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samedi 2 novembre 2019

Vient de paraître: Se préparer à la guerre avec l’Iran. MISE À JOUR: Des roquettes sont tirées, Israël est sous attaque!


Se préparer à la guerre avec l’Iran, c’est la raison pour laquelle Israël a fermé ses ambassades dans le monde entier.

L’armée de l’air israélienne a ajusté ses défenses aériennes et les ambassades israéliennes dans le monde ont renforcé leur niveau d’alerte à la lumière des tensions accrues en provenance d’Iran.

Selon des informations parues dans les médias en hébreu, une série d'ajustements ont été apportés aux systèmes de défense antiaérienne de l'IAF, compte tenu de la crainte que l'Iran tente de mener une attaque utilisant des missiles de croisière ou des drones suicide, à l'instar de l'attaque d'octobre contre l'Arabie saoudite.

L’Iran dispose de plusieurs roquettes qui pourraient atteindre le territoire israélien, notamment le Khoramshahr 2 d’une portée maximale de 2 000 kilomètres, mais on ignore si ces missiles ont été transférés au Yémen.

MISE À JOUR: ISRAEL EST SOUS LE FEU D'UNE ATTAQUE PAR MISSILES  PROVENANT D' UN LIEU INCONNU POUR LE MOMENT.

Plus de détails à venir...

Source: beforeitsnews.com

mercredi 30 octobre 2019

URGENT: Israël ferme toutes ses ambassades



Une nouvelle troublante est tombée en ce jour du 30 Octobre 2019,  il est question de la fermeture de toutes les ambassades d'Israël dans le monde.

Pourquoi toutes ces fermetures jusqu'à nouvel  ordre?

Que va-t-il se passer d'ici peu?

Voici la raison officielle du pays: 


Toutes les ambassades et les consulats israéliens ont suspendu leur mission en raison d’un conflit entre le ministère des Affaires étrangères et le ministère des Finances du pays. Des annonces ont été publiées sur le site officiel du ministère israélien des Affaires étrangères et sur les comptes Facebook des ambassades.
Les missions diplomatiques d’Israël se sont retrouvées obligées d’arrêter leur mission en raison de la décision du ministère israélien des Finances de ne «pas respecter» des accords.

Il est presque inconnu que tout pays, même avec des autorisations financières en retard, ferme ses ambassades. Ce n’est tout simplement pas fait. Pourtant, Israël le fait.


C’est soi-disant un problème du ministère des Finances, mais je n’ai jamais entendu parler d’un pays qui ferme TOUTES ses ambassades, jamais. Pas à moins qu’ils partent en guerre.

À surveiller de près...

Source: Internet

dimanche 27 octobre 2019

La forêt amazonienne atteindra un « point de bascule irréversible » d'ici deux ans à peine


La forêt amazonienne atteindra un « point de bascule irréversible » d'ici deux ans à peine
L’Amazonie brûle, et le point de non-retour est plus proche qu’on ne le pensait : un rapport du Peterson Institute, un groupe indépendant étudiant les problématiques économiques mondiales, basé à Washington D.C., indique qu’à ce rythme de déforestation, la forêt amazonienne sera condamnée en 2021.

L’AMAZONIE, FONDAMENTALE À NOTRE PLANÈTE, EST GRAVEMENT MENACÉE

L’Amazonie couvre 60 % de la superficie du Brésil, accueille 18 millions d’habitants, dont de nombreuses populations autochtones, et constitue la plus grande forêt tropicale du monde : elle abrite 20 % des espèces, faune et flore, de la planète. Mais depuis les années 70, 800 000 km2 sont partis en fumée pour les besoins du développement économique : bois, agriculture, mine, routes, barrages et spéculation foncière. 
Les conséquences sont diverses : la déforestation menace les écosystèmes et les populations locales, enraye les processus de production d’oxygène, de séquestration du carbone et de régulation de la température. Cette étude indique que les arbres de la forêt amazonienne capturent de 60 à 80 milliards de tonnes de carbone. La destruction de la forêt pourrait induire le rejet de 200 millions de tonnes de carbone dans l’atmosphère, ce qui précipite le changement climatique, fatal à la forêt. 
DES NOUVELLES POLITIQUES QUI ANNULENT LES EFFORTS EN FAVEUR DE L’ENVIRONNEMENT
Cette étude fait le point sur les faits, ainsi que ce qui doit être entrepris au-delà des logiques politiques, car l’urgence est réelle. Monica De Bolle explique que si le réchauffement climatique est considéré comme responsable, à raison, des feux de forêts, les feux en Amazonie sont dus à des « échecs de politiques gouvernementales à travers les années ». Ceux-ci sont provoqués par des « fermiers, propriétaires de bétail et autres tous les ans pour libérer du terrain, mais leur nombre et leur gravité ont augmenté en 2019 ». Jair Bolsonaro, le nouveau président brésilien depuis janvier 2019, est naturellement impliqué, en tenant à respecter ses promesses de campagne sur l’allègement des normes environnementales, sanitaires, et celles sur l’exploitation des terres.
En 2004, le président Lula avait permis le lancement d’un plan d’action dans le contrôle de la déforestation : celle-ci avait été fortement réduite entre 2004 et 2014, notamment par une surveillance accrue de son avancée par satellite, menant à des pénalités pour les responsables. Celle-ci avait repris dès 2015-2016, ce que De Bolle attribue à la période de récession du pays, menant à des coupes de budget, donc une gestion des terres forestières plus difficile. Ce qui alarme particulièrement aujourd’hui est le fait que Bolsonaro tienne à défaire les politiques environnementales montées par les gouvernements précédents, pour le seul intérêt économique que peuvent engendrer l’élevage, la culture de soja et d’huile végétale, etc. Ainsi, en août 2019, la déforestation suivant la saison des pluies était 222 % supérieure à celle de 2018. Bolsonaro, sous le feu des critiques venant du monde entier, accusait d’ailleurs les ONG pour les milliers de départs de feu.
Ces prédictions ne sont pas admises par tous : si la communauté s’accorde à définir un vrai moment de bascule à 20 % de déforestation de la superficie totale (la forêt amazonienne en est aujourd’hui à 17 %), d’autres spécialistes du climat, comme Carlos Nobre, ne voient pas le point de bascule si tôt, mais plutôt dans 15-20 ans. Si De Bolle avait appelé ses prédictions une « provocation » visant à une prise de décision immédiate, Nobre commentait : « J’espère qu’elle a tort. Si elle a raison, c’est la fin du monde. » Les prévisions peuvent varier, notamment dans la prise en compte du réchauffement climatique qui s’accélère.

QUELLES SOLUTIONS  ? 

De Bolle préconise une coopération internationale dans la protection de ces ressources : elle suggère que l’Amérique rejoigne les accords de Paris, et immédiatement établisse un plan d’action commun avec le Brésil, afin de préserver et restaurer la forêt tropicale. De même, que le Brésil agisse rapidement sur le plan politique, stoppe l’exploitation illégale des ressources forestières et protège les populations indigènes : des alternatives économiques pourraient être envisagées, comme l’exploitation d’hévéa, ou la culture des noix, afin que la forêt et son action soient conservées. De plus, la protection des forêts engendrerait des millions d’emplois — selon De Bolle, 200 emplois pour 1000 hectares de forêt, ce qui mène à des chiffres très conséquents au vu de l’engagement du Brésil, lors des accords de Paris, d’en restaurer 12 millions d’hectares.
Le rapport conseille également de rétablir l’Amazon Fund, un dispositif REDD+ de donations internationales afin de préserver les forêts. Jusqu’ici, ce dispositif REDD+ est surtout resté une coquille vide. Quoi qu’il en soit, il est impératif pour les dirigeants du monde entier de passer au-delà des dissensions politiques afin de suivre une action concrète, car l’urgence est réelle : 
« Si les feux en Amazonie doivent être condamnés, il est temps pour la communauté internationale de laisser de côté ses griefs justifiés contre l’administration Bolsonaro, et de coopérer sur une stratégie pour fournir les ressources nécessaires à la conservation et au développement de la plus grande forêt tropicale unie de la planète. »
Source: dailygeekshow.com