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vendredi 3 juin 2016

Syrie : Les USA ne veulent pas d’accord! La Russie revient pour un nouveau round

L' administration Obama ne veut pas la paix en Syrie!!! Les Russes ont finalement dû s’avouer que les États-Unis ne collaborerait pas au maintien du cessez-le-feu, ni à une attaque coordonnée contre l’État islamique et Al-Qaïda, ni à la paix en Syrie. En effet, comme l’explique Lavrov, les États-Unis ont à nouveau demandé à la Russie de ne pas bombarder Al-Qaïda, alors même que deux résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU exigent son éradication. D’énormes convois de ravitaillement (vidéo) arrivent à nouveau de Turquie pour les « rebelles » qui vont, comme d’habitude, les partager avec Al-Qaïda et d’autres terroristes. L’offensive actuelle de l’armée arabe syrienne sur Raqqa est entravée, non seulement par les tempêtes de sable, mais aussi par une attaque opportune d’Al-Qaïda, d’Ahrar al-Sham et des forces du Parti islamique du Turkestan contre des positions du gouvernement, au sud d’Alep. Plus de 1000 militants ont entamé une offensive contre les positions de l’armée syrienne au sud-ouest d’Alep, a déclaré le centre russe de contrôle du cessez-le-feu en Syrie, dans un communiqué publié samedi. Le centre a également rapporté que, selon des civils d’Alep, des groupes armés, en partie composés de soldats turcs, avaient fait leur apparition au nord de la ville. C’est exactement le même schéma qu’en mars et avril derniers, quand l’armée syrienne a été obligée de stopper son avancée vers l’est de la Syrie pour éviter de nouvelles pertes dans la lutte contre Al-Qaïda au sud d’Alep. Il semble évident que ces attaques des forces soutenues par les Etats-Unis ont pour but d’empêcher le gouvernement syrien de regagner du terrain à l’est. Aujourd’hui Lavrov a à nouveau parlé à Kerry: « Lavrov a exprimé sa préoccupation concernant les tentatives de retarder la reprise des négociations politiques, sous divers prétextes », a déclaré le ministère [des Affaires étrangères russe]. Comme les États-Unis ne veulent pas régler le conflit en Syrie, la Russie va devoir reprendre l’initiative. Est-ce un piège? Les États-Unis veulent-ils que la Russie s’enlise en Syrie? C’est tout à fait possible, mais on ne voit pas comment cela pourrait arriver parce que la Russie fait un retour en force et ses attaques sont foudroyantes. Les frappes aériennes russes contre les terroristes en Syrie ont triplé au cours des derniers jours. Des ressources supplémentaires ont été envoyées discrètement. Sans faire le buzz comme pour leur première intervention militaire en Syrie, cette semaine les Russes ont débarqué des forces terrestres et des parachutistes dans le port de Tartous pour soutenir les plus de 3.000 volontaires russes envoyés dans la région au cours des dernières semaines, dans le but de relancer la coordination avec l’armée syrienne. Des sources syriennes ont annoncé que le personnel de commandement russe qui a coordonné les opérations de soutien aérien à l’automne dernier, était revenu à la base militaire Hmeimim dans la province de Latakieh pour entamer la préparation de nouvelles opérations. Il faut espérer que les dirigeants russes ont appris leur leçon, et qu’ils ne cesseront plus de poursuivre l’ennemi, sans aucun gain politique à la clé, quand ce dernier sera, sans doute bientôt, contraint de s’enfuir à nouveau. Source : Moon of Alabama

Obama: Préparez-vous à des attaques EMP, à des pandémies fabriquées, à des séismes puissants et à la loi martiale

Le 31 mai, Obama a pris du temps dans son emploi du temps extrêmement chargé de s’adresser au conseil national de coordination de la FEMA à Washington où il a fait remarquer que les américains qui ne sont pas préparés à la catastrophe, ou qui ne disposent pas de plans d’évacuation d’urgence pour un scénario donné, pourraient se retrouver en grande difficulté dans un avenir proche. Cela veut-il dire qu’Obama sait quelque chose que les masses ne savent pas? Considérons un instant quelques scénarios que les Américains devraient prévoir: Un séisme sur la côte ouest, un nouveau séisme vers la faille de Madrid, un tsunami sur les deux côtés américaines, l’impact d’une météorite, la guerre contre l’Islam, des attaques à impulsions électromagnétiques (EMP) provoquées par des armes nucléaires et la possibilité d’une éruption volcanique majeure… Evidemment tout cela contribuera à l’avènement de la LOI MARTIALE QUI SERA IMPOSÉE sur le territoire. Les possibilités comprennent aussi le déploiement de virus ou de bactéries génétiquement modifiées pour réduire la population. Durant son discours, Obama n’a pas hésité à mentionner quelque chose que la FEMA a déjà déclaré maintes fois. Obama dit qu’il y a une « application FEMA » qui peut vous « communiquer les abris FEMA les plus proches en cas de sinistres majeurs ou d’une urgence nationale ». Un « abris FEMA » n’est rien d’autre qu’un camp de concentration où les pauvres qui ne peuvent pas subvenir à leurs besoins, seront éradiquer les uns après les autres ou travailleront, comme ça l’a été pour les japonais aux USA durant la seconde guerre mondiale. Ce sont des camps d’internement et en aucun cas des abris !!!! Ne soyez pas dupes ! Source: nouvelordremondial.cc

mardi 31 mai 2016

Si l' OTAN provoque une guerre avec la Russie, les vivants envieront les morts!

La décision du ministère tchèque de la Défense d'envoyer des soldats à la frontière russe augmente la menace de déclenchement d'une guerre nucléaire, met en garde l'analyste tchèque Martin Koller. Peu importe où et sous quel prétexte l'Otan provoquerait cette guerre, en tout cas une attaque atomique est inévitable. "Je suis persuadé qu'une guerre contre la Russie, (…) inattendue et préventive, est l'objectif des Etats-Unis qui cherchent à accéder à l'hégémonie mondiale. La majorité des bases militaires américaines sont installées de telle manière qu'elles visent la Russie et la Chine et dans le même temps protègent les ressources pétrolières augg Proche-Orient", a déclaré l'analyste militaire Martin Koller. L'initiative tchèque Selon M.Koler, le plan du ministre tchèque de la Défense Martin Stropnicky, qui avait proposé d'envoyer 100 militaires tchèques à la frontière russe afin de monter la loyauté de la République tchèque à l'Otan, est une décision politique tardive. Dans le cas d'un vrai conflit avec la Russie, une centaine de soldats à la frontière ne changera rien. Mais cette décision prouve que la République tchèque supporte les Etats-Unis, leur désir de provoquer une guerre préventive et assume une partie de la responsabilité pour son déclenchement, a souligné M.Koller dans un entretien à Parlamentni Listy. Il a expliqué que, notamment, les soldats tchèques à la frontière russe pourraient devenir la cible de "bonhommes verts difficilement identifiés" afin de provoquer des dispositions hostiles envers la Russie lesquelles serviront de "queue de détente" pour que l'Otan déclenche une guerre contre l'"agresseur russe" en Ukraine ou dans les pays Baltes. La guerre nucléaire et le facteur humain Il ne faut pas oublier que le temps de réaction de la défense antiaérienne et de la défense antimissile est très court ce qui provoque un risque de stresse et d'erreur. On ne peut pas exclure des pannes dans ces systèmes ou une influence ambivalente du facteur humain. Avec le déploiement des forces américaines, qui sont de facto déjà placées autours des frontières russes, le risque d'une guerre nucléaire augmente. Il ne restera plus qu'au président Vladimir Poutine que de réagir à l'avenant afin de ne pas permettre à son adversaire de recourir au facteur de surprise, estime l'expert. "Ouvrir une bouteille de bon vin et attendre la mort" Si une guerre nucléaire avec la Russie commence, l'expert conseille aux habitants de l'Europe de l'Est de "se relaxer, d'ouvrir une bouteille de bon vin et d'attendre humblement la mort". M.Koller estime qu'après une telle guerre, les survivants envieront les morts. L'analyste pense que cette guerre impactera le plus l'Ukraine, les pays Baltes, la Norvège, la Pologne, le Royaume-Uni, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Belgique car la majorité des bases de l'Otan sont déployées dans ces pays. Source: Sputnik

lundi 30 mai 2016

L' OTAN appelle à faire face à la " menace potentielle " de la Russie

L' asseblée parlementaire de l'Otan a appelé lundi les alliés à se tenir prêts à répondre à "la menace potentielle" de la Russie contre l'un d'entre eux, à l'issue d'une session de trois jours à Tirana. "Le défi en provenance de la Russie est réel et sérieux", a déclaré l'Américain Michael Turner, président de l'assemblée qui a réuni quelque 250 parlementaires des 28 pays membres de l'Alliance. La déclaration adoptée à l'unanimité déplore "l'usage de la force par la Russie contre ses voisins et les tentatives d'intimidation des alliés" de l'Otan. Dans ces circonstances, l'Otan "n'a pas d'autre choix que de considérer l'éventualité d'une action agressive de la Russie contre un membre de l'Alliance comme une menace potentielle, et d'adopter des réponses adaptées et proportionnées", ajoute la déclaration. La déclaration appelle les alliés à "fournir des garanties" aux pays membres, situés notamment à l'est de la zone Otan, qui estiment que leur sécurité est menacée. L'Otan a interrompu tous les aspects pratiques de sa coopération avec la Russie à la suite de l'annexion de la Crimée par la Russie, et en raison du soutien de la Russie aux séparatistes dans l'est de l'Ukraine, mais l'Alliance a annoncé qu'elle aurait des discussions avec la Russie avant le sommet de l'Otan prévu les 8 et 9 juillet à Varsovie. En avril, le Conseil Otan-Russie avait tenu sa première réunion depuis juin 2014 mais les discussions se sont soldées par "de graves désaccords" concernant l'Ukraine et d'autres sujets, bien que le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg eut assuré à l'époque que les échanges avaient été "fructueux". L'Otan a procédé à un renforcement militaire sur son flanc est pour augmenter la rapidité du déploiement de ses forces en cas de répétition d'une crise comme celle de l'Ukraine. Mais la Russie affirme que ce renforcement de la présence de troupes avec leurs équipements de combat en Europe de l'est représentait une menace pour sa sécurité. L'assemblée parlementaire de l'Otan assure néanmoins que l'Alliance étudierait les moyens de "réduire les tensions" avec la Russie tout "en abordant les violations inacceptables par la Russie des normes internationales". Source: AFP