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mercredi 24 avril 2019

On sait enfin pourquoi le pôle Nord magnétique de la Terre se déplace si vite


Les scientifiques le savent depuis plusieurs décennies : le champ magnétique terrestre est sujet à de fortes variations. Le pôle Nord magnétique se déplace rapidement, par un mécanisme jusqu'ici mystérieux. Une nouvelle étude pense avoir la réponse.

Les scientifiques le savent depuis plusieurs décennies : le pôle Nord magnétique part à la dérive. En moyenne, il se déplace de 55 km chaque année depuis le milieu des années 1990. Un mouvement très rapide, que les chercheurs n'arrivaient jusqu'ici pas à expliquer.

Dans une récente publication scientifique, deux géophysiciens annoncent avoir trouvé des éléments de réponse. Pour décrire ce mouvement, les scientifiques le comparent à "un coup d'accélérateur qui survient brutalement au milieu d'une évolution plus calme. Un peu comme si une voiture roulant à une vitesse constante voyait soudain sa vitesse augmenter".

Simulations numériques à l'appui, ils ont cherché à analyser la survenue des secousses magnétiques qui provoquent ce déplacement du pôle Nord magnétique. Des travaux qui ont nécessité l'équivalent de 4 millions d'heures de calcul.

L'importance du champ magnétique 

Selon les géophysicien, tout se joue dans le noyau liquide de notre Terre, là où le champ magnétique prend sa source. Les ondes hydromagnétiques, qui se propagent dans le noyau, se propagent vers l'extérieur. En arrivant à la surface du noyau, soit 2.900 km sous nos pieds, ces ondes sont focalisées et amplifiées. Un mouvement qui se manifeste à la surface par des "secousses géomanétiques". 

Outre l'intérêt évident pour la navigation, le champ magnétique terrestre est extrêmement important car il nous protège comme un bouclier contre les vents solaires, flux de plasma rejetés par notre astre et potentiellement mortels.

Source: maxisciences.com

Du Sri Lanka à Paris, le christianisme est soumis à une attaque totale alors que la «religion de la paix» crée la panique et sème le chaos


Dans cet article du Baltimore Sun du 8 avril, qui relatait un reportage local qui avait attiré très peu l'attention des médias grand public nationaux parce que cela allait totalement à l'encontre de leur programme, ils ont raconté l'histoire d'un homme du Maryland âgé de 28 ans qui, inspiré par ISIS, avait volé une fourgonnette U-Haul et avait prévu de l'utiliser pour abattre le plus de piétons possible dans une attraction touristique très prisée du Maryland. Heureusement, il a été arrêté après que les forces de l'ordre eurent découvert le camion volé et l'avaient arrêté.

Après son arrestation, il a déclaré aux responsables de l'application de la loi: «J'allais simplement continuer à conduire, à conduire. Je n'allais pas m'arrêter », déclarant aux autorités qu'il souhaitait créer« la panique et le chaos »comme l'attentat meurtrier provoqué par un camion inspiré par l'Etat islamique qui a coûté la vie à 84 personnes à Nice, en France, en 2016. Pourtant, le récit de Baltimore Sun est venu dans les dernières phrases quand les journalistes ont interviewé une connaissance .:

Des connaissances d'Henry ont exprimé leur surprise devant les allégations.

Osman Alaalla, 61 ans, est venu prier lundi soir à 17 heures. service à la Société islamique de Germantown. Il a dit qu'Henry dirigeait généralement ce service.

Alaalla a décrit Henry comme un homme calme et gentil, mais a ajouté qu’il ne savait rien de sa vie personnelle. Il a dit qu'il viendrait prier et partir.

«Il est très pacifique», a-t-il déclaré.

Quelques semaines plus tard, dans cet article du Daily Mail, qui raconte qu'avant de se faire exploser lui-même et d'innombrables autres dans l'un des attentats à la bombe contre l'église de Resurrection Sunday au Sri Lanka, l'un des kamikazes avait été capturé en vidéo se dirigeant vers l'église 'caresser la tête d'un jeune enfant avant qu'il n'entre dans l'église et a causé une destruction totale.

Si ces deux histoires illustrent la "religion de la paix" que les musulmans disent de l'islam, le monde entier connaît d'énormes problèmes, car la dernière chose à obtenir est la "paix" d'une philosophie politique en guerre avec le reste du monde depuis plus de 1000 ans.

Source:  Stefan Stanford, allnewspipeline.com
Adaptation: Benoit Godin

Comment les robots sous-marins russes pourrait-ils révolutionner les batailles navales


La Russie a fait un pas de plus vers la création d'un type d'armement unique, qui effraie tant les Américains: le drone sous-marin Poséidon. Le sous-marin nucléaire Belgorod a été mis à l'eau, qui embarquera les drones en question. Comment fonctionnera cet engin très secret et quelles seront ses capacités?
Le 23 avril 2019, Vladimir Poutine a participé au lancement de la construction de deux frégates du projet 22350, l'Amiral Amelko et l'Amiral Thcitchagov, au chantier naval Severnaïa Verf de Saint-Pétersbourg. Il a assisté à l'assemblage de deux grands blocs de la coque de la corvette du projet 20386 Mercury, écrit le quotifien Vzgliad.
De plus, le chef de l’État a assisté en visioconférence à la cérémonie de lancement de la construction de deux grands navires de débarquement du projet 11711 Vassili Trouchine et Vladimir Andreev au chantier naval baltique Iantar de Kaliningrad, puis, clou du spectacle, à la mise à l'eau du nouveau sous-marin nucléaire Belgorod du projet 09852 au chantier Sevmach de Severodvinsk. C'est ce bâtiment qui deviendra le premier porteur de drones sous-marins d'attaque Poséidon (code Otan «Kanyon»)

Beaucoup de choses ont été dites sur le Poséidon. Vladimir Poutine avait fait de la publicité à cet appareil sous-marin à portée illimitée en l'évoquant dans son allocution devant l'Assemblée fédérale l'an dernier, quand ce drone était encore connu des spécialistes comme le projet Statut-6. En février  dernier, le président russe a annoncé que le premier sous-marin nucléaire porteur de Poséidon était prêt à être mis à l'eau en mai. Et il n'a pas menti: le sous-marin Belgorod est déjà accosté au quai de Severodvinsk.
Pendant deux ans, le sous-marin et les drones participeront à des essais conjoints et c'est approximativement en 2020-2021 que tout le système - car il s'agit précisément d'un système unifié - devrait être mis en service dans la marine russe. La construction du sous-marin Belgorod sera achevée à flot avec des essais à quai et des tests de la propulsion nucléaire au même moment.
Très récemment, la chaîne CNBS, se référant à un rapport du renseignement américain, affirmait que le Poséidon ne serait pas mis en service dans la marine russe avant 2027. Le reportage soulignait que les États-Unis ne disposaient pas d'analogue de cette arme russe, que le sous-marin porteur de drones submersibles nucléaires était «difficile à identifier», et que les drones qu'il lançait étaient «difficiles à éliminer». Bref, le renseignement américain s'est trompé de 6-7 ans dans son estimation.
On sait depuis longtemps que le sous-marin Belgorod sera le premier porteur officiel de Poséidon (d'autres sous-marins avaient été utilisés lors des essais précédents). L'équipage du sous-marin a été préalablement constitué: il sera dirigé par le commandant de vaisseau Anton Alekhine, qui a traditionnellement brisé une bouteille de champagne sur le bord du sous-marin ce 23 avril. Un autre porteur de drones sous-marins sera le jumeau du projet 09851 Khabarovsk, dont la construction se termine actuellement au chantier naval Sevmach.
source: sputniknews.com

Défense russe: l’échelon spatial du bouclier US pourra frapper tout pays depuis son orbite


La Russie est préoccupée par la décision de Washington de déployer en orbite des moyens de défense antimissiles, ce qui permettra aux États-Unis d’effectuer des frappes préventives contre tout pays du monde, indique le ministère russe de la Défense.
La décision des États-Unis de créer dans l'espace l’échelon de leur bouclier pour abattre des missiles aux premières étapes de leur vol fait renaître le concept de «guerre des étoiles» des années 1980, a déclaré le général-lieutenant Viktor Poznikhin, lors d’une conférence de sécurité à Moscou.
«L'analyse de leurs actions probables montre que les États-Unis ont l'intention d'atteindre une supériorité stratégique en détruisant des missiles balistiques avant qu’ils ne quittent leurs lanceurs», a-t-il souligné.
D'après lui, grâce aux missiles déployés dans l'espace, les États-Unis auront la possibilité d’effectuer des frappes partout dans le monde.
«Tout comme dans le cas des systèmes Mark 41 [systèmes de lancement vertical déployés par les États-Unis en Europe et capables de lancer des missiles Tomahawk, ndlr.], nous n’excluons pas que des moyens spatiaux soient utilisés pour des frappes préventives sur des objectifs situés en Russie et en Chine. Compte tenu de la manière globale dont l'espace est utilisé, une telle frappe peut viser des objectifs dans n'importe quel État», a-t-il ajouté.
En juin 2018, Donald Trump avait ordonné au Pentagone de créer une Force de l'espaceen tant que nouvelle branche indépendante des Forces armées du pays. Selon ses dires, les États-Unis sont résolus à obtenir le leadership dans l'espace et n'envisagent pas de «traîner» derrière la Russie et la Chine. Fin février 2019, le Président américain a signé une directive visant à l'établir.
En réponse de ces démarches, le chef d'état-major russe avait déclaré que si les États-Unis continuent à avancer vers une militarisation de l'espace, la Russie sera obligée de prendre des mesures réciproques et asymétriques.
Toujours en février et suite au retrait des États-Unis du Traité FNI et à la sortie qui a suivi de la Russie de ce Traité, Vladimir Poutine a annoncé l'intention de Moscou de renforcer son arsenal pour pouvoir se défendre face aux missiles de l'Otan, ainsi que développer les nouvelles technologies de fusée, mais a précisé que son pays ne serait plus impliqué dans la course aux armements.
Source: sputniknews.com

mardi 23 avril 2019

Un million d'espèces pourraient être menacées par la 6e "extinction de masse"


L'Homme dépend de la nature mais la détruit méthodiquement: jusqu'à un million d'espèces animales et végétales pourraient être menacées d'extinction, dont beaucoup "dans les prochaines décennies", selon un projet de rapport de l'ONU sur la biodiversité, obtenu mardi par l'AFP.
Eau potable, forêts qui absorbent le CO2, insectes pollinisateurs nécessaires aux cultures, poissons... La plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) va se réunir du 29 avril au 4 mai à Paris pour adopter la première évaluation mondiale des écosystèmes depuis près de 15 ans. L'état des lieux de la biodiversité devrait être aussi inquiétant que les prévisions sur le changement climatique.

Le rapport de 1.800 pages sur lequel travaillent 150 experts de 50 pays depuis 3 ans sera accompagné d'un "résumé pour les décideurs" qui doit être discuté ligne à ligne et adopté par les 130 pays membres de l'IPBES, sur le modèle des rapports du Giec sur le climat.

Selon le projet de résumé obtenu par l'AFP, dernier en date, daté de janvier, diverses "preuves indépendantes signalent une accélération rapide imminente du taux d'extinction des espèces (...) même si les facteurs (de cette extinction) ne s'intensifient pas".

680 espèces disparues depuis 500 ans
Sur les 8 millions d'espèces estimées (dont 5,5 millions d'espèces d'insectes) sur la planète, "un demi-million à un million d'espèces devraient être menacées d'extinction, dont beaucoup dans les prochaines décennies", poursuit le texte. La formulation peut changer selon ce que les gouvernements décideront de mettre en avant, mais pas les conclusions scientifiques. 

Ces projections correspondent aux mises en garde de nombreux scientifiques qui estiment que la Terre est au début de la 6e "extinction de masse", la première attribuée à l'Homme qui a déjà fait disparaître au moins 680 espèces de vertébrés depuis 500 ans.

Le rapport est en partie basé sur l'analyse d'espèces bien étudiées, notamment les vertébrés, mais met en avant les "incertitudes" concernant nombre d'autres moins connues, en particulier les insectes.

Source: 7sur7.be

dimanche 21 avril 2019

BREAKING - 8 explosions dans des hôtels et églises au Sri Lanka: au moins 207 morts


Dernier bilan: Au moins 207 morts dont 35 étrangers. 469 blessés
Parmi les morts, des britanniques, néerlandais, japonais, portugais, chinois et des américains (hôpitaux)
Au moins 2 kamikazes. 
7 suspects arrêtés

Une huitième explosion a frappé ce dimanche 21 avril le Sri Lanka, qui a vu se succéder depuis ce matin une série d’attaques meurtrières. La dernière d'entre elles s'est produite à Colombo, la capitale.
La police signale une nouvelle explosion, la huitième depuis ce matin au Sri-Lanka. Elle a frappé un lieu non-précisé d'Orugodawatta, banlieue nord de Colombo, selon les autorités.
La précédente explosion, qui avait retenti peu de temps avant, s'est produite dans un hôtel de Dehiwala, près des jardins zoologiques nationaux du Sri Lanka. Elle a fait au moins deux morts et une dizaine de blessés, selon des médias.
Suite à la septième et huitième explosion, les autorités sri-lankaises ont déclaré avoir coupé l'accès aux réseaux sociaux principaux, WhatsApp, Viber et Facebook.
En outre, le ministre de la Défense a ordonné un couvre-feu de 12 heures à partir de 18h00, heure locale.
Plus tôt dans la journée de ce 21 avril, six autres explosions ont frappé trois hôtels prestigieux et une église de Colombo, ainsi que deux autres églises proches de la capitale sri-lankaise dans lesquelles était célébrée la messe de Pâques, selon la police. Le bilan provisoire est de 191 morts et plus de 450 blessés, selon la chaîne News 1st. Aucun groupe terroriste n'a pour le moment revendiqué ces attaques.
Source: wikistrike.com
P.S. La vague de destruction d'églises et bâtiments reliés aux Catholiques semble se poursuivre ces jours-ci.... Où sera le prochain attentat???