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samedi 24 décembre 2016

Paix pour Noël 2016


Pour ce Noël j' aimerais vous souhaiter à tous de la Paix. Malheureusement, les actualités nous font revenir brusquement à la dure réalité. Comme cette bulle, belle et si fragile, il ne suffirait de peu pour qu' elle éclate.

Ainsi il faut toujours penser, rêver et espérer qu' un jour nous puissions vivre comme des terriens et non comme des individualistes voulant absolument écraser son prochain.

À tous amis lecteurs qui fêteront la Noël, je vous dis MERCI et des très joyeuses fêtes et à lundi le 26 Décembre.

Soyez aux écoutes pour l' arrivée de la vague cosmique toujours prévue pour lundi.

Benoît Godin

vendredi 23 décembre 2016

Syrie: 88 civils tués dans les frappes truqués


Les raids aériens de l’aviation turque en Syrie ont fait au moins 88 morts parmi les civils.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), un organisme d'information associé à l'opposition syrienne et fondé à Londres, les frappes aériennes menées pendent toute la journée de jeudi et vendredi au matin par les avions de chasse turcs au nord de la Syrie, ont coûté la vie à au moins 88 civils dont 24 enfants.
72 civils ont été tués jeudi et 16 autres vendredi dans la ville d’al-Bab, contrôlée par Daech et située dans le nord de la province d’Alep, à 30 kilomètres de la frontière turque. 
Ces raids aériens ont été menés au lendemain du meurtre de 14 soldats de l’armée turque à al-Bab. Il s’agit du bilan le plus lourd jamais enregistré par l'armée turc depuis le début de son intervention en Syrie, il y a quatre mois.
Mercredi matin, l’armée turque a annoncé que les miliciens soutenus par Ankara avaient pris le contrôle de l’autoroute reliant al-Bab à Alep.
Damas condamne fermement l’intervention militaire turque en Syrie et la considère comme une violation flagrante de sa souveraineté.

Source: parstoday.com

jeudi 22 décembre 2016

Alep libérée: les USA vont-ils capituler?


Alep libérée, les autorités syriennes sont sur le point de rouvrir l’aéroport international d’Alep pour les vols civils.
Cet aéroport est resté fermé durant des années, en raison des combats violents entre les forces syriennes et les terroristes. Les informations font également état des efforts de la population à reconstruire les ruines de plus de cinq ans de guerre sans merci des terroristes contre non seulement des monuments historiques de l'une des plus anciennes villes du monde mais aussi contre les centaines d'ateliers et d'usines.
Sur le terrain des combats à l'est de Homs où se trouve Palmyre, on rapporte d'intenses combats qui opposent l'armée syrienne aux terroristes. L’Armée de l’Air russe a mené elle-aussi des frappes mercredi contre les positions de Daech dans la partie occidentale de Palmyre.
Quant à l’armée syrienne et ses forces alliées, elles repoussaient puissamment les terroristes qui tentaient de s’infiltrer dans la zone de sécurité de l’aéroport militaire stratégique T4.
25 terroristes de Daech ont été tués ou blessés sans compter le fait que le groupe a également subi de lourdes pertes matérielles. L’Armée arabe syrienne a détruit 2 chars et 3 véhicules techniques dotés de mitrailleuses antiaériens de 23mm.
C’est la 4e tentative du groupe terroriste de déloger les forces syriennes au sein de cet aéroport qui abrite la base aérienne la plus importante de la Syrie et d'où décollent des Soukhoïs syriens.
Mais que cherchent les ennemis d'Assad au juste?
Certains analystes politiques comme Ghaleb Qandil estiment que la libération d'Alep a bouleversé le rapport de forces en Syrie et poussera par voie de conséquence les ennemis de la Syrie à tenter tous les coups pour ramener la situation au statut quo ante. Certes, ils ont peu de chance de réussir mais ils n'ont pas d'autre choix. Leur stratégie consisterait donc, dans les semaines à venir, à réactiver Daech et d'autres groupes terroristes et à les employer à l'effet de faire monter la tension sur les fronts de combat. Les attentats terroristes et à la voiture piégée se multiplieront surtout dans des régions sous contrôle de l'armée syrienne. Les terroristes viseront les cibles civils. 
L'axe anti-syrien fera feu de tout bois pour contrer une reprise en main de la situation par l'État syrien et ses alliés. Les assauts de Daech et du Front al-Nosra, ou encore les offensives des miliciens pro Turquie voire l'assassinat de l'ambassadeur russe en Turquie devraient être tous compris en ce sens. La guerre par procuration n'est donc pas prête à finir. 
Ghaleb Qandil prévoit même un embrasement des fronts de combat non pas en Syrie mais aussi en Irak, au Yémen et en Libye. Dans tous ces pays, l'objectif consisterait à cibler deux ou plusieurs pays voisins. L'Irak et la Syrie se trouvent de façon prioritaire en ligne de mire car ce sont deux États au cœur du plan dit " Grand Moyen-Orient ". 
A vrai dire, la libération d'Alep des mains des terroristes ne signifie nullement la capitulation des États-Unis et de leurs alliés au Moyen-Orient face à l'axe de la Résistance. Le soutien occidental continuera à aller aux terroristes. 

Source: parstoday.com

mardi 20 décembre 2016

La Planète X / Nibiru pour 2017?


Des gens bien informés de la NASA, du DoD  ( Département de la Défense ) – l' Intelligence Militaire Nationale, SETI et la CIA assument que les 2/3 de la population mondiale ne survivront pas au passage de la Planète X / Nibiru et l' inversion des pôles.
La NASA reconnaît la possibilité ( en 1982 ) de l'existence de planètes additionnelles dans notre système solaire. Un an plus tard ( 1983 ) la NASA a lancé le satellite IRAS (Infrared Astronomical Satellite Infrared Artificial Satellite) qui détecte les gros objets de l' espace. 
Le Washington Post a résumé le tout dans un interview avec un scientifique du programme de propulsion JPL IRAS. Qu'arrive-t-il avec la Planète X /Nibiru alias Nemesis, le Destructeur, Wormwood, Hercolubus?

Est-ce que la Planète X /Nibiru est réelle?  Selon un invité, Robert Henry Evans,  elle existe et la NASA le sait très bien et elle est en route vers nous. Prend-elle 3,600 ans à compléter son orbite autour du Soleil? 

Comme vous pouvez l' imaginer, les effets gravitationnels d' une planète de cette taille ( environ 7 fois la Terre ) rime avec de grands troubles pour la planète Terre. Vous remarquerez que notre Terre connait une augmentation des tremblements de terre, d' activités volcaniques, une météo complètement bizarre et plus.

Lorsque Pioneer 10 a été envoyé dans le lointain espace, c' était pour étudier cette Planète X. Lors du voyage, Pioneer à rencontrer une force mystérieuse - qui a doublé les anomalies de la sonde spatiale tout en rendant perplexe les scientifiques de la NASA.

Pioneer à été gentiment poussé  ( par la force de la magnétosphère de la Planète X ) et s' est mis en mouvement dans la direction opposée vers le Soleil. Son momentum vers l'avant a aussi subit une décélaration.

Source: beforeitsnews.com
Traduction: Benoît Godin

Vous vous rappelez tous ces bruits bizarres qui provenaient du sol de la Terre? Possiblement le bruit de la machinerie qui creusait des tunnels pour relier des " bunkers " appartenants aux élites,  comme cela a souvent été mentionné dans des articles. 

Alors si le tout se réalise en 2017, soyez prêts ( Benoît Godin )

Israël / Hezbollah une nouvelle guerre?




L’ancien chef du conseil israélien de sécurité, le commandant général Giora Eiland, a évoqué la puissance militaire croissante du Hezbollah libanais. Il a insisté sur le fait qu’Israël ne pourra plus supporter une nouvelle guerre avec le Hezbollah, c’est pourquoi il doit éviter les provocations.
Ce général israélien a conseillé à Tel-Aviv d’éviter tout geste provocateur envers le Hezbollah. Il n’y aura, a-t-il insisté, aucune chance de réussite en cas de conflit avec ce mouvement. Il a évoqué la  puissance militaire croissante du Hezbollah libanais.
Le général Giora Eiland qui s’exprimait sur la chaîne 10 d’Israël a précisé que «Tel-Aviv doit avoir peur non parce que le Hezbollah peut avoir accès aux armes de destructions massives, mais parce qu’il possède plus de 130.000 missiles de tout type et de toute portée.
Revenant sur les attaques israéliennes en Syrie, ce général israélien les a qualifiées de «  petites » et « très calculées » pour ne pas provoquer la réaction directe de Damas.
Il a évoqué ensuite les déclarations tenues par le ministre israélien des affaires militaires, Avidgor Liberman. Ce dernier déclarait qu’ « Israël ne permettra jamais l’accès du Hezbollah aux armes sophistiquées ». Eiland a précisé que ce discours est un aveu indirect d’impuissance du fait de la puissance militaire du Hezbollah grandissante.
Revenant sur la guerre syrienne, cet ancien chef du conseil israélien de sécurité a déclaré qu’avec la fin de la guerre en Syrie, le Hezbollah en sortirait comme l’un des vainqueurs. Cette situation ne serait pas, à ses yeux, en faveur d’Israël qui se trouve devant un choix plus difficile car Tel-Aviv n'est pas en mesure de déclencher une guerre contre le Hezbollah.
Dans le même temps,  le Hezbollah a dit posséder des preuves indiquant que les Etats-Unis et l’Arabie saoudite soutiennent le groupe terroriste de Daech.
Le président du conseil exécutif du Hezvollah, Seyyed Hachem Saffieyddin a insisté sur le fait que ce mouvement dispose de documents bien étayés du soutien des Américains et des Saoudiens à Daech.
Ce soutien vise, a-t-il précisé, à faire survire cette menace en Syrie et en Irak et  à tout pays qui s’oppose aux politiques américano-occidentales. 
Source: parstoday.com

lundi 19 décembre 2016

Le coup d'état des élites US en cours


Il y a une tentative de coup d’État des « élites » en cours contre le président élu américain Trump.

 Le coup est orchestré par le camp d’Hillary Clinton en collaboration avec la CIA et les puissances néoconservatrices du Congrès.
 Le projet est de retourner le Collège électoral contre Trump grâce à l’absurde accusation de la CIA selon laquelle « La Russie a fait gagner Trump ». L’affaire viendrait alors devant le Congrès. Les néo-conservateurs et les bellicistes républicains pourraient alors confier la présidence à Clinton ou, si cela échoue, mettre Mike Pence, le vice-président élu de Trump, sur le trône. Le business de la guerre que se partagent tour à tour les deux partis, et que la présidence d’un Trump menacerait d’interrompre, pourrait alors se poursuivre sans accroc.
Si le coup d’État réussissait, il s’en suivrait de violentes insurrections aux États-Unis, avec probablement des conséquences imprévisibles.
Voilà les grandes lignes du dispositif. Aucun plan précis n’a été publié mais le projet est cependant devenu assez clair. Je vais maintenant me livrer à quelques spéculations.
L’objectif prioritaire est d’empêcher Trump de devenir président. Il est trop indépendant, ce qui met en danger de nombreux centres de pouvoir au sein des milieux dirigeants étasuniens. Le choix de Tillerson comme nouveau secrétaire d’État ne fait qu’augmenter le danger (je prédis que Bolton n’obtiendra pas le poste de sous-secrétaire d’état.) Tillerson est pour une stabilité qui profite aux affaires, pas pour une politique aventureuse de changements de régime. Les ennemis institutionnels de Trump sont :
 La CIA, qui est devenue l’Agence centrale d’assassinat sous les gouvernements Bush et Obama. Une partie importante de son budget dépend de la poursuite de la guerre contre la Syrie et des campagnes d’assassinats de drones en Afghanistan, au Pakistan et ailleurs. Les politiques plus isolationnistes de Trump mettraient vraisemblablement fin à ces campagnes et aux budgets correspondants.
 L’industrie de l’armement qui pourrait perdre ses énormes ventes à ses principaux clients du golfe Persique si un président Trump réduisait les interventions étasuniennes au Moyen-Orient et ailleurs.
 Les néoconservateurs et les Likoudniks* qui veulent que les États-Unis demeurent le bras d’Israël pour contrôler le Moyen-Orient au profit des sionistes.
 Les faucons de guerre, les militaires et les « interventionnistes humanitaires » qui considèrent toute réduction du rôle de première puissance mondiale des États-Unis comme un sacrilège.

Le directeur actuel de la CIA, Brennan, figure de premier plan du programme de torture de la CIA et consigliere d’Obama, fait partie du camp Clinton / anti-Trump. Les anciens chefs de la CIA Hayden et Panetta soutiennent ouvertement Clinton, tout comme l’ancien directeur adjoint de la CIA, Michael Morell, le roi de la torture.
Il n’est donc pas étonnant que la CIA mène la campagne anti-russe. Sa tâche est maintenant de persuader le public américain que l’intervention russe a faussé les élections américaines en faveur de Trump. Le but est de délégitimer la victoire de Trump aux yeux des médias et du public, mais encore plus aux yeux des Electeurs du collège électoral.
La CIA est fortement soutenue par les mêmes médias encadrés qui ont soutenu Clinton lors de l’élection. (Ce sont aussi, évidemment, ces mêmes médias qui ont soutenu auparavant la campagne de la CIA sur les « armes de destruction massive de Saddam »).
Le partisan démocrate et professeur de droit, Harvard Lawrence Lessig, essaie d’influencer les Électeurs du collège électoral en leur offrant un soutien juridique personnel gratuit. Il dit que le vote du Collège électoral est maintenant scellé.
Si on parvenait à convaincre 37 Électeurs républicains, mis en place par les électeurs de leurs États pour voter pour Trump, de ne pas élire Trump, de s’abstenir ou de voter pour quelqu’un d’autre, Trump n’aurait pas les 270 votes requises. L’élection du président serait alors renvoyée à la Chambre des représentants.
Même si les Électeurs votaient pour Trump, les députés de la Chambre et du Sénat pourraient remettre officiellement en question ce vote et provoquer des retards, entamer des enquêtes au Congrès et des recours juridiques.
Voici le détail de la procédure générale et de la procédure spécifique pour le Collège électoral selon l’Administration nationale des Archives.
Bien que les néo-conservateurs n’aient aucun soutien réel dans le corps électoral des États-Unis, ils ont une forte influence sur des pans importants du Congrès et sur les journalistes de MSM (National News). Beaucoup de chefs de file néo-conservateurs et de fauteurs de guerre comme Robert Kagan, Max Boot et l’équipe éditoriale du Washington Post ont soutenu Clinton pendant la campagne électorale. Clinton a même fait des clips de campagne avec des personnalités du Congrès républicain comme Lindsay Graham, Sasse et Flake.
A force de pression, la Chambre et la majorité du Sénat pourraient bien finir dans le camp anti-Trump. Mais quel que soit le résultat, il y aurait sûrement d’intenses querelles juridiques et tout cela finira, à mon avis, devant la Cour suprême.
A la place des entourloupes juridiques, Obama pourrait donner l’ordre aux services secrets de lancer une enquête officielle sur l’ingérence russe dans les élections, ce qui pourrait retarder l’investiture de Trump. Il peut le faire avant le 20 janvier, la date de l’inauguration officielle. Voilà ce que cela signifierait exactement :
En ordonnant un « examen complet » des allégations sur l’ingérence de la Russie dans le processus électoral de 2016, le président Barack Obama demande essentiellement à la communauté du renseignement de porter un jugement sur la validité de l’élection qui doit placer Trump dans le bureau ovale.
Un « compromis » pourrait être trouvé au Congrès ; il s’agirait d’attendre l’analyse de la communauté du renseignement pour en discuter avant d’investir Trump. Cela ne donnerait rien de concret car les éléments du Renseignement national sont très vagues. Mais pendant ce temps, le vice-président élu serait le président en exercice :
Si le président élu ne parvient pas à se qualifier pour l’investiture avant l’inauguration, le vice-président élu exerce les fonctions de président jusqu’à ce qu’un président soit qualifié, selon la Section 3 du 20e Amendement. 
Si le processus législatif ou congressionnel de l’élection de Trump est retardé, cela pourrait durer longtemps. Les Blob et les Borg qui détiennent le pouvoir à Washington ne verraient aucun inconvénient à avoir Pence comme président par intérim, pendant que Trump n’aurait aucun pouvoir officiel au gouvernement. (Clinton pourrait-elle alors devenir vice-président par intérim ou se qualifier comme nouvelle présidente ?)
L’intervention des médias en faveur du camp anti-Trump est incroyable.
Mais souvenons-nous qu’il n’y a aucune preuve, ZERO preuve, que la Russie ait quoi que ce soit à voir avec la DNC ou Podesta ou d’autres fuites, ni avec la publication de mails par des organisations comme Wikileaks.
Craig Murray affirme qu’il sait de source sure qu’il n’y a pas eu de piratages mais des fuites organisées et qu’il connaît le(s) fuiteur(s). Il dit même maintenant que les mails lui ont été communiqués lors d’une visite à Washington. D’anciens responsables du renseignement, comme William Binney, un ancien officiel de la NSA dont les compétences techniques sont reconnues, disent aussi que l’histoire du piratage est un mensonge.
Tout ce que nous avons entendu ou vu jusqu’ici, ce sont des rumeurs, des ouï-dire, et des allégations. Pour moi qui suis un professionnel de l’informatique, tout cela est ridicule, exactement comme Murray l’explique ici. Si les piratages en question se sont vraiment produits alors les méthodes soi-disant utilisées sont si ordinaires que n’importe qui aurait pu le faire. Au plan technique, rien ne prouve, ni de près, ni de loin, que « c’est la Russie qui l’a fait ».
Mais cela n’empêche pas le NYT de publier des quantités d’articles qui nous disent que « c’est la Russie qui l’a fait », basés sur les rumeurs sans base de la CIA et les allégations informatiques peu professionnelles de Crowdstrike, la compagnie de sécurité informatique que la DNC a engagée. Avant cela, le Washington Post avait publié des affirmations catégoriques de l’ingérence de la Russie par des fonctionnaires anonymes. NBC News coiffe tout le monde au poteau en disant que « des responsables du renseignement » affirment que Poutine lui-même a dirigé la campagne de piratage. Bill Arkin et Ken Dilanian, les auteurs de cette histoire sont des sous-marins de la CIA dont on sait qu’ils lui faire vérifier leurs articles avant de publier. La prochaine fois, NBC News nous dira que Vladimir Vladimirovich lui-même était au clavier.
Beaucoup d’organes de presse et d’éditoriaux suivent ces « meneurs ».
Une partie du plan élaboré par le camp Clinton a été expliquée au Conseil national démocratique par une ancienne consultante de l’opposition, l’Ukrainienne-Américaine Alexandra (alias Andrea) Chalupa, dans ce fil de discussion :
Andrea Chalupa @AndreaChalupa, 11 déc
1.) Le Collège électoral se réunit le 19 décembre. Si les Électeurs ignorent #l’état d’urgence dans lequel nous sommes, et que Trump est élu, nous pouvons encore le stopper le 6 janvier au Congrès
2.) S’il y a des objections à l’élection du Collège électoral, elles doivent être soumises par écrit, signées par au moins 1 député de la Chambre et 1 sénateur
3.) Si des objections sont présentées, la Chambre et le Sénat se retirent en session pour examiner leur validité au regard des procédures stipulées dans la loi fédérale.

Les éditoriaux et les articles d’opinion des principaux journaux soutiennent la conspiration de leur mieux. Voilà par exemple (un exemple parmi beaucoup d’autres) ce qu’écrit A.J. Dionne dans le Washington Post :
La conclusion de la CIA selon laquelle la Russie a activement participé à notre élection pour faire élire le président Trump est une excellente raison pour que les Électeurs se demandent s’ils doivent exercer leur indépendance. À tout le moins, on doit leur dire ce que sait la CIA, et surtout s’il existe des preuves que Trump ou ses lieutenants se soient compromis activement avec la Russie pendant la campagne.
L’éditorial du New York Times déplore que Trump ridiculise les contes de fées que raconte la CIA.
Beaucoup de gens qui ont voté pour Trump seraient dégoûtés et indignés si (ou quand) on refuse à Trump l’accès à la Maison Blanche. Beaucoup d’entre eux sont armés et protesteront. C’est sûr qu’il y aura de la violence si le coup d’État réussit.
Trump a choisi quatre anciens généraux pour faire partie de son cabinet et de son équipe. En cas d’escalade, ou pourrait se retrouver dans un scénario comme celui de ce document militaire de 1992 : Les origines du coup militaire américain de 2012 (pdf) de Charles J. Dunlap.
Moon of Alabama
Traduction : Dominique Muselet
Via: wikistrike.com
Notes :
*Membres du parti israélien de droite, le Licoud. **Conseiller

L' ambassadeur russe tué, des coups de feu près de l' ambassade américaine, la Turquie en crise



L'assaillant qui a tué l'ambassadeur russe en Turquie par balles a été tué par la police turque. Quelques informations à son sujet et sur le contexte de l'attaque ont d'ores et déjà été confirmées par les autorités en charge de l'enquête.

Il s'agissait de Mevlüt Mert Altintas, un policier de 22 ans, qui n'était pas en service au moment de l'attaque : il aurait utilisé sa carte de police pour pénétrer dans le bâtiment où l'ambassadeur devait tenir son discours. Les personnes présentes ont ainsi cru qu'il s'agissait de son garde du corps. En effet, il était habillé d'un costume-cravate. Des sources ont plus tard confirmé qu'il travaillait à Ankara, dans le service de protection rapprochée.

Au total, une vingtaine de coups de feu ont été échangés entre l'homme et les forces de police. Avant d'être abattu, il a répété la phrase popularisée par Oussama Ben Laden : «Vous n'aurez pas de sécurité, même dans vos rêves, tant que nous ne l'avons pas en réalité dans nos pays».

Des coups de feu auraient été tirés près de l'ambassade américaine aux Etats-Unis. Le Département d'Etat invite ses ressortissants présents dans le pays à éviter les lieux.

Quelques minutes après le meurtre de l'ambassadeur russe en Turquie par un policier dans la même ville, des tirs auraient été entendus près de l'ambassade des Etats-Unis à Ankara. Le Département d'Etat américain déconseille à ses ressortissants de se rendre dans les environs.

Multiples sources