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vendredi 23 septembre 2016

Pakistan et Russie en manœuvres militaires conjointes inédites


Le Pakistan et la Russie vont mener pour la première fois des manœuvres militaires conjointes, a indiqué l’armée pakistanaise vendredi, en plein regain de tensions indo-pakistanaises.
Cet exercice, prévu de longue date et qui doit démarrer dimanche, est vu comme un rapprochement sur le plan de la défense entre les deux pays qui ont signé en 2014 un pacte de coopération militaire.
Les troupes russes sont arrivées après d’intenses manœuvres militaires de l’armée de l’air pakistanaise ces derniers jours, qui a notamment fait atterrir des avions de combat sur l’autoroute entre Islamabad et Lahore.
« Un contingent de l’armée de terre russe est arrivé au Pakistan pour le premier exercice conjoint russo-pakistanais du 24 septembre au 10 octobre 2016 », a indiqué sur Twitter le porte-parole de l’armée pakistanaise, Asim Bajwa, sans ajouter d’autres détails.
Pour l’analyste militaire pakistanais Hasan Askari, ces manœuvres « témoignent du désir de Moscou d’étendre ses options en Asie du Sud », un résultat « naturel » selon lui du rapprochement entre l’Inde et les États-Unis.
Jeudi, l’armée de l’air pakistanaise a entamé un exercice nommé Highmark, et fermé des portions des autoroutes menant hors de la capitale pour y faire atterrir « plusieurs » avions de guerre, pour la première fois depuis six ans, a indiqué une source au sein des forces de sécurité à l’AFP.
Un peu plus tôt, l’armée pakistanaise avait fermé l’espace aérien au-dessus de la région septentrionale du Gilgit-Baltistan, voisine du Cachemire.
Ces manœuvres interviennent dans un contexte d’escalade entre l’Inde et le Pakistan, deux puissances nucléaires, au sujet d’une attaque contre une base indienne au Cachemire, région contestée secouée par un regain de violence depuis deux mois. Delhi accuse Islamabad d’avoir soutenu en sous-main les auteurs de cette attaque.
L’exercice militaire aérien, destiné à améliorer « la réactivité opérationnelle », durera encore plusieurs semaines, selon cette source.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères a assuré jeudi à Islamabad qu’il s’agissait de manœuvres de routine.
Dix-huit soldats avaient été tués lors de l’attaque dimanche d’une base militaire indienne au Cachemire, le pire attentat depuis plus d’une décennie à avoir frappé cette région himalayenne divisée, accentuant les hostilités entre les deux puissances nucléaires voisines.
Source: AFP

Séoul déclare avoir un plan pour éliminer Kim Jong-un


La Corée du Sud soupçonne Pyongyang de préparer un sixième essai nucléaire et déclare disposer d’un plan pour passer aux choses sérieuses en cas de besoin.

Les troupes d'élite de Corée du Sud sont prêtes à supprimer le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un s'il y a un risque d'utilisation de l'arme nucléaire, a confirmé le ministre sud-coréen de la Défense Han Min-koo lors d'une session parlementaire. « La Corée du Sud a une idée général et un plan qui consiste à utiliser les capacités des missiles de précision pour frapper les cibles ennemies et pour liquider les dirigeants ennemis », a ajouté le ministre. Ces mesures ne seront appliquées que dans le pire des cas.

 La Corée du Nord menace de réduire Séoul en cendres La Corée du Nord est prête à procéder à un sixième essai nucléaire, suppose-t-il. Le 21 septembre, les militaires sud-coréens ont déclaré que Pyongyang planifiait un nouveau test nucléaire souterrain ou un tir de missile de longue portée.

Source: fr.sputniknews.com

Si Ankara franchit la ligne rouge en Syrie, c’est la "guerre mondiale"


L’évolution de l’opération terrestre turque en Syrie augmente le risque d’une troisième guerre mondiale, d’après un expert syrien d’origine turque.
Si les troupes turques franchissent la « ligne rouge » reliant Alep à Idlib au nord de la province syrienne de Lattaquié, elles provoqueront une troisième guerre mondiale, a déclaré à Sputnik Mehmet Yuva, analyste politique syrien et professeur à l’Université de Damas.
« La Russie insiste toujours sur le fait que l’armée gouvernementale syrienne doit contrôler la ligne reliant Alep et Idlib au nord de Lattaquié. C’est la ligne rouge pour la Russie. Si les troupes turques franchissent cette ligne, cela risque de changer radicalement la situation dans la région (…) et de provoquer des hostilités entre les forces étrangères en Syrie, ce qui signifie une nouvelle guerre mondiale », a indiqué M. Yuva.
L’analyste a rappelé que Moscou ne s’était pas opposé au lancement de l’opération turque « Bouclier de l’Euphrate » en Syrie, mais qu’il était préoccupé par le refus d’Ankara de dialoguer avec les autorités syriennes.
« Si Ankara souhaite créer une zone de sécurité à la frontière et (…) neutraliser le groupe État islamique (Daech) dans la région, il doit nouer un dialogue avec les autres acteurs et bien sûr avec le gouvernement syrien. Or la Turquie ne s’est toujours pas montrée prête à établir des contacts avec les autorités syriennes en vue de régler la crise dans le pays. Cela préoccupe sérieusement la Russie et l’Iran qui espéraient qu’Ankara œuvrerait en faveur d’un dialogue direct avec Damas », a ajouté M. Yuva.
L’opération « Bouclier de l’Euphrate » se déroule avec la participation de l’Armée syrienne libre (ASL).
« Tout le monde sait ce que représente l’ASL et qui en fait partie. Il y a également eu des informations selon lesquelles le groupe Ahrar al-Sham envisage aussi de rejoindre l’opération. On se demande si la Turquie compte lancer une offensive près d’Alep », a poursuivi l’expert.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a récemment annoncé, lors de la 71e session de l’Assemblée générale de l’Onu à New York, que la Turquie poursuivrait son opération en Syrie.

Source: wikistrike.com

jeudi 22 septembre 2016

CBS News dévoile les secrets du bouton nucléaire américain


La guerre froide est depuis longtemps terminée, mais les forces nucléaires américaines restent en état d’alerte. L’éventualité d’un conflit nucléaire entre Washington et Moscou n’a donc pas disparu.


Le reporter de CBS News David Martin a réussi à s’entretenir avec ceux qui devront peut-être, un jour, exécuter l’ordre du président américain sur l’utilisation de l’arme nucléaire. Pour ce faire, il lui a fallu pénétrer à bord du sous-marin Kentucky remonté en surface quelque part dans la région de Hawaï. Ce sous-marin, le plus redoutable de l’arsenal américain,  porte 200 ogives nucléaires. Il est commandé par Brian Freck. 

Au début de l’entretien, le capitaine commandant a noté que les ogives embarquées sur son sous-marin étaient 30 fois plus puissantes que la bombe larguée sur Hiroshima.  Quant à la possibilité de détecter le bâtiment, le capitaine est sûr à 200 % que c’est impossible. Le reporter ne  l’a trouvé que  parce que le rendez-vous avait été fixé à l’avance.  Un échange de questions-réponses a suivi:  


David Martin: Si ce bâtiment avait été un pays, vous auriez été une puissance nucléaire.  


Brian Freck: Vous avez tout à fait raison.   


David Martin: Pensez-vous au pouvoir qui est concentré dans vos mains?   


Brian Freck: C’est une responsabilité sérieuse, mais cette responsabilité va de pair avec une formation et une pratique sérieuses.  Une seule personne ne peut pas effectuer le lancement. Les clés sont gardées par moi et par d’autres membres de l’équipage. Une clé est apportée au capitaine par deux matelots et les deux doivent la tenir dans la main. 


David Martin: Et la combinaison du coffre-fort?  

Brian Freck: Personne à bord ne la connaît. Nous la recevons avec l’ordre de lancement. De cette façon, je comprendrai que l’ordre de lancement est donné par le président quand la combinaison qu’il me transmettra permettra d’ouvrir ce coffre-fort.  

Vous voulez dire que le président vous communique littéralement la combinaison du coffre-fort dans lequel se trouve la clé?  

Brian Freck: C’est ça.  L’USS Kentucky, ainsi que tous les autres sous-marins porteurs d’engins nucléaires, les missiles balistiques intercontinentaux et les bombardiers nucléaires, sont commandés par l’amiral Cecil Haney.  Le chef du Commandement stratégique des Etats-Unis Cecil Haney est le haut gradé le plus influent dont vous ne savez rien. Il commande non seulement les forces nucléaires, mais aussi les satellites dans l’espace et les armes cybernétiques.  Son point de presse du matin dans le quartier général du Commandement stratégique à Omaha (Nebraska) est top secret.  

Les questions suivantes sont maintenant adressées à ce militaire omnipotent.  

David Martin: Qui, dans le gouvernement des États-Unis, a le droit de donner l’ordre d’utiliser l’arme nucléaire?  
Cecil Haney: Ce droit n’appartient qu’au président des États-Unis.  

L’approbation du Congrès est-elle nécessaire?  

Cecil Haney: Non, l’approbation du Congrès n’est pas nécessaire.  

Pouvons-nous dire que c’est l’arme personnelle du président?  

Cecil Haney: C’est l’arme de notre pays dont dispose le président. C’est ça.  

L’amiral Haney a fait entrer le journaliste dans le Centre des opérations stratégiques, un site absolument secret situé au troisième étage souterrain. Si un missile est tiré sur les États-Unis, c’est dans ces locaux que parvient l’avertissement et commence le compte à rebours.  Dans cette salle se trouve un coffre-fort avec un exemplaire du « Livre noir », un guide d’action pour prendre des décisions relatives à  l’utilisation de l’arme nucléaire. Un autre exemplaire est dans la mallette nucléaire dont le président ne se sépare jamais.  

David Martin: Combien de temps vous faut-il pour joindre le président en cas de crise?  

Cecil Haney: Très peu de temps.  Si la Russie avait tiré un missile depuis un sous-marin situé non loin de la côte américaine, son vol aurait duré quelques minutes seulement. 

Le président, combien de temps a-t-il pour prendre une décision?  

C’est William Perry, secrétaire américain à la Défense entre 1994 et 1997, qui répond.  

William Perry: Sept, huit, neuf minutes. Cela dépend. Mais pas plus de dix.  

Voulez-vous dire que nous continuons de vivre sur une poudrière?  

William Perry: C’est ça.  

Au fond, rien n’a changé depuis l’époque de la guerre froide et il y a suffisamment d’armes pour anéantir la civilisation.  En 1979, une fausse alerte a été donnée suite à des manipulations erronées d’un officier de service, faisant croire que 200 missiles balistiques intercontinentaux allaient s’abattre sur les États-Unis. Heureusement, le commandement a réussi à prendre des mesures  opportunes  avant d’en informer le président. Ce fut le seul incident en 45 ans, mais William Perry reconnaît qu’une seule fois aurait suffi. 

Les toutes  dernières questions ont été posées à Cecil Haney.  

David Martin: Quelles seront vos actions si le président vous ordonne d’utiliser l’arme nucléaire et que vous n’êtes pas d’accord?  

Cecil Haney: Le président attend qu’en tant que commandant de ses troupes je lui fournisse les meilleures recommandations. Il escompte que je lui donne mon opinion.  

Cela, c’est  votre opinion. Mais si vous n’êtes quand même pas d’accord avec la décision du président?  

Cecil Haney: Je suis un militaire et les militaires ont l’habitude d’exécuter les ordres du chef suprême des armées. 

Source: fr.sputniknews.com

3e nuit a Charlotte....live : Police et Garde Nationale en position



Suite aux agitations des 2 dernieres nuits de violence dans la ville de Charlotte, plus de 250 protestants sont présents dans les rues de cette ville. Le tout est en relation avec la mort dˋun homme noir abattu par la police locale ces derniers jours.

Lˋhomme atteint dˋ un projectile hier soir est décédé et il y été atteint par un individu dans la foule et non par un policier, confirmé par le réseau CNN.

20h15 HNE La foule se déplace dans les rues criant de rendre publique la vidéo du drame.

20h28 La police est en formation pres des lieux, se fait insulter et attend.

20h30 Les autorités déclarent la marche illégale et demandent a la foule de se disperser

20h40 Une partie de la foule continue de marcher dans les rues.

20h41 Un groupe de policiers en formation attend pres des lieux des violences dˋ hier soir.

20h42 Le groupe de protestant se dirige possiblement vers un parc.

20h44 Les protestants semblent plus calmes que les 2 autres soirées.

20h55 Le groupe est toujours en mouvement et marche dans les rues de la ville sans but précis

21h01 La foule scande ˋ Ne tirez pas ˋ, plein de chants sont aussi entendus dans la foule, qui semble vouloir garder son calme, malgré la sensation de ˋ rage ˋ.

21h07 Une hélicoptere survole les protestants... croissant en nombre et qui continu a marcher dans la paix.

21h14 Un petit groupe de protestants tentent de confronter des membres de la Garde Nationale sur les marches dˋ une prison fédérale. Ils sont invités a retourner dans la rue.

21h19 Un autre attroupement aupres de la Garde Nationale,  devant le poste de Police de Charlotte en criant ˋ Nous voulons la vidéo ˋ

21h22 Des protestants avec des mégaphones semblent activer la foule devant la poste de Police.

21h25 La Mairesse de la ville déclare un couvre-feu de 00h00 a 06h00.

21h50 La foule est devenue énorme et divisée a plusieurs endroits et il reste un peu plus de 2 heures avant le couvre-feu et cela ne semble pas les déranger.

22h04 Un journaliste recoit des menaces de la part de protestants lˋ invitant a quitter les lieux et quˋ il nˋ était pas le bienvenu.

22h11 La tension semble vouloir augmenter, le couvre-feu sera un point déterminant ce soir, sera-t-il respecté?

22h40 La foule est estimée a plusieurs millers de personne. Un groupe marche sur lˋautoroute, ils sont repoussés par quelques tirs de gaz lacrymogenes ( non confirmé ) et invité a quitter la route. Lˋ autoroute est fermée a la circulation.

22h48 Un cordon de policiers est en mouvement sur la bordure de lˋ autoroute pour empecher les  protestants dˋ y retourner.

23h00 Les protestants semblent vouloir défier le couvre-feu, ils se rassemblent dans la ville.

23h04 Un aciviste informe la foule que la Garde Nationale est la pour les tirer!

00h05 Un groupe de plusieurs centaines de personnes défient le couvre-feu et marchent encore dans les rues de la ville.

00h20 La police fait savoir que le couvre-feu est un outil et il sera utilisé seulement si la foule devient hors de controle.


Source: CNN Live
Adaptation Benoit Godin

IMPORTANT: La Russie contre-attaque en Syrie - cˋ est la GUERRE !


Des officiers Américains, Britanniques, Turques, Saoudiens et du Katar ont été tué lors dˋ une frappe Russe a Alep en Syrie. 


Selon les réseaux Sputnik-Arabe et FARS News, ces officiers de lˋ intelligence aidaient directement les groupes terroristes a Alep. 


Loin de nous et les médias Occidentaux demeurent muets sur cet incident embarrassant pour admettre que ces nations sont activement impliquées dans la nation Syrienne. 


Maintenant, comment la Russie agira-t-elle avec la Turquie voyant que le tout était un coup monté ? 


Le tout nˋa pas encore été officiellement confirmé, ce qui ne tardera pas a venir.


Source: beforeitsnews.com

Traduction Benoit Godin

mercredi 21 septembre 2016

La Russie déploie un porte-avion en Méditerranée près des côtes de la Syrie


Le ministère russe de la Défense a pris la décision de déployer son porte-avion «Amiral Kouznetsov» en Méditerranée près de la Syrie au sein d'un groupe de navires composé de six navires de combat.
«A l'heure actuelle, pas moins de six navires de guerre et trois ou quatre navires de ravitaillement se trouvent dans notre flottille déployée dans l'est de la mer Méditerranée», a déclaré le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou. Il en a profité pour expliquer que le déploiement de ce porte-avion avait pour but de renforcer les capacités militaires russes dans la région.

Le porte-avion Amiral Kouznetsov peut embarquer l’ensemble d'un groupe d’aviation, soit 26 chasseurs SU-27K ou MiG-29K, ainsi que des hélicoptères Ka-27 et Ka-31. De plus, le navire est doté de missiles de croisière Granit et de systèmes d’armes antiaériennes. Son équipage est composé de 1960 personnes.

Source: russia today

Deux bombardiers américains survolent la Corée du Sud pour intimider Kim Jong-Un


Pour la deuxième fois en un peu plus d'une semaine, les Etats-Unis ont fait voler deux avions de guerre supersoniques dans le ciel sud-coréen. Un signal clairement adressé au leader nord-coréen, qui menace selon Washington la sécurité de son voisin.

Piqûre de rappel pour Kim Jong-Un : les forces armées américaines ne sont jamais loin de la frontière nord-coréenne. Mercredi 21 septembre, rapporte l'agence Reuters, deux bombardiers supersoniques B-1B ont survolé le territoire de la Corée du Sud et l'un des deux engins s'est posé sur la base américaine d'Osan, à 40 km de Séoul. Signal important : d'habitude, les bombardiers sont stationnés sur la base américaine de Guam, dans l'océan Pacifique.

L'aviation américaine s'est posée en Corée pour la première fois en vingt ans

«Aujourd'hui, l'aviation [américaine] s'est posée sur la Péninsule coréenne pour la première fois en vingt ans et a mené le vol le plus proche de la Corée du Nord jamais réalisé», s'est félicité l'US Air Force sur son site internet.
Une double initiative qui, selon le lieutenant général Thomas Bergeson, est une manière pour les Etats-Unis de rappeler à leur allié sud-coréen qu'ils sont bel et bien déterminés à les défendre contre une éventuelle agression de la Corée du Nord.
«Ce que nous montrons aujourd'hui [avec ce vol] n'est qu'un des outils dont nous disposons, parmi une large gamme d'options», a prévenu le supérieur militaire américain, avant d'ajouter : «L'alliance [américano-sud-coréenne] devient plus forte chaque jour et nous restons prêts à défendre et à préserver la sécurité de la péninsule sud-coréenne et de la région.»

Washington et Pyongyang montrent les muscles

Le vol des deux bombardiers étasuniens a été décidé quelques heures après qu'un média public nord-coréen a annoncé que Kim Jong-un, le chef de l'Etat le plus fermé de la planète, avait supervisé l'essai d'un nouveau moteur de fusée, devant permettre de propulser des satellites.

Exrait: rt

mardi 20 septembre 2016

«Les avions de la coalition achevaient les blessés à la mitrailleuse»


Comme c'était prévisible, la trêve en Syrie n'aura pas duré bien longtemps, maximum 48h (et n'a jamais réellement était effective au final). Cette trêve négociée par les Etats-Unis et annoncé comme celle de la dernière chance était censé officiellement apaiser la situation et permettre le dialogue. Au lieu de cela, les terroristes ont violé la trêve à 300 reprises et la coalition en a profité pour aller pilonner les troupes syriennes. Le gouvernement syrien a donc du se résigner aujourd'hui à déclarer la fin du cessez-le-feu. De toute évidence, la paix n'est pas prête d'arriver dans le pays. Le prix nobel de la guerre Obama a eu ce qu'il voulait. Après plus de 5 ans de guerre, la suite des événements dans la région ne s'annonce malheureusement pas glorieuse. Fawkes


Un survivant de la « bavure » perpétrée en Syrie par les avions de la coalition internationale témoigne.

Un survivant de l’attaque menée par les avions de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis doute fort que ce fût une erreur : les avions ont poussé la barbarie jusqu’à abattre les soldats syriens blessés avec des mitrailleuses. 
Un avion de reconnaissance a d’abord survolé les positions de l’armée syrienne, peu après des chasseurs ont lancé une attaque, a raconté ce militaire syrien au site Life.ru. 

« Nous avons pensé que l’avion menait la reconnaissance des positions de Daech. Mais peu après nous avons été attaqués par les chasseurs de la coalition qui ont frappé nos chars, véhicules blindés et pièces d’artillerie. Ils achevaient avec les mitrailleuses nos soldats qui tentaient de se réfugier dans les ruelles. Chaque chasseur a tiré sur nous au moins trois missiles. J’ai vu de mes propres yeux la mort d’environ 100 soldats. Ils ont pilonné nos soldats battant en retraite. Beaucoup ont péri. De nombreux blessés ne pouvaient pas bouger », a-t-il précisé.

 Aussitôt après le raid aérien, les djihadistes sont partis à l’assaut des positions des militaires syriens. 

« Daech a attaqué nos positions, nos soldats ont été capturés. J’ai eu l’impression qu’il y avait un accord entre les Etats-Unis et Daech. Les terroristes étaient en liesse, ils tiraient des coups de feu en l’air comme s’ils fêtaient quelque chose », a ajouté le militaire.

Rappelons que samedi 17 septembre, des avions de la coalition internationale conduite par les Etats-Unis ont bombardé les positions de l’armée gouvernementale syrienne. Au moins 62 militaires syriens ont été tués et environ 100 autres ont été blessés dans cette attaque.

Le Pentagone a déclaré que l’attaque avait été menée « par erreur ». Cependant le ministère syrien de la Défense a condamné cet incident, qualifié d’agression contre la Syrie.

Source: fawkesnews.com

Pyongyang teste un moteur de fusée, étape vers un missile intercontinental


La Corée du Nord a affirmé mardi avoir testé avec succès un nouveau et puissant moteur de fusée, ce qui constituerait une avancée de plus dans ses efforts pour se doter de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM).

Après avoir supervisé ce test à la base de lancement de satellites de Sohae (ouest), le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un a exhorté responsables, scientifiques et techniciens nord-coréens à "achever dès que possible la préparation du lancement du satellite", rapporte l'agence officielle KCNA, citée par l'AFP.

Certains experts pensent que Pyongyang pourrait marquer le 10 octobre l'anniversaire de la fondation du Parti des travailleurs de Corée (PTC) en lançant un satellite.

Kim a également appelé à davantage de tirs de fusées afin que "le pays puisse d'ici quelques années posséder des satellites géostationnaires", a rapporté l'agence.

De son côté, le Rodong Sinmun, principal journal du Nord, publie en "une" une grande photo du jeune dirigeant riant aux éclats et le montre également en train de superviser le test depuis un poste d'observation.

Pyongyang a déjà procédé à des essais de missiles longue portée présentés comme des lancements de satellites. Le dernier remonte au 7 février.

KCNA affirme que le moteur qui a été testé au sol pourrait fournir au pays "une capacité de portée suffisante pour lancer différentes sortes de satellites, y compris des satellites d'observation de la terre", selon l'agence.

Avec ce nouveau moteur, la Corée du Nord "se rapproche de son objectif de se doter de missiles balistiques intercontinentaux qui pourraient frapper le territoire américain", a estimé Chae Yeon-Seok, spécialiste des fusées à l'Institut pour la recherche aérospatiale de Corée, dont les principaux laboratoires se trouvent à Daejeon, au sud de Séoul.  

Nouvel essai d'ICBM en vue?

"Le programme spatial nord-coréen se focalise sur le développement de véhicules de lancement qui peuvent facilement être utilisés pour des missiles, plutôt que sur le développement de satellites dignes de ce nom", a-t-il ajouté.

L'état-major interarmées sud-coréen a estimé que l'essai annoncé mardi visait à vérifier les performances d'un "moteur à forte puissance pouvant être utilisé pour des missiles longue portée".

Pyongyang a affirmé avoir testé le 9 septembre une tête nucléaire susceptible d'être montée sur un missile. Ce cinquième essai nucléaire nord-coréen était intervenu après une série d'essais de missiles de diverses portées les mois précédents, y compris depuis un sous-marin.

Si la Corée du Nord parvient à miniaturiser une bombe nucléaire pouvant être montée sur un missile tout en augmentant et en améliorant la portée et la précision de ses projectiles, elle pourrait atteindre son objectif officiel, qui est de pouvoir frapper le sol américain.

Kim Jong-Un a salué selon KCNA les avancées de son régime dans le domaine des technologies de pointe "en dépit des conditions économiques difficiles du pays", selon l'agence.

La Corée du Nord, qui n'a sur le papier pas le droit de mener des programmes balistique et nucléaire, est sous le coup de cinq séries de résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU lui infligeant de lourdes sanctions économiques.

Elles ne l'ont cependant pas dissuadée de poursuivre ses objectifs. KCNA n'a pas précisé la date à laquelle a été testé le moteur, sachant que les médias officiels ont l'habitude de faire état des activités de Kim Jong-Un avec un jour de retard.

Yang Moo-Jin, professeur à l'Université pour les études nord-coréennes, un établissement de Séoul, a rappelé que Pyongyang s'était fixé un plan de développement spatial de cinq ans qui s'achève cette année.

"Ce nouvel essai annonce un prochain test de missile ICBM", pense-t-il. "Le prochain essai, qui sera présenté comme un lancement de satellite, devrait intervenir lorsque le Conseil de sécurité de l'ONU adoptera de nouvelles sanctions relatives au dernier essai nucléaire, ou alors au moment de l'élection présidentielle américaine en novembre."
Source: almanar.com.lb

Jazayeri met en garde les destroyers et les navires américains


Le Commandant en chef adjoint  des Gardiens de la Révolution islamique, le général Massoud Jazayeri, a mis en garde le Pentagone contre toute tentative de violation de l'espace aérien et maritime de l'Iran : " Nos commandants disposent de prérogatives  leur autorisant de riposter contre toute agression  ou violation de la souverainneté iranienne et ce sans hésiter" a rapporté la chaine satellitaire iranienne alAlam.

S'exprimant dans une interview exclusive accordée à alAlam,  le général Massoud Jazayeri, a souligné que " ceux qui sont venus de l'extérieur de notre région et qui s'y sont campés, ne veulent à aucun prix que le calme règne au Moyen Orient. Leurs intérêts sont la provocation de crises  et leur prolongation".

Et de poursuivre : "La présence d'un Etat puissant tel que l'Iran constitue un facteur de dissuasion et sert  l'intérêt de tous les pays de la région. Nous espérons que tout le monde puisse mettre à profit cette potentialité  de façon pacifique".

Interrogé sur la présence des navires américains dans la région, le général Jazayeri a répondu : " L'Iran essaie d'éviter toute tension et nous pensons que la région de l'Asie de l'ouest est instable à cause de  la présence d'un régime israélien illégal et de son protecteur américain."

Et d'ajouter :" L'Iran n'a jamais cessé d'agir dans le cadre bien précis des lois et du droit maritime mais il se réserve le droit de protéger ses eaux territoriales. Dans cette logique,  la moindre violation de la part de qui que ce soit sera affrontée avec toute notre puissance".

Il a indiqué que " souvent, les soldats US présentent   à leur hiérarchie des rapports inexacts qui se fondent sur la peur et la crainte de venir accomplir leur mission dans une région aussi troublée que le Moyen Orient. Il se peut aussi que certaines informations soient diffusées uniquement dans le bute de menacer l'adversaire".

Pour ce qui est de question syrienne, Jazeyiri  a exprimé un certain pessimisme quant à la trêve en Syrie,: "Je ne suis pas optimiste .. Les Etats-Unis sont  impliqués dans le déclenchement des tensions  dans la région et en Syrie, ainsi  Daesh fait partie de la pensée stratégique américaine, l'Arabie Saoudite et les autres pays  ne sont que des outils à exécution".

Et de conclure : " les Etats-Unis déploient  tous leurs efforts afin porter le plus grand nombre de coups à la Syrie, Etat et  peuple. Or, quand une telle superpuissance annonce une trêve, cela  soulève des questions et la suspicion sur ce qui a été plannifié dans  les coulisses.  Ce n'est pas du pessimisme mais nous avons assisté à beaucoup de trêves qui ont été sabotées par les États-Unis et exploités dans par les  terroristes . La trêve actuelle a prouvé sa fragilité et sa non-fiabilité ".
Source: Agences

Le Charles de Gaulle est de nouveau prêt à entrer en action contre Daech


Le porte-avions français Charles de Gaulle a appareillé lundi soir afin de participer aux opérations pour la reprise de la ville de Mossoul (Irak) au groupe Etat islamique, a indiqué mardi l'état-major des armées.

Paris intensifiera sa lutte contre Daech en Irak « Il a quitté Toulon (sud) hier soir et poursuit son entraînement » avant de mettre plein cap sur la Méditerranée orientale, a déclaré le porte-parole des armées, le colonel Patrick Steiger, sans plus de précisions. Le porte-avions doit être opérationnel « au début de l'automne », avait-il dit début septembre. Il viendra « appuyer les forces irakiennes pour la reprise de la ville de Mossoul », tenue depuis 2014 par le groupe EI, avait-il alors ajouté. Avec 24 chasseurs Rafale Marine à bord, le Charles de Gaulle va tripler les moyens aériens engagés par la France contre l'EI en s'ajoutant aux 12 Rafale stationnés en Jordanie et aux Emirats arabes unis. Comme à l'automne 2015, il sera déployé en Méditerranée orientale, beaucoup plus près de la Syrie et l'Irak que lorsqu'il est stationné dans le Golfe.


Quel bilan pour les frappes françaises contre Daech? La France a aussi envoyé des canons Caesar à l'armée irakienne en vue de la reprise de Mossoul. Ces batteries d'artillerie, montées sur camion, ont une portée de 40 kilomètres. Le Charles de Gaulle est engagé pour la troisième fois contre l'EI depuis janvier 2015. Ce sera le dernier déploiement de l'unique porte-avions français avant un arrêt technique majeur de 18 mois au début 2017.La ville de Mossoul, prochain objectif des forces irakiennes soutenues par la coalition internationale, peut être reprise d'ici la fin de l'année, affirme l'armée américaine qui dirige la coalition internationale engagée contre l'EI en Irak et Syrie. Après une série de revers, l'EI se concentre désormais autour de ses deux places fortes de Mossoul et Raqqa en Syrie. Ses voies d'approvisionnement extérieur via la Turquie sont désormais coupées depuis l'offensive turque le long de la frontière turco-syrienne.

Source: fr.sputniknews.com

lundi 19 septembre 2016

Attaque contre l’hôpital MSF au Yémen: la bombe est de fabrication US


Une bombe américaine a été employée lors de l’attaque meurtrière menée le 15 août dernier contre un hôpital yéménite soutenu par Médecins sans frontière. Dans ce contexte, Amnesty International a exhorté Washington et Londres à cesser d’armer la coalition arabe.

Rappelez-vous du raid de la coalition conduite par l'Arabie saoudite contre l'hôpital d'Abs (nord-ouest du pays) qui avait fait à la mi-août 19 morts et 24 blessés ? Or, il s'avère que l'une des bombes était de fabrication américaine, a annoncé l'ONG de défense des droits de l'Homme Amnensty International. Selon des experts en armement consultés par l'ONG, il s'agit d'une bombe aérienne à guidage de précision de type Paveway. « Il est scandaleux que des États aient continué à fournir à la coalition menée par l'Arabie saoudite des armes, y compris des bombes aériennes et des avions de combat, malgré la preuve évidente que ces armes sont utilisées pour attaquer des hôpitaux et d'autres cibles civiles en violation de la loi humanitaire internationale », a déclaré Philip Luther, directeur de recherche à Amnesty, cité par l'AFP.  

Nouvelle frappe contre un hôpital MSF au Yémen: "Les gens n'ont plus accès à la santé" Amnesty International a en outre exhorté Washington et Londres à cesser de livrer aux pays de la coalition arabe des armes susceptibles d'être employées au Yémen. Depuis 2014, le Yémen est en proie à un conflit armé opposant les rebelles houthis et les militaires loyaux à l'ancien président Ali Abdallah Saleh aux forces gouvernementales et aux milices populaires soutenant le président en exercice Abd Rabbo Mansour Hadi. Dirigée par l'Arabie saoudite, la coalition arabe effectue depuis mars 2015 des raids sur les zones contrôlées par les rebelles houthis. Le bilan des victimes du conflit est évalué à plus de 6 600 morts depuis mars 2015.

Source: fr.sputniknews.com

L'armée syrienne déclare la fin du cessez-le-feu


Les forces armées syriennes ont annoncé que le cessez-le-feu instauré il y a sept jours avait pris fin.

Le commandement syrien a déclaré lundi la fin du régime de cessez-le-feu dans un communiqué, cité par l'agence SANA. Les militaires syriens en ont attribué la responsabilité aux groupes radicaux. « Il était prévu que la trêve soit une vraie chance pour mettre fin aux exactions, mais les terroristes n’ont respecté aucune clause du cessez-le-feu, le nombre de violations de leur part a dépassé la barre des 300 », lit-on dans le communiqué du commandement. 


Le cessez-le-feu n’est respecté que par l’armée syrienne, précise Moscou Les militaires syriens ont fait tout leur possible afin d'observer la trêve et ont gardé leur sang-froid pour affronter ces violations. Seule l'armée gouvernementale syrienne a honoré la trêve entrée en vigueur mardi dernier, quant aux États-Unis et aux forces de l'opposition qu'ils soutiennent, ils n'ont respecté aucune clause de la trêve et la brisaient régulièrement, selon l'état-major des Forces armées de Russie. Depuis son entrée en vigueur, le régime de cessez-le-feu a été violé par l'opposition à 302 reprises. 63 civils ont trouvé la mort, 252 autres ont été blessés. Les pertes parmi les militaires s'élèvent à 153 personnes.

Source: fr.sputniknews.com

Etats-Unis : un Afghan naturalisé américain suspecté d'avoir provoqué l'explosion de New York


La police de New York a révélé l'identité de la personne qu'elle souhaiterait interroger au sujet de l'explosion d'une bombe ayant fait 29 blessés, le 17 septembre.C'est un Américain d'origine afghane, âgé de 28 ans.

Ahmad Khan Rahami : c'est le nom de l'homme contre lequel la police new-yorkaise a lancé un avis de recherche, lundi 19 septembre, selon l'agence Reuters. Les autorités de la ville américaine souhaitent interroger cet habitant du New Jersey, Afghan naturalisé américain, qu'elles soupçonnent d'être lié à l'explosion d’une bombe improvisée dans une poubelle de Manhattan, le soir du samedi 17 septembre. Les personnes qui apercevraient le suspect sont appelées à contacter le numéro 911, afin d'avertir les forces de l'ordre.
Le maire de New York, Bill De Blasio, a relayé sur Twitter l'avis de recherche diffusé par la police de la ville.

Interrogé sur la chaîne CNN, l'élu démocrate a signalé que l'homme pouvait «être armé et dangereux», reprenant les informations fournies par le FBI.
Le gouverneur de l'Etat de New York, Andrew Cuomo, a lui aussi appelé la population à rester vigilante, tout en précisant que les autorités ne disposaient d'aucune information suggérant l'éventualité d'autres attaques.
Sur la chaîne de télévision NBC, enfin, l'ancien chef de la police Bill Bratton a déclaré qu'il s'agissait «probablement [de] la première attaque terroriste d'envergure depuis le 11 septembre» à New York.

Multiplication des tentatives d'attentats aux Etats-Unis


29 personnes ont été blessées à la suite de l'explosion de samedi soir, sur la 23e rue, à Chelsea, dans Manhattan – quartier particulièrement fréquenté. Le drame s'inscrit dans une série d'attaques aux Etats-Unis au cours du weekend : samedi soir également, un homme a blessé neuf personnes à l'arme blanche dans un centre commercial du Minnesota – une attaque revendiquée par le groupe terroriste Etat islamique – tandis que plus tôt dans la journée, une bombe avait explosé dans le New Jersey sur le parcours d'une course à pied, sans faire aucun blessé. Dimanche, plusieurs engins explosifs artisanaux ont été retrouvés par la police dans l'Etat du New Jersey, mitoyen de celui de New YorkLundi, enfin, une nouvelle explosion a retenti dans une gare du New Jersey, alors qu’un colis suspect a été repéré par les forces de l'ordre.        
Les autorités n'ont pour l'instant établi aucun lien entre ces différents attentats ou tentatives d'attaques.    

Source: rt      

Le Danemark impliqué dans les frappes contre l'armée syrienne


Deux chasseurs F-16 des forces aériennes danoises ont participé aux frappes contre les positions de l'armée syrienne près de la ville de Deir ez-Zor qui ont fait 62 morts et environ 100 blessés parmi les soldats syriens, rapporte le service de presse des forces armées danoises. « Deux F-16 ont été utilisés dans ces attaques aux côtés des avions d'autres pays. Les frappes ont été immédiatement interrompues après que la Russie a signalé la mort des militaires syriens », lit-on dans un communiqué. 
 
Auparavant, l'Australie avait également déclaré que ses avions avaient participé à ces frappes. 
Samedi, le ministère russe de la Défense a rapporté que l'aviation de la coalition internationale dirigée par les États-Unis avait effectué quatre frappes sur les positions des militaires syriens encerclés par les terroristes du groupe Daech près de la ville de Deir ez-Zor. 

Ces raids ont fait 62 morts et environ 100 blessés parmi les militaires.Les États-Unis ont confirmé avoir effectué les raids. Selon des porte-parole du Pentagone, les militaires étaient convaincus de bombarder des positions de Daech et ont cessé l'opération immédiatement après avoir découvert l'erreur. L'administration de Barack Obama a présenté ses excuses formelles pour les pertes humaines causées par la frappe de samedi dans les rangs des troupes fidèles au président syrien Bachar el-Assad. 

Suite à cet incident, Moscou a convoqué d'urgence une réunion du Conseil de sécurité de l'Onu. Rappelons que l'attaque en question est survenue une semaine après l'accord Lavrov-Kerry sur la Syrie. Dans le cadre de l'application de ce dernier, une trêve a été instaurée sur l'ensemble du territoire syrien mardi à 19h00 heure locale. 

Source: wikistrike.com