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vendredi 18 mars 2016

Les satellites US sont vulnérables face à la Russie et la Chine

Le commandement de la force spatiale des Etats-Unis sonne l'alarme: les adversaires stratégiques renforcent leur potentiel anti-spatial tandis que l'architecture spatiale américaine n'est pas protégée contre les risques. Selon le site d'information américain Washington Free Beacon, le Pentagone craint que la Russie et la Chine puissent mettre hors de service les satellites américains militaires et de reconnaissance lors de futurs conflits spatiaux. "Les adversaires développent des armes cinétiques, cybernétiques et à énergie dirigée capables d'assurer le déni d'accès, de perturber et de détruire nos capacités spatiales", a déclaré le chef du commandement spatial des Etats-Unis (USAF Space Command) John Hyten lors d'une réunion du sous-comité pour les armements stratégiques de la Chambre des représentants des Etats-Unis. De l'avis du général, les satellites GPS américains restent vulnérables face aux adversaires en puissance dans l'espace: les satellites pourraient être aveuglés et leur logiciel piraté. Le fonctionnement du système GPS est en lien direct avec l'utilisation des armes américaines de haute précision: les signaux des satellites sont utilisés pour les guider. John Hyden a également évoqué les missions du nouveau centre de commandement du renseignement militaire appelé à suivre les tirs de missiles anti-satellite, de robots-tueurs orbitaux et les lasers capables d'aveugler les satellites. En outre, le commandement spatial des Etats-Unis crée 39 équipes chargées d'opérations cybernétiques offensives et défensives impliquant des systèmes spatiaux. Selon le général David Buck, qui commande une unité au sein du commandement stratégique des Etats-Unis, il n'y a pas un seul élément de l'architecture spatiale américaine, l'architecture au sol comprise, qui ne serait pas en danger: "La Russie considère la dépendance des Etats-Unis vis-à-vis des moyens spatiaux comme une vulnérabilité qui pourrait être exploitée. Aussi prend-elle des mesures délibérées pour renforcer ses capacités anti-spatiales", estime le général. Selon lui, la Chine teste elle aussi ses technologies anti-spatiales et anti-satellite. Washington Free Beacon signale que rien n'a été dit sur la mise au point d'armes spatiales dirigées contre Moscou ou Pékin. Néanmoins, après les audiences publiques, les membres du sous-comité ont tenu une autre réunion, cette fois à huis clos. Source: Sputnik

jeudi 17 mars 2016

Si nécessaire, la Russie peut redéployer ses avions en Syrie «en quelques heures», prévient Poutine

Alors que Moscou est en train de retirer le gros de son contingent militaire en Syrie, ils pourront y être rapidement redéployés en cas de nécessité, a souligné le président russe Vladimir Poutine, en faisant le bilan de l’opération russe. «S'il est nécessaire, la Russie peut accroître juste en quelques heures sa présence dans la région jusqu'à un niveau adapté à la situation qui s'y développe», a déclaré M. Poutine lors d'une cérémonie sous les ors du Kremlin de décoration de soldats et d'officiers de retour de Syrie. Le président russe a souligné que dès le début, la campagne militaire russe en Syrie allait être limitée dans le temps, rapporte l'agence RIA. «Nous avons déclaré ouvertement que nous n’avions pas l’intention de nous impliquer dans le conflit syrien», a-t-il expliqué. Il a souligné que «l’objectif essentiel de l’opération russe était d’assener un coup au terrorisme». A son avis, «ce sont les Syriens qui doivent eux-mêmes trouver une solution finale, décider du destin de leur pays». Source: francais.rt.com

mardi 15 mars 2016

"Israël" veut que l’Iran soit "puni" pour ses tirs de missiles



Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a ordonné aux diplomates de l’entité sioniste de demander aux grandes puissances de "punir" l'Iran pour ses récents tirs de missiles balistiques, a annoncé samedi son bureau.

Netanyahu "a chargé le ministère des Affaires étrangères d'entrer en contact avec le groupe 5+1 (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine, Allemagne) pour demander que des mesures punitives soient prises immédiatement à la suite des violations répétées et flagrantes de l'Iran sur la question des missiles", a prétendu son bureau dans un communiqué, cité par le site israélien i24.

"Il s'agit d'une étape importante et d'un test pour les grandes puissances dans l'application de l'accord nucléaire", a-t-il estimé.

Le 14 juillet 2015, l'Iran et les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU plus l'Allemagne (groupe 5+1) ont signé un accord historique mettant fin à un contentieux de plus de treize ans sur le nucléaire.

Le texte garantit le caractère civil du programme nucléaire iranien en échange d'une levée étalée sur dix ans des sanctions internationales.

"Israël" est vivement opposé à l'accord avec l'Iran, son ennemi juré.

L'Iran a indiqué avoir procédé en début de semaine à une série de tests de missiles balistiques, qui ont suscité l’ire de l’entité sioniste.

Jeudi, le ministère israélien des Affaires étrangères a condamné ces tirs.

Le lendemain, l'ambassadrice américaine à l'ONU Samantha Power a annoncé avoir demandé que le Conseil de sécurité de l'ONU tienne des consultations lundi sur le sujet.

 

Source: almanar.com.lb

Un porte-avions américain arrive en Corée du Sud





Le porte-avions américain John C. Stennis est arrivé en Corée du Sud pour participer à des exercices navals conjoints. Ces derniers jours, l'activité militaire de Séoul a provoqué plusieurs déclarations violentes de son voisin septentrional: Pyongyang a promis de nouveaux essais nucléaires et même une frappe préventive contre les Etats-Unis.

 

 

 

L'agence sud-coréenne Yonhap a annoncé ce dimanche l'arrivée au port de Busan du porte-avions américiain John C. Stennis, afin de participer à des exercices conjoints. Le porte-avions embarque environ 80 aéronefs, plus particulièrement des avions multirôle F/A-18 Hornet, des avions de contrôle des opérations aériennes EA-6 Prowler et des avions de surveillance aérienne E-2 Hawkeye. Le navire déplace plus de 100.000 tonnes. Son équipage compte plus de 7.000 hommes.

Outre le porte-avions, le groupe naval américain est composé des destroyers Stockdale, Chung-Hoon et William P. Lawrence, ainsi que du croiseur Mobile Bay.

Les exercices, les plus importants depuis 2010, dureront jusqu'au 30 avril. Selon le ministère sud-coréen de la Défense nationale, ils engageront plus de 300.000 militaires sud-coréens et 17.000 militaires américains.

Les exercices de cette année se déroulent dans le cadre du soi-disant plan opérationnel 5015 visant à neutraliser les armes de destruction massive de Pyongyang et à porter des frappes préventives contre des sites balistiques et nucléaires de la Corée du Nord. Cette dernière a déjà qualifié les exercices de dangereux et provocateurs.

La situation sur la péninsule Coréenne s'est aggravée suite au quatrième essai nucléaire nord-coréen mené le 6 février et à un tir de fusée du 7 février. Le 2 mars, le Conseil de sécurité de l'Onu a adopté le plus lourd paquet de sanctions anti nord-coréennes depuis 20 ans.

 

Source: Sputnik

L’Inde teste un missile nucléaire Agni-I



Le missile, qui se déplace à la vitesse de 2,5 km par seconde, a couvert une distance de 700 km en 9 minutes et 36 secondes pour détruire sa cible.

Ce lundi, l'Inde a testé avec succès un missile de moyenne portée Agni-I capable de porter une charge nucléaire d'une tonne, annonce dans un communiqué l'agence gouvernementale indienne responsable du développement des technologies militaires (DRDO).

"Le missile a été tiré à 9h15 heure locale (3h45 GMT) depuis le polygone de Chandipur situé dans l'état de l'Orissa (est du pays)", indique le communiqué.

Le tir a été effectué dans le cadre de tests périodiques visant à s'assurer que les missiles sont toujours prêts à être utilisés. Le dernier test d'un Agni-I, réalisé le 27 novembre 2015, a également été couronné de succès.

"Le missile, se déplaçant à la vitesse de 2,5 km par seconde, a couvert une distance de 700 km en 9 minutes et 36 secondes pour détruire sa cible", précise le communiqué.

Agni-I est un missile balistique de moyenne portée qui peut être lancé à partir de pas de tir mobiles et qui est capable de porter une charge nucléaire d'une tonne. Les tests ont démontré que le missile pouvait couvrir une distance de plus de 1250 km.

En novembre dernier, l'Inde a testé son missile balistique Agni-IV, d'une portée de 4.000 km et capable de porter une ogive nucléaire d'une tonne.

Long de 20 mètres et pesant 17 tonnes, l'Agni-IV est un missile balistique à deux étages, à combustible solide et capable de porter une charge nucléaire. Ce dispositif est développé sur la base du missile Agni-II, dont la portée est de 2.000 km (et de 3.550 km pour l'Agni

 

 

Source: Sputnik

Irak : 800 personnes examinées après une attaque chimique de Daesh



Les autorités sanitaires de la région de Kirkouk dans le nord de l'Irak ont examiné un total de 800 personnes depuis l'attaque chimique la semaine dernière à Taza imputée à la milice wahhabite takfiriste Daesh (Etat islamique-EI), ont affirmé lundi des responsables.

"Le nombre de personnes prises en charge et auscultées dans les hôpitaux à Dakouk et Kirkouk a atteint 800", a affirmé Hussein Adil Abbas, le maire de Taza.

Par la voix de son ministre de la santé, Hassan Qazizadeh Hashemi, l’Iran aussi a annoncé avoir dépêché une équipe médicale pour prêter main forte aux autorités sanitaires irakiennes.

La cité de Taza, au sud de Kirkourk, se trouve dans une zone où sont déployées des forces kurdes et des combattants volontaires du Hached Chaabi, mais elle est également proche de la localité turcomane de Bashir, depuis laquelle l'EI tire régulièrement des projectiles.
Elle a été la cible la semaine dernière d'une salve de roquettes, qui, selon des responsables locaux, étaient chargées de chlore.

"Parmi les personnes auscultées, 61 recevaient un traitement et doivent subir de nouvelles analyses. Sept d'entre elles ont été transférées à Bagdad", a indiqué M. Abbas à l'AFP. Des responsables sanitaires à Kirkouk qui ont demandé à conserver l'anonymat, ont confirmé ces chiffres.

Une enfant de trois ans est morte vendredi de complications dues à l'attaque après avoir été hospitalisée. Des centaines de personnes ont assisté à ses funérailles, certaines brandissant des pancartes appelant le gouvernement à les protéger.

Des responsables locaux ont affirmé que l'EI avait utilisé du gaz moutarde mais les échantillons prélevés sont toujours en cours d'analyse et les résultats définitifs donnés par l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) prennent parfois plusieurs mois.
La défense civile a procédé depuis dimanche à nettoyer et désinfecter les zones qui auraient pu être contaminées, a indiqué le maire.

Le Premier ministre Haider al-Abadi a promis de riposter à l'attaque chimique qui "ne restera pas impunie". Plusieurs raids aériens ont d'ores et déjà été menés sur Bashir au cours des trois derniers jours.

Sources : AFP, Iran fr

Le basculement des pôles va vraiment commencer



Vous ne le saviez peut-être pas, mais régulièrement, les pôles nord et sud de notre planète s'inversent. Ce qui est encore moins su, c'est que le phénomène s'accompagne d'un affaiblissement du champ magnétique qui nous protège des radiations du Soleil. L’inversion des pôles pourrait exposer trop fortement la Terre au soleil.

Le champ magnétique terrestre qui nous protège contre les rayons du Soleil est issu d'un effet de dynamo qui provient du fait que le noyau de la Terre tourne. Cela crée comme un champ de force autour de la Terre. On sait depuis plusieurs années que ce champ connaît des variations, et on sait aussi que par le passé le champ magnétique s'est inversé plusieurs fois, car le phénomène a laissé des traces dans certaines roches.

L'inversion des pôles pourrait créer de grands bouleversements. Les boussoles ne fonctionneront plus dans le même sens, mais la protection devrait, en principe, toujours être là. Pour certains scientifiques le champ magnétique va fortement diminuer au point de présenter un danger pour les êtres humains, alors d'autres estiment que l'inversion se fera rapidement, sans dommages, à l'exception des bouleversements au niveau d'un certain nombre d'appareils électroniques. Il s`était produit une tempête solaire au Québec à la fin des années 1980 et cela avait détruit une partie du réseau électrique pendant plusieurs heures.

Le mécanisme est enclenché, la Terre va basculer d’ici peu. Ce secret bien gardé par les gouvernements du monde, par les sociétés occultes ainsi que par les religions, est sur le point de se réaliser. Bien évidemment, vous, pauvre peuple du monde, vous n’en saurez jamais rien. Pour eux, garder ce secret n’est pas mentir à l’humanité, mais bien au contraire, la préserver, la sauver. Quelle serait en effet la réaction d’une population face à cette vérité terrifiante, et tandis qu’ils veulent la contrôler. Inévitablement, elle conduirait au suicide… et à leur perte.

Si nous parlons du 21 décembre 2012, et de l’invention de la fin du monde, bien aidée par des médias aux ordres, c’est qu’il y a une raison : Désinformer, rendre sourd en montant le son.

Il existe plusieurs calendriers Mayas, mais ils s’appuient tous sur une vérité : le magnétisme terrestre. La date du 21 décembre 2012 n’est pas la fin du monde, mais la date du commencement d’un changement terrestre qui dans sa logique, fera évoluer l’homme, qui par ailleurs n’a toujours pas compris que la nature était plus forte que lui.

Les pôles magnétiques ont accéléré la vitesse de déplacement. Le point de rupture est désormais proche.

Le magnétisme terrestre va dans un premier temps disparaître, ainsi le pôle géomagnétique nord (sud en réalité) n’atteindra jamais la Sibérie, comme il l’est dit, dans 20 ans (ce n’est pas la première fois que WikiStrike vous en parle). Actuellement, le magnétisme s’atténue de manière exponentielle tout en ayant augmenté de 60 fois sa vitesse de déplacement en seulement 10 ans !

Sachez que la Terre est bipolaire, comme une pile dont le courant circule de la borne positive vers la borne négative à l'extérieur de celle-ci. C'est le sens conventionnel du courant électrique.

Nos failles, toutes les failles qui rident notre planète sont extérieures. Le magnétisme terrestre court donc du pôle sud (pôle nord réel, qui se situe à +500 mètres d’altitude) au pôle nord (Pôle sud réel, à -500 mètres d’altitude) en passant par ces failles. En d’autres termes, les failles sont des couloirs magnétiques, d’où aussi, l’importance de la position des astres dans la compréhension des risques sismiques. Voilà aussi pourquoi les Mayas regardaient le ciel. Et s’ils étaient les plus grands astronomes (encore de nos jours), c’est qu’ils regardaient d’abord les profondeurs de la Terre (voyage en barque dans le monde souterrain). « Pour accéder au ciel, il faut fouiller la terre »

C’est donc ici, sur ces failles, que sont les volcans les plus actifs, car recevant le plus d’énergie, affolant le magma.

L’accélération magnétique a pour conséquence une accélération magmatique et sismique, pour preuve, ces dernières années, jamais autant d’éruptions volcaniques n’a été enregistrées, même se réduisant, l’énergie magnétique est aussi la cause des derniers séismes dont celui du Japon le 11 mars 2011 et sa réplique du 7 décembre 2012. Jamais une telle réplique n’a été ressentie, pour certains géologues, le vrai séisme couve encore, ce que je pense. Quoi qu’il en soit, ces évènements iront en s’accélérant et en s’amplifiant, jusqu’au pôle shift, dans moins de 20 ans.

Pour être la plus précise possible, la vraie raison de la disparition en cours du magnétisme, c’est juste son accélération, en fait, elle reste la même, mais elle déborde.

Le magma, davantage chahuté, remonte bien plus qu’auparavant, mais il a surtout pris lui aussi de la vitesse, et les directions qui alimentent les supervolcans. Conséquence : les hécatombes d’animaux. Les animaux sont plus sensibles au magnétisme et se désorientent plus facilement (échouages), de plus, l’augmentation de la vitesse de déplacement du magma engendre des ultra-sons perturbateurs (oiseaux tombant raides morts), ces sons étranges que certaines personnes entendent à travers le monde.

Une fois le magnétisme terrestre éteint, on verra apparaître quatre pôles sur Terre. Puis la Terre basculera. Enfin, elle retrouvera ses deux pôles, ce coup-ci, ils seront dans le bon sens… jusqu’au prochain basculement.

Le calendrier maya était la version maya du calendrier mésoaméricain, composé de différents systèmes calendaires évoluant de manière concomitante. Il se composait d'un calendrier sacré, Tzolk'in (ou Bucxok), cyclique sur 260 jours, d'un calendrier solaire, Haab, cyclique sur 365 jours, et du compte long qui faisait le lien entre les deux précédents calendriers.

La date 0.0.0.0.0 du compte long maya correspond au 11 août 3114 av. J.-C, étrangement la date de naissance de l’écriture, officiellement née en Mésopotamie au IV millénaire avant JC. Pour eux, les plus importants cycles étaient inscrits dans les séries initiales (dates détaillées en tête de nombreuses inscriptions). Le compte long dure environ 5125 ans (soit 13 baktunob 1 872 000 jours). Nous y sommes.

A noter que certaines inscriptions vont jusqu’à l’an 7 000, évidemment, ils ne parlaient pas de fin du monde, mais de changements terrestres, et du magnétisme, source des bouleversements terrestres, la vie continue donc. Car la Terre elle-même détient son propre calendrier, réglé comme du papier à musique, ce que l’on vous cache.

Encore aujourd’hui, le magnétisme est présent dans la religion, et si les cathédrales sont à 90% en pierre calcaire de Lozère (mérovingienne, templière), c’est que ce département est le clou magnétique de la Terre – ainsi que la tache rouge de Saturne. Ne cherchez donc plus à comprendre pourquoi l’Hexagone est la fille aînée de l’Eglise.

Cela nous mène à l’alignement Jérusalem-Athènes-Rome-Avignon-Carnac (sur le Causse Méjean, ou Janus, ou géant), c’est en effet là, au Carnac Lozérien (et pas du Morbihan), sur ce causse, et sous ce causse, là sous les roches karstiques –que l’on retrouve… en Israël, que se situe le véritable clou de la Terre. C’est aussi là, et peu de gens le savent, que les étoiles sont les plus visibles au monde. Etrange coïncidence.

La Terre va commencer à basculer, le mécanisme est enclenché… depuis toujours...et les Sociétés dont vous ne mettrez jamais le pied le savent bien.

Puis… ce pôle shift est soit-disant en retard…

Le pôle magnétique a croisé le pôle géographique, encore une fois, très étrangement, le 22 décembre 2012. Prenez garde, et soyez patients, ce n'est que l'évènement réellement déclencheur.

Sources: Internet et wikistrike.com



Nosra et Daesh préparent une attaque chimique contre Alep??



Quelques heures après l’annonce russe de retirer l’essentiel de son contingent militaire en Syrie, tout en poursuivant toutefois ses frappes contre les cibles terroristes, la branche d’Al-Qaïda dans ce pays le front al-Nosra a annoncé le lancement d’une offensive contre la ville d’Alep dans les prochaines 48 heures.

En même temps, l’armée syrienne a réalisé une avancé importante en direction de la cité antique de Tadmor (Palmyre), avec l’aide entre autre des frappes russes aériennes, et se trouve déjà à 4 km de la ville.

Attaque dans 48 heures

"Il est clair que la Russie a subi une défaite, et dans les prochaines 48 heures, le Front al-Nosra va lancer une offensive en Syrie", a déclaré mardi via Skype un chef de la milice front al-Nosra à l'Agence France-Presse (AFP).

"Les Russes se sont retirés car ils soutenaient le régime mais ce dernier s'est avéré incapable de garder les territoires conquis. Sans les frappes russes, nous serions aujourd'hui dans la ville de Lattaquié", a-t-il ajouté.


Attaque chimique

Il y a cinq jours, l’ agence russe Russkaya Vesna (rapporté par le site arabophone de Russia Today) a révélé que le front al-Nosra et Daesh se préparent tous deux pour utiliser des munitions chimiques toxiques dans la bataille d’Alep.

Un redéploiement du groupuscule allié du Nosra, Noureddine alZenki a été constaté au sud de la province d’Alep, et dans son sud-ouest, a indiqué une source syrienne à l’agence.

Une autre milice takfiriste, Brigade Sultane Mourad (le sultan qui a fondé l’empire ottoman), formée de miliciens turcomans et turcs ont été vus opérant un mouvement d’attroupement dans les quartiers sud de la ville d’Alep.

Des services de renseignements syriens ont également indiqué avoir vu des membres des unités d’ingénierie turque qui ont procédé au démantèlement des barbelées dans quatre endroits de la frontière turco-syrienne à proximité de Ra’s al-Aïn .

Il est question de renforts dépêchés au front al-Nosra ont traversé le poste frontalier avec la Turquie, Bab al-Hawa. Ils auraient en leur possession des munitions et des produits chimiques toxiques qui pourraient être du phosphore jaune.

A 4 km de Tadmor

Dans le désert central syrien, il est question ce mardi d'une progression importante des forces régulières syrienn, escortée par les raids aériens russe sur les alentours de la cité antique de Tadmor (Palmyre).

Selon une source de sécurité sur le terrain, citée parl'AFP, "l'armée syrienne, grâce aux bombardements de l'aviation et des hélicoptères russes, a pris le contrôle d'une colline à l'ouest de Palmyre après une violente bataille avec l'EI, et dominait désormais la ville".

Cette information a été rapportée aussi par l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), selon lequel les frappes des hélicoptères et des avions russes ont permis à l'armée régulière d'avancer et de se trouver désormais à 4 km au sud et à l'ouest de Palmyre.
Celle-ci est occupée depuis mai 2015 par la milice wahhabite takfiriste Daesh (État Islamique-EI).

Si l'armée syrienne s'empare de Palmyre, joyau antique inscrit au patrimoine de l'humanité, "ce serait une importante victoire, car cela lui ouvrirait la voie vers la frontière irakienne", souligne cette instance médiatique de l’opposition syrienne pro occidentale siégeant à Londres.

Ces frappes interviennent au lendemain d’une décision du président russe Vladimir Poutine de retirer l’essentiel de ses troupes en Syrie. Toutefois, le vice-ministre russe de la Défense Nikolaï Pankov a prévenu que la Russie poursuivrait ses frappes aériennes contre des "objectifs terroristes" en Syrie malgré le retrait de la majeure partie de son contingent militaire.

Idleb: Nosra contre ASL

Dans la province d’Idleb, des combats ont lieu entre la 13e division de la milice de l'Armée syrienne libre (ASL) et les takfiristes du Front al-Nosra dans sa plus grande ville, Ma'arrat al-Numan.


Suite à une attaque réussie, les miliciens de l'ASL ont brûlé le quartier général du Nosra et ont libéré les otages détenus dans une prison locale, indiquent les médias russes.

 

Source: Divers Internet

Vers une nouvelle guerre au Liban


                                                                           
Michel Sleiman fut élu, le 25 mai 2008, par la Chambre des députés en violation de la Constitution libanaise (l’article 49 interdit à un haut fonctionnaire d’être élu moins de deux ans avant d’avoir quitté ses fonctions). Il ne fut pas installé par son prédécesseur, Émile Lahoud, mais par l’émir du Qatar, en présence du représentant de l’ancienne puissance coloniale française, Bernard Kouchner, siégeant non pas à la tribune, mais sur le banc du gouvernement.
 
 

Michel Sleiman fut élu, le 25 mai 2008, par la Chambre des députés en violation de la Constitution libanaise (l’article 49 interdit à un haut fonctionnaire d’être élu moins de deux ans avant d’avoir quitté ses fonctions). Il ne fut pas installé par son prédécesseur, Émile Lahoud, mais par l’émir du Qatar, en présence du représentant de l’ancienne puissance coloniale française, Bernard Kouchner, siégeant non pas à la tribune, mais sur le banc du gouvernement.

Depuis mai 2008, le Liban ne respecte plus sa propre constitution et n'a plus de budget. Le pays, aujourd'hui à la dérive, est redevenu une proie facile pour Israël.L'échec de l'opération contre la Syrie conduit le parti colonial à se chercher une nouvelle cible. Si une seconde guerre civile peut encore être évitée, il sera difficile d'empêcher une nouvelle invasion.

Depuis l'accord de Doha et l'élection anticonstitutionnelle de Michel Sleiman comme président de la République, en 2008, le Liban n'a pas connu d'événement politique marquant jusqu'à août dernier. Au cours des sept derniers mois, le pays a été secoué lors de la « crise des ordures » par des manifestations susceptibles de déboucher sur une seconde « révolution du Cèdre », puis par une crise de confiance avec l'Arabie saoudite et ses alliés, enfin par une mise en cause internationale du Hezbollah. Trois événements qui, pris séparément, semblent s'expliquer par eux-mêmes et ne débouchent sur rien. Et pourtant...

En août 2015, débuta subitement la « crise des ordures » : l'État ne parvint pas à renouveler le contrat de ramassage des poubelles par la société Sukleen. En quelques jours, le pays dans son ensemble devint une vaste poubelle, les déchets s'amoncelant dans les rues. Des manifestations se formèrent accusant le gouvernement d'incurie. Bientôt des milliers de manifestants clamaient dans le centre de la capitale que les politiciens eux-mêmes étaient des ordures, pillant l'État au détriment des citoyens. Des médias évoquaient un début de révolution colorée comparable à la « révolution du Cèdre » organisée par les États-Unis après l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri ; d'autres médias évoquaient une extension du « printemps arabe » [1]. En définitive la fureur populaire retomba car le système communautaire unique du Liban —imposé par la France— attache chaque citoyen à sa communauté religieuse et l'empêche de se positionner sur les questions nationales.

Toutefois, sept mois plus tard, la crise des ordures n'est toujours pas résolue. Certes, la capitale et les grandes villes sont nettoyées, mais dans de nombreuses régions, les poubelles s'accumulent répandant une odeur nauséeuse. La persistance et la généralisation de ce problème ont des conséquences en matière de santé publique. Les virus se propagent et presque tous les Libanais sont malades épisodiquement. Elles ont aussi des conséquences économiques. De facto, le tourisme, principale source de revenu officiel du pays, est en forte baisse.

La seconde crise a débuté avec l'annulation du don saoudien de 3 milliards de dollars à l'Armée libanaise [2]. En réalité, ce « don » était la rémunération versée à l'Armée libanaise pour avoir détruit le témoignage de Majed el-Majed qu'elle avait arrêté lors de son transport en ambulance, le 26 décembre 2015. Le célèbre terroriste était le représentant du prince Bandar Ben Sultan au Levant. Il était suspecté de connaître personnellement la totalité des politiciens qui soutiennent secrètement les jihadistes. Son témoignage aurait gravement mis en difficulté le royaume saoudien. L'homme eut la bonne idée de mourir après quelques jours de détention sans que son témoignage détaillé ne soit enregistré.

Pour justifier l'annulation de son « don », Riyad évoqua la réaction du Liban à l'exécution de cheikh Nimr Baqr al-Nimr. Le 2 janvier 2016, la pétro-dictature avait en effet décapité le chef de son opposition. Or, il se trouve que cette personnalité était un religieux chiite, ce qui souleva une vague d'indignation dans toutes les populations chiites du monde, y compris au Liban [4]. L'Arabie saoudite mobilisa ses alliés pour affirmer son droit absolu à tuer qui il souhaite parmi ses sujets, tandis que le Liban se tint prudemment sur la réserve. Riyad décida d'y voir une forme d'ingratitude au regard des milliards déversés durant des années pour soutenir le 14-Mars, c'est-à-dire la coalition des partis communautaires libanais collaborant avec Israël.

Surtout, Riyad décida de couler l'économie libanaise en interdisant à ses sujets de se rendre au Liban et en faisant étendre cette interdiction aux Bahreïnis et aux Émiratis. Privé de ses touristes du Golfe, les commerces et les banques sont immédiatement entrés en récession.

 

Source: voltairenet.org

Poutine ordonne le début du retrait des forces russes de Syrie car « les objectifs ont été atteints »


Poutine ordonne le début du retrait des forces russes de Syrie car « les objectifs ont été atteints »
 

Le président russe Vladimir Poutine a ordonné au ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou,d'entamer le retrait des troupes de Syrie à partir du 15 mars. «J'estime que les objectifs fixés au ministère de la Défense ont été atteints de manière générale. C'est pourquoi j'ordonne de commencer le retrait d'une partie importante de notre groupe militaire du territoire de la République syrienne arabe à partir de demain », a déclaré Vladimir Poutine lors de sa rencontre avec le ministre de la Défense Sergueï Choïgou et le ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Moscou maintiendra toutefois opérationnelles ses bases aérienne à Khmeimim près de Lattaquié et navale à Tartous, pour contrôler le respect du cessez-le-feu entré en vigueur en Syrie le 27 février dernier, a ajouté le président russe.

 

Cette déclaration intervient après une conversation téléphonique entre Vladimir Poutine et Bachar el-Assad a eu lieu le 14 mars à l'initiative de Moscou.

Les deux chefs d'Etat ont reconnu que les actions des forces aériennes russes en Syrie avaient permis de « renverser profondément la situation » à l'égard de la lutte contre les terroristes dans la région, de « désorganiser l'infrastructure des combattants et d'infliger des dommages fondamentaux ».

Vladimir Poutine a aussi demandé à son ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov d'intensifier la participation de la Russie au processus de paix pour résoudre la crise syrienne.

« Nous avons fait tout ce que nous avons pu »

L'ambassadeur russe auprès des Nations unies, Vitali Tchourkine, informera le Conseil de sécurité de la décision de Vladimir Poutine. « Ce sont des consultations informelles, mais bien sûr j'entends en parler », a-t-il déclaré à Genève où se déroulent en ce moment même les négociations sur la Syrie. Il a exprimé l'espoir que les efforts internationaux de la lutte contre le terrorisme continueront quand même. Vitali Tchourkine s'est félicité du succès de l'opération militaire russe : « Nos forces ont agi très efficacement, notre présence militaire sera maintenue.Elle aura pour but d'observer le respect de la cessation des activités militaires », a-t-il encore indiqué. « Nous avons fait tout ce que nous avons pu », a conclu le diplomate russe.

Moscou avait lancé sa campagne antiterroriste de bombardements aériens en Syrie le 30 septembre 2015. L'engagement de la Russie dans cette opération était basée sur le respect du droit international et s'est déroulée en accord « avec une requête officielle du président de la République syrienne arabe », selon Vladimir Poutine.

Les forces aériennes russes ont effectué des frappes aériennes contre Daesh et d'autres groupes terroristes en détruisant leurs équipements militaires, leurs centres de communication, leurs véhicules, leurs armes et leur dépôts.

 

Source: francais.rt.com