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mardi 31 décembre 2019
URGENT: LE PRÉSIDENT RETOURNE À LA MAISON BLANCHE POUR UNE SITUATION D'AMBASSADE D'URGENCE; CELA POURRAIT ÊTRE " CELA " LES AMIS
Le président Trump est revenu en toute urgence à la Maison Blanche après des vacances de Noël en Floride, suite à l'attaque d'aujourd'hui contre l'ambassade des États-Unis à Bagdad, en Irak, par des mandataires iraniens.
Cela pourrait être "ça" les amis.
Pour un président américain d'interrompre ses vacances de Noël et de retourner à la Maison Blanche, c'est une énorme indication que quelque chose d'extrêmement grave est sur le point de se produire.
Si les USA frappent l'Iran - et plusieurs crois fortement qu'ils le feront - les Iraniens ont des mandataires aux États-Unis qui n'attendent que des ordres pour les attaquer, directement chez eux!
Source: halturnerradioshow.com
Si les USA entrent en conflit avec l'Iran et qu'ils commencent à attaquer directement aux États-Unis, le grand public prendra d'assaut les magasins et achètera tout ce qui est en vue. Après ce vent de panique, il ne restera rien dans quelques heures après l'assaut initial.
` L'Iran a en possession 5 bombes nucléaires '' - un événement plus grand que n'importe quel autre dans l'histoire du monde pourrait avoir lieu le 1er janvier 2020. Prions pour éviter le pire!
L'AMBASSADE DES ÉTATS-UNIS À BAGDAD ATTAQUÉE; DES FLAMMES SUR UN DES ÉDIFICE
Des manifestants irakiens ont pris d'assaut l'ambassade américaine à Bagdad ce 31 décembre, deux jours après des frappes américaines visant un groupe pro-iranien dans le pays. Certains sont parvenus à franchir la première enceinte du complexe. Des milliers de manifestants ont attaqué ce 31 décembre l'ambassade des Etats-Unis à Bagdad, brûlant des drapeaux, arrachant des caméras de surveillance et criant «Mort à l'Amérique», deux jours après des raids américains meurtriers contre le groupe Kataëb Hezbollah (le Hezbollah irakien), ont constaté des journalistes de l'AFP.
Les participants au cortège funéraire des 25 combattants tués dans les raids le 29 décembre en Irak sont parvenus à traverser sans encombre l'ensemble des checkpoints de l'ultrasécurisée Zone verte de Bagdad, où siège l'ambassade. Les forces de sécurité irakiennes se sont ensuite interposées aux portes de l'ambassade, alors que les manifestants devenaient violents. Des manifestants sont parvenus à pénétrer dans l'enceinte de l'ambassade, et les forces américaines tentent à présent de les disperser. Les forces de l'ambassade américaine ont fait usage de grenades lacrymogènes et assourdissantes.
Des manifestants sont parvenus à franchir la première enceinte du gigantesque complexe ultrasécurisé. Les forces américaines ont alors tiré des grenades lacrymogènes et assourdissantes depuis l'intérieur de la chancellerie. L'Amérique est le grand Satan Les manifestants sont des hommes en uniforme de combattants du Hachd al-Chaabi, une coalition de paramilitaires dominée par des factions chiites pro-iraniennes à laquelle appartiennent les brigades du Hezbollah, la faction visée par les raids, mais aussi des femmes brandissant des drapeaux irakiens et du Hachd.
Portant des banderoles proclamant «Le Parlement doit dégager les troupes américaines, sinon c'est nous qui allons les dégager» ou «Fermez l'ambassade américaine à Bagdad», ils ont notamment crié : «L'Amérique est le grand Satan».
Dans l'après-midi, le président américain Donald Trump a accusé, dans un tweet, l'Iran d'avoir «orchestré» l'attaque de l'ambassade américaine à Bagdad.
Les Etats-Unis ont dépêché des renforts militaires à Bagdad pour protéger leur ambassade, a annoncé le ministre américain de la Défense Mark Esper ce 31 décembre. «Nous avons pris des mesures de protection appropriées pour assurer la sécurité des ressortissants, militaires et diplomates américains dans le pays, et pour assurer notre droit à l'autodéfense. Nous envoyons des forces supplémentaires pour soutenir notre personnel à l'ambassade», a-t-il déclaré dans un communiqué. Selon une source militaire, il s'agit d'un petit nombre de Marines. Des frappes américaines en Irak ayant attisé le sentiment anti-américain.
Le sentiment anti-américain en Irak a été ravivé le 29 décembre par les raids menés en représailles à la mort d'un sous-traitant américain dans une attaque à la roquette contre une base en Irak, non revendiquée mais attribuée par Washington à la faction chiite des brigades du Hezbollah. Le Hachd al-Chaabi, qui a aidé le pouvoir irakien dans la lutte antidjihadistes, a été intégré aux forces régulières.
L'Iran a immédiatement condamné le 30 décembre les frappes de l'armée américaine contre des combattants du Kataëb Hezbollah (KH) en Irak et en Syrie, qui ont fait au moins 25 morts. «Avec ces attaques, l'Amérique a montré son ferme soutien au terrorisme et son dédain pour l'indépendance et la souveraineté des pays, et elle doit assumer les conséquences de son acte illégal», a déclaré le porte-parole de la diplomatie iranienne, Abbas Moussavi.
Source: rt
dimanche 29 décembre 2019
Les États-Unis attaquent le Hezbollah en Irak; des Pros Iran lancent des roquettes sur une base américaine en Irak - Pompeo et Esper s'envolent pour Mar-a-lago pour informer le président "Il est temps de frapper l'Iran directement"
De multiples sources signalant que la base de Taji, en Irak, où se trouvent les troupes américaines, a été la cible de tirs de roquettes. Cela fait suite aux frappes américaines contre Kataeb Hezbollah (KH), un mandataire iranien, plus tôt dans la soirée.
Le personnel civil de l'ambassade des États-Unis serait évacué de Bagdad et les forces américaines seraient attaquées à la roquette par des mandataires soutenus par l'Iran.
Le gouvernement irakien doit tenir une réunion d'urgence de son Conseil de sécurité nationale sur ce dernier barrage.
- Ammar al-Hakim (Hikma) condamne la frappe aérienne américaine contre la milice du Hezbollah.
- Les milices du Hezbollah soutenues par l'Iran dans un communiqué demandent aux forces de sécurité d'expulser les États-Unis d'Irak.
L'AMÉRIQUE FRAPPE HEZBOLLAH
Le nombre de morts des raids américains sur 5 bases de la milice irakienne du Hezbollah en Syrie et à Anbar est passé à 15.
Le Pentagone a annoncé que des avions américains avaient lancé des raids contre le quartier général de la milice irakienne du Hezbollah, ce qui avait entraîné la mort et des blessures de combattants,ce qui a entraîné la mort et des blessures de combattants, dont le chef de milice, Abu Ali Khazali.
Selon une source militaire américaine, les chasseurs américains F-15 ont visé 5 bases appartenant à la milice irakienne du Hezbollah: 3 à Anbar et 2 en Syrie.
Des journalistes de la région disent que de fortes explosions peuvent être entendues alors que des unités para-militaires du Hezbollah (PMU) attaquent le site de l'armée américaine à Baghhad.
Les rapports indiquent maintenant qu'une quarantaine de terroristes du Hezbolla soutenus par l'Iran ont été tués dans les frappes aériennes américaines d'aujourd'hui en Syrie et au Yémen, après avoir tué un entrepreneur américain avec des tirs de roquettes il y a environ un jour.
Un grand nombre d'unités de sécurité et 1er détachement opérationnel des forces spéciales Delta (SFOD-D) entrant dans l'ambassade des États-Unis pour évacuer le personnel.
Le colonel Myles B. Caggins III a dit:
"En réponse aux attaques répétées du Kata'ib Hezbollah contre des bases irakiennes qui hébergent les forces du CJTFOIR, les forces américaines ont mené des frappes défensives de précision contre 5 installations du KH en Irak et en Syrie [pour] dégrader la capacité de KH à mener de futures attaques contre les forces de la coalition."
Le commandant des milices chiites Abu Mahdi al-Mohandis menace: "Le sang des martyrs et des blessés n'est pas versé en vain. La réponse viendra et ce sera très difficile pour l'armée américaine en Irak."
Le commandant militaire des brigades du Hezbollah, Abu Ahmed Al-Basri: Nos forces sont prêtes à démolir les bases américaines et à écraser leurs têtes pourries pendant que nous attendons le feu vert.
Le gouvernement irakien dément avoir lancé des tirs de roquettes contre une base américaine près de Bagdad. Le Premier ministre irakien a déclaré que les États-Unis n'avaient PAS l'autorisation d'attaquer des unités du Hezbollah en Irak et en Syrie. Le Premier ministre a également déclaré: "" La présence militaire américaine est devenue un fardeau pour l'État et une source d'agression contre nos forces et, par conséquent, il
est devenu obligatoire pour nous tous de les expulser d'Irak "'.
Sputnik Arabic rapporte que le nombre de morts s'élève à 25 morts et 35 blessés après des frappes aériennes américaines sur 5 bases irakiennes du Hezbollah en Irak et en Syrie.
*** BULLETIN ***
MISE À JOUR URGENTE 16 h 39 HNE -
Esper (SECDEF) et Pompeo (SECSTATE) en direction de Mar-a-Lago. Des informations privilégiées indiquent qu'ils prévoient de dire au président Trump que l'Iran a franchi notre «ligne rouge» et attaqué les forces américaines après avoir été averti de ne pas le faire. Les deux secrétaires diront ALLÉGALEMENT au président qu'il est temps que les États-Unis frappent directement l'Iran militairement.
MISE À JOUR 16h58 HNE -
La mission aérienne spéciale SAM967 vient d'atterrir à l'aéroport international de Palm Beach en Floride. On suppose que Pompeo et Esper ont une réunion imprévue sur la sécurité nationale avec le président Trump en raison des développements en Irak.
MISE À JOUR 17H48 HNE -
Des sources locales affirmant qu'il y a des activités militaires SOUDAINES et GRANDES dans les provinces occidentales de l'Iran (y compris les avions de guerre et les hélicoptères)
MISE À JOUR 18 h 30 HNE -
Des rapports d'observateurs indiquent qu'au moins six (6) avions de combat F-15E américains, entièrement armés, ont décollé de la base aérienne jordanienne d'Al-Azraq, en direction de l'Irak. Ils pourraient mener plus d'attaques contre des cibles soutenues par l'Iran en Irak, surtout si des attaques à la roquette ont été menées contre l'ambassade des États-Unis dans la zone verte de Bagdad.
MISE À JOUR 18 h 40 HNE -
La force de frappe du porte-avions USS Truman s'est déplacée dans la région du Golfe. L'exercice anti-fastboat de l'US Navy vient de se terminer, Beaucoup d'actifs terrestres dans la région aussi. Verrouillage et chargement?
SOURCE: halturnerradioshow.com
Dossier qui pourrait s' enflammer....à suivre....
MISE À JOUR 19:32 HNE -
Trump a fait le point sur «des frappes réussies et d'autres options» après qu'un raid américain a tué des dizaines de milices «soutenues par l'Iran» en Irak, en Syrie.
Cela pourrait se transformer en guerre totale avec l'Iran. Et pire.
Si les États-Unis frappent l'Iran, il est fort probable que l'Iran ripostera pleinement. . . avec des missiles pleuvant sur des bases américaines à moins de 2 000 kilomètres ET SUR ( SON ALLIÉ ) ISRAEL.
À ce stade, tout peut arriver.
vendredi 27 décembre 2019
Moscou déploie l'Avangard, son «arme absolue»
La Russie a annoncé, vendredi le 27 décembre, la mise en service de ses premiers missiles hypersoniques Avangard, l’une des nouvelles armes développées par Moscou et vantées par le président Vladimir Poutine comme «pratiquement invincibles».
Par Maxime Popov AFP
Ce système fait partie d’une nouvelle génération de missiles capables, selon Moscou, d’atteindre une cible quasiment partout dans le monde et de surpasser n’importe quel bouclier antimissile existant, tel que le système déployé par les États-Unis en Europe.
«Le ministre de la Défense Sergueï Choïgou a rapporté au président Poutine la mise en service à 10h - heure de Moscou - du premier régiment équipé des nouveaux systèmes stratégiques hypersoniques Avangard», a indiqué le ministère dans un communiqué cité par les agences russes.
M. Choïgou a «félicité» les militaires russes, jugeant que le déploiement des missiles était «un événement fantastique pour le pays et pour les forces armées».
En décembre 2018, l’armée russe avait indiqué que le premier régiment de missiles Avangard serait déployé dans la région d’Orenbourg, dans l’Oural.
L’Avangard file selon Moscou à une vitesse de Mach 20 et est capable d’atteindre Mach 27, soit 27 fois la vitesse du son et plus de 33 000 kilomètres par heure. Il est capable de changer de cap et d’altitude, le rendant «pratiquement invincible», selon le président russe.
Vladimir Poutine avait comparé les missiles Avangard, testés avec succès en décembre 2018 avec une portée de 4000 km, «à la création du premier satellite artificiel de la Terre», une référence au Spoutnik lancé en 1957, qui avait symbolisé l’avance technologique de l’Union soviétique sur les États-Unis en pleine Guerre Froide.
«C’est un système de missile intercontinental, pas balistique. C’est l’arme absolue», s’était félicité le président russe en juin 2018. «Je ne pense pas qu’un seul pays dispose d’une telle arme dans les années qui viennent. Nous l’avons déjà», avait-il ajouté, alors que les relations avec les Occidentaux sont au plus bas.
Missiles, drones, laser
Une autre arme vantée comme «invincible» par M. Poutine, le missile lourd balistique intercontinental de cinquième génération Sarmat, doit être livrée aux forces armées russes en 2020. Le Sarmat n’aurait «pratiquement pas de limites en matière de portée» et serait «capable de viser des cibles en traversant le pôle Nord comme le pôle Sud».
Parmi les autres systèmes en développement figurent un drone sous-marin à propulsion nucléaire, des missiles hypersoniques destinés aux chasseurs russes ou encore un mystérieux «laser de combat».
L’annonce de l’arrivée des Avangard dans l’armée russe intervient alors que Moscou et Washington ont suspendu cette année leur participation au traité bilatéral de désarmement INF, datant de la Guerre froide. La question de l’avenir du traité START de réduction des arsenaux nucléaires, qui arrive à échéance en 2021, est également en question.
La Russie accuse les États-Unis de chercher à rompre les traités existants pour parvenir à son «épuisement économique» par «une nouvelle course aux armements», dans laquelle elle assure ne pas vouloir se lancer.
Elle a pourtant multiplié les annonces dans ce domaine, disant notamment vouloir adapter d’ici deux ans ses systèmes marins Kalibr, utilisés pour la première fois en opération en 2015 en Syrie, en variante terrestre.
Elle a également dévoilé mi-décembre de menus détails de son bouclier spatial anti-missile Koupol, qui se veut l’équivalent du système américain SBIRS mais dont les contours restent encore mystérieux.
L’armée russe a aussi subi plusieurs accidents embarrassants cette année, le principal étant une explosion à caractère nucléaire dans le Grand Nord qui a tué sept personnes le 8 août, lors de tests de «nouveaux armements». Selon des experts, il s’agissait du Bourevestnik, un missile de croisière à «portée illimitée».
Source: lapresse.ca
Source: lapresse.ca
jeudi 26 décembre 2019
Israël se prépare à «une confrontation limitée» avec l'Iran
Israël ne permettra pas à l’Iran de consolider ses forces à la frontière avec la Syrie et en Irak «même au prix d’une confrontation», a déclaré le chef d’état-major de Tsahal.
Le général Aviv Kochavi, chef d’état-major de l’armée israélienne, a affirmé ce 25 décembre qu’Israël n’avait pas l’intention de laisser l’Iran renforcer ses positions en Irak.
Faisant un discours à la conférence annuelle consacrée à la place de Tsahal dans la société israélienne, il a affirmé que la force Al-Qods, unité d'élite du corps des Gardiens de la révolution islamique iranien, transférait régulièrement des armes vers l’Irak, font savoir les médias israéliens.
«Nous ne pouvons pas permettre que cela se passe impunément», a-t-il souligné, ajoutant que l’Irak était «devenu une zone non gouvernée».
Aviv Kochavi a fait remarquer que l’armée israélienne déployait d'importants efforts «pour ne pas permettre à l'ennemi de s'équiper d'armes de haute précision, même au prix d'une confrontation».
«Confrontation limitée»
Dans ce contexte, il a laissé entendre qu’Israël n’excluait pas une éventuelle «confrontation limitée» avec Téhéran.
«Il y aura des situations qui pourraient aboutir à la confrontation ou à un seuil de confrontation», a-t-il noté.
© SPUTNIK . ANTON BISTR
À la mi-novembre, de nombreux documents des services de renseignements iraniens avaient fuité, révélant l'influence de Téhéran en Irak. Ainsi, le New York Times et le site d'investigation The Intercept ont affirmé avoir examiné quelque 700 pages de rapports du ministère iranien des Renseignements envoyées à The Intercept par une source anonyme.
Source: sputniknews.com
mercredi 25 décembre 2019
L'eau contaminée de Fukushima pourrait finalement être rejetée dans la nature
Le rejet dans l'environnement (mer ou air) de l'eau contaminée de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi est l'unique option restante après que les experts eurent exclu un stockage de longue durée, ont précisé mardi à l'AFP les autorités japonaises.
"L'option d'un simple stockage à long terme n'est plus envisagée", a déclaré à l'AFP un fonctionnaire d'Etat souhaitant garder l'anonymat. Et de préciser que l'ambition du gouvernement est de faire place nette à Fukushima Daiichi: une fois les réacteurs démolis et le site nettoyé, il ne devra rien rester, donc pas de citernes d'eau contenant encore au moins du tritium.
Une quantité massive d'eau contaminée est stockée dans l'enceinte de ce site ravagé par le tsunami de mars 2011. Elle provient de la pluie, des nappes souterraines ou d'injections nécessaires pour refroidir les coeurs des réacteurs entrés en fusion.
Filtrée à plusieurs reprises, elle sera à terme débarrassée d'une grande quantité de radionucléides, sauf le tritium, considéré comme moins dangereux pour l'environnement et les êtres vivants.
Le stockage durable, que recommandaient des organisations écologistes comme Greenpeace, n'étant plus d'actualité, restent trois options jugées les plus faisables, d'un point de vue technique et économique: la dilution en mer, l'évaporation dans l'air ou une combinaison des deux.
Un risque diplomatique avec les JO?
Des experts, dont ceux de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), poussent depuis des années pour la dilution en mer. Mais ce n'est pas faisable pour le moment car, comme l'a reconnu la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), une grande partie de cette eau est encore lourdement chargée en éléments radioactifs dangereux pour la chaîne alimentaire. Tepco estime cependant que les citernes seront pleines en 2022.
Une décision finale ne devrait pas être prise avant les jeux Olympiques de Tokyo à l'été 2020, compte tenu du risque diplomatique. Une sous-commission gouvernementale chargée du dossier étudie ainsi non seulement les implications techniques, mais aussi les potentiels dégâts sur l'image du pays à l'étranger.
Le Japon devrait en effet rencontrer une forte opposition, qui s'exprime déjà, des pêcheurs et agriculteurs de la région, ainsi que des groupes de défense de l'environnement et de pays voisins, à commencer par la Corée du Sud. Séoul n'a pas digéré une précédente décision de rejeter en mer des paquets d'eau radioactive juste après l'accident de Fukushima, sans lui avoir demandé son avis.
Source: 7sur7.be
- Une très mauvaise nouvelle pour notre avenir. Benoit Godin
jeudi 19 décembre 2019
L'OTAN s'exerce à la frontière russe et semble se préparer à un «conflit militaire de grande ampleur»
L'augmentation en intensité des exercices de l'OTAN à la frontière russe sont le signe que l'Alliance atlantique se prépare à un conflit militaire de grande envergure d'après l'état-major russe, qui appelle l'OTAN à une reprise de la collaboration.
Si Emmanuel Macron a appelé l'OTAN à réorienter sa stratégie contre le «terrorisme international» lors du sommet de l'Alliance atlantique début décembre, force est de constater qu'il s'agit, en l'état actuel des choses, d'un vœu pieux. C'est le constat dressé par le chef d'état-major des forces de la Fédération de Russie armées Valéri Guérassimov lors d'un d'un discours prononcé, le 17 décembre, devant les attachés militaires étrangers, et publié par le journal russe Krasnaïa Zvezda.
Selon lui, les exercices militaires et les déploiements de troupes dans les pays baltes et en Pologne sont des signes évidents que l'Alliance atlantique considère plus que jamais la Russie comme une menace, comme elle le fait depuis trois décennies. «Le déploiement des éléments de la défense antimissile des Etats-Unis se poursuit. L'activité militaire s'intensifie dans les pays baltes et en Pologne, dans les eaux de la mer Noire et de la mer Baltique, et l'intensité des exercices militaires du bloc augmente», a-t-il ainsi souligné. Et pour le chef d'état-major, l'analyse des scénarii de ces exercices militaires est très clair : ils témoignent «de préparatifs ciblés de l'OTAN en vue d'un déploiement de ses forces dans un conflit militaire de grande ampleur».
Une analyse partagée par le Kremlin, comme l'a souligné son porte-parole Dmitri Peskov lors d'un point-presse ce 18 décembre. «Dans ce cas précis, il s’agit de l’avis d'un professionnel qui repose sur l’analyse menée par nos militaires dans le processus de suivi des manœuvres effectuées par l’OTAN. En l'occurrence, seul l’avis des professionnels peut être correct», a-t-il fait valoir, précisant que «l’administration du président ne [pouvait] pas évaluer [la situation] du point de vue militaire».
Dans son discours, Valéri Guérassimov est par ailleurs revenu sur les arguments avancés par les Occidentaux pour justifier ces mouvements de troupes et exercices, à savoir que les activités militaires de Moscou constitueraient une «menace pour la paix». «Dans le domaine de la garantie de sa sécurité militaire, toute démarche de la Russie, tout événement, est planifié et transparent pour construire une armée et une marine. Or chaque exercice est clairement présenté par les propagandistes occidentaux et des médias producteurs de fake news comme une "menace pour la paix"», a-t-il fait remarquer.
Une situation inquiétante que ne souhaite pas voir perdurer Valéri Guérassimov, qui appelle à une reprise de la collaboration entre Moscou et l'Alliance atlantique : «La réduction des risques d'incidents dangereux dans le domaine militaire doit demeurer au cœur du dialogue entre la Russie d’un côté et les Etats-Unis et l’OTAN de l’autre. Il est nécessaire de reprendre la collaboration entre la Russie et l’OTAN dans le but de résoudre les sujets de préoccupation qui se sont accumulés.»
102 exercices en 2019
Préoccupations en tête desquelles trône donc la multiplication des exercices militaires de l'OTAN aux frontières de la Russie. Dans un rapport publié le 13 octobre sur les 102 exercices prévus en 2019, l'Alliance atlantique explique en effet avoir «recentré son attention» sur «la sécurité collective et les priorités de défense à l’intérieur des frontières de l’Alliance» à la suite du rattachement de la Crimée à la Russie en 2014. «L’Alliance est aujourd’hui amenée, face à la Russie, à remobiliser des aptitudes de dissuasion politique et militaire datant de la guerre froide tout en cherchant à s’adapter à des tactiques modernes de guerre hybride», est-il notamment écrit.
C'est dans ce cadre que l'OTAN a décidé d'intensifier ces dernières années ces exercices militaires. A titre d'exemple, en 2018, l'exercice «Trident Juncture 18» qui se déroulait en Norvège constituait la plus grande manœuvre militaire organisée par l'Alliance atlantique depuis la fin de la guerre froide. 50 000 soldats, 250 aéronefs, 65 navires et quelque 10 000 véhicules terrestres en provenance de 31 Etats membres de l'OTAN y ont pris part. Ajoutez à cela que l'Alliance atlantique juge dans son rapport publié en octobre que «la présence en rotation de l’OTAN dans la région de la Baltique ne suffirait pas à repousser une invasion de forces conventionnelles russes», et l'inquiétude de l'état-major russe peut difficilement ne pas être considérée comme légitime.
«Affrontement de communications interposées»
En dépit de la sortie de l'état-major russe, le directeur du Centre européen d'analyses stratégique (CEAS) Philippe Migault, spécialiste des questions stratégiques, ne croit pourtant pas à la possibilité d'un tel conflit. Selon lui, il s'agit plutôt d'un «affrontement de communications interposées, qui vise essentiellement à influencer l’adversaire et sa propre opinion publique», comme il l'a confié à RT France. Moscou jouerait ainsi le même jeu que l'OTAN, qui «hurle au loup» à chaque fois qu’il y a une manœuvre russe, en affirmant que la Russie se prépare à envahir les pays baltes ou la Pologne.
Lire aussi «Menace» de la Russie et «défi» de la Chine : les alliés de l'OTAN mettent de côté leurs dissensions «Je ne suis pas persuadé que ça reflète une véritable montée de la tension et à une situation dont il faut s’alarmer, en tout cas à moyen terme. [...] On est vraiment dans une opération de communication à destination des opinions publiques qu’il s’agit de fédérer, afin de les convaincre qu’il existe un danger. Mais je ne pense pas que cela soit l’illustration véritablement d’une montée des tensions», explique-t-il.
Interrogé par RT France, Patrick Charaix, ancien général et chercheur associé à l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) estime, quant à lui, que les exercices menés par l'OTAN ne deviennent pas plus agressifs mais plus complexes, compte tenu des «nouvelles menaces réelles», tel que le cyber, ou encore les attaques hyper véloces de missiles nucléaires. «Il suffit de voir les attaques cyber, qui pour le coup, sont bien attribuées à la Russie. Et puis toute son activité satellitaire en missiles nucléaires, missiles balistiques et anti–missiles», note-t-il, soutenant que l'OTAN faisait ainsi preuve de dissuasion à l'égard de Moscou.
«Je rappelle que la dissuasion s’appuie sur trois crédibilités fortes: politique, technique et opérationnelle. Et l’OTAN est en train de jouer ça vis-à-vis de la Russie», explique-t-il, tout en confiant, d'un autre côté, comprendre la réaction de Moscou qui se sent «oppressé, agressé».
Source: rt.com
Source: rt.com
mercredi 18 décembre 2019
Le pôle nord magnétique se déplace à une vitesse inédite, les chercheurs perplexes
Le pôle nord magnétique terrestre se déplace désormais à la vitesse sans précédent de plus de 50 kilomètres par an, et la communauté scientifique semble ne pas en connaître la cause.
Le pôle nord magnétique, dont la position sert de base aux boussoles, mais aussi à la navigation aérienne et maritime et à nos GPS, se déplace de plus en plus vite, rapporte le Financial Times qui se réfère à des chercheurs britanniques.
Selon le Centre National de l’Information Environnementale, depuis sa découverte en 1831, le pôle nord magnétique a parcouru près de 2.250 kilomètres.
Depuis les années 1990, il se déplace de près de 40 kilomètres par an en direction de la Sibérie. Or, au cours des dernières décennies, ce mouvement s’est accéléré pour atteindre près de 55 km par an.
La position du pôle magnétique est liée aux mouvements du fer en fusion qui circule sous la croûte terrestre, pour autant les chercheurs peinent à comprendre cette accélération inédite. Ciaran Beggan, du British Geological Survey, reconnaît que la communauté scientifique «ne sait vraiment rien sur les changements dans le phénomène à l’origine du mouvement».
Il est à souligner que cette évolution rend la navigation de plus en plus périlleuse, et les modèles magnétiques de plus en plus rapidement périssables. Ainsi, le modèle magnétique mondial quinquennal (World Magnetic Model) 2015-2020 a dû être révisé plus tôt que prévu.
Source: sputniknews.com
Source: sputniknews.com
mardi 17 décembre 2019
La Chine met en service son deuxième porte-avions
La Chine a admis mardi au service actif son deuxième porte-avions, le premier de conception entièrement chinoise, dans un contexte de rivalité avec les États-Unis en Asie-Pacifique, a indiqué la télévision publique CCTV.
L’intégration officielle aux forces chinoises du bâtiment, nommé « Shandong », a été acté lors d’une cérémonie dans une base navale de l’île de Hainan (sud), en présence du président chinois Xi Jinping, qui a parcouru le pont du navire. La cérémonie s’est déroulée en présence d’environ 5000 membres de la marine et d’ouvriers, qui ont chanté l’hymne national en assistant à la levée du drapeau chinois, a indiqué CCTV sur son site internet.
Xi Jinping a pris une photo de groupe avec les militaires et les civils présents dans ce port de la ville côtière de Sanya, les appelant à « apporter de nouvelles contributions au Parti communiste et au peuple » chinois.
La Chine disposait jusqu’à présent d’un seul porte-avions opérationnel: le Liaoning. Construit par l’ex-URSS et racheté à l’Ukraine, il avait été admis au service actif en 2012.
Le second porte-avions, connu jusqu’à présent sous le nom « Type-001A » et mis à flot en 2017, est à propulsion classique (et non nucléaire) et peut embarquer environ une quarantaine d’avions, selon des experts.
L’armée chinoise poursuit ainsi sa montée en puissance et est considérée comme la deuxième force militaire mondiale derrière les États-Unis. Ces derniers disposent toutefois d’un budget de la Défense environ trois fois supérieur.
La mise en service du deuxième porte-avions intervient à l’heure où la Pékin affirme avec davantage de fermeté depuis ces dernières années ses prétentions territoriales en mer de Chine méridionale.
La Chine, arguant d’une présence plus ancienne dans la zone, dispute à d’autres pays (Vietnam, Philippines, Malaisie, Bruneï) des îles et d’îlots, chaque nation en contrôlant plusieurs.
Les États-Unis ont réagi en envoyant croiser des navires de guerre dans la région, au nom de la « liberté de navigation », que Washington estime menacé par les revendications chinoises.
Avec deux porte-avions désormais en service, la Chine reste encore très loin derrière les États-Unis (11), mais dépasse désormais la Russie (1), la France (1), l’Inde (1) et le Royaume-Uni (1), selon un décompte communiqué à l’AFP par Nick Childs, spécialiste des forces navales au centre de réflexion britannique International Institute for Strategic Studies (IISS).
Source: afp
Source: afp
mardi 10 décembre 2019
Aucune banque ne rendra leur argent aux déposants en cas de crise financière
Six évènements majeurs qui changeront le cours de l'histoire
Les investisseurs du monde entier n'ont jamais été confrontés à des risques aussi élevés que ceux auxquels nous sommes exposés en ce moment. Malheureusement, très peu d’entre eux en sont conscients. Ceux qui comprennent la nature du risque et prennent les bonnes décisions « feront fortune ». Mais la plupart des investisseurs continueront à vivre en croyant que les tendances actuelles perdureront et, malheureusement, se retrouveront « dans les bas-fonds et la misère ».
Voici quelques-uns des événements qui bouleverseront la planète :
1. Aucun État souverain ne paiera jamais sa dette – Cette affirmation est irréfutable et quiconque ne comprend pas cela vit dans le déni. La dette souveraine a augmenté de façon exponentielle lors des deux dernières décennies. Les gouvernements ne peuvent pas et n’ont aucune intention de payer leurs créditeurs. Ils ne peuvent même pas payer les intérêts sur cette dette, et c’est pourquoi de plus en plus de pays ont des taux d’intérêt négatifs. Alors non seulement ils ne rembourseront pas la créance, mais les investisseurs paient maintenant des pays en faillite pour détenir leur papier sans valeur. Il est incompréhensible que des investisseurs acceptent de détenir près de 100 000 milliards $ de dette sans rendement, ou avec rendement négatif, sans aucune chance de revoir leur argent. Personne ne se soucie du retour de son argent, et maintenant il semblerait que les investisseurs ne s’inquiètent même pas d’obtenir un rendement sur leur argent. C’est une situation choquante qui entraînera l’effondrement total de toute la dette souveraine.
2. Aucune banque ne rendra leur argent aux déposants – Je sais que très peu de gens croient cela. Car s’ils y croyaient, ils ne détiendraient pas environ 200 000 milliards $ d’actifs dans le système financier, en plus des 1 500 000 milliards $ de produits dérivés dans le système bancaire. Les actions des banques en Europe, qu’il s’agisse de Deutsche Bank en Allemagne ou de Monte Paschi en Italie, continuent de dégringoler vers de nouveaux bas. Comme je l’ai dit dans un récent article, les prix des actions de la plupart des banques européennes, ainsi que celles de plusieurs banques américaines, comme Citigroup ou Bank of America, se sont effondrés de 70-95% depuis 2006, et ils se dirigent vers ZÉRO. Les prêts à la consommation grimpent toujours de façon exponentielle. Les prêts étudiants aux États-Unis représentent maintenant 1 400 000 milliards $, en ayant SEULEMENT triplé depuis 2006. Le taux de délinquance sur ces prêts augmente aussi, vu que la majorité des étudiants ne trouvent pas d’emploi.
3. Les marchés actions perdront 90% ou plus – Je sais que la plupart des investisseurs trouveront cette affirmation sensationnelle, venant de quelqu’un passablement dérangé. Mais laissez-moi seulement vous rappeler que lorsque le Dow Jones s’est effondré, entre 1929 et 1932, les conditions économiques aux États-Unis et ailleurs étaient bien meilleures qu’aujourd’hui. Les conditions économiques se détériorent rapidement dans le monde entier, mais les marchés d’actions continuent de grimper vers des niveaux étourdissants. Les investisseurs accordent leur confiance à une monnaie imprimée. Les revenus du S&P déclinent depuis cinq trimestres consécutifs. Le Dow Jones est maintenant évalué à un étourdissant 24 X les revenus GAAP. Les revenus des ventes, ajustés aux rachats d’actions, ont baissé d’un tiers depuis 2006. Oui, les gouvernements vont, cette année, lancer le plus grand programme d’impression monétaire de l’histoire. Mais cela n’aura aucun effet sur l’économie mondiale. Le temps des méthodes keynésiennes, mal conçues, pour créer de la prospérité en imprimant des morceaux de papier sans valeur (ou de la monnaie électronique) est dépassé. L’impression monétaire ne fera qu’exacerber le problème de la dette. Le monde se rendra bientôt compte que l’on ne peut régler un problème en appliquant les mêmes méthodes qui l’ont causé au départ.
4. Le marché immobilier s’effondrera – Les bas taux d’intérêt et la folie spéculative ont créé des bulles immobilières dans le monde entier. Le premier signal d’alarme a eu lieu en 2006 mais, grâce à une impression monétaire massive et des garanties à hauteur de 25 000 milliards $, les gouvernements et les banques centrales ont réussi à retarder l’inévitable. Mais depuis, la dette mondiale a augmenté de 2/3 et les taux d’intérêt ont baissé, de 6% à zéro, voire sont devenus négatifs. En Suisse, un prêt hypothécaire sur 15 ans coûte dorénavant 1,25% et, en Suède, vous n’avez même pas à amortir votre hypothèque. Au Royaume-Uni, six fonds investis dans l'immobilier commercial ont été gelés. Cela représente 50% des fonds immobiliers et constitue un sévère avertissement qui devrait être autant pris au sérieux que la crise des subprimes de 2006. La Chine, avec sa dette de 34 000 milliards $, ses villes-fantômes et ses édifices vides, va aussi avoir de sérieux problèmes.
5. Les devises atteindront ZÉRO – Le déficit budgétaire de la plupart des pays et l’explosion de dette qui en découle continueront à mettre la pression sur les devises. La plupart des devises ont d’ailleurs perdu 97-99% de leur valeur en termes réels, ces 100 dernières années. La dernière baisse de 2-3% aura probablement lieu dans quatre à sept ans. Le problème est que cette chute finale représente 100% à partir de maintenant. Cela signifie que toutes les devises atteindront leur valeur intrinsèque de ZÉRO dans les années à venir. Donc, les épargnes en liquide ne vaudront rien.
6. Risques géopolitiques, terrorisme et troubles sociaux – Ces risques sont plus élevés que jamais, que ce soit au Moyen-Orient, entre les États-Unis et la Russie, la Chine etc. ou des émeutes en Europe, aux États-Unis, en Chine ou ailleurs au monde. L’agitation sociale, le terrorisme et la guerre civile feront bientôt partie du quotidien. Ce qui est arrivé à Paris, Bruxelles, Nice, Orlando, Baton Rouge et en Turquie n’est que le début d’une tendance qui va s’étendre à travers le monde. Cela rendra la planète beaucoup moins sécuritaire pendant plusieurs années. Le tourisme et les vols commerciaux seront affectés de manière dramatique. Dans un environnement moins sécuritaire, les gens préfèreront rester chez eux.
Tout cela peut ressembler à une prophétie de malheur. Les investisseurs qui ne veulent entendre que de bonnes nouvelles n’ont qu’à regarder la télé ou lire les journaux. Il y a peu d'endroits où le risque est correctement abordé. J’espère évidemment que mes prévisions seront fausses, mais je crains avoir raison. Il est donc essentiel pour les investisseurs – et les gens qui ont un peu d’épargne – de prendre les mesures nécessaires pour se protéger.
L’or et l’argent ne régleront pas tous les problèmes potentiels ou les catastrophes à venir. Mais ils sont sans doute la meilleure assurance que les investisseurs puissent détenir pour protéger leur capital contre la plus grande destruction de richesse que le monde n’ait jamais connue. Naturellement, il doit s’agir d’or ou d’argent physique, et il doit être conservé hors du système bancaire/financier.
Source originale: GoldSwitzerland
Et cette crise serait pour bientôt.....
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