Le Portugal, atteint par la sécheresse et des températures élevées, a été frappé dimanche par plus de 300 incendies ou départs de feu, un record depuis le début de l'année selon les services de secours.
« Nous avons connu aujourd'hui la pire journée depuis le début de l'année en matière d'incendies », a déclaré la porte-parole de l'Autorité nationale de protection civile, Patricia Gaspar. Ce dimanche, le pays a été frappé par plus de 300 incendies.
Ces feux de forêt ont fait 23 blessés légers, six parmi la population et 17 parmi les quelque 2 000 pompiers mobilisés.
Quatre soldats de la paix ont été brûlés sans gravité et la plupart des autres blessés ont été soignés pour inhalation de fumée ou des chutes, a-t-elle précisé en conférence de presse.
Plusieurs villages, temporairement menacés par les flammes, ont dû être évacués notamment dans les communes de Monçao (nord) et Serta (centre).
Températures au-dessus des moyennes de saison
Cette vague d'incendies est due à « des températures nettement au-dessus de la moyenne pour la saison et à l'effet accumulé de la sécheresse qui se fait sentir quasiment depuis le début de l'année », a expliqué Mme Gaspar.
En fin de journée, une douzaine de foyers « importants » continuaient de faire rage dans le centre et le nord du pays.
Près de 216 000 hectares de végétation étaient déjà partis en fumée au Portugal entre début janvier et fin septembre, selon une estimation de l'Institut de la conservation de la nature et des forêts.
En 2003, la surface brûlée avait atteint un record de près de 426 000 hectares, mais l'année 2017 restera marquée par l'incendie le plus meurtrier de l'histoire du pays.
Le gigantesque brasier qui s'était déclaré le 17 juin près de Pedrogao Grande (centre) a fait 64 morts et plus de 250 blessés.
Ces feux de forêt ont fait 23 blessés légers, six parmi la population et 17 parmi les quelque 2 000 pompiers mobilisés.
Quatre soldats de la paix ont été brûlés sans gravité et la plupart des autres blessés ont été soignés pour inhalation de fumée ou des chutes, a-t-elle précisé en conférence de presse.
Plusieurs villages, temporairement menacés par les flammes, ont dû être évacués notamment dans les communes de Monçao (nord) et Serta (centre).
Températures au-dessus des moyennes de saison
Cette vague d'incendies est due à « des températures nettement au-dessus de la moyenne pour la saison et à l'effet accumulé de la sécheresse qui se fait sentir quasiment depuis le début de l'année », a expliqué Mme Gaspar.
En fin de journée, une douzaine de foyers « importants » continuaient de faire rage dans le centre et le nord du pays.
Près de 216 000 hectares de végétation étaient déjà partis en fumée au Portugal entre début janvier et fin septembre, selon une estimation de l'Institut de la conservation de la nature et des forêts.
En 2003, la surface brûlée avait atteint un record de près de 426 000 hectares, mais l'année 2017 restera marquée par l'incendie le plus meurtrier de l'histoire du pays.
Le gigantesque brasier qui s'était déclaré le 17 juin près de Pedrogao Grande (centre) a fait 64 morts et plus de 250 blessés.
Source : ouest-france.fr
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