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samedi 14 mai 2016

Les États-Unis menacent la Russie: Les forces des US-OTAN “ déplacent leurs entraînements vers une position de guerre active ”


Dans un rapport publié par le " American journal, National Security News," lors de la journée du 9 Mai, journée de la célébration de la victoire russe et ses forces alliées contre les forces facistes en 1945, il a été déclaré  que, “ en termes sur la menace occidentale en référence à la Russie-EUCOM  (  Forces Américaines des Commandes Européenne ) qui déplaceraient leurs entraînements vers une position de guerre active. ”

 

Cet article continu,  “ ceci ne veut pas dire que les US planifient une guerre avec la Russie, simplement qu`ils changeront leur structure des forces de la façon à dissuader Moscou et défendre l`OTAN et ses partenaires Européens si jamais le Président Russe Vladimir Poutine tentait de faire ce qu`il a fait avec l`Ukraine. ”

 

Bien entendu, les auteurs ne déclarent pas que la Russie “ tentait en Ukraine, ” parce que cette phrase est une couverture pour les Américains pour un putsch arrangé pour mettre au pouvoir des marionnettes dans le gouvernement à Kiev. Le regime a ainsi attaqué on peuple dans l`Est de l`Ukraine parce qu`ils avaient refusé le coup Américain contre leur président démocratiquement élu et l`écrasement de leur culture.  Et les Américains disent qu`ils " ne planifient pas une guerre, " qui sait ce qu`ils préparent réellement.  Quelles sont les guerres en Ukraine, en Syrie, la destruction ede la Yugoslavie et de la Libye, mais une partie de guerre contre la Russie? 

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Cet article alors réferre vers les " relations entre les US et la Russie, et de Moscou continuant ses actions aggressives et belligérentes contre les US, ses navires de guerre et les espaces aériens internationaux. " Encore, le code signifiant que " la Russie ne nous laissera pas marcher sur eux en Baltique, en Ukraine, en Syrie ou tout autres endroits. "

 

Extraits de l`auteur Christopher Black

Source: beforeitsnews.com

Traduction Benoit Godin

vendredi 13 mai 2016

Le bouclier US en Roumanie serait incapable d' intercepter les missiles russes

Le système antimissile US déployé en Roumanie plus tôt dans la semaine n'a pas pour l'objectif d'intercepter les missiles russes, affirme le Pentagone. D'après un communiqué publié sur le site officiel du département US de la Défense, les "capacités limitées" de l'ABM américain en Europe ne sont pas suffisantes pour intercepter les missiles balistiques russes. "Il est important de poursuivre notre coopération avec la Russie pour assurer la stabilité régionale et la sécurité au niveau international. Nous assurons Moscou que notre système de défense antimissile en Europe n'est pas en mesure d'intercepter les missiles balistiques intercontinentaux russes", lit-on dans le document. Selon les militaires américains, le déploiement de l'ABM européen a pour l'objectif principal de contrer la menace balistique émanant de l'Iran. "Aussi longtemps que l'Iran continuera de développer et de déployer des missiles balistiques, les Etats-Unis coopéreront avec leurs alliés et partenaires en vue de se protéger contre ces menaces", explique le Pentagone. Jeudi 12 mai, les Etats-Unis ont activé leur système de défense antimissile construit en Roumanie, en dépit des protestations de Moscou qui estime que le dispositif est dirigé contre son arsenal militaire. Le site, équipé d'un radar, d'intercepteurs de missiles et de systèmes de communication, est le premier élément d'un bouclier censé protéger l'Europe des "Etats voyous". Lors de la cérémonie d'inauguration du site, le vice-secrétaire américain à la Défense Robert Work a nié que le système visait à protéger l'Europe de toute menace russe. Le système antimissile installé en Roumanie s'inspire du système américain Aegis. Il s'appuie sur les radars qui détectent le lancement d'un missile balistique. La Russie a auparavant annoncé son intention de renforcer ses frontières ouest et sud à l'aide de trois nouvelles divisions face au projet de l'Otan de déployer quatre bataillons supplémentaires en Pologne et dans les pays baltes. Source: Sputnik

jeudi 12 mai 2016

Déploiement du système antimissile US en Roumanie: "menace pour la Russie"

La Russie a vivement critiqué jeudi la mise en service du système de défense antimissile américain en Roumanie, dénonçant une "menace directe" pour sa sécurité et promettant en retour de renforcer ses capacités militaires. "C'est une menace directe pour nous. (...) Tout ça est à 100, 200, 300, 1.000% dirigé contre nous. Ce n'est pas l'Iran mais la Russie et ses capacités de dissuasion nucléaire" qui sont visées, a fustigé le président de la commission de Défense du Parlement russe, Vladimir Komoïedov, cité par l'agence Interfax. "C'est un pas de plus dans l'endiguement militaire et politique de la Russie", a abondé Andreï Keline, haut-responsable du ministère russe des Affaires étrangères, ajoutant que ce déploiement "ne peut qu'aggraver la situation déjà compliquée des relations" entre la Russie et l'Otan. "Nous le disons depuis le début (...), nous en sommes convaincus: le déploiement du système antimissile est en soi une menace pour la sécurité de la Russie", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. Ce projet, lancé en 2010, est présenté par Washington comme une protection face à l'Iran ou la Corée du Nord mais Moscou estime qu'il est dirigé contre ses capacités de dissuasion nucléaire. Il s'agit d'un grand sujet de discorde entre l'Otan et la Russie depuis plusieurs années. "Le président Poutine s'est demandé à de nombreuses reprises contre qui ce système est destiné (...) La situation avec l'Iran a drastiquement changé, mais la question reste d'actualité", a poursuivi M. Peskov, en référence à l'accord sur le nucléaire iranien trouvé en juillet 2015. Formé de missiles intercepteurs de type SM-2, ce système défensif est situé à Deveselu, dans le sud de la Roumanie. Il fait partie de la deuxième phase du projet de bouclier antimissile américain, après le déploiement d'un radar en Turquie et de quatre navires Aegis dotés de capacités de défense antimissile à Rota, en Espagne. La troisième phase vise la mise en place d'un système de défense antimissile en Pologne. Les travaux sur le site de Redzikowo, qui débutent vendredi, devraient être achevés fin 2018. La Russie a plusieurs fois exprimé son mécontentement concernant le déploiement du système de défense antimissile américain et d’autres équipements, pointant ainsi du doigt le renforcement de l’OTAN en Europe de l’Est près de sa frontière. De surcroît, l’OTAN poursuit ses exercices militaires dans les pays baltes, ignorant les demandes de Moscou de ne pas attiser les tensions. Le mois dernier, le secrétaire-adjoint de la Défense américaine, Robert Work, a accordé une interview au Wall Street Journal dans laquelle il a dévoilé que l’Alliance atlantique avait l’intention de déployer environ 4 000 soldats au total dans les pays baltes, à proximité des frontières russes, ajoutant que les deux premiers bataillons seraient fournis par les Etats-Unis, les deux autres par l’Allemagne et le Royaume-Uni. Fin avril, Sergueï Lavrov a averti les membres de l’OTAN que s’ils ne cessaient pas leur expansion en Europe orientale, la Russie serait prête à prendre des contre-mesures. Selon le ministre de la Défense russe Sergueï Choïgou, Moscou s’apprête à déployer deux nouvelles divisions à l’Ouest et une au Sud afin de faire face à une intensification de la présence de l’OTAN près de ses frontières. Sources: AFP et RT

mardi 10 mai 2016

Navire de guerre américain en mer de Chine au grand dam de Pékin

Pékin a vivement condamné le passage mardi d'un navire de guerre américain près d'une île artificielle dans des eaux contestées de mer de Chine méridionale, en dénonçant une "menace pour ses intérêts et sa souveraineté". Le destroyer lance-missiles USS William Lawrence a navigué mardi dans les eaux entourant le récif de Fiery Cross (appelé "Yongshu" en Chine), dans l'archipel disputé des Spratleys, a rapporté le Wall Street Journal, citant un responsable militaire américain --une opération destinée à vérifier "la liberté de navigation" dans la zone. Ce récif a été transformé par Pékin en une île artificielle où il a construit une piste d'atterrissage, au grand dam des Philippines et du Vietnam, qui revendiquent également l'îlot. La Chine a confirmé plus tard mardi la manoeuvre américaine, exprimant "son mécontentement et son opposition". Le navire "est entré illégalement dans les eaux entourant des îles et récifs des îles Nansha (nom donné par Pékin aux Spratleys, NDLR) sans permission du gouvernement chinois", a indiqué Lu Kang, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, lors d'un point-presse régulier. "L'action entreprise par les Etats-Unis menace la sécurité, les intérêts et la souveraineté de la Chine, présente des dangers pour les installations et personnes sur les îles (concernées) et porte atteinte à la paix et la stabilité régionales", a poursuivi M. Lu. "Nous prendrons les mesures nécessaires pour protéger notre souveraineté et notre sécurité", a-t-il ajouté, rappelant que l'appartenance de l'archipel et des eaux environnantes à la Chine était "indiscutable". Les Spratleys, qui comprennent une centaine d'îlots et de récifs inhabités, sont en réalité âprement revendiqués par le Vietnam, les Philippines, la Malaisie et Brunei, dont les prétentions se chevauchent parfois. Pour appuyer ses revendications, la Chine y mène d'énormes opérations de remblaiement, et considère comme ses eaux territoriales la zone des 12 milles autour d'îles artificielles, construites sur des îlots qui affleurent parfois à peine. Mais les Etats-Unis rejettent cette revendication, estimant que la Chine ne peut se construire ainsi une souveraineté sur ces eaux stratégiques, où passent des routes importantes de transport de fret et d'hydrocarbures. SourAFP

dimanche 8 mai 2016

Corée du Nord: usage de l’arme nucléaire qu’en cas d’agression, affirme Kim

La Corée du Nord ne fera usage de ses armes nucléaires que si sa souveraineté était menacée par une autre puissance nucléaire, a déclaré le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un devant le congrès du Parti des travailleurs de Corée (PTC). "Comme puissance nucléaire responsable, notre république n'utilisera pas une arme nucléaire sans que sa souveraineté ne soit violée par des forces hostiles et agressives avec des bombes atomiques", a déclaré samedi Kim Jong-Un, cité dimanche par l'agence officielle KCNA. Il a aussi promis que Pyongyang "remplira fidèlement" ses engagements de non-prolifération et fera pression pour une dénucléarisation mondiale. La Corée du Nord s'est retirée en 2003 du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, qui oblige les Etats à "poursuivre de bonne foi des négociations sur des mesures relatives au désarmement nucléaire". Le pays est sous le coup d'une série de sanctions internationales depuis qu'elle a mené son premier essai de bombe atomique en 2006, suivi par trois autres et par de nombreux tirs de missiles. Le dernier essai nucléaire a eu lieu le 6 janvier, et Pyongyang a assuré qu'il s'agissait d'une bombe à hydrogène ou bombe H. Le premier congrès organisé depuis 1980 du parti unique en Corée du Nord s'est ouvert vendredi et devrait confirmer, comme doctrine du parti, la stratégie du "byungjin" initiée par Kim Jong-Un, à savoir le fait de mener en tandem développement économique et programmes nucléaire et balistique. Source: AFP

Fort McMurray: chronologie et évolution de la catastrophe

Fort McMurray, Alberta, Canada ///// Le brasier qui a ravagé Fort McMurray a progressé de façon fulgurante depuis dimanche, selon les autorités, qui estiment que le combat contre les flammes pourrait durer plusieurs semaines si les conditions météorologiques ne s'améliorent pas. Voici une description chronologique de cette catastrophe naturelle qui a provoqué l'évacuation d'environ 90 000 personnes. ///// Samedi 30 Avril: Le feu prend naissance vers 16 h au à l’ouest de Fort McMurray. Il a une superficie de deux hectares lorsqu’il est repéré par les pompiers qui ont mobilisé deux hélicoptères et quatre avions pour le combattre, ainsi qu’une équipe de nuit. En deux heures, le brasier s’est étendu sur une superficie de 60 hectares, malgré les ressources déployées par les pompiers. Dimanche 1 Mai: Dimanche matin, l’état d’urgence est déclaré dans le quartier de Gregoire. Les résidents de Centennial Park, au sud de la route de l’aéroport, font face à un avis d’évacuation obligatoire. Les autorités mettent en garde la population contre la mauvaise qualité de l’air. Lundi 2 Mai: Environ 500 personnes sont évacuées par précaution, alors que l’incendie fait rage à 1,2 km des limites de la ville. La superficie du brasier de 1285 hectares double en une nuit pour atteindre 2650 hectares. Mardi 3 Mai: Le feu prend rapidement de l’ampleur en raison du temps chaud et sec et traverse la rivière Athabasca. Les avis d’évacuation obligatoires se multiplient jusqu’à ce que les quelque 80 000 résidents soient forcés d’évacuer la ville en catastrophe, pendant que le feu détruit des portions de quartiers. Tous les patients du seul hôpital de la région, le centre de santé régional de Northerm Lights, sont évacués avec succès. Mercredi 4 Mai: Les autorités annoncent que 1600 bâtiments de Fort McMurray ont été atteints par les flammes. L’armée canadienne est déployée à Fort McMurray. La Croix-Rouge, des compagnies privées, le gouvernement fédéral et d’autres municipalités offrent leur aide aux citoyens. Le mercure atteint 30 degrés Celsius durant le jour et des vents de 40 km/ h soufflent sur Fort McMurray, alimentant l’immense brasier. Shell interrompt ses activités à Fort McMurray et Suncor réduit sa production. Le gouvernement de l’Alberta déclare l’état d’urgence pour l’ensemble de la province, alors que près de 90 000 ont été évacués. Trois nouvelles municipalités sont évacuées : Anzac, Gregoire Lake Estates et Fort McMurray First Nation. Jeudi 5 Mai: Le gouvernement fédéral annonce qu’il va égaler les dons versés à la Croix Rouge. Le feu s’étend sur approximativement 85 000 hectares. La première ministre de l’Alberta, Rachel Notley, annonce qu’au moins 25 000 personnes ayant été évacuées vers le nord de Fort McMurray doivent être transférées dans des villes du sud en raison du danger imminent. Environ 4000 personnes sont évacuées du nord de la ville pétrolière par voies aériennes. Vendredi 6 Mai: Plus de 1200 pompiers continuent de combattre un total de 40 feux dans la province. Le brasier atteint Anzac et s’étend sur une superficie de 101 000 hectares. En matinée, La Gendarmerie royale du Canada commence à escorter des convois de 50 voitures à la fois sur le tronçon de l’autoroute 63 qui traverse Fort McMurray. La Croix-Rouge canadienne annonce qu’elle a obtenu 30 millions $ en don pour les victimes des feux de forêt en Alberta. Au terme de la journée, près de 7500 sinistrés ont été évacués du nord vers le sud par voies aériennes et terrestres. Samedi 7 Mai: Les autorités annoncent que le feu d’une superficie de plus de 1500 kilomètres carrés pourrait doubler de taille au courant de la journée, en raison du temps sec et chaud. Le transport des sinistrés reprend samedi matin au milieu d'un épais nuage de fumée sur l’autoroute 63 qui rend la circulation difficile. L’objectif du gouvernement est d’évacuer les derniers 4000 sinistrés toujours réfugiés au nord. La pétrolière Syncrude suspend l’ensemble de ses activités. Dimanche 8 Mai: Le feu baptisé " la Bête " a doublé sa superficie et semble se diriger vers la Saskatchewan. Les prévisions météo sont décevantes pour la région , on annonce 26° et 30% de chance de pluie, pas assez pour calmer la Bête. Il faudra des semaines pour éteindre le feu, sinon plusieurs mois au pire. Voici un site de plus de 40 photos de la catastrophe: http://www.journaldemontreal.com/2016/05/06/44-photos-saisissantes-prises-vendredi-a-fort-mcmurray Sources: tvanouvelles.ca /// lejournaldemontreal.com