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samedi 29 novembre 2014

Tokyo | Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a publiquement exposé la situation à Fukushima suite à la naissance d’un nouveau-né possédant un troisième œil, qui a alimenté une vague d’agitation publique dénonçant le gouvernement japonais et sa manipulation de la situation, a rapporté le Tokyo Daily ce matin.

 

La naissance du bébé atteint d’une malformation de la glande pinéale en raison du syndrome d’irradiation aiguë (SAI), ou empoisonnement radioactif, comme cela a été précédemment constaté après la catastrophe de Tchernobyl, a développé la formation d’un troisième œil peu développé.

 

La mère du nouveau-né Akira Kurotawa, travaillait à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi au moment de la catastrophe et a été la victime d’exposition aux radiations avant qu’elle ne tombe enceinte six semaines plus tard. Les médecins lui avaient dit que du fait que l’empoisonnement avait eu lieu le mois d’avant, que l’enfant n’aurait pas de problèmes de santé.

Le petit Akira Kurotawa en bonne santé et pesait 3,3 kg et n’a pas présenté d’autres effets secondaires d’empoisonnement radioactif ont assuré les médecins de l’Hôpital Universitaire Médical de Fukushima

La naissance de l’enfant avec une telle malformation a déclenché un tollé public massif, ainsi que des critiques des médias à l’échelle nationale, et a contraint le Premier ministre du Japon, Shinzo Abe, à faire une déclaration officielle sur la situation à Fukushima, quelque chose que les responsables extrêmement discrets n’ont pas fait jusqu’à présent.

 

 

« La façon dont notre pays a géré cette tragédie est honteuse. C’est bien plus qu’un simple déni de la réalité et de la menace qu’encourt le système écologique mondial et de la santé humaine et animale en général, nous nous sommes trompés en croyant que rien ne s’était passé ici alors que c’est probablement la pire tragédie qui nous a frappé depuis Hiroshima et Nagasaki il y a 69 années » a t-il admis en larmes lors d’une émission de télévision.

Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a publiquement admis que le traitement par les autorités nippones de la catastrophe nucléaire de Fukushima Daiichi est « honteux » et est entré dans l’histoire comme l’un des « moments les plus sombres » du Japon.

Le Premier ministre japonais a également estimé que le pays ne peut pas résoudre ce problème lui-même et a demandé à ce qu’un comité international parrainé par les Nations Unies puisse faire face aux catastrophes radioactives en raison de leurs « menaces pour l’équilibre de l’écosystème de notre planète et pour la survie de l’espèce humaine ».

Source: wikistrike.com



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