Un journaliste indépendant s'est récemment rendu à Wuhan, en Chine, pour voir de plus près et plus précisément ce qui se passe réellement sur le terrain et ce qu'il a découvert pourrait vous choquer.
Se nourrissant de soupçons selon lesquels le gouvernement communiste chinois n'est pas totalement honnête au sujet de la propagation du coronavirus, cet individu a finalement fait une découverte choquante: les choses sont bien pires là-bas que ce que le monde dit.
Il s'avère que les Chinois vivant à Wuhan ont été condamnés à mort par leur gouvernement, qui a imposé une quarantaine obligatoire et un verrouillage dans toute la ville qui empêche les gens de partir - ce qui signifie qu'ils sont maintenant des prisonniers médicaux.
De plus, la ville ne reçoit aucune aide extérieure, ce qui signifie qu'elle a été appelée à gérer tout cela seule - et ça ne va pas si bien, c'est le moins qu'on puisse dire.
«En mettant la ville en quarantaine, le gouvernement de Pékin avait fondamentalement condamné les habitants de Wuhan à combattre le virus par eux-mêmes», explique Zero Hedge. Ce que ce journaliste citoyen a découvert.
«Les hôpitaux sont tellement débordés que les personnes présentant des symptômes évidents du virus sont toujours refoulées. Certaines personnes gravement malades ont été forcées de se rendre dans cinq ou six hôpitaux avant d'être acceptées pour des tests et des traitements. »
Les hôpitaux chinois manquent de kits de dépistage des coronavirus, n'en recevant qu'une centaine par jour.
Chaque district de Wuhan ne compte qu'environ quatre taxis bénévoles qui viennent chercher des patients malades et les emmènent à l'hôpital le plus proche pour des tests. Pendant ce temps, les rues sont fermées à toute autre circulation et les transports en commun sont actuellement arrêtés - donc quiconque ne peut pas attraper un de ces taxis est obligé de marcher, parfois plusieurs kilomètres, jusqu'à l'établissement médical le plus proche.
Tous les hôpitaux de Wuhan ne sont pas équipés pour les tests de coronavirus, il est important de noter. Et ceux qui ne reçoivent qu'une centaine de kits de tests par jour, ce qui est à peine suffisant pour faire face à l'assaut croissant de nouveaux patients.
Une autre chose est que de nombreux hôpitaux locaux sont pleins, donc les taxis doivent transporter des patients infectés jusqu'à parfois cinq ou six hôpitaux avant d'en trouver un qui accepte de nouveaux patients.
"Ce n'est que le dernier signe que le nombre réel d'infections en Chine est beaucoup plus important que les chiffres publiés par le gouvernement", prévient Zero Hedge.
Le gouvernement communiste chinois sévit contre les journalistes citoyens qui dénoncent la vérité. Ce journaliste citoyen a également appris que le gouvernement communiste chinois n’aimait pas trop que des gens comme lui rapportent ce qu’ils voient sans leur permission.
«Derrière moi, c'est la maladie. Devant moi se trouve le pouvoir juridique et administratif de la Chine… je n'ai pas peur de mourir. Pourquoi devrais-je avoir peur de toi, Parti communiste? »
Ce journaliste poursuit en expliquant qu'il a cessé de mettre son nom sur les réseaux sociaux et avertit les autres de ne pas partager ses vidéos sur leurs comptes de réseaux sociaux car leurs comptes pourraient être gelés.
«De nombreux médecins [au Sixth People’s Hospital] seraient tombés malades, mais les médecins n’accepteront pas mon entretien», révèle une traduction en anglais du récit de cet homme.
«On leur a tous dit de ne pas faire d’interviews. Certains pensent même que leur téléphone leur a été retiré. Nous savons que huit médecins ont été arrêtés avant (en décembre)… La plupart des gens sont enfermés à la maison; si vous n'avez pas de transport, il est très difficile de se rendre à l'hôpital. Et si vous y allez, certaines personnes ne sont pas contrôlées. Chaque zone (jiedao) ne dispose que de quatre taxis, soit quatre taxis pour des milliers de personnes. »
Source: beforeitsnews.com
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