est de la Syrie, au prétexte de déminer la région, selon des sources Kurdes.
« Les Etats-Unis ont déployé des dizaines de leurs fusiliers marins dans le village de Mabrouka dans les parties occidentales de la province de Hasaka sous le prétexte de déminer la ville d’Al-Ain de Ra qui est maintenant sous le contrôle des forces Kurdes, » ont déclaré des sources à FNA.
Selon les sources Kurdes, les forces étatsuniennes ont installé leur base dans une des constructions du gouvernement de la Syrie à Mabrouka nommé Housh Al-Kahroba.
Le journal libanais Al-Akhbar a rapporté en décembre que des experts étatsuniens reconstruisent et équipent un aéroport dévoué au transport de produits agricoles dans la région contrôlée par les forces Kurdes situé dans la région de Hasaka pour le transformer en base militaire.
Un certain nombre d’experts étatsuniens sont entrés dans la région pour développer et préparer des pistes de 2500 m de longueur et 250 m de largeur afin qu’elles soient utilisées par des avions de chasse.
L’aéroport d’Abu Hajar qui n’a pas été utilisé depuis 2010 est situé dans la région de Tal Al – dans la campagne orientale de Hasaka contrôlée par les Unités de Défense du peuple Kurde (YPG).
La base aérienne est située au sud-est de la ville de Rmeilan, qui est un des bastions principaux d’YPG et « le plus grand dépôt d’armes et de munitions« .
Les Etats-Unis n’ont pas reçu et n’ont même pas demandé la permission de Damas pour reconstruire la base aérienne. Les États-Unis n’ont pas de mandat de l’ONU pour intervenir dans la guerre en Syrie.

Les États-Unis font pression pour une « zone d’exclusion aérienne » et le conflit syrien dégénère


Prenant la parole devant une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies sur la Syrie mercredi, le ministre américain des affaires étrangères John Kerry a d’une façon démagogique tenu la Russie et le gouvernement du président Bachar al-Assad pour responsables de l’escalade de la violence qui a rendu lettre morte le cessez-le-feu convenu plus tôt ce mois-ci.
Kerry a également demandé l’imposition d’une zone d’« exclusion aérienne » de fait sur les secteurs contrôlés par les « rebelles » islamistes soutenus par les États-Unis, y compris ceux qui sont affiliés à Al-Qaïda, sous prétexte d’assurer la livraison de l’aide humanitaire et la relance de la trêve.
« Je crois que pour rétablir la crédibilité du processus, nous devons aller de l’avant pour essayer immédiatement de maintenir au sol tous les aéronefs dans les secteurs clés afin de désamorcer la situation et donner une chance à l’aide humanitaire de circuler librement », a expliqué Kerry à la réunion du Conseil de sécurité.
Le gouvernement syrien a déclaré le cessez-le-feu terminé lundi après avoir fait état de 300 violations par les « rebelles » islamistes soutenus par l’Occident et à la suite de l’attaque américaine samedi sur l’avant-poste de l’armée syrienne près de l’aéroport de Deir al-Zor dans l’est de la Syrie, qui a tué 90 soldats et blessé 100 autres.
Les responsables américains ont affirmé que l’attaque était une erreur, alors que Damas a fait remarquer qu’elle a été immédiatement suivie par un assaut sur la position par les combattants de l’État islamique, accusant les actions aériennes et terrestres d’avoir été coordonnées. Deir al-Zor occupe une position stratégique sur la route menant de la Syrie à l’Irak et l’Iran ensuite.
Le raid aérien des États-Unis a été suivi lundi par une attaque contre un convoi d’aide des Nations unies dans la ville d’Urum al-Kubra au nord d’Alep, qui a fait 20 morts et détruit 18 camions portant des fournitures de secours. Washington a immédiatement accusé, sans présenter aucune preuve, la Russie ou le gouvernement d’en être responsables. Kerry et d’autres responsables américains invoquent maintenant l’attaque comme un moyen de calomnier Moscou et faire pression pour de nouvelles concessions.
En tenant la Russie et le gouvernement d’Assad responsables de l’attaque de lundi, Kerry a affirmé que cela « soulève un doute profond quant à savoir si la Russie et le régime d’Assad peuvent ou voudront respecter les engagements qu’ils ont accepté à Genève ».
S’exprimant plus tôt, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait décrit l’attaque sur le convoi d’aide comme « une provocation inacceptable », et a appelé à une enquête « approfondie et impartiale » pour déterminer qui était responsable. Il a répété les déclarations précédentes par les responsables militaires russes qu’aucun des avions de combat russes n’était dans les environs de l’attaque, ajoutant que l’armée de l’ air syrienne n’était pas capable de réaliser un tel raid aérien de nuit. Il a souligné que l’attaque du convoi a coïncidé avec une offensive « rebelle » dans le même secteur.
Par ailleurs, les responsables militaires russes ont rapporté mercredi qu’un drone Predator américain, capable de tirer plusieurs missiles air-sol, a été repéré en train de survoler le convoi d’aide au moment de l’attaque. Plus tôt, le ministère de la Défense russe a diffusé une vidéo aérienne montrant que le convoi d’aide avait été accompagné d’un camion « rebelle » qui remorquait un mortier de gros calibre, qui a par la suite disparu.
Dans sa déclaration au Conseil de sécurité, Lavrov a également insisté sur le fait qu’il ne pourrait plus y avoir de cessations « unilatérales » des hostilités en Syrie. La Russie a accusé les islamistes soutenus par les É-U de ne jamais avoir accepté le cessez-le-feu et d’avoir continuer à mener des attaques sur les positions du gouvernement après l’entrée en vigueur de celui-ci le 12 septembre.
Prenant la parole devant la même réunion du Conseil de sécurité, l’ambassadeur de la Syrie à l’ONU Bachar al-Jaafari a promis que son pays « ne deviendra pas une autre Libye ou l’Irak », et a déclaré que son gouvernement était prêt « à parvenir à une solution politique qui soit décidée par les Syriens ».
Alors que Kerry a affirmé que sa proposition de zone d’« exclusion aérienne » vise à empêcher le gouvernement syrien d’attaquer « des cibles civiles avec l’excuse qu’il ne fait que traquer al-Nosra », du point de vue des objectifs de Washington, c’est le contraire qui est le cas.
Comme pour son soutien au cessez-le-feu lui-même, Washington invoque les préoccupations humanitaires pour les civils pris au piège dans les zones contrôlées par le Front al-Nosra et d’autres milices liées à Al-Qaïda afin de mettre un terme aux opérations militaires syriennes contre ces forces et ainsi leur permettre de réarmer, de se regrouper et de reprendre une offensive contre le gouvernement Assad.
Le cessez-le-feu syrien a fait l’objet de divisions implacables au sein du gouvernement Obama, avec le Pentagone et de hauts commandants en uniforme au Moyen-Orient remettant en question la possibilité même que l’armée accepte d’obéir les ordres pour mettre l’accord en œuvre.
Les personnes les plus fortement impliquées dans la guerre américaine orchestrée pour le changement de régime en Syrie, en particulier des éléments au sein de la CIA, se sont opposées à l’accord parce qu’il fait appel à Washington pour superviser la séparation de la soi-disant « opposition modérée » qu’il a payées et armées des forces d’Al-Qaïda comme le Front al – Nosra qui sont officiellement désignées comme « terroristes ». Dans la semaine suivant l’initiation du cessez-le-feu, il n’y avait aucun signe que ces « modérés » se distancient des éléments d’Al-Qaïda. Une telle séparation est refusée par les « rebelles » de Washington parce que Nosra représente le groupe armé le plus important dans le combat contre le gouvernement syrien.
Plus important encore pour le Pentagone, l’appel du cessez-le-feu à la mise en place d’un centre d’opérations conjointes avec la Russie pour échanger des renseignements et des informations de ciblage gênerait les préparatifs grandissants de guerre de l’armée américaine contre la Russie elle-même. Le bombardement de la position de l’armée syrienne samedi, suivi par l’attaque contre le convoi d’aide lundi, ont servi à enterrer cette proposition.
Au milieu de la joute diplomatique entre les États-Unis et la Russie à l’ONU, il y avait plusieurs signes que le conflit en Syrie est au bord d’une escalade dangereuse, portant en son sein la menace d’une guerre plus large et même mondiale.
Les États-Unis envisagent un plan pour commencer à directement armer les combattants kurdes syriens des YPG (Unités de protection du peuple), selon des responsables anonymes cités dans un article publié mercredi dans le New York Times. Des unités de Forces spéciales américaines ont déjà été déployées aux côtés des combattants kurdes et Washington leurs a acheminés des armes au moins indirectement par l’intermédiaire d’une milice syrienne arabe moins importante qui combat aux côtés du YPG.
Néanmoins, le plan, qui est censément en cours de discussion au sein du Conseil de sécurité nationale des États-Unis, représenterait une escalade de l’utilisation par les États-Unis de la milice kurde comme force par procuration dans sa campagne contre l’État islamique. Cela ferait aggraver aussi les tensions entre Washington et le gouvernement turc du président Recep Tayyip Erdogan, qui a lancé sa propre incursion militaire en Syrie le mois dernier.
L’opération Euphrates Shield, nom de code de l’invasion turque de la Syrie, comprends maintenant également une mission des opérations spéciales américaines pour « conseiller et aider ». Étant donné que le principal objectif stratégique de l’intervention d’Ankara est d’empêcher les forces kurdes de consolider une entité autonome à la frontière de la Turquie, les forces spéciales américaines pourraient se retrouver face à face dans des camps opposés sur le champ de bataille.
Avant de partir pour la réunion de l’Assemblée générale de l’ONU à New York, Erdogan a déclaré que l’intervention turque avait « nettoyé » une superficie de 900 kilomètres carrés de « terroristes » terme par lequel il entend dire à la fois l’État islamique et les YPG kurdes. Il a ajouté, « Nous pouvons étendre cette zone à 5000 kilomètres carrés dans le cadre d’une zone de sécurité ». Une telle intervention nécessiterait le déploiement en Syrie de milliers de soldats turques.
Pendant ce temps, le ministère de la Défense russe a annoncé mercredi que le porte-avions de la marine russe, l’Amiral Kuznetsov, est en cours de déploiement en Méditerranée orientale pour participer à des opérations militaires en Syrie.
Bill Van Auken
Article paru en anglais, WSWS, le 22 septembre 2016
Traduit et Source: mondialisation.ca