Translate

vendredi 19 mai 2017

Les Etats-Unis auraient envoyé un deuxième porte-avions vers la Corée du Nordv


Dans le cadre d'exercices, le porte-avions américain Ronald Reagan rejoindra un autre bâtiment de guerre de la marine américaine dans les eaux jouxtant la péninsule de Corée, selon la chaîne de télévision CNN.
La marine américaine a envoyé le porte-avions Ronald Reagan vers la péninsule coréenne pour des manœuvres avec le Carl Vinson, déjà déployé dans la région, a annoncé la chaîne de télévision CNNcitant deux responsables de la Défense américaine.

Les militaires n’ont pas précisé combien de temps les deux porte-avions se trouveraient dans la région, mais, selon eux, le Ronald Reagan devrait en fin de compte remplacer le Carl Vinson, arrivé dans les eaux de la péninsule coréenne fin avril.
D’après l’US Navy, le Ronald Reagan est parti le 16 mai de son port d’attache de Yokosuka, au Japon, après des travaux d’entretien. Le bâtiment de guerre, de classe Nimitz, est long de 333 mètres et peut transporter près de 60 avions. Son équipage est de 4 539 personnes. Mis en service en 2003, le navire est d'une valeur de 8,5 milliards de dollars.

L’annonce de ce déploiement intervient alors que les tensions dans la région continuent de s’aggraver. La Corée du Nord a testé le 15 mai un missile balistique qui a parcouru une distance de 800 kilomètres avant de retomber en mer du Japon. Pyongyang affirme que l'engin a effectué une partie de sa trajectoire à 2 100 kilomètres d'altitude, soit 900 kilomètres de plus qu'un missile balistique classique.

Source: russiatoday.com

mercredi 17 mai 2017

Une autre cyberattaque de grande ampleur en cours


Une nouvelle cyberattaque de grande ampleur touche des centaines de milliers d'ordinateurs dans le monde dans le but de créer et récupérer de la monnaie virtuelle à l'insu des utilisateurs, ont indiqué le 17 mai à l'AFP des experts en cybersécurité.

Après l'attaque au rançongiciel WannaCry repérée le 12 mai, les chercheurs de Proofpoint [société de sécurité informatique] ont découvert une nouvelle attaque liée à WannaCry appelée Adylkuzz. «Elle utilise de manière plus furtive et à des fins différentes les outils de piratage récemment divulgués par la NSA et la vulnérabilité désormais corrigée de Microsoft», a expliqué le chercheur Nicolas Godier, expert en cybersécurité de Proofpoint.

«On ne connaît pas encore l'ampleur [des dégâts] mais des centaines de milliers d'ordinateurs pourraient avoir été infectés», a précisé à l'AFP Robert Holmes, vice-président produit chez Proofpoint, qui assure que l'attaque est «de bien plus grande envergure» que WannaCry.
Concrètement, ce logiciel malveillant s'introduit dans des ordinateurs vulnérables grâce à la même faille de Windows utilisée par WannaCry, une faille détectée par la NSA (L'agence de sécurité nationale américaine) mais qui avait fuité sur le net en avril. Lemalware crée alors, de façon invisible, des unités d'une monnaie virtuelle intraçable appelée «monero», comparable au bitcoin. Les données qui permettent d'utiliser ces gains sont extraites et envoyées à des adresses cryptées.
«Bien que plus silencieuse et sans interface utilisateur, l'attaque d'Adylkuzz est plus rentable pour les cybercriminels. Elle transforme les utilisateurs infectés en participants involontaires au financement de leurs assaillants», poursuit Nicolas Godier.
«Les symptômes de l'attaque sont [notamment] un ralentissement des performances de l'ordinateur», précise Proofpoint dans une note de blog, selon laquelle l'attaque pourrait remonter au 2 mai, voire au 24 avril et est toujours en cours.

Le cabinet précise avoir repéré des ordinateurs qui avaient ainsi versé l'équivalent de plusieurs milliers de dollars à l'insu de leurs utilisateurs.
Selon Robert Holmes, «il y a déjà eu des attaques de ce type, avec des logiciels créant de la monnaie cryptographique, mais jamais à cette échelle».
WannaCry a frappé plus de 300 000 ordinateurs dans quelque 150 pays, selon le conseiller à la Sécurité intérieure du président américain Donald Trump, Tom Bossert.

Source: rt

* Selon le site beforeitsnews, il y aurait une possibilité que la grille électrique aux États-Unis soit visée ce vendredi, ce qui plongerait le pays dans la pire cyberattaque de l'histoire, pouvant mener 90% de la population vers une mort certaine! C'est à suivre de près. - Benoît Godin

mardi 16 mai 2017

Naples: Un supervolcan en mode réveil. Panique chez les scientifiques


Après un long sommeil, un «super volcan» situé dans l'un des lieux les plus dangereux au monde risque de se réveiller. Une perspective qui préoccupe sérieusement les scientifiques ainsi que les habitants de Naples…

Situés à une vingtaine de kilomètres de Naples, les Champs Phlégréens montrent des signes de réveil. À en croire les scientifiques, le volcan a atteint la phase critique de son activité et une nouvelle éruption pourrait avoir lieu prochainement, relate le National Geographic.

Selon le média, les Champs Phlégréens constituent l'un des lieux les plus dangereux de notre planète. En cause, la lave extrêmement proche de la surface terrestre. Ces derniers temps, après avoir suivi la dynamique de l'activité volcanique, les chercheurs ont enregistré plusieurs signes inquiétants, dont l'accumulation de tensions tectoniques et la déformation des roches dans la bouche du volcan, relate le site.
Rien qu'en quelques mois, la lave est considérablement remontée, se trouvant désormais à 3 km de la surface de la Terre et cette tendance se poursuit, constatent les scientifiques.
Les scientifiques rappellent que les derniers mouvements telluriques importants remontent à 1984, lorsque 40 000 personnes furent évacuées au Rione Terra de Pozzuoli. La terre s'était alors soulevée de 1,80 mètre en une semaine.
Quant à la dernière éruption du volcan, celle-ci date de 1538, lorsque près de 40 kilomètres cube de matériaux volcaniques ont été déversés, les cendres émises par le « super volcan » ayant été retrouvées jusqu'en Sibérie. Selon les chercheurs, si une nouvelle éruption du genre de celle de 1538 se reproduisait aujourd'hui, elle pourrait faire des dizaines de milliers de victimes.

Source: wikistrike.com

Moscou prêt à répondre aux agissements du Pentagone


Les vols de reconnaissance des États-Unis en mer Noire sont destinés à espionner les navires militaires russes qui effectuent des missions de routine en mer Méditerranée et en Syrie.
Le journal russe Nezavisimaya Gazeta rapporte que cette semaine, les États-Unis et le Royaume-Uni ont intensifié leurs opérations de reconnaissance près des frontières russes.
Selon les médias occidentaux, le 11 mai dernier, des drones espions ont été envoyés près des régions de Murmansk et Kaliningrad, et des bases militaires russes implantées en Syrie.
De même, le drone RQ-4 Global Hawk, la nouvelle génération de drones de l’US Air Force et de l’US Navy, drone sans pilote à rôle de surveillance, a été aperçu au-dessus des eaux de la mer Noire, au sud de la Syrie. Dans cette région, entre le 9 et le 12 mai, des avions de chasse russes ont intercepté des avions de patrouille maritime et de lutte anti-sous-marine de type P-8A Poseidon.
Les médias américains avaient qualifié d’« actes provocateurs » le rapprochement des Su-30 et Su-27 russes de leur avion de reconnaissance. À ce moment-là, la distance des deux avions n’était que de 7 mètres.
Le ministère russe de la Défense a confirmé l’incident et expliqué que le pilote russe a « salué » l’appareil américain avec une manœuvre spéciale, à la suite de la laquelle le Poseidon a détourné sa trajectoire et est retourné à sa base après l’opération.
Ces derniers temps, les vols de reconnaissance des États-Unis et des pays membres de l’OTAN, autour des bases militaires russes, se font quasi quotidiens. Cependant, les avions de chasse russes n’interviennent pas à chaque fois.
Les manœuvres des avions russes en mer Noire montrent l’importance militaire de la région
Source: parstoday.com

dimanche 14 mai 2017

Ce que l’on sait sur le tir du nouveau missile balistique nord-coréen


La Corée du Nord a procédé dimanche à un nouveau tir de missile balistique, ont annoncé les autorités sud-coréennes et américaines. Un défi qui intervient quatre jours après l'élection du président sud-coréen Moon Jae-in, soucieux de dialoguer avec le Nord.

Le missile, tiré vers 05h27 locales depuis Kusong, au nord-ouest de Pyongyang, a effectué un vol de 700 km et atteint une altitude de plus de 2 000 km avant d'atterrir en mer du Japon à 400 km des côtes nord-coréennes, selon des responsables sud-coréen et japonais.
Le missile a ainsi dépassé la distance et l'altitude du tir de missile de moyenne portée mené depuis la même base en février dernier.
Le commandement régional américain a estimé que le vol ne « correspondait pas à un missile balistique intercontinental ».
Le missile pourrait représenter un nouveau type d'arme du régime nord-coréen, a déclaré le ministre japonais de la Défense Tomomi Inada. La Corée du Nord est en fait soupçonnée de chercher à développer des missiles de longue portée à ogive nucléaire capables d'atteindre les États-Unis.

DIMANCHE, des EXPERTS estimaient que ce nouvel essai, d'une portée supérieure à celle des tirs passés, signalait des progrès dans le programme d'armement nord-coréen, depuis février.
David Wright, membre de l'Union of concerned scientists (UCS) et spécialiste balistique, estime que si le missile avait été tiré à un angle normal (et non selon la trajectoire haute constatée), il aurait pu parcourir 4 500 km au plus.
Kim Dong-yub, spécialiste de l'Extrême-Orient à la Kyungnam University de Séoul, juge que le missile aurait pu atteindre 6 000 kilomètres, soit une distance suffisante pour toucher Hawaï. On parle généralement de missile de longue portée quand la distance parcourue dépasse 6 000 km.

Source: sputniknews.com