La prédiction que le nuage radioactif de Fukushima atteigne la Côte Ouest de l`Amérique du Nord tôt en 2014 est possiblement déjà atteinte. Une vidéo démontre, avec un compteur Geiger, que le niveau de radiation sur une plage de San Francisco a atteint plus de 5 fois la norme sécuritaire. Quelques jours après la diffusion de cette vidéo sur YouTube, indiquant un niveau de plus de 150 micro-REM par heure, les officiels de la Santé du comté de San Mateo confirmaient la pointe obtenue, mais se disaient confus de la cause! Toutefois, les officiels ont réfuté la possibilité que cette lecture soit reliée aux radiations émises par Fukushima dernièrement et malgré aussi du fait que les experts avaient annoncé l`été dernier que des débris radioactifs flottants sur l`océan Pacifique depuis l`incident de mars 2011, atteindraient les rives de la Côte Ouest en 2014. Cette vidéo montre un homme mesurant les radiations à différents endroits sur une plage au sud de Pillar Point Harbor en Californie. Loin de la plage, le niveau de radiation est grimpé à plus de 500% le taux jugé sécuritaire et le compteur Geiger déclenche son alarme. L`homme derrière la vidéo clame que lors de sa visite précédente à la même plage, le taux était 13 fois la norme sécuritaire. “Dans les jours qui ont suivis, d`autres amateurs avec des compteurs Geiger ont aussi ajouté leurs vidéos en ligne,” selon Half Moon Bay Review. “Ces vidéos suivent les nouvelles alarmantes des mois précédents alors que des poissons s`étaient mystérieusement désintégrés le long de la Côte Ouest, une histoire qui n`a pas encore été relié à aucune cause.”
L`Agence de Protection Environnemental et du Département de la Santé Publique enquêtent présentement dans la cause de la radiation et de plus amples détails devront être rendus publiques cette semaine. La TEPCO et le Gouvernement Japonais ont été répétitivement pris à mentir dans leurs efforts à minimiser l`échelle de la catastrophe de Fukushima. En septembre 2013, il avait été confirmé que les lectures sur la radiation autour de la centrale de Fukushima étaient 18 fois plus hautes que les lectures rapportées par la TEPCO. Après qu`un réservoir de 300 tonnes se soit fissurer et relâcher son eau toxique au mois d`août 2013, le niveau de radiation des eaux souterraines à la centrale a grimpé à 400,000 becquerels par litre, le plus haut niveau de lecture depuis l`incident nucléaire de mars 2011. Les officiels de l`APE aux États-Unis ont aussi menti dans les semaines qui ont suivi le 9/11 lorsqu`ils ont mentionné que les secouristes et le public en général pouvaient bien respirer à <ground zero> et que l`air était sécuritaire. Selon une source de l`intérieur, les officiels de l`APE savaient que la poussière dans l`air était rempli d`Asbestos mais ont préféré taire le tout, laissant près de 20,000 travailleurs à <ground zero> souffrir de troubles respiratoires et même la mort de certains d`entre eux. Les médias majeurs ont aussi largement laisser de côté Fukushima malgré les évidences flagrantes pour couvrir l`échelle réelle de la crise des autorités Japonaises. Cenk Uygur, auparavant à la MSNBC, avait mentionné de ne pas aviser la population lorsqu`il était invité lors d`une émission sur le câble. Il y a des inquiétudes concernant que le gouvernement fédéral Américain se prépare dans une sorte d`urgence nucléaire et a grimpé d`un cran après la révélation de Département de la Santé et des Services Humains d`une commande de 14 millions de doses d`iode de potassium, un composé qui protège le corps contre l`empoisonnement radioactif après un accident nucléaire sévère. Cette commande devrait être livrée au début de février 2014.Traduit de l`anglais de –Info Wars
Voici un extrait d`un article paru dans une publication de Express.beComment expliquer le silence des médias traditionnels concernant ce qui se passe sur la côte ouest des États-Unis?
Les
grands médias ont été remarquablement silencieux concernant cet
incident. Les grands titres de la presse américaine, dont le
Wall Street Journal et le New York Times, mais aussi les chaînes
telles que CNN et CNBC, ne l’ont absolument pas mentionné.
Les représentants des
gouvernements locaux ont commencé à effectuer de nouveaux tests
lorsque la vidéo est devenue virale, et ils ont annoncé qu’ils
n’avaient pas constaté que le rayonnement avait atteint un
niveau dangereux.
Dans le journal local The Half Moon Bay Review, Dean Peterson, le
directeur du système de santé local, a admis que le rayonnement
avait atteint cinq fois la valeur normale à certains
endroits, mais il a affirmé qu'il n'y avait pas de danger pour le
public.
«Ce n'est pas quelque chose que nous considérons être un danger
immédiat pour la santé publique. Il est même aucune indication
que ceci pourrait provenir de Fukushima », a-t-il dit.
Un rapport d'experts indépendants
a conclu mercredi que le rayonnement, qui est désormais 14 fois
plus élevé que la normale, n'est pas causé par la
fusion du réacteur de la centrale nucléaire de
Fukushima-Daiichi, sans parvenir à préciser la cause possible de
cette hausse de la radioactivité ambiante.
« Cela ne veut pas dire que tout
va bien. Vous ne voudriez pas laisser votre bébé jouer dans un
tel environnement. Tout ce que nous disons, c’est que cette
radioactivité ne vient pas de Fukushima », a déclaré Dan
Sythe, le CEO de International Medcom, qui s’est rendu neuf fois
au Japon pour mesurer les radiations depuis l’accident de la
centrale de Fukushima. Ses analyses montrent que la radioactivité
de la plage Pacifica ne provient pas du matériau fissile utilisé
au Japon, le cesium-137, mais plutôt du radium et du thorium.
The
Examiner note que la décontamination de la centrale nucléaire de
Fukushima devrait prendre jusqu'à trente ans et coûter 125
milliards de dollars (environ 100 milliards d’euros) et que,
à cet égard, il n'est pas normal que les médias traditionnels
n’attirent pas l’attention sur l’impact que cela pourrait
avoir sur la côte ouest américaine.
Russia
Today a rapporté plus tôt, sur la base d'un rapport de Reuters,
que des sans-domicile-fixe avaient été recrutés pour faire ce
que le journal qualifie de « travail le moins attrayant du monde
industrialisé » : le nettoyage du site de la centrale
nucléaire de Fukushima.
Sur le site TheTruthwins.com,
Michael Snyder a réuni 36 signes que les médias «mentent sur la
façon dont la radioactivité de Fukushima affecte la côte ouest
des États-Unis ». La
liste complète est ici, mais on note certains éléments
remarquables :
✓ 70
marins de l'USS Ronald Reagan, qui ont été envoyés en mission
humanitaire au lendemain de la catastrophe dans la région
touchée, ont développé des maladies graves, telles que le
cancer des testicules, cancer de la thyroïde, leucémie, des
hémorragies chroniques de l’utérus, et des tumeurs du cerveau
à la suite de leur exposition aux radiations nucléaires de
Fukushima.
|
✓
En Mars, l'Associated
Press a rapporté que plus de 45% de tous les bébés phoques nés
en Juin 2012 dans la zone entre San Diego et Santa Barbara (300 km
de long) étaient morts (alors que seulement un tiers meurt
d'habitude), et que les bébés phoques qui avaient survécu
présentaient une insuffisance pondérale.
✓
Dès 2012, le
Vancouver Sun a rapporté que du césium-137 - un isotope
radioactif instable de césium - a été trouvé dans un
pourcentage très élevé des poissons que le Japon vend au
Canada: 73% des maquereaux, 93% des thons et 92% des sardines.
(L’article a depuis été supprimé par le journal)
✓
Cenk
Uygur, un ex-présentateur de,la chaîne américaine MSNBC, a
affirmé qu’il avait été invité par son employeur à ne pas
informer son public des dangers posés par la fusion du réacteur
à Fukusima « parce que ceux qui ont le pouvoir à Washington
» ne le voyaient pas d’un bon oeil.
✓
En Juillet, Masao
Yoshide, qui avait dirigé les équipes pour résoudre les
problèmes de la centrale nucléaire de Fukushima à la suite de
la catastrophe, est mort à l'âge de 58 ans, des suites d’un
cancer de l’œsophage. L'exploitant de la centrale, TEPCO (Tokyo
Electric Power Co.), a indiqué que sa maladie n’avait aucun
lien avec son exposition aux radiations de la centrale nucléaire.
S’il
apparait que la Côte Ouest des États-Unis est contaminée, cela
pourrait entraîner une catastrophe économique, et une possible
migration. La Californie, l'État de Washington et la
Colombie-Britannique au Canada sont des ‘economic powerhouses'
où sont situées les métropoles de San Diego, Los Angeles, San
Francisco, Seattle et Vancouver. Les dommages potentiels pour
l'économie en général et pour les secteur de
l’agro-alimentaire, du tourisme et de l'immobilier en
particulier, seraient incalculables. La
valeur totale de l’immobilier de la seule Californie a été
estimée en 2010 à 4.400 milliards de dollars.
Mais jusqu'ici, il n’en est pas
encore question. Comme pour le cas du réchauffement climatique,
pour chaque rapport scientifique sur les conséquences
catastrophiques de la catastrophe de Fukushima, on
trouve également un rapport qui affirme exactement le contraire…
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